Championnat de Belgique de football
Sport | Football |
---|---|
Création | 1895 |
Organisateur(s) | Pro League |
Catégorie | Division 1 |
Lieu(x) | Belgique |
Participants | 16 |
Statut des participants | Professionnels |
Site web officiel | www.jupilerproleague.be |
Hiérarchie | 1er niveau |
---|---|
Niveau inférieur | Proximus League |
Tenant du titre | RSC Anderlecht |
---|---|
Plus titré(s) | RSC Anderlecht (33 titres) |
Meilleur(s) buteur(s) | Albert De Cleyn (377) |
Plus d'apparitions | Raymond Mommens (614) |
Championnat de Belgique de football 2014-2015
Le championnat de Belgique de football est une compétition de football-association créée en 1895. En Belgique, le terme « championnat » s'applique à toutes les divisions. La plus haute, souvent dénommée « Division 1 », porte le nom officiel de « Jupiler Pro League » d’après le sponsor Jupiler.
Les clubs belges les plus titrés sont le RSC Anderlecht avec 33 titres, le FC Bruges avec 13, l'Union St-Gilloise avec 11 et le Standard de Liège avec 10.
Histoire
La compétition a débuté en 1895 au niveau national, sous l’appellation particulière de " coupe de championnat ". Lors de la première édition, 7 clubs participent. Lorsque débute la saison 2011-2012, 77 clubs différents ont disputé au moins une saison dans la plus haute division belge. Tout frais promu, Oud-Heverlee Leuven est le 78e. Au total, 505 clubs différents ont pris part à au moins une saison dans une des « séries nationales ».
Précurseurs puis conservateurs
Au fil des années, le football belge se développe et prend la forme pyramidale qu'il connaît aujourd'hui. L’Union royale belge des sociétés de football association (URBSFA) est une des premières fédérations nationales créées en dehors des îles britanniques et les dirigeants belges sont, avec leurs homologues français, les initiateurs de la FIFA, la fédération mondiale créée en 1904.
La fédération belge adopte toutefois une position très conservatrice sur plusieurs points. Ainsi, seul le statut d’amateur est de mise jusqu’en 1974 : certains clubs, comme l’Union Saint-Gilloise sont punis pour « faits de professionnalisme » et certains joueurs, comme Raymond Braine, ne sont pas repris pendant plusieurs saisons en équipe nationale car ils sont considérés comme professionnels. Après la Seconde Guerre mondiale, un statut "semi-professionnel" est toléré pour les clubs de la plus haute division.
En 1974, l’URBSFA fonde la Ligue professionnelle de football (rebaptisée « Pro League » en 2008). Les premières années, cette instance joue un rôle décisionnel uniquement secondaire par rapport au tout puissant Comité Exécutif, mais sous l’impulsion des grands clubs elle voit son autonomie s’agrandir progressivement. Actuellement, c’est la Pro League qui gère seule les destinées de la Jupiler League.
Petits devenus grands, puis rentrés dans le rang
À la naissance des compétitions internationales pour clubs, dans les années 1950, les Belges peuvent difficilement concurrencer les grandes équipes européennes. Mais grâce à des dirigeants intelligents et visionnaires, comme Roger Petit, Constant Vanden Stock ou encore Antoine Van Hove, le football belge de club progresse.
Durant les années 1970 et 1980, le Royal Sporting Club d'Anderlecht fait partie des meilleurs clubs européens et disputent des demi-finales, des finales et remportent des victoires en Coupe d'Europe (4 sacres entre 1976 et 1988), tandis que l’équipe nationale connaît également une période faste (finale de l’Euro 1980 et demi-finale de la Coupe du monde en 1986).
Depuis cette époque dorée, le niveau de jeu général pratiqué en championnat a fortement régressé. Fin 2010, le championnat belge se situe en 14e position dans le coefficient UEFA. Sur la scène européenne, les clubs belges ne jouent plus les premiers rôles. Ainsi, aucun club belge n’a passé la phase de groupes de la ligue des champions depuis la saison 2000-2001 et la dernière place en finale remonte à la saison 1992-1993. Cet état de fait est majoritairement dû aux moyens financiers limités dont disposent les clubs belges par rapport à leurs concurrents européens. Petit rayon de soleil dans la grisaille générale, le Standard de Liège atteint les quarts de finale de l'Europe League 2009-2010.
La libéralisation du marché des transferts dans le football européen à la suite de l'arrêt Bosman fait régresser le niveau du football belge, dont les clubs n’ont pas la surface financière de leurs homologues des pays voisins. Un des premiers effets est le recrutement quasi impossible des joueurs les mieux côtés, les clubs étrangers plus riches n'ayant désormais plus de limite ou presque au recrutement de joueurs non nationaux. Les meilleurs éléments belges s'engagent de plus en plus souvent dans des clubs étrangers, ce qui provoque une baisse de niveau de la compétition belge. Dans le même temps, la levée des restrictions sur le nombre de non-nationaux entraîne certains clubs à composer des noyaux avec un grand nombre de footballeurs étrangers, au détriment des jeunes formés dans les clubs, avec comme autre conséquence un exil de ces jeunes footballeurs prometteurs vers l’étranger, principalement en France et aux Pays-Bas.
Sous l’impulsion de la Pro League, une réforme du championnat a été imaginée et mise en œuvre lors la saison 2009-2010, avec pour objectif de relever le niveau de la compétition via un système d'éliminatoires en fin de saison.
Dénomination
Lors de sa création, pour la saison 1895-1896, la compétition reçut le nom de « Coupe de championnat ». Le terme fut employé trois saisons, puis devint « Division 1 » dès la saison 1898-1899. Pour la saison 1900-1901, la fédération belge renomma sa plus haute division en « Division d'honneur ».
Les expressions « jouer en honneur » ou « monter en honneur » apparurent dans le verbiage familier des supporteurs et sympathisants. L'appellation « Division d'honneur » ne changea plus jusqu'au terme de la saison 1951-1952.
À partir de la saison 1952-1953, la plus haute division devient à nouveau la « Division 1 ». À la fin des années 1990, le nom « Jupiler League » fit son apparition, qui devint par la suite « Jupiler Pro League », du nom de la marque de bière Jupiler.
Litiges entre les clubs et les niveaux de championnat
La Pro League regroupe l’ensemble des clubs de la Jupiler Pro League. Les clubs relégués en font encore partie pendant deux saisons.
Les droits de retransmission des matches de la Jupiler Pro League à la télévision représentent une manne financière importante pour les clubs bénéficiaires. C’est pour cela que les clubs officiant en division 2, souhaitent qu’il y ait au moins deux descendants directs chaque année, et autant de clubs montants, alors que le système actuel, mis au point par la Pro League, ne prévoit qu’un descendant direct et un système de barrages pour le club classé avant-dernier.
Compétition
Au cours de la majeure partie de l’Histoire, le championnat fut disputé sous forme d'une poule unique. Le nombre de participants évolua, mais les trois chiffres les plus fréquents furent 14 puis 16 et 18 participants.
Lors du passage officiel au professionnalisme la division 1 effectua la transition avec 20, puis 19 clubs, et enfin 18 depuis la saison 1976-1977. En vue de la saison 2009-2010, l'URBSFA a ramené le nombre de participants à 16 clubs et mis en œuvre un système d'éliminatoires en fin de saison.
La première phase consiste en une phase classique à une seule poule de 16 équipes en aller-retour, soit 30 matches par équipe. À l’issue de ce championnat régulier :
- les 6 premières équipes sont qualifiées pour les éliminatoires 1 (appelées en anglais play-offs 1) ;
- les 8 équipes suivantes sont réparties en deux poules, qui forment les éliminatoires 2 (play-offs 2) ;
- depuis la saison 2010-2011 les 2 équipes qui ferment la marche s’affrontent dans les éliminatoires 3 (play-offs 3).
Play-offs 1
Les 6 premières équipes débutent les play-offs avec la moitié des points engrangés durant la phase classique du championnat, arrondis à l’unité supérieure.
Ce mini-championnat se joue en aller-retour, soit 10 matches par équipe. Les équipes sont départagées d’après le nombre de points au terme des play-offs 1 après avoir déduit le demi-point éventuellement accordé lors de l'arrondissement à l'unité supérieure à la fin de la phase classique, puis le nombre de victoires, la différence de buts, le nombre de buts inscrits, le nombre de buts inscrits en déplacement et enfin le nombre de victoires en déplacement. En cas d’ex-æquo, un barrage aller-retour est organisé. C’est le classement des play-offs 1 qui déterminera l'équipe vainqueur du championnat ainsi que la plupart des places pour la coupe d’Europe : seule la dernière place qualificative pour la Ligue Europa sera accordée au terme d’un barrage avec le vainqueur des play-offs 2.
Play-offs 2
Les 8 équipes classées de la 7e à la 14e sont réparties en deux groupes de 4, à savoir d’une part le 7e, le 9e, le 12e et le 14e et d’autre part le 8e, le 10e, le 11e et le 13e. Ce système vise à assurer une répartition équilibrée des forces au sein de chaque groupe.
Chaque club redémarre avec 0 points. Ce mini-championnat se joue en aller-retour, soit 6 matches par équipe.
Les vainqueurs de chaque poule s’affrontent par aller-retour afin de désigner le vainqueur des play-offs 2. Cette équipe pourra ensuite aller défier en match aller-retour l’équipe classée 4e ou 5e des play-offs 1 (d'après le nombre de tickets européens accordés à la Belgique ainsi qu’en fonction du résultat de la coupe de Belgique, qui donne également droit à une qualification en Ligue Europa) en vue de l’attribution de la dernière place qualificative pour la Ligue Europa.
Lors de la première saison où ce système a été en vigueur, en 2009-2010, la dernière place qualificative a été attribuée à l’équipe du KRC Genk, issue des play-offs 2.
Play-offs 3
Les 2 équipes les moins bien classés du championnat s’affrontent à 5 reprises en vue d’échapper à la relégation.
L’équipe classée avant-dernière part avec un avantage de 3 points et pourra jouer 3 des 5 rencontres sur son terrain. Les play-offs 3 s'arrêtent dès qu'une des deux équipes est mathématiquement assurée du succès.
L’équipe vainqueur des play-offs 3 dispute ensuite le tour final de division 2 qui, si elle le remporte, lui permet de demeurer en Jupiler Pro League.
L’équipe perdante est automatiquement reléguée en division 2.
Les play-offs 3 sont apparus depuis la saison 2010-2011. Ce système a été ajouté sur base de l’expérience de la première année de la nouvelle formule du championnat. D’une part il permet à l’équipe la moins bien classée du championnat d’espérer un sauvetage mais surtout il évite d’interrompre la saison de l’équipe classée avant-dernier, qui autrement n’aurait plus de matches en compétition pendant près de deux mois, alors qu’il lui faut disputer le tour final de division 2 par la suite.
Réforme pour 2011-2012, contestation puis... accords pour 3 ans
Le 10 décembre 2010, une majorité de clubs de la Jupiler Pro League a opté pour un retour à l’ancienne formule, sous forme d’une poule unique à 18 clubs. Ce vote (12 pour - 4 contre) a mis en exergue la divergence de vue entre les grands clubs (G4 : RSC Anderlecht, KRC Genk, FC Bruges et La Gantoise), partisans du maintien du système des trois éliminatoires, et les autres (G11 + le Standard de Liège)[1].
Le 25 février 2011, le comité de la Pro League entérine le nouveau vote à la majorité des deux tiers (11 pour - 5 contre), pour un championnat à seize avec play-offs pour les trois saisons à venir, avec compensation financière pour le descendant et les clubs ne participant pas aux play-offs 1. Outre le maintien du système, la ligue a également voté à la majorité des deux tiers le fait que le descendant de Jupiler Pro League en Division 2 sera déterminé sur les résultats des trois saisons précédentes à partir de la saison 2011-2012. Il y aura une pondération pour les clubs n'ayant joué qu'une ou deux saisons en Jupiler Pro League[2]. Mais le 16 mars 2011, le conseil de la concurrence annonce que ce système est illégal et la Jupiler Pro League décide de l'annuler[3].
Les clubs de l'édition 2014-2015
Club | Dernière montée | Stade | Capacité théorique |
---|---|---|---|
RSC Anderlecht | 1935 | Stade Constant Vanden Stock | 26 361 |
K. AA Gent | 1989 | Ghelamco Arena | 20 000 |
Club Brugge KV | 1959 | Stade Jan Breydel | 29 975 |
Waasland-Beveren | 2012 | Freethiel | 13 290 |
KV Kortrijk | 2008 | Stade des Éperons d'Or | 9 500 |
SV Zulte Waregem | 2005 | Stade Arc-en-Ciel (Gaverbeek) | 10 200 |
YR KV Mechelen | 2007 | Stade Veolia | 13 123 |
R. Standard de Liège | 1921 | Stade Maurice Dufrasne | 30 023 |
Cercle Brugge K. SV | 2003 | Stade Jan Breydel | 29 975 |
KV Oostende | 2013 | Albertpark | 8 125 |
K. RC Genk | 1996 | Cristal Arena | 23 624 |
Sporting Charleroi | 2012 | Stade du Pays de Charleroi | 15 000 |
K. SC Lokeren Oost-Vl. | 1996 | Daknamstadion | 9 271 |
K. Lierse SK | 2010 | Stade Herman Vanderpoorten | 14 538 |
KVC Westerlo | 2014 | Het Kuipje | 7 903 |
Royal Mouscron-Peruwelz | 2014 | Le Canonnier | 10 830 |
Localisation des clubs participants
Rang UEFA
Rangs UEFA pour la saison 2014-2015.
- 01 (1) Liga BBVA - Primera División
- 02 (2) Barclays Premier League
- 03 (3) Bundesliga
- 04 (4) Serie A Tim
- 05 (5) Liga Sagres
- 06 (6) Ligue 1
- 07 (9) SOGAZ Premier-Liga
- 08 (8) Eredivisie
- 09 (7) Premier-Liga
- 10 (11) Jupiler Pro League
- 11 (10) Spor Toto Süper Lig
- 12 (12) Superleague Elláda
- 13 (13) Raiffeisen Super League
- 14 (16) Österreichische Fußball-Bundesliga
- 15 (18) Gambrinus liga
Le tableau suivant récapitule le classement du championnat de Belgique au coefficient UEFA depuis 1960[4] :
1960 | 1961 | 1962 | 1963 | 1964 | 1965 | 1966 | 1967 | 1968 | 1969 | 1970 | 1971 | 1972 | 1973 | 1974 | 1975 | 1976 | 1977 | 1978 | 1979 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
14 | 16 | 12 | 9 | 11 | 10 | 9 | 10 | 13 | 16 | 9 | 12 | 11 | 11 | 8 | 13 | 12 | 8 | 4 | 3 |
1980 | 1981 | 1982 | 1983 | 1984 | 1985 | 1986 | 1987 | 1988 | 1989 | 1990 | 1991 | 1992 | 1993 | 1994 | 1995 | 1996 | 1997 | 1998 | 1999 |
3 | 5 | 5 | 5 | 6 | 5 | 4 | 7 | 5 | 5 | 4 | 5 | 4 | 5 | 4 | 8 | 8 | 12 | 20 | 18 |
2000 | 2001 | 2002 | 2003 | 2004 | 2005 | 2006 | 2007 | 2008 | 2009 | 2010 | 2011 | 2012 | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 | 2018 | 2019 |
17 | 12 | 14 | 11 | 12 | 9 | 12 | 12 | 13 | 14 | 14 | 13 | 12 | 11 | 10 |
Palmarès
Dans les tableaux ci-dessous, les termes « doublé », « triplé », « quadruplé » renseignent deux, trois ou quatre titres remportés consécutivement.
Dans le cas d'un triplé, il n'est pas comptabilisé deux doublés (1-2 puis 2-3). La même remarque vaut pour les triplés vis-à-vis des quadruplés.
Anderlecht a remporté cinq titres de suite, soit un quintuplé. Celui-ci comprend deux quadruplés, trois triplés et quatre doublés. Dans les comptages distincts, ci-après, ces performances « intermédiaires » ne sont pas comptabilisées.
Coupe de Championnat
Ordre | Saison | Champion | Titre | Clubs | Remarques |
---|---|---|---|---|---|
1 | 1895-1896 | Football Club Liégeois | 1er | 7 | |
2 | 1896-1897 | Racing Club Bruxelles | 1er | 6 | |
3 | 1897-1898 | Football Club Liégeois | 2e | 5 |
Division 1
Ordre | Saison | Champion | Titre | Clubs | Remarques |
---|---|---|---|---|---|
4 | 1898-1899 | Football Club Liégeois | 3e | 5 | 1er doublé |
5 | 1899-1900 | Racing Club Bruxelles | 2e | 6 |
Division d'Honneur
Division 1
Statistiques
Bilan par clubs
Club | Nombre | Années |
---|---|---|
RSC Anderlecht | 33 | 1947, 1949, 1950, 1951, 1954, 1955, 1956, 1959, 1962, 1964, 1965, 1966, 1967, 1968, 1972, 1974, 1981, 1985, 1986, 1987, 1991, 1993, 1994, 1995, 2000, 2001, 2004, 2006, 2007, 2010, 2012, 2013, 2014 |
Club Bruges | 13 | 1920, 1973, 1976, 1977, 1978, 1980, 1988, 1990, 1992, 1996, 1998, 2003, 2005 |
Union Saint-Gilloise | 11 | 1904, 1905, 1906, 1907, 1909, 1910, 1913, 1923, 1933, 1934, 1935 |
Standard de Liège | 10 | 1958, 1961, 1963, 1969, 1970, 1971, 1982, 1983, 2008, 2009 |
K Beerschot VAC | 7 | 1922, 1924, 1925, 1926, 1928, 1938, 1939 |
Racing Club Bruxelles | 6 | 1897, 1900, 1901, 1902, 1903, 1908 |
Daring Club Bruxelles | 5 | 1912, 1914, 1921, 1936, 1937 |
RFC Liège | 5 | 1896, 1898, 1899, 1952, 1953 |
Royal Antwerp FC | 4 | 1929, 1931, 1944, 1957 |
Lierse SK | 4 | 1932, 1942, 1960, 1997 |
FC Malines | 4 | 1943, 1946, 1948, 1989 |
RC Genk | 3 | 1999, 2002, 2011 |
Cercle Bruges | 3 | 1911, 1927, 1930 |
KSK Beveren | 2 | 1979, 1984 |
RWD Molenbeek | 1 | 1975 |
Triplés
Club | Nombre | Années |
---|---|---|
FC Bruges | 1 | 1996 |
Club | Nombre | Années |
---|---|---|
RSC Anderlecht | 1 | 2000 |
Doublés
Club | Nombre | Années |
---|---|---|
R. SC Anderlecht | 3 | 1965, 1972, 1994 |
Club Brugge KV | 2 | 1977, 1996 |
Royale Union Saint-Gilloise | 1 | 1913 |
Cercle Brugge K. SV | 1 | 1927 |
Club | Nombre | Années |
---|---|---|
FC Bruges | 5 | 1986, 1991, 1996, 2002, 2004 |
Standard de Liège | 1 | 1981 |
Lierse SK | 1 | 1999 |
FC Malines | 1 | 1987 |
Club | Nombre | Années |
---|---|---|
RSC Anderlecht | 11 | 1985, 1987, 1993, 1995, 2000, 2001, 2006, 2007, 2010, 2012, 2013,2014 |
FC Bruges | 8 | 1980, 1988, 1990, 1992, 1996, 1998, 2003, 2005 |
Standard de Liège | 3 | 1983, 2008, 2009 |
K. SK Beveren | 2 | 1979, 1984 |
Lierse SK | 1 | 1997 |
FC Malines | 1 | 1989 |
KRC Genk | 1 | 2011 |
Club | Nombre | Années |
---|---|---|
RSC Anderlecht | 1 | 2000 |
Records
- Plus grand nombre de titres : RSC Anderlecht, 33.
- Plus grand nombre de titres consécutifs : RSC Anderlecht, 5 de 1964 à 1968.
- Plus grand nombre de saisons consécutives en division 1 : Standard de Liège, 90 depuis 1921-1922, série en cours.
- Plus grand nombre de matches sans défaites en division 1 : Royale Union Saint-Gilloise, 60.
Meilleurs buteurs
Participations
Logos
-
Jupiler League jusqu'en 2007-08
-
Jupiler Pro League 2008-09
Liens externes
Références
- 18 équipes et plus de play-offs à partir de 2011-2012
- « On continue à 16 avec éliminatoires », sur http://rtbf.be (consulté le )
- « La réforme sur la descente annulée », sur http://rtbf.be (consulté le )
- « UEFA European Cup Coefficients Database » (consulté le )