Oyeu

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Oyeu
Oyeu
Le hameau du Haut Vernay et, au fond, le lac de Paladru.
Blason de Oyeu
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement La Tour-du-Pin
Intercommunalité CC de Bièvre Est
Maire
Mandat
Christophe Benoit
2022-2026
Code postal 38690
Code commune 38287
Démographie
Gentilé Oyentins
Population
municipale
1 078 hab. (2021 en augmentation de 12,76 % par rapport à 2015)
Densité 79 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 25′ 22″ nord, 5° 28′ 31″ est
Altitude Min. 516 m
Max. 771 m
Superficie 13,69 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Grenoble
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Grand-Lemps
Législatives 7e circonscription de l'Isère
Localisation
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Oyeu
Géolocalisation sur la carte : France
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Oyeu
Géolocalisation sur la carte : Isère
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Oyeu
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Oyeu
Liens
Site web https://www.oyeu.fr/

Oyeu [ɔjø] est une commune française située dans le département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitants s'appellent les Oyentins[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Plan de la commune et des communes limitrophes

Situation et description[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le sud-est de la France, en région Auvergne-Rhône-Alpes, dans la partie septentrionale du département de l'Isère et plus précisément, au nord de la ville de Voiron, dans le canton du Grand-Lemps.

La commune appartient historiquement à l'ancienne province du Dauphiné et plus particulièrement à la région naturelle des Terres froides.

Le village et ses hameaux, à l'aspect encore très rural, et entouré de terres agricoles, sont situés à l'écart des grandes routes. Celui-ci est positionné sur un plateau d'environ 600 mètres d'altitude dominant le lac de Paladru et il est entouré de collines très boisées qui culminent à presque 800 mètres.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes d’Oyeu
Val-de-Virieu
(depuis le 01/01/2019)
Villages du Lac de Paladru (depuis le 01/01/2017)
Burcin Oyeu Charavines
Colombe Apprieu

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune n'héberge aucun cours d'eau notable, la trouée de Colombe étant une vallée sèche considérée comme étant d'origine glaciaire.

Il existe un ensemble de plans d'eau, situés au sud du bourg, au pied du mont Levatel et dénommés étangs de Thivoley.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 261 mm, avec 10,4 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Coublevie », sur la commune de Coublevie à 13 km à vol d'oiseau[4], est de 13,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 121,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Oyeu est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 204 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (59,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (37,6 %), terres arables (32,7 %), zones agricoles hétérogènes (16,3 %), prairies (9,7 %), zones urbanisées (3,7 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Hameaux, lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

Voici, ci-dessous, la liste la plus complète possible des divers hameaux, quartiers et lieux-dits résidentiels urbains comme ruraux qui composent le territoire de la commune d'Oyeu, présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[14].

  • la Courrerie (avec l'ancienne commune du Pin)
  • les Montenvers
  • le Champ des vaches
  • Mont Saint-Marc
  • le Charey
  • Croix du Moine Mort
  • Croix de Haute Blaume
  • Ferme de Haute-Blaune
  • Bois du Coquillat
  • Blaune
  • Mollard Bottier
  • le Charey
  • Le Verney
  • Mollard de l'Epinay
  • le Riondet
  • les Micouds
  • la Valfroide
  • Bois de Châtenay
  • Mont Levatel
  • Le Thivoley (étangs)
  • la Pilatière
  • le Goulet
  • le Pont
  • le Calot

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 425, alors qu'il était de 387 en 2013 et de 352 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 91,1 % étaient des résidences principales, 3,1 % des résidences secondaires et 5,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 94,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 5,3 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Oyeu en 2018 en comparaison avec celle de l'Isère et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (3,1 %) inférieure à celle du département (8,3 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 84,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (85,2 % en 2013), contre 61,1 % pour l'Isère et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement à Oyeu en 2018.
Typologie Oyeu[I 1] Isère[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 91,1 84 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 3,1 8,3 9,7
Logements vacants (en %) 5,8 7,7 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La RD 520 dans la trouée de Colombe sur le territoire d'Oyeu.

Voies routières[modifier | modifier le code]

L'autoroute A48 qui relie l'agglomération Lyonnaise à celle de Grenoble traverse une partie du territoire communal au niveau du secteur de la Valfroide et de la trouée de Colombe, situé à l'ouest du bourg.

Cette voie autoroutière est longée par la RD520 qui correspond à l'ancien tracé de la RN520 qui autrefois reliait la ville de Bourgoin-Jallieu par Les Éparres à la commune des Échelles en Savoie. Cette route a été déclassée en route départementale lors de la réforme de 1972.

Le territoire communal est également traversé par deux routes départementales d'importance secondaire mais qui desservent directement le bourg et ses hameaux :

  • la route départementale RD17 qui relie le village du Pin (commune des Villages du Lac de Paladru) au niveau du carrefour de Bourgealière ;
  • la route départementale RD50e qui relie la commune de Charavines à la RD17 après avoir traversé le hameau du Verney et bourg d'Oyeu.

Sentiers pédestres[modifier | modifier le code]

Le Chemin de Compostelle partant de la ville de Genève en Suisse recueille les pèlerins suisses et allemands se rendant à la ville espagnole et aboutit à la via Podiensis tout en se confondant, dans son parcours français avec le chemin de grande randonnée GR65.

Le sentier suit le chemin des crêtes des collines qui dominent le lac de Paladru, longe l'enceinte de l'ancienne chartreuse de la Sylve-Bénite avant de pénétrer dans le territoire d'Oyeu par le bois du Coquillard, le hameau de Blaune, situé au nord nord du bourg avant de se diriger vers les hauteurs de Colombe et de rejoindre le territoire du Grand-Lemps[15].

Sentier de grande randonnée (GR) n°65
Parcours

Chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle / via Gebennensis + via Podiensis
Genève (Suisse) • Les Abrets - Oyeu - Le Grand-Lemps (Isère) • Le Puy-en-Velay (Haute-Loire) • Nasbinals (Lozère)
Conques (Aveyron) • Figeac (Lot) • Moissac (Tarn-et-Garonne) • Aire-sur-l'Adour (Landes) • Col de Roncevaux (Espagne)

Transports[modifier | modifier le code]

La gare ferroviaire la plus proche est la gare du Grand-Lemps, desservie par les trains TER Auvergne-Rhône-Alpes de la relation de Saint-André-le-Gaz à Grenoble (ou Grenoble-Universités-Gières.

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risques sismiques[modifier | modifier le code]

L'ensemble du territoire de la commune d'Oyeu est situé en zone de sismicité n°3 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes de son secteur géographique[16].

Terminologie des zones sismiques[17]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 3 Sismicité modérée accélération = 1,1 m/s2

Autres risques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le bourg d'Oyeu et la tour hertzienne

La paroisse portait le nom d'Audictus au XIe siècle.

Selon André Planck, auteur du livre L'origine du nom des communes du département de l'Isère, le nom du village d'Oyeu est lié à la présence d'un ancien prieuré durant la période médiévale. Ce couvent de bénédictins abritait une école dénommée « auditorium », mot latin qui signifie « lieu ou l'on écoute »[18].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire et Antiquité[modifier | modifier le code]

Au début de l'Antiquité, le territoire des Allobroges s'étendait sur la plus grande partie des pays qui seront nommés plus tard la Sapaudia (ce « pays des sapins » deviendra la Savoie) et la partie septentrionale de l'Isère dénommé Bas-Dauphiné.

Les Allobroges, comme bien d'autres peuples gaulois, sont une « confédération ». En fait, les Romains donnèrent, par commodité le nom d'Allobroges à l'ensemble des peuples gaulois vivant dans la civitate (cité) de Vienne, à l'ouest et au sud de la Sapaudia.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de la Tour-du-Pin du département de l'Isère.

Elle faisait partie depuis 1803 du canton de Virieu[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton du Grand-Lemps

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la septième circonscription de l'Isère.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Oyeu est membre de la communauté de communes de Bièvre Est, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2002 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[20]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
    Christian Pilat[21]    
mars 2001 mars 2008 Gérard Barbier    
mars 2008 2022[22] Jean-Noël Piotin SE Retraité
Mort en fonction
octobre 2022[23] En cours
(au 16 décembre 2022)
Christophe Benoit   Artisan

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée à l'académie de Grenoble (Zone A).

Équipement culturel et sportif[modifier | modifier le code]

La commune gère une salle des fêtes et un gymnase, à l'origine géré par le SIVU du Fayard qui associe les communes de Burcin et d'Oyeu[24].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

En 2021, la commune comptait 1 078 habitants[Note 3], en augmentation de 12,76 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8078008639891 0031 0409901 014989
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
891858806801832801719703686
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
645658642573551543494467479
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
500532553556643754870887915
2017 2021 - - - - - - -
1 0061 078-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Activités économiques[modifier | modifier le code]

La commune compte sur son territoire, le terrain de camping de Montchardon qui propose vingt emplacements pour les touristes et deux places de mobil-home. Ce lieu est adapté aux personnes à mobilité réduite [28].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint Pierre et Saint Paul.
  • L'église :
    Vers 1279, Oyeu est né autour d'un prieuré qui dépendait de l'abbaye de Cluny. L'église actuelle est construite sur le fondement de ce prieuré.
    Comme Cluny, elle porte le vocable de Saint-Pierre et Saint-Paul, rappelés par leur statue peinte au fond de l'église et par deux vitraux à leur effigie dans le chœur.
  • Le calvaire du Molard Rond :
    Situé à proximité du hameau de Blaune (Carte IGN SCAN25), ce monticule de terre modelé en demi-cône, surmonté de trois croix s'élève de quelques dizaines de mètres. Ce calvaire fait penser aux sépultures des chefs gallo-romains ou mérovingiens : la légende dit que Clodomir, un fils de Clovis Ier roi des Francs, tué à la bataille de Vézeronce contre les Burgondes, aurait été inhumé en ces lieux.
    Au XVIIe siècle, les habitants d'Oyeu, accablés de redevances par le prieur de la Croix de Chevrières, décidèrent de ne plus assister aux offices de la chapelle de Milin et firent construire leur propre chapelle au sommet du monticule. Le prieuré leur intenta un procès et, en 1693, les autorités firent démolir la chapelle. Les Oyentins plantèrent alors trois croix à son emplacement. Il se trouve aussi sur une partie du chemin du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, la via Gebennensis.

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Les étangs du Thivoley :
Retiré à 2 km du bourg central d'Oyeu, le hameau du Thivoley abrite un chapelet de six étangs. Ce paysage remarquable n'est pas le résultat d'affouillements récents : sur des cartes anciennes, on repère ces pièces d'eau en enfilade qui caractérisent le hameau.
Sur le plan historique, il reste probable que ces étangs appartenaient aux Chartreux de la Sylve Bénite qui en détenaient quatorze au total, dont cinq fournissaient de gros poissons pour les périodes de Carême et les vendredis, les autres servant à l'empoissonnement. Les étangs du Thivoley furent ensuite asséchés. La remise en eau la plus importante date des années quarante, puis quatre autres ont été réalimentés entre 1974 et 1979. Le sixième a été créé en 1998.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Oyeu
Blason de Oyeu Blason
Tiercé en pairle : au premier de gueules à l’épée et aux deux clefs d'argent passées en sautoir brochant, au second d’azur au monde d’or cerclé, cintré et croiseté de sinople, surmonté de sept étoiles aussi d’or ordonnées en arc, au troisième d’argent au mont de sinople sommé de trois croix latines de sable, celle du milieu plus grande
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Site habitants.fr, page sur le gentilé des habitants des communes de l'Isère, consulté le 11 juillet 2019
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Oyeu et Coublevie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Coublevie », sur la commune de Coublevie - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Coublevie », sur la commune de Coublevie - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Site géoportail, page des cartes IGN
  15. Site gr-infos.com "GR65 Via Podiensis, chemin de St Jacques de Compostelle, consulté le 11 juillet 2019
  16. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
  17. [1]
  18. Livre "L'origine du nom des communes du département de l'Isère" par André Planck, (ISBN 2-84424-043-7) éditions L'atelier, 2006, page 142
  19. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. « Les maires de Oyeu », sur francegenweb.org (consulté le ).
  21. « Passage de témoins en mairie », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. « Le maire Jean-Noël Piotin est décédé », Le Dauphiné libéré,‎ 15/10/2022 mis à jour le 17/10/2022 (lire en ligne, consulté le ) « Il avait 74 ans et était maire depuis 2008. Il a également effectué un mandat de conseiller municipal de 1983 à 1989 ».
  23. « Christophe Benoit élu maire d'Oyeu : Le conseil municipal d’Oyeu a changé de visage, jeudi 27 octobre. Christophe Benoit, autrefois 1er adjoint, a été élu maire », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. Site de la mairie d'Oyeu, page sur le SIVU du fayard, consulté le 11 juillet 2019
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Site oyeu-camping.jimdo.com page d'accueil, consulté le 11 juillet 2019