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Vals-près-le-Puy

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Vals-près-le-Puy
Vals-près-le-Puy
Cabane en pierre sèche au lieudit les Vigneaux.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Loire
Arrondissement Le Puy-en-Velay
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Puy-en-Velay
Maire
Mandat
Laurent Bernard
2020-2026
Code postal 43750
Code commune 43251
Démographie
Gentilé Valladiers
Population
municipale
3 402 hab. (2021 en évolution de +2,22 % par rapport à 2015)
Densité 664 hab./km2
Population
agglomération
38 047 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 45° 01′ 45″ nord, 3° 52′ 32″ est
Altitude Min. 632 m
Max. 850 m
Superficie 5,12 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Le Puy-en-Velay
(banlieue)
Aire d'attraction Le Puy-en-Velay
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Puy-en-Velay-1
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Vals-près-le-Puy
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Vals-près-le-Puy

Vals-près-le-Puy [vals pʁɛ lə pɥi] est une commune française située dans le département de la Haute-Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitants sont les Valladiers et les Valladières.

Géographie

Commune urbaine de montagne située dans le Massif central, Vals est située en partie dans la vallée du Dolaizon. Son altitude varie de 632 à 920 mètres, sa mairie se trouvant à 656 mètres.

Localisation

Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Vals-près-le-Puy se trouve dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].

Elle se situe à 3 km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[1], préfecture du département.

Les communes les plus proches[Note 2] sont[2] : Le Puy-en-Velay (1,9 km), Espaly-Saint-Marcel (2,3 km), Aiguilhe (2,6 km), Ceyssac (3,3 km), Cussac-sur-Loire (4,5 km), Brives-Charensac (4,6 km), Chadrac (4,6 km), Polignac (4,8 km).

Communes limitrophes de Vals-près-le-Puy
Espaly-Saint-Marcel
Ceyssac Vals-près-le-Puy Le Puy-en-Velay
Saint-Christophe-sur-Dolaison

Urbanisme

Typologie

Vals-près-le-Puy est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[3],[I 2],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine du Puy-en-Velay, une agglomération intra-départementale regroupant 9 communes[I 3] et 38 047 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[I 4],[I 5].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Puy-en-Velay dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 59 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 6],[I 7].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (50,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (41,8 %), zones urbanisées (29 %), prairies (14,9 %), forêts (11,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,1 %)[5].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 1 950, alors qu'il était de 1 853 en 2013 et de 1 831 en 2008[I 8].

Parmi ces logements, 87,9 % étaient des résidences principales, 3,2 % des résidences secondaires et 8,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 49,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 49,2 % des appartements[I 9].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Vals-près-le-Puy en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (3,2 %) inférieure à celle du département (16,1 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 64,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (64 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 10].

Le logement à Vals-près-le-Puy en 2018.
Typologie Vals-près-le-Puy[I 8] Haute-Loire[I 11] France entière[I 12]
Résidences principales (en %) 87,9 71,5 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 3,2 16,1 9,7
Logements vacants (en %) 8,9 12,4 8,2

Histoire

Selon l'érudit local Albert Boudon-Lashermes (1882-1967), le vallon du Crouzas, au sud-ouest de Vals, aurait été colonisé quelque mille ans avant J.-C. par les Ligures. Les cabanes en pierre sèche, ou chibottes, rencontrées sur le site seraient leur œuvre. Ces affirmations furent réfutées dès 1928 dans un numéro exceptionnel de la revue Vie à la campagne consacré aux Maisons et meubles du Massif Central et dirigé par le professeur d'horticulture Albert Maumené[6],[7].

Avant 1195, la léproserie Sainte-Madeleine, destinée aux lépreuses, est fondée sur la paroisse Saint-Vosy. Elle est dirigée par les Sœurs de la Pénitence ou de Sainte-Madeleine puis par les Augustines[8].

En 1313 est fondé un monastère d'Augustines, qui subit d'importants dégâts lors des guerres de Religion et disparut en 1792. Il en reste la chapelle, dédiée à Saint Vosy[9], devenue depuis 1821 le siège de la paroisse.

En , les routiers de Seguin de Badefol s'invitent dans la cité et « iceulx firent innombrables inhumanités à l'encontre des habitants de ladite ville, les tyrannisant, détruisant leurs biens, les faisant prisonniers et après les rançonnant »[10].

Le , dans le cadre de la guerre entre la Ligue et les partisans des rois Henri III puis Henri IV, la garnison royaliste d'Espaly attaque Vals, partisane de la Ligue, et saisit des bestiaux qu'elle emmène à Polignac, place royaliste. Les 5 et , les ligueurs attaquent Espaly.

De 1896 à 1914, fonctionne une ligne de tramway au Puy-en-Velay. Bien qu'elle ne desserve pas Vals, elle dépend d'une centrale hydraulique sur le Dolaizon pour son alimentation (une seconde se trouve sur la commune de Brives-Charensac).

En 1900, est créé l'Institut agricole de Vals (aujourd'hui ISVT), qui sera longtemps la seule école d'agriculture de Haute-Loire. D'août 1914 à mars 1919, ses bâtiments sont utilisés comme hôpital militaire, apte à accueillir entre 200 et 315 malades et blessés[11], dont les prisonniers de guerre allemands d'origine polonaise du camp d'Espaly, puis en 1918 les blessés du « Bataillon polonais »[12].

Quarante-six enfants de la commune sont tombés au champ d'honneur lors de la Première Guerre mondiale[11].

Toponymie

Politique et administration

Découpage territorial

La commune de Vals-près-le-Puy est membre de la communauté d'agglomération du Puy-en-Velay[I 13], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Le Puy-en-Velay. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[13].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement du Puy-en-Velay, au département de la Haute-Loire, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 13].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton du Puy-en-Velay-1 pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 13], et de la deuxième circonscription de la Haute-Loire pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[14].

Tendances politiques et résultats

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1977 juin 1995 André Reynaud UDF-CDS Directeur d'école
Conseiller général (1979-1994)
mars 2001 juin 2020 Alain Royet DVG Cadre
juin 2020 En cours Laurent Bernard[15]   Formateur en informatique et mathématiques à l'ISVT
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages

Population et société

Démographie

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[17].

En 2021, la commune comptait 3 402 habitants[Note 5], en évolution de +2,22 % par rapport à 2015 (Haute-Loire : +0,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
967857697857886897864881990
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9289119519451 0049551 2051 1201 173
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2711 1321 2741 3351 4231 4191 6141 7151 708
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 8292 4493 0703 5053 4263 3913 5273 5413 372
2018 2021 - - - - - - -
3 4373 402-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[19].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 26,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 37,2 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 533 hommes pour 1 904 femmes, soit un taux de 55,4 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (50,87 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 14]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,2 
90 ou +
3,5 
10,1 
75-89 ans
15,1 
21,3 
60-74 ans
22,4 
21,0 
45-59 ans
22,1 
16,2 
30-44 ans
12,7 
14,7 
15-29 ans
12,3 
15,5 
0-14 ans
12,0 
Pyramide des âges du département de la Haute-Loire en 2021 en pourcentage[I 15]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,5 
8,4 
75-89 ans
11,7 
20,4 
60-74 ans
20,5 
21,3 
45-59 ans
20,3 
16,8 
30-44 ans
16,3 
15,2 
15-29 ans
13,2 
17 
0-14 ans
15,6 

Manifestations et évènements

Économie

Revenus

En 2018, la commune compte 1 676 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 3 335 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 560 [I 16] (20 800  dans le département[I 17]). 50 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 7] (42,8 % dans le département).

Emploi

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 18] 3,9 % 7,7 % 6,8 %
Département[I 19] 6,3 % 7,7 % 7,7 %
France entière[I 20] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 964 personnes, parmi lesquelles on compte 72,4 % d'actifs (65,6 % ayant un emploi et 6,8 % de chômeurs) et 27,6 % d'inactifs[Note 8],[I 18]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction du Puy-en-Velay, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 21]. Elle compte 1 230 emplois en 2018, contre 1 276 en 2013 et 1 219 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 306, soit un indicateur de concentration d'emploi de 94,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 48,5 %[I 22].

Sur ces 1 306 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 214 travaillent dans la commune, soit 16 % des habitants[I 23]. Pour se rendre au travail, 77,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 5 % les transports en commun, 15,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 1,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 24].

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Cabane en pierre sèche à la toiture refaite (tsabone sous son appellation vernaculaire, chibotte sous son appellation touristique) au lieudit les Vigneaux.
  • Vals-près-le-Puy est traversée par le GR 65 qui suit la via Podiensis, l'un des chemins de Saint-Jacques. C'est la seconde commune traversée par le chemin, à partir du Puy-en-Velay.
  • Elle est également traversée par le GR 700 ou chemin de Regordane, reliant Le Puy à la Méditerranée depuis la Haute Antiquité.
  • L'église de Vals-près-le-Puy est issue d'un ensemble de bâtiments du XIIe siècle, remaniés plusieurs fois. Elle a été inscrite à l'inventaire des Monuments historiques le .
Le clocher, à ossature bois et parement bois apparent, qui avait subi de multiples transformations ou reconstructions au cours des siècles, fut rénové à l'identique en 2002.
Une Vierge à l'Enfant en bois doré du XVIIIe siècle, classée parmi les Monuments historiques, est visible dans l'église.
  • L'escalier de l'hôtel de ville est le dernier vestige du monastère des Augustines. Il date du XVe siècle. Il fut édifié à l'époque de la reconstruction de l'ancien bâtiment connu depuis le XIIe siècle sous le nom de Maison du pont de Vals.
Cette dernière abritait alors les augustines de Vals, dont l'ordre fondé en 1313 par Bernard de Castanet, évêque du Puy, durera jusqu'à la Révolution française.
Connue au XIXe siècle sous le nom de « Domaine du clos Chabalier » du nom de son propriétaire Jean Guillaume Chabalier, cette maison sera léguée aux Jésuites qui y établiront leur noviciat de la province de Toulouse. L'escalier, classé le parmi les Monuments historiques, fut restauré entre 1973 et 1975 au cours de la construction de l'hôtel de ville.
  • On trouve à Vals-près-Le Puy, dans le vallon dit du Crouzas, une quinzaine de chibottes (de leur vrai nom tsabones, c'est-à-dire « cabanes »), grandes huttes circulaires bâties en pierres sèches et couvertes d'une coupole en encorbellement. Elles sont situées dans des parcelles anciennement vinifères. Un projet de restauration et de mise en valeur touristique de ces édifices, échafaudé dès 1976, a débouché, le , sur l'inauguration d'un « parcours des chibottes »[20]. Une cabane située au bois de Lirate et propriété de la commune a été inscrite à l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques[21] le .
  • Différents ponts avaient été aménagés à l'époque médiévale mais il en reste très peu d'origine. Il existait aussi un pont gaulois devant le couvent des augustines qui fut à l'origine du pont en béton armé. Actuellement subsistent :
    • Le pont Neuf (construit entre 1831 et 1846), ruelle du Charirou,
    • Le pont Médian (construit avant 1846), situé au milieu du village,
    • Le pont en béton armé (1978-1979),
    • Le pont du Riou (1856), situé entre Vals et Taulhac, sur le Riou,
    • Le pont du Moulin Gimbert (1856),
    • Le pont du Moulin Bernard (1857),
    • Le pont sur le CD 31 (1893-1894), situé à la sortie de Vals,
  • La croix de Pouvignac, partiellement détruite en 1940 par la foudre, possède un socle daté de 1621 ; située sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle, elle a été restaurée récemment.

Personnalités liées à la commune

  • Jean Guillaume Chabalier (1758 - 1839), maire du Puy, député de Haute Loire, résidait à Vals-près-le-Puy où une rue porte son nom.
  • Auguste Aymard (1808-1889), maire de Vals-près-Le Puy, conservateur du musée Crozatier au Puy-en-Velay, archiviste, paléontologue, archéologue.
  • Henri Ramière (1821-1884), prêtre jésuite, théologien, écrivain et essayiste, y a été ordonné prêtre.
  • Joseph Rumillet Charretier (1833-1916), fondateur de la distillerie Verveine du Velay en 1859[réf. nécessaire].
  • Gérard Chabanon (1948), Supérieur général des Pères blancs, y est né.
  • Jean-Pierre Philibert (1948), homme politique, y est né.
  • Victor Constant (1869-1953), homme politique, y est né.

Héraldique

Blason de Vals-près-le-Puy Blason
Inconnu.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. La distance est mesurée entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluée à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  7. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
  8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références

Site de l'Insee

  1. « Métadonnées de la commune de Vals-près-le-Puy » (consulté le ).
  2. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  3. « Unité urbaine 2020 du Le Puy-en-Velay », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  4. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  5. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
  6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  8. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Vals-près-le-Puy » (consulté le ).
  9. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Vals-près-le-Puy - Section LOG T2 » (consulté le ).
  10. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Vals-près-le-Puy - Section LOG T7 » (consulté le ).
  11. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  12. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  13. a b et c « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Vals-près-le-Puy » (consulté le ).
  14. « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Vals-près-le-Puy (43251) », (consulté le ).
  15. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
  16. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Vals-près-le-Puy » (consulté le ).
  17. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  18. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Vals-près-le-Puy » (consulté le ).
  19. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  20. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  21. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  22. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Vals-près-le-Puy » (consulté le ).
  23. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  24. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources

  1. Stephan Georg, « Distance entre Vals-près-le-Puy et Le Puy-en-Velay », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
  2. « Communes les plus proches de Vals-près-le-Puy », sur www.villorama.com (consulté le ).
  3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  5. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  6. Albert Maumené, Maisons et meubles du Massif Central, Hachette, Paris, série exceptionnelle, vol. 54, 15 décembre 1928, 58 p., en part. pp. 4-16 (« Aspect rustique des constructions auvergnates ») : « Un auteur du pays à l’imagination vive leur attribue une origine ligure. ».
  7. Jean Pestre, Le vignoble du Puy-en-Velay, Le Puy-en-Velay, 1981, p. 201 (« Vals-près-le-Puy ») : « Il y a là un site étrange, envoûtant et si mystérieux que Boudon-Lashermes y voyait une citadelle ligure ».
  8. Pierre Cubizolles, Le diocèse du Puy-en-Velay des origines à nos jours, éditions CREER, 2005, p. 167.
  9. Premier évêque du Puy, de 365 à 385.
  10. Emile Molinier, Étude sur la vie d'Arnoul d'Audrehem, maréchal de France, 130.-1370, Mémoires présentés par divers savants à l'Académie des inscriptions et belles-lettres, année 1883, tome 6, 1re partie, pp. 1-359, p. 164.
  11. a et b En PDF sur internet : Vals-près-le-Puy et la Grande Guerre, page 26.
  12. Voir page Wikipedia de la ville d'Espaly-Saint-Marcel.
  13. « communauté d'agglomération du Puy-en-Velay - fiche descriptive au  », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
  14. « Découpage électoral de la Haute-Loire (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
  15. « Le conseil s’est réuni pour élire le maire et les adjoints », sur L'Éveil de la Haute-Loire, (consulté le ).
  16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  20. Inauguration du « parcours des chibottes » à Vals-près-le-Puy (Haute-Loire) le 5 novembre 2011, pierreseche.com, page « Nouvelles du monde de la pierre sèche », année 2011, 4e trimestre, rubrique No 2.
  21. Cf le site Patrimoine de France.

Voir aussi

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Bibliographie

  • Marie-Pascale Gounon, La vie religieuse féminine en Haute-Loire à la fin du XVIIIe siècle et pendant la Révolution (1789-1816) : in Cahiers de la Haute-Loire 1997, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire, (lire en ligne) (histoire du monastère des Augustines et de ses moniales)
  • Frédéric Bachelier, Les chibottes de Vals et d’ailleurs : in Cahiers de la Haute-Loire 2001, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire,

Articles connexes

Liens externes