Massieu (Isère)

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Massieu
Massieu (Isère)
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement La Tour-du-Pin
Intercommunalité CC du Pays voironnais
Maire
Mandat
Norbert Bouilhol
2023-2026
Code postal 38620
Code commune 38222
Démographie
Population
municipale
742 hab. (2021 en augmentation de 0,54 % par rapport à 2015)
Densité 71 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 26′ 26″ nord, 5° 35′ 50″ est
Altitude Min. 422 m
Max. 867 m
Superficie 10,46 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Grenoble
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Grand-Lemps
Législatives 5e circonscription de l'Isère
Localisation
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Massieu
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Massieu
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Massieu
Liens
Site web https://www.massieu38.fr/

Massieu est une commune française située dans le département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes, et autrefois rattachée à la province du Dauphiné.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation et description[modifier | modifier le code]

Massieu (vue depuis Saint-Sixte).

La commune est située dans le Dauphiné et la région naturelle des Terres froides, qui se trouve en région Auvergne-Rhône-Alpes, dans la partie septentrionale du département de l'Isère, dans la vallée de l'Ainan.

Le centre du bourg de Massieu se situe à environ 12 km au nord de Voiron. Le village est également situé, par la route, à 38 km de Grenoble, préfecture de l'Isère, 83 km de Lyon, préfecture de la région Auvergne-Rhône-Alpes, 313 km de Marseille, ainsi qu'à environ 552 km de Paris.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Saint-Nicolas-de-Macherin, Saint-Sulpice-des-Rivoires, Bilieu, Chirens, Merlas et Saint-Geoire-en-Valdaine.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 10,46 km2 ; son altitude varie de 422 à 862 mètres[1].

Sites géologiques remarquables[modifier | modifier le code]

La « Tourbière de Chirens », située dans la zone marécageuse du Val d'Ainan, est un site géologique remarquable de 98,8 hectares sur les communes de Chirens et Massieu. En 2014, ce site d'intérêt sédimentologique est classé « trois étoiles » à l'« Inventaire du patrimoine géologique »[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte hydrographique de la commune.

Le territoire communal est sillonné par une rivière et quelques ruisseaux, tous les deux affluents de cette rivière :

  • l'Ainan, dont la longueur totale est de 16 km;
Cette petite rivière, affluent du Guiers et sous affluent du Rhône, pénètre dans la commune, non loin de sa source qui se situe dans les marais de la commune voisine de Chirens.
  • le ruisseau de la Frédière;
  • le ruisseau de Crozarieu.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 220 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « St Aupre_sapc », sur la commune de Saint-Aupre à 7 km à vol d'oiseau[5], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 376,9 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Tableaux des températures minimales et maximales[modifier | modifier le code]

Voici, ci-dessous, deux tableaux successifs présentant les valeurs de températures mensuelles, relevées sur le secteur de Massieu sur deux années de la dernière décennie, à deux ans d'intervalle.

  • Année 2015
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc.
Température minimale moyenne (°C) −0,3 −0,3 3,5 6,6 10,8 14,6 17,3 15,9 10,9 7,5 2,1 −1,1
Température maximale moyenne (°C) 8 6,8 14,6 20 22,3 28 31,6 28,3 22,6 16 14,2 10,7
Source : Climat de Massieu en 2015 sur linternaute.com, d'après Météo France.
  • Année 2017
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc.
Température minimale moyenne (°C) −5,8 1,2 4,6 4,9 10,3 15,8 15,9 15,4 9,5 6,2 3,5 −1,2
Température maximale moyenne (°C) 2,7 13,6 17,5 19,1 23,6 29,2 28,8 28,6 21,7 20,5 10,2 5,1
Source : Climat de Massieu en 2017 sur linternaute.com, d'après Météo France.


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Massieu est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 204 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (54,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (40,1 %), zones agricoles hétérogènes (32,5 %), prairies (19,6 %), zones humides intérieures (5 %), terres arables (2,8 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Hameaux, lieux-dits et écarts de la commune[modifier | modifier le code]

Voici, ci-dessous, la liste la plus complète possible des divers hameaux, quartiers et lieux-dits résidentiels urbains comme ruraux, ainsi que les écarts qui composent le territoire de la commune de Massieu, présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[15].

  • Perley
  • la Garonne
  • les Grands Postes
  • les Briches
  • les Buissonnières
  • la Savoyère
  • le Cabut
  • la Sarra
  • la Villa
  • le Sirand
  • le Vallin
  • la Rebatière
  • le Chemin Vert
  • les Grandes Bruyères
  • le Repeu
  • la Gontarie
  • le Bletonna
  • le Repeu
  • Champe
  • Veysselier
  • Remillot
  • les Gaudes
  • le Matton
  • la Genetière
  • la Mérie
  • la Côte d'Ainan
  • Cuchet
  • la Davière

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 343, alors qu'il était de 327 en 2010 et 2015 [I 1].

Parmi ces logements, 88,9 % étaient des résidences principales, 4,4 % des résidences secondaires et 6,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3,5 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Massieu en 2020 en comparaison avec celle de l'Isère et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4,4 %) inférieure à celle du département (8,3 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 88,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (86,3 % en 2015), contre 61,2 % pour l'Isère et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Massieu en 2020.
Typologie Massieu[I 1] Isère[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 88,9 84 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 4,4 8,3 9,7
Logements vacants (en %) 6,7 7,7 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est traversé par deux routes départementales :

  • la route départementale 82 (RD82) qui relie la commune de Chirens (par détachement de la RD 1075) à la commune d'Aoste par le bourg du Pont-de-Beauvoisin.
  • la route départementale 82j (RD82j) qui relie la commune de Massieu (hameau de La Sarra) à la commune de La Bâtie-Divisin (hameau de la Charrière).

Le réseau interurbain des transports du Pays voironnais dessert le territoire de la commune avec trois arrêts (La Sarra, Massieu et La Côte d'Ainan)[16] :

  • Ligne E1 : Voiron (Gare SNCF) ↔ Chirens ↔ Massieu ↔ Saint-Geoire-en-Valdaine ↔ Voissant.

Cette ligne fonctionne du lundi au samedi et en heures creuses, il y a la possibilité d'utiliser le service du transport à la demande, sous certaines conditions.

On retrouve également des lignes scolaires qui circulent à différentes heures du lundi au vendredi :

  • Ligne VO51 : Voiron (Gare Nord Quai 03) ↔ Chirens ↔ Massieu ↔ Saint-Sulpice-des-Rivoires

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risques sismiques[modifier | modifier le code]

L'ensemble du territoire de la commune de Masieu est situé en zone de sismicité no 3 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes du secteur géographique du lac de Paladru, mais en limite de la zone de sismicité no 4, qui concerne les communes situées plus à l'est, vers le massif de la Chartreuse[17].

Terminologie des zones sismiques[18]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 3 Sismicité modérée accélération = 1,1 m/s2

Autres risques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Massieu pourrait venir de « Hercule Macusain », nom d'un site gallo-romain d'importance. 299 noms de lieux-dits ont été recensés sur cette commune[19].

Selon André Planck, auteur du livre L'origine du nom des communes du département de l'Isère, lui-même se référant à l'historien Nicolas Chorier le nom de Massieu serait bien lié à l'Hercule Macusain, fait confirmé par l'historien Guy Allard. Le terme est également très proche du mot latin « Masus », signifiant « maison » et à l'origine du mot français « masure »[20]. Par ailleurs, 289 noms de lieux différents ont été recensés sur cette commune[21]

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire et Antiquité[modifier | modifier le code]

Au début de l'Antiquité, le territoire des Allobroges s'étendait sur la plus grande partie des pays qui seront nommés plus tard la Sapaudia (ce « pays des sapins » deviendra la Savoie) et la partie septentrionale de l'Isère dont Massieu fait partie.

Les Allobroges, comme bien d'autres peuples gaulois, sont une « confédération ». En fait, les Romains donnèrent, par commodité le nom d'Allobroges à l'ensemble des peuples gaulois vivant dans la civitate (cité) de Vienne, à l'ouest et au sud de la Sapaudia.

Moyen-Âge[modifier | modifier le code]

Révolution française et Empire[modifier | modifier le code]

La Révolution française, dont les prémices ont été ressenties très tôt dans le Dauphiné, comme en témoigne la célèbre journée des Tuiles, séries d'émeutes survenues à Grenoble le , puis la Réunion des états généraux du Dauphiné organisée le de la même année.

Durant cette période, la Valdaine reste à l'écart de la tourmente, et est fidèle au catholicisme contre-révolutionnaire. Le château de Longpra, situé près de Saint-Geoire-en-Valdaine abrite le clergé non jureur, et la population environnante y vient entendre clandestinement la messe.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Historiquement, le territoire de Massieu fut longtemps un hameau de la commune de Saint-Geoire-en-Valdaine.

Dès 1845, des résidents du quartier ou hameau (dénommé section) de Massieu lancent des démarches afin de créer une commune indépendante par distraction de la commune de Saint-Geoire-en-Valdaine dont ils dépendent[22].

En 1881, la commune de Saint-Geoire-en-Valdaine, alors très vaste, est amputée de trois de ses hameaux qui sont érigés en communes indépendantes : Saint-Sulpice-des-Rivoires, Velanne et Massieu. Cette dernière bénéficiant également d'une partie de territoire distrait de la commune voisine de Chirens[23].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de La Tour-du-Pin du département de l'Isère.

Elle faisait partie depuis sa création en 1884 du canton de Saint-Geoire-en-Valdaine[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton du Grand-Lemps

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de l'Isère.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Massieu est membre de la communauté d'agglomération du Pays voironnais, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2000 par transformation d'une communauté de communes créée elle en 1994, et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Compte tenu de la population de la commune, son conseil municipal est constitué de quinze membres, dont le mairfe et ses adjoints[24].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[25]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mars 2008 Louis Monin-Picard SE Agriculteur
mars 2008 avril 2023[26] Roland Besson SE Gendarme retraité
Démissionnaire
juin 2023[27] En cours
(au 23 janvier 2024[28])
Norbert Bouilhol   Conseiller en stratégie digitale

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune de Massieu est située dans l'académie de Grenoble (Zone A). L'école primaire présente un effectif de soixante-douze élèves pour l'année scolaire 2017/2018[29].

Population et société[modifier | modifier le code]

Les habitants de Massieu se dénomment les Massieutins et les Massieutines[30].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1886. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].

En 2021, la commune comptait 742 habitants[Note 3], en augmentation de 0,54 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931
774786787725700638524536487
1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999
431409407350341317479662686
2006 2008 2013 2018 2021 - - - -
742757750752742----
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Médias[modifier | modifier le code]

Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition du Voironnais à la Chartreuse, un ou plusieurs articles à l'actualité du village et de ses environs, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

Cultes[modifier | modifier le code]

La communauté catholique et l'église de Massieu (propriété de la commune) dépendent de la paroisse Saint-Jacques de la Marche qui comprend vingt autres églises situées dans le même secteur du Voironnais. Cette paroisse est rattaché au diocèse de Grenoble-Vienne[34].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église Saints-Pierre-et-Paul de Massieu[35] :
    Très ancienne, cette église fut agrandie au XVIIe siècle, puis à nouveau au XIXe siècle après le déplacement du cimetière. Deux cloches de cette église datent de 1776 et de 1839[36].
  • Presbytère du XVIIIe siècle, restauré en 1882[37].
  • La Croix de la Lépreuse :
    Situé sur le talus tout proche de l'église pour la mettre en valeur, il s'agit de la croix d'une ancienne tombe dite « de la lépreuse » d'une femme noble mais touchée par la maladie et dénommée Françoise de Saint Germain de Champe, qui est décédée en 1582 à Massieu.
  • Le château (mairie) de Massieu et le parc Bernard de Pelagey (ou parc de la Murgière) :
    Cette maison forte, évoquée par écrivain et historien français Nicolas Chorier au XVIIe siècle est l'ancienne demeure de la famille Bernard de Pelagey dénommé localement sous l'appellation de « château » est l'hôtel de ville de Massieu depuis [38].
    Le parc situé autour a été créé vers 1850 par Mme et M. de Pelagey et comprend une quarantaine d'arbres remarquables, issus principalement d’Afrique ou d'Amérique. Une mare pédagogique a été créée pour recréer l'esprit du parc d'origine, où une mare se trouvait à l'emplacement de l'actuel parking[39].
  • Monument aux morts[40].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2020 à Massieu » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Massieu - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Massieu - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans l'Isère » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. Inventaire du patrimoine géologique : résultats, Ministère de l'Environnement, de l'Énergie et de la Mer - DREAL Auvergne-Rhône-Alpes, 24 janvier 2014 (mis à jour le 31 mars 2015), accès le 23 septembre 2016.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Massieu et Saint-Aupre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « St Aupre_sapc », sur la commune de Saint-Aupre - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « St Aupre_sapc », sur la commune de Saint-Aupre - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  15. Site géoportail, page des cartes IGN
  16. Plan du réseau interurbain du pays vorionnais consulté le 08/07/2019
  17. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
  18. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
  19. Corinne Bourrillon, 10 000 lieux en pays voironnais, tome 1, , p. 82 à 87.
  20. André Planck, "L'origine du nom des communes du département de l'Isère", (ISBN 2-84424-043-7) édition L'atelier, 2006, page 114
  21. Corinne Bourrillon, 10 000 lieux en pays voironnais, tome 1, , p. 54 à 61.
  22. Site Gallica "rapports et délibérations / Conseil général de l'Isère Isère, 1846", consulté le 11/07/2018
  23. Site Gallica, "Feuilleton / Chambre des députés France. Chambre des députés (1876-1942), consulté le 11/07/2018
  24. Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance.
  25. « Les maires de Massieu », sur https://www.francegenweb.org/ (consulté le ).
  26. Lisa Rodrigues, « On m’a reproché d’être trop investi » : le maire Roland Besson s’explique après sa démission : Roland Besson a démissionné de son poste de maire avec plusieurs élus fin avril. Son ancien premier adjoint, Norbert Bouilhol, assure l’intérim en attendant la tenue de l’élection municipale partielle fin juin », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
  28. « Cérémonie des vœux : l’urbanisme au cœur des projets 2024 : Dimanche dernier, le maire a présenté ses vœux et évoqué les projets de la municipalité pour l’année à venir », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  29. Site de l'éducation Nationale, page sur l'école de massieu, consulté le 13/07/2018
  30. Site habitants.fr, page sur le gentilé des habitants des communes de l'Isère
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Site messe info, page sur la paroisse Saint-Jacques de la Marche
  35. « Eglise paroissiale Saint-Barthélémy », notice no IA01000159, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. Site de la ville de Massieu, page sur l'église, consulté le 12/07/2018
  37. « Presbytère », notice no IA01000160, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. Site de la ville de Massieu, page sur la mairie, consulté le 13/07/2018
  39. « Parc de la Murgière à Massieu », Patrimoine culturel, sur https://www.isere-tourisme.com/ (consulté le ).
  40. « Monument aux morts de la guerre de 1914-1918 et de la guerre de 1939-1945 », notice no IA01000289, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture