Sauvillers-Mongival

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Sauvillers-Mongival
Sauvillers-Mongival
Monument aux morts.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Montdidier
Intercommunalité CC Avre Luce Noye
Maire
Mandat
Vincent Wable
2020-2026
Code postal 80110
Code commune 80729
Démographie
Gentilé Sauvillois
Population
municipale
183 hab. (2021 en augmentation de 3,39 % par rapport à 2015)
Densité 35 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 43′ 32″ nord, 2° 28′ 15″ est
Altitude Min. 49 m
Max. 111 m
Superficie 5,18 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ailly-sur-Noye
Législatives 4e circonscription de la Somme
Localisation
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Liens
Site web https://www.mairie-sauvillers-mongival.fr/

Sauvillers-Mongival est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Le village de Sauvillers-Mongival est situé sur la route départementale D 83 entre Ailly-sur-Noye, Moreuil et Montdidier.

Il est traversé par le chemin de grande randonnée GR 123.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Aubvillers, Braches, Grivesnes, Mailly-Raineval et Thory.

Rose des vents Mailly-Raineval Braches Rose des vents
Thory N
O    Sauvillers-Mongival    E
S
Grivesnes Aubvillers

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 694 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-les-Merles à 12 km à vol d'oiseau[3], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,9 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Sauvillers-Mongival est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (81,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76 %), forêts (18,4 %), zones agricoles hétérogènes (5,6 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 77, alors qu'il était de 78 en 2013 et de 77 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 86,9 % étaient des résidences principales, 1,2 % des résidences secondaires et 11,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,3 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Sauvillers-Mongival en 2018 en comparaison avec celle de la Somme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,2 %) inférieure à celle du département (8,3 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 85,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (82,4 % en 2013), contre 60,3 % pour la Somme et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement à Sauvillers-Mongival en 2018.
Typologie Sauvillers-Mongival[I 1] Somme[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 86,9 83,3 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,2 8,3 9,7
Logements vacants (en %) 11,9 8,4 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Le village est desservi un des routes secondaires, mais est aisément accessible depuis les anciennes routes nationales RN 320 et RN 35 (France) (actuelles RD 920 et 935).

Il comprend six rues :

La station de chemin de fer la plus proche est la gare de Moreuil, desservie par des trains TER Hauts-de-France, express ou omnibus, qui effectuent des missions entre les gares d'Amiens et de Compiègne.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Sorviller (1146) ; Souviller (1185) ; Solviler (1208) ; Souvillez (1377) ; Sauvillers (1710) ; Souviler (1243) ; Sauviller (1728) ; Sauville (1761) ; Sauviller-Mongival (1744) ; Sauvillers-Mongival (1801)[13].

Mongival était jadis un hameau, un ancien fief annexé à la paroisse de Sauviller, attesté sous la forme Mongival en 1733, avec la mention « ruinée » (G. Delisle)[14]. Son nom vient du lieu ruiné par les Espagnols durant le siège de Corbie en 1636.
En 1178, la cité portait le nom de Serpenti viler[13].

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen-Âge[modifier | modifier le code]

Le village est devenu une cité à partir du XIIe siècle[réf. nécessaire]. La seigneurie fut achetée en 1393 par le sire de Raineval et suivit alors le sort de la châtellenie[13].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Première Guerre mondiale

Le village se trouve à l'arrière, lors de la bataille de la Somme de 1916[15],[16], et dans la zone des combats de l'offensive du printemps 1918 puis de la bataille d'Amiens[17],[18],[19].

À la fin de la Première Guerre mondiale, le village est considéré comme détruit[20],[21],[22],[23],[24], seules trois maisons demeurèrent debout.

En , le village est libéré par les forces françaises du 87e régiment d'infanterie[25]. Il est décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [26].

Le bois, les céréales, la betterave, le fourrage ainsi que la chasse ont fait naguère vivre les Sauvillois. En 1938, on dénombrait onze fermes et deux cafés[réf. nécessaire].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.

Elle fait partie depuis 1801 du canton d'Ailly-sur-Noye[27], qui a été modifié et agrandi dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune était membre de la communauté de communes du Val de Noye, créée par un arrêté préfectoral du [28], et qui succèdait, conformément aux dispositions de la loi Chevènement, au district du Val de Noye, créé en 1994.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) prévoyant la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.

Après des hypothèses de regroupement des communautés de communes du Grand Roye (CCGR), du canton de Montdidier (CCCM), du Santerre et d'Avre, Luce et Moreuil[29], la préfète dévoile en son projet qui prévoit la « des communautés de communes d’Avre Luce Moreuil et du Val de Noye », le nouvel ensemble de 22 440 habitants regroupant 49 communes[30],[31]. À la suite de l'avis favorable des intercommunalités[32] et de la commission départementale de coopération intercommunale en [33] puis des conseils municipaux et communautaires concernés, la fusion est établie par un arrêté préfectoral du [34], qui prend effet le .

La commune est donc désormais membre de la communauté de communes Avre Luce Noye (CCALN).

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[35]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1995 2008 Christiane Depentis[36]    
2008[37] mai 2020[25] Gilles Peltiez[38]    
mai 2020[39] En cours
(au 6 juin 2023)
Vincent Wable   Policier ou militaire

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les enfants de la commune sont scolarisés depuis 2018 au sein d'un regroupement pédagogique concentré (RPC) bipolaire, qui accueille les enfants de Mailly-Raineval, Sauvillers-Mongival, Aubvillers, Thory, Louvrechy et Rouvrel dans deux sites, à Louvrechy pour la moitié des élèves, soit une soixantaine de la petite section de maternelle au CP, les autres étant scolarisés à Rouvrel.

La construction des nouveaux locaux a lieu en 2017-2018 et l'ancienne école, qui ne comptait qu'une classe, est transformée pour servir de cantine et de cuisine[40],[41],[42]. Ce RPC a succédé à un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) afin de prendre en compte la croissance des effectifs.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[44].

En 2021, la commune comptait 183 habitants[Note 3], en augmentation de 3,39 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
343338225322322281303309316
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
321309297289278263234235250
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
24923422671178169163172176
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
154164133148164179191189186
2014 2019 2021 - - - - - -
176177183------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[45].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festives[modifier | modifier le code]

La fête communale a lieu le second dimanche de juin[réf. nécessaire].

Économie[modifier | modifier le code]

Sauvillers-Mongival est un village rural à vocation essentiellement agricole. Une coopérative agricole existe toujours.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Martin, dont la statue en bois créée en 1752 se trouve à l'intérieur de l'édifice religieux, datait du XIXe siècle[46]. Elle fut démolie pendant la Première Guerre mondiale et reconstruite en 1918. Elle contient une statue d'un saint évêque en bois peint de 1752[47]

En , le village a été libéré par les forces françaises du 87e régiment d'infanterie. Depuis 1959, une plaque commémorative a été apposée sur un des murs du clocher afin de rappeler le sacrifice des soldats du 87e régiment d'infanterie qui ont libéré le village à la fin de la Première Guerre mondiale.

D'autres monuments ont été édifiés en souvenir de ceux qui sont tombés au cours de la Première Guerre mondiale. C'est ainsi que le monument aux morts, édifié à la suite de la décision du conseil municipal du par le sculpteur Marius Giot[48], comporte les noms de quatorze militaires sauvillois et d'une victime civile Il est orné d'une statue allégorique d'un mitrailleur, également de Marius Giot[49].

Entre Sauvillers-Mongival et Mailly-Raineval, une stèle a été édifiée en souvenir de trois militaires français morts pour la France. Il s'agit du sous-lieutenant Jean de Séganville, du sergent René Antoine et de Léon Hochet. Tous trois faisaient partie du 29e bataillon de chasseurs à pied.

Le cimetière civil abrite cinq sépultures dédiées à des soldats anglais abattus avec leur bombardier Lancaster le à proximité de Sauvillers-Mongival[50].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • Carte spéciale des régions dévastées : 21 NE, Montdidier [Nord-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Sauvillers-Mongival et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a b et c Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 306 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  14. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 67 (lire en ligne sur DicoTopo) [2].
  15. Section photographique de l'armée, « Photo : Sauvillers-Mongival. Revue du 219e régiment d'infanterie après ses combats devant Deniécourt. Le lieutenant-colonel Le Gallois félicitant ses officiers », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 11, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  16. Section photographique de l'armée, « Photo : Sauvillers-Mongival. Revue du 219e régiment d'infanterie après ses combats devant Deniécourt ; au premier plan lieutenant-colonel Le Gallois », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 11, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  17. Section photographique de l'armée, « Photo : Sauvillers-Mongival (près). Avion allemand abattu dans nos lignes ; dans les débris, cadavres des deux aviateurs », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 11, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  18. Section photographique de l'armée, « Photo : Sauvillers-Mongival. Dans les ruines ; poste de commandement et poste de secours du 87e régiment d'infanterie », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 11, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  19. Section photographique de l'armée, « Photo : La Faloise. Un coin du village. Partie du butin conquis pendant les attaques sur Mailly-Raineval, Sauvillers, Mongival et Aubvillers », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 9, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  20. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  21. Section photographique de l'armée, « Photo : Sauvillers-Mongival. Les ruines après la reprise du village le 23 juillet », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 11, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  22. Section photographique de l'armée, « Photo : Sauvillers-Mongival. Les ruines après la reprise du village, le 23 juillet », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 11, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  23. Section photographique de l'armée, « Photo : Sauvillers-Mongival. Les ruines après la reprise du village, le 23 juillet », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 11, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  24. Section photographique de l'armée, « Photo : Sauvillers-Mongival. Les ruines après la reprise du village, le 23 juillet », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 11, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  25. a et b « Gilles Peltiez candidatà un nouveau mandat de maire à Sauvillers-Mongival », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Gilles Peltiez a annoncé qu’il se représentait aux élections du printemps prochain. « Après deux mandats de maire, je me représente à nouveau, avec une partie de l’équipe actuelle et des nouveaux qui nous rejoignent. Le moment n’est pas venu de faire campagne, ni de faire des promesses, nous verrons cela en temps voulu ».
  26. Journal officiel du 7 novembre 1920, p. 17721.
  27. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. « CC du Val de Noye (N° SIREN : 248000523) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, (consulté le ).
  29. Cécile Latinovic, « HAUTE-SOMME Moreuil exclue des projets de fusions intercommunaux? », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
  30. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  31. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  32. Carlos Da Silva, « Intercommunalité - Moreuil accepte l’idée de fusionner avec le Val de Noye, mais veut voir plus grand : Les élus de la CCALM (Communauté de communes Avre, Luce et Moreuil) ont validé le projet de fusion avec Ailly-sur-Noye, mais veulent aussi étudier l’idée d’un rapprochement plus élargi, avec notamment Montdidier et Roye », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
  33. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  34. « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Avre Luce Noye issue de la fusion de la communauté de communes Avre Luce Moreuil et de la communauté de communes du Val de Noye à compter du  » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
  35. « Les maires de Sauvillers-Mongival », sur francegenweb.org (consulté le ).
  36. « Avis de décès de Christiane DEPENTIS DECAUX », sur avis-de-deces.net, (consulté le ).
  37. [xls] « Liste des maires de la Somme »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  38. Réélu pour le mandat 2014-2020  : « Liste des maires de la Somme »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [xls], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  39. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  40. « Louvrechy (80) Ici, on vote contre la création d’une classe : Face au nombre d’enfants toujours en hausse dans le regroupement pédagogique, la commune a été choisie pour créer une classe en plus. Mais six conseillers ont voté contre », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  41. Thierry Griois, « Le regroupement scolaire lancé : Le premier coup de pioche a été donné lundi à Louvrechy, qui accueillera maternelles et CP. À Rouvrel, où étudieront les écoliers du CE1 au CM2, ce sera le mois prochain », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  42. « Que deviendra l’ancienne école du village ? », Le Bonhomme picard, édition de Montdidier Roye, no 3533,‎ , p. 16 « À également été rappelé le regroupement scolaire avec Louvrechy et Rouvrel qui a beaucoup occupé le conseil municipal à la veille de la rentrée. Il va maintenant falloir réfléchir au devenir du bâtiment de l’ancienne école, maintenant vide ».
  43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  45. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  46. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Eglise de Sauvillers-Mongival, d'après nature, 13 juin 1876. », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  47. « Statue d'un saint évêque », notice no PM80002307, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  48. « Monument aux morts de la guerre de 1914-1918 », notice no IA80000025, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  49. « Statue : le mitrailleur », notice no IM80000064, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  50. (en) « Commonwealth War Graves Sauvillers-Mongival », sur tracesofwar.com (consulté le ).