Alexander Frei

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Alexander Frei
Image illustrative de l’article Alexander Frei
Frei avec le Borussia Dortmund en 2007.
Biographie
Nationalité Drapeau de la Suisse Suisse
Naissance (44 ans)
Bâle (Suisse)
Taille 1,80 m (5 11)[1]
Période pro. 19972013
Poste Attaquant
Pied fort Droit
Parcours junior
Années Club
1987-1988 FC Begnins
1988-1995 FC Aesch
1995-1997 FC Bâle
Parcours professionnel1
AnnéesClub 0M.0(B.)
1997-1998 FC Bâle 011 0 (1)
1998-1999 FC Thoune 034 0 (7)
1999-2000 FC Lucerne 053 0(17)
2000-2003 Servette FC 078 0(42)
2003-2006 Stade rennais FC 117 0(52)
2006-2009 Borussia Dortmund 083 0(37)
2009-2013 FC Bâle 156 (107)
1997-2013 Total 532 (263)
Sélections en équipe nationale2
AnnéesÉquipe 0M.0(B.)
1996-1997 Suisse -19 ans 004 0(3)
1999-2000 Suisse espoirs 019 0(9)
2001-2011 Suisse 084 (42)
Parcours entraîneur
AnnéesÉquipe Stats
2016-2017 FC Bâle U15
2017-2020 FC Bâle U18 44v 14n 13d
2020- FC Wil 7v 6n 10d
1 Compétitions officielles nationales et internationales.
2 Matchs officiels (amicaux validés par la FIFA compris).

Alexander Frei, né le à Bâle, est un footballeur international suisse dont la carrière professionnelle s'est étalée de la fin des années 1990 au début des années 2010. Il fait partie de l'équipe de Suisse de football durant dix ans, entre 2001 et 2011.

Frei est le symbole du football suisse des années 2000 avec Hakan Yakin, Philippe Senderos, Tranquillo Barnetta et Pascal Zuberbühler ou bien encore Johann Vogel. Durant sa carrière, Frei est l'un des meilleurs buteurs du football suisse, passant notamment par la Ligue 1 et la Bundesliga où il marque les esprits. Il est aussi le meilleur buteur de l'histoire de l'équipe de Suisse avec 42 buts en 84 matchs, soit une statistique de 1 but tous les 2 matchs.

En outre, il décroche à l'issue de l'édition 2004-2005, le titre de meilleur buteur de Ligue 1 avec le Stade rennais FC, puis est deuxième meilleur buteur de la Bundesliga en 2007 avec le Borussia Dortmund, les lecteurs de Bild l'ayant d'ailleurs élu comme joueur de l'année en Allemagne lors de cette saison. Il finit meilleur buteur du championnat suisse en 2011 et élu étant le meilleur joueur de l'année (Axpo Player of the Year).

Il retrouve un très bon niveau de jeu lors de son retour au FC Bâle avec d'excellentes performances notamment en Ligue des champions de l'UEFA 2011-2012.

Frei est le 15e meilleur buteur mondial du XXIe siècle selon la Fédération internationale de l'histoire et des statistiques du football (IFFHS)[2]. Le classement tient compte seulement les buts marqués en équipe nationale ainsi qu'en compétition internationale.

Biographie

Jeunesse et formation

Enfant, Alexander Frei commence par jouer dans le canton de Vaud.

Débuts professionnels (1997-1999)

À 18-19 ans, Frei fait ses débuts professionnels avec le FC Bâle, pas encore comme étant le buteur tonitruant qu'il est devenu par la suite, il dispute 11 matchs et marque 1 but. Après cela, il s'engage avec le FC Thoune, où il jouera un peu plus (34 matchs) et marquera 7 buts. Il connaît ensuite une progression au FC Lucerne et gagne en efficacité.

Révélation avec le Servette FC (2000-2003)

C'est avec le Servette FC que Frei se révélera au grand public. Il y gagnera notamment son premier titre, la Coupe de Suisse en 2001 et connaîtra alors ses premières sélections en équipe de Suisse. Attaquant très efficace (36 buts en 64 matchs), soit plus de 1 but tous les deux matchs, ses performances ne laissent pas insensible, il rejoint ainsi le Stade rennais FC, évoluant en Ligue 1 française, durant la trêve hivernale.

La confirmation au Stade rennais FC (2003-2006)

Le , Alexander Frei est transféré au Stade rennais FC. Mais, au repos depuis un mois avec la trêve suisse, il arrive en méforme. Avec Vahid Halilhodžić, l'attaquant joue peu mais l'entraîneur croit en son potentiel. Lors de cette première demi-saison, Frei se contente de treize matchs, dont seulement trois titularisations, pour un but[3].

L'arrivée de László Bölöni, durant l'inter-saison, six mois après son arrivée, change la donne. Frei reprend confiance et rentre peu à peu dans le cœur des supporteurs rennais en étant décisif. En , il en est à douze matchs (neuf titularisations) et déjà sept buts inscrits[3]. En , il réalise un match d'anthologie face à l'Olympique de Marseille de Fabien Barthez, il inscrit un quadruplé et permet à Rennes de s'imposer 4 à 3. Il finit cette saison 2003-2004 en tant que second meilleur buteur du Championnat de France avec 20 buts, derrière Djibril Cissé et devant Didier Drogba, le club termine à la 9e place du championnat de Ligue 1.

La saison 2004-2005 est pour Alexander Frei la confirmation de la saison précédente, il est désormais une pièce offensive importante du club, en marquant à nouveau 20 buts et en terminant cette fois-ci meilleur buteur devant Mickaël Pagis et Pauleta, ses buts sont très variés (9 buts du pied droit, 4 du pied gauche, 7 de la tête et aucun sur penalty), le club termine à la quatrième place.

Avec Olivier Monterrubio, il forme ce que l'on appelle un « duo de choc » (doublette magique) dans le club breton. Amis sur le terrain comme dans la vie, les deux joueurs sont en effet très complémentaires.

Lors de la saison 2005-2006, ses statistiques sont en chute libre car il est victime d'une blessure qui le prive de la majorité de sa saison. Au mercato d'été 2006, après des prestations convaincantes lors de la Coupe du monde 2006, il signe un contrat de quatre ans avec le Borussia Dortmund pour un montant de cinq millions d'euros.

L'aventure allemande avec le Borussia Dortmund (2006-2009)

Il fait parler son sens du but dès sa première saison en terminant second meilleur buteur de la Bundesliga (16 buts) à égalité avec Roy Makaay et derrière Theofanis Ghekas (20 buts), et ce en 32 matchs, soit à nouveau, 1 but tous les deux matchs. Les lecteurs de Bild l'élisent cette année comme étant joueur de la saison 2006/07 avec plus de 30 % devant Mohamed Zidan et Diego, bien que ce dernier ait été élu meilleur joueur de Bundesliga.

Sa deuxième saison est cependant marquée par les blessures : il est opéré de la hanche en mai et fait une rechute en se blessant au mollet en septembre, il ne commence sa saison qu'en janvier et met du temps à retrouver son niveau d'avant sa blessure. Il se blesse à nouveau durant le match d'ouverture de l'Euro face à la République tchèque, en souffrant d'une déchirure du ligament latéral interne du genou gauche, il est contraint d'abandonner la compétition. Il n'aura disputé que 13 matchs et marqué 6 buts avec le Borussia, lors de cette saison.

Son retour en compétition a lieu, le samedi  : il entre en jeu en seconde mi-temps durant le Derby de la Ruhr opposant le Borussia Dortmund et le FC Schalke 04. Mené 0-3, il délivre une passe décisive avant d'inscrire un doublé (dont un pénalty à la 89e minute) permettant ainsi au Borussia d'arracher un nul inespéré. Peu à peu, il commence à retrouver son niveau.

Il termine la saison avec un bilan respectable de 12 buts en 29 matchs. Après trois saisons en Allemagne, une finale de Coupe d'Allemagne et une Supercoupe d'Allemagne en poche, Frei effectue un retour dans son pays, au FC Bâle.

Retour et fin à Bâle (2009-2013)

Après six saisons passées loin de son pays, Frei s'engage en faveur du FC Bâle jusqu'en 2012. La transaction s'élèverait à 4,25 millions d'euros. En effet, le FC Bâle réalise un grand coup en achetant Frei qui va tonifier l'attaque du club.

Sa première saison est une réussite, vu que le club rhénan réalise le doublé Championnat-Coupe. Lors de la finale de la Coupe de Suisse 2010, il inscrit un triplé face au FC Lausanne-Sport, victoire 6-0.

Sa deuxième saison est encore très intéressante surtout sur le plan personnel, Frei et Bâle offrent des prestations intéressantes en Coupe d'Europe, parviennent à garder leur titre de Champion, mais perdent la Coupe, éliminés par le FC Biel-Bienne. Frei est un des artisans majeurs de cette saison en marquant 27 buts et terminant meilleur buteur du Championnat et est élu d'ailleurs comme meilleur joueur de la saison.

La troisième saison (2011-2012) au club depuis son retour démarre sur les grandes roues pour le club, particulièrement en Ligue des champions. Bâle peut nourrir de bonnes ambitions grâce à un Frei retrouvé, un Marco Streller dans la forme de sa vie, et des jeunes qui montent en puissance comme Yann Sommer, Xherdan Shaqiri, Fabian Frei et Granit Xhaka.

Tout commence face à l'Otelul Galati, le  : à la 84e, Frei inscrit un penalty qui offre la victoire 2-1 à Bâle. Au deuxième match à Old Trafford, face à Manchester United, finaliste de la compétition, Bâle est mené 2 à 0. Fabian Frei réduit l'écart, avant que Frei n'égalise sur un centre de Fabian Frei ; et, pour finir, Frei marque un deuxième but, cette fois sur un penalty obtenu par Marco Streller. Alors que Bâle mène 3 à 2, Manchester United égalise en fin de match par Ashley Young.

Les deux rencontres contre le Benfica Lisbonne se soldent par une défaite et un match nul. Bâle doit donc absolument battre l'Oțelul Galați pour espérer continuer dans la compétition. Chose faite, les Bâlois s'imposent 3 à 2, avec notamment un but de Frei.

Bâle s'offre donc une véritable finale au dernier match de poule face à Manchester United, pour Bâle, la victoire est impérative et, quant aux Red Devils, un nul suffirait. Bâle commence très bien en marquant dès la 9e minute sur une reprise de volée de Streller sur un centre de Shaqiri, le salut est venu d'Alexander Frei à la 84e, où Frei, de la tête, inscrit le but du break sur un nouveau centre de Shaqiri. Il sort à 87e minute sous les ovations du public bâlois ; la réduction du score mancunienne à la 89e ne changera rien à l'affaire. Le FC Bâle se qualifie ainsi pour les 8e de finale en montrant l'image d'une équipe compacte, disciplinée et surtout réaliste.

La performance du duo d'attaque Streller-Frei a été saluée par Alex Ferguson.

L'ancien attaquant de Dortmund a confirmé ainsi sa réputation de buteur, en inscrivant 5 buts en 5 matchs de poule. À ce stade de la compétition, seuls Lionel Messi et Mario Gómez ont fait mieux.

Au match aller des 8e de finale contre le Bayern München, Bâle montre à nouveau toute la solidité de son équipe en gagnant 1 à 0 sur un but de Valentin Stocker; Alexander Frei réalise une bonne performance et sort en fin de match.

Depuis l'arrivée de Murat Yakin sur le banc rhénan, Frei perd souvent sa place de titulaire pour être surtout utilisé comme joker. Moins convaincant que les dernières années, il a tout de même offert, en , la qualification en demi-finale de la Coupe de Suisse à Bâle en s'imposant contre le FC Thoune (2-1) grâce à ses deux buts inscrits. Un mois plus tard, en mars, il permet également au FC Bâle de se qualifier pour les quarts de finale de la Ligue Europa contre le Zénith Saint-Pétersbourg en marquant sur pénalty à la 94e minute. Score final 2-0 à l'aller et 1-0 pour le Zénith au retour.

En sélection nationale (2001-2011)

Débuts, suivis de l'Euro 2004 (2001-2004)

Frei avec la Suisse

Le , il effectue sa première sélection contre la Yougoslavie (1-1). Le , lors de sa deuxième sélection, il inscrit un triplé contre le Luxembourg. Très vite, Frei deviendra un des piliers de cette équipe de Suisse, et le restera durant une dizaine d'années.

Malgré une arrivée difficile au Stade rennais FC, Frei continue de marquer en sélection. Il termine meilleur buteur du groupe 10 des éliminatoires de l'Euro 2004 avec cinq buts[3].

Qualifié pour l'Euro 2004 au Portugal, la Suisse vivra un échec durant cette compétition et Frei sera très vite suspendu pour avoir craché sur le meneur de jeu anglais Steven Gerrard pendant le match Suisse-Angleterre.

Néanmoins, cet épisode sera très vite oublié par les supporters, et Frei gagnera la confiance du public durant les qualifications pour la Coupe du monde 2006 en Allemagne.

Coupe du monde 2006 : des prestations intéressantes

La Suisse réalisant de très bonnes performances et Frei devenu une véritable machine à marquer suscitent un engouement populaire en Suisse.

Face à l'équipe de France de Zinédine Zidane, la Suisse se montre très solide et obtient le 0 à 0. Contre le Togo, il inscrit un but important (victoire 2-0), et remarque à nouveau contre la Corée du Sud (2-0). Les Suisses terminent donc 1er de leur groupe devant la France, se qualifiant pour les 8e de finale face à l'Ukraine.

Avec un Zuberbühler en grande forme, une défense solide formée par un grand Senderos, un milieu expérimenté avec Johann Vogel et une attaque prolifique avec des joueurs comme Frei et Barnetta sans compter sur les remplaçants de luxe comme Yakin, la Suisse peut nourrir de bonnes ambitions quant à la suite du tournoi.

Malheureusement, le rêve s'arrête brutalement face à l'Ukraine à la suite d'une séance de tirs au but catastrophique pour les coéquipiers d'Alexander Frei qui ne peut qu'observer cette débâcle depuis le banc tout comme Hakan Yakin (tous deux spécialistes des coups de pieds arrêtés) car l'entraîneur national, Köbi Kuhn, l'a remplacé quelques minutes auparavant.

Capitaine de l'équipe de Suisse, Euro 2008

En 2007, il devient logiquement capitaine de l'équipe de Suisse à la suite du départ très médiatisé de Johann Vogel.

En , à la suite d'un doublé contre le Liechtenstein, Frei rentre dans l'histoire en devenant le meilleur buteur de la sélection suisse de football avec ses 35 réalisations, une de plus que Max Abegglen et Kubilay Türkyilmaz.

Le , lors du match d'ouverture de l'Euro 2008 contre la République tchèque, il se blesse à la fin de la première mi-temps, victime d'une déchirure partielle des ligaments intérieurs, il ne sera pas en mesure de poursuivre la compétition ayant lieu en Suisse. La blessure du meilleur buteur de la Nati provoque le choc de tout un pays et le désarroi des supporters.

Hakan Yakin, son meilleur ami également, prendra alors la relève en marquant les trois buts suisses de la compétition.

Coupe du monde 2010

Après l'Euro 2008, Frei s'avère moins brillant, mais se révèle tout de même décisif en marquant 5 buts lors des éliminatoires de la Coupe du monde 2010 en Afrique du Sud.

Frei, étant tout juste revenu de blessure et pas encore au niveau, loupe le premier match contre l'Espagne. Néanmoins la Suisse établit un succès historique grâce à un but de Gelson Fernandes à la suite d'une percée d'Eren Derdiyok. Contre le Chili (défaite 0-1), Frei est titulaire, mais n'arrivant pas à retrouver son rythme, il sort peu avant la fin de la 1re mi-temps. Contre le Honduras, la victoire étant impérative pour la Suisse et la Nati peinant à trouver le chemin des filets de buts, Ottmar Hitzfeld décide de faire rentrer Yakin et ensuite Frei, le jeu devient plus dangereux, mais la Suisse ne marque pas et est donc éliminée.

Cette période sera gâchée par différentes blessures pour le buteur.

L'après Coupe du monde et fin de carrière (fin 2011)

Enchaînant les blessures et peu à niveau, il est décrié par la presse et il annonce qu'il arrêtera sa carrière nationale en juin 2011 après le match de qualification pour l'Euro 2012 en Angleterre au désarroi des supporters.

Cependant, lors d'un match amical face à l'Ukraine, Alexander Frei fait taire les critiques. Hitzfeld décide en effet d'aligner l'ancien fameux duo qu'avait connu la Suisse Yakin-Frei, quelque chose qui est réussi à merveille, puisque tout d'abord Frei marque sur un remarquable coup de pied arrêté, Yakin trouvera le poteau quelques minutes plus tard, ensuite sur coup-franc à nouveau de Yakin, Frei marque son deuxième but. Les deux joueurs réalisent une grande performance, ce qui donnera l'enthousiasme à certains supporters désireux de voir les deux anciens ensemble sur le terrain, ce qui ne sera pas possible, les deux prenant leurs retraites internationales.

Néanmoins, Alexander Frei annonce en qu'il met un terme immédiat à sa carrière internationale, ceci avant même le match qualificatif pour l'Euro 2012 face à l'Angleterre le , comme précisé peu avant par le joueur suisse.

Les propos du joueur sur sa retraite précipitée en équipe nationale : « J'ai passé dix belles années en équipe nationale. Mais j'ai aussi dû faire face à quelques coups bas. Certains que j'ai provoqués, d'autres initiés sans réelle raison. Je remercie tous les fans pour leur soutien, aussi ceux qui ont été critiques envers moi mais qui ont su respecter les limites du fair-play et de la convenance »[4].

Peter Stadelmann, patron de la Nati précisera, afin de faire taire les rumeurs concernant l'arrêt de la carrière du meilleur buteur national : « Au retour de Bulgarie, Frei a en outre reçu des menaces très graves sur sa personne, on a aussi voulu s'en prendre à sa famille, à son entourage. Humainement, il n'était plus en mesure de pouvoir continuer »[5].

Profil de joueur

En tant qu'attaquant, Frei a une contribution moyenne dans le jeu, par contre c'est dans les seize mètres que Frei prend véritable part au jeu ce qui fait de lui un joueur de type renard des surfaces.

Ce qui l'a rendu prolifique tout au long de sa carrière, c'est son sens du but, son placement offensif (comme le montre son but face à Manchester United, lorsqu'il surgit au plein milieu de la défense pour adresser une tête), mais surtout doté d'une frappe bien précise, il s'affirme en tant que spécialiste des coups de pieds arrêtés.

Statistiques

Générales par saison

Le tableau suivant récapitule les statistiques d'Alexander Frei durant sa carrière professionnelle[6],[7].

Statistiques d'Alexander Frei au 26 juin 2013
Saison Club Championnat Coupe nationale Coupe de la Ligue Compétition(s)
continentale(s)
Suisse Total
Division M. B. M. B. M. B. Comp. M. B. M. B. M. B.
1997-1998 Drapeau de la Suisse FC Bâle D1 11 1 0 0 - - - - - - - 11 1
1998-1999 Drapeau de la Suisse FC Thoune D2 34 7 0 0 - - - - - - - 34 7
1999-2000 Drapeau de la Suisse FC Lucerne D1 32 13 0 0 - - - - - - - 32 13
2000-2001 Drapeau de la Suisse FC Lucerne D1 21 4 0 0 - - - - - - - 21 4
2000-2001 Drapeau de la Suisse Servette FC D1 12 6 0 0 - - - - - 5 4 17 10
2001-2002 Drapeau de la Suisse Servette FC D1 33 17 0 0 - - C3 8 2 5 1 46 20
2002-2003 Drapeau de la Suisse Servette FC D1 19 13 2 0 - - C3 4 4 4 2 29 19
2002-2003 Drapeau de la France Stade rennais FC L1 13 1 3 1 0 0 - - - 5 6 21 8
2003-2004 Drapeau de la France Stade rennais FC L1 28 20 3 1 1 0 - - - 10 2 42 23
2004-2005 Drapeau de la France Stade rennais FC L1 36 20 2 0 0 0 - - - 6 4 44 24
2005-2006 Drapeau de la France Stade rennais FC L1 23 7 1 0 1 0 C3 6 2 14 8 45 17
2006-2007 Drapeau de l'Allemagne Borussia Dortmund D1 32 16 2 1 - - - - - 7 5 41 22
2007-2008 Drapeau de l'Allemagne Borussia Dortmund D1 13 6 3 0 - - - - - 4 3 20 9
2008-2009 Drapeau de l'Allemagne Borussia Dortmund D1 29 12 2 2 - - C3 2 0 7 4 40 18
2009-2010 Drapeau de la Suisse FC Bâle D1 19 15 5 4 - - C3 10 8 10 1 44 28
2010-2011 Drapeau de la Suisse FC Bâle D1 35 27 2 0 - - C1+C3 9+2 5+1 7 2 55 35
2011-2012 Drapeau de la Suisse FC Bâle D1 31 24 5 4 - - C1 7 5 - - 43 33
2012-2013 Drapeau de la Suisse FC Bâle D1 18 7 3 4 - - C1+C3 4+6 2+1 - - 31 14
Total sur la carrière 439 216 33 17 2 0 - 58 30 84 42 616 305

Buts internationaux

# Date Stade Adversaire Résultat But
1. Stade du Hardturm, Suisse Luxembourg Victoire suisse But inscrit après 9 minutes 9e But inscrit après 32 minutes 32e But inscrit après 90 minutes 90e
2. Svangaskarð, îles Féroé Îles Féroé Victoire suisse But inscrit après 81 minutes 81e
3. Stade Josy-Barthel, Luxembourg Luxembourg Victoire suisse But inscrit après 12 minutes 12e
4. Parc Saint-Jacques, Suisse Autriche Victoire suisse But inscrit après 41 minutes 41e
5. Parc Saint-Jacques, Suisse Géorgie Victoire suisse But inscrit après 37 minutes 37e
6. Stadion Športni Park, Slovénie Slovénie Victoire suisse But inscrit après 36 minutes 36e But inscrit après 78 minutes 78e
7. Stade de Genève, Suisse Italie Défaite suisse But inscrit après 6 minutes 6e
8. Parc Saint-Jacques, Suisse Russie Match nul But inscrit après 14 minutes 14e But inscrit après 16 minutes 16e
9. Stade de Genève, Suisse Albanie Victoire suisse But inscrit après 32 minutes 32e
10. Parc Saint-Jacques, Suisse République d'Irlande Victoire suisse But inscrit après 60 minutes 60e
11. Complexe Sportif Moulay Abdallah, Maroc Maroc Défaite suisse But inscrit après 90 minutes 90e
12. Stade Ramat Gan, Israël Israël Match nul But inscrit après 26 minutes 26e
13. Stade du Hardturm, Suisse Chypre Victoire suisse But inscrit après 88 minutes 88e
14. Svangaskarð, îles Féroé Îles Féroé Victoire suisse But inscrit après 73 minutes 73e But inscrit après 86 minutes 86e
15. Ullevaal Stadion, Norvège Norvège Victoire Suisse But inscrit après 50 minutes 50e
16. Parc Saint-Jacques, Suisse Israël Match nul But inscrit après 5 minutes 5e
17. Stade GSP, Chypre Chypre Victoire suisse But inscrit après 15 minutes 15e
18. Stade Şükrü Saracoğlu, Turquie Turquie Défaite suisse But inscrit après 2 minutes 2e (Penalty)
19. Stade du Hardturm, Suisse Chine Victoire suisse But inscrit après 40 minutes 40e But inscrit après 49 minutes 49e (Penalty)
20. Westfalenstadion, Allemagne Togo Victoire suisse But inscrit après 16 minutes 16e
21. AWD-Arena, Allemagne Corée du Sud Victoire suisse But inscrit après 77 minutes 77e
22. Rheinpark Stadion, Liechtenstein Liechtenstein Victoire suisse But inscrit après 11 minutes 11e But inscrit après 51 minutes 51e (Penalty)
23. Parc Saint-Jacques, Suisse Venezuela Victoire suisse But inscrit après 86 minutes 86e
24. Stade de Genève, Suisse Costa Rica Victoire suisse But inscrit après 39 minutes 39e
25. Miami Orange Bowl, États-Unis Colombie Défaite suisse But inscrit après 39 minutes 39e (Penalty)
26. Stadio comunale Cornaredo, Suisse Slovaquie Victoire suisse But inscrit après 63 minutes 63e
27. AFG Arena, Suisse Liechtenstein Victoire suisse But inscrit après 24 minutes 24e But inscrit après 31 minutes 31e
28. AFG Arena, Suisse Lettonie Victoire suisse But inscrit après 63 minutes 63e
29. Stade Karaïskaki, Grèce Grèce Victoire suisse But inscrit après 42 minutes 42e (Penalty)
30. Stade Zimbru, Moldavie Moldavie Victoire suisse But inscrit après 32 minutes 32e
31. Stade de Genève, Suisse Moldavie Victoire suisse But inscrit après 53 minutes 53e
32. Skonto stadions, Lettonie Lettonie Match nul But inscrit après 43 minutes 43e
33. Stade de Genève, Suisse Ukraine Match nul But inscrit après 39 minutes 39e But inscrit après 61 minutes 61e

Palmarès

En club

En équipe de Suisse

Distinctions personnelles

Notes et références

  1. « Fiche d’Alexander Frei », sur transfermarkt.fr
  2. http://www.iffhs.de/?788b42b90cc13ccf80391ad53d4f02f85fdcdc3bfcdc0aec7cdeedb88f84f02211
  3. a b et c Laurent Maltret & Alain Gadoffre, « Les trois Suisses », Onze Mondial, no 181,‎ , p. 23-24 (ISSN 0995-6921)
  4. « Radio Télévision Suisse », sur rts.ch (consulté le ).
  5. http://www.lematin.ch/sports/football/peter-stadelmann-alex-frei-recu-menaces-400915
  6. « Fiche d’Alexander Frei », sur footballdatabase.eu
  7. (en) « Fiche de Alexander Frei », sur national-football-teams.com

Voir aussi

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Liens externes

Articles connexes