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Cestayrols

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Cestayrols
Cestayrols
Entrée du village.
Blason de Cestayrols
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Tarn
Arrondissement Albi
Intercommunalité Gaillac Graulhet Agglomération
Maire
Mandat
Jean Derrieux
2020-2026
Code postal 81150
Code commune 81067
Démographie
Population
municipale
466 hab. (2021 en évolution de −0,85 % par rapport à 2015)
Densité 27 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 58′ 52″ nord, 1° 59′ 07″ est
Altitude Min. 188 m
Max. 282 m
Superficie 17,03 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Albi
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Deux Rives
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Cestayrols
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Cestayrols
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Cestayrols
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Cestayrols
Liens
Site web Site officiel

Cestayrols est une commune française située dans le nord-ouest du département du Tarn, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Gaillacois, un pays qui doit sa notoriété à la qualité de ses vins.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Vère, le Ruisseau de Vieulac, le ruisseau de Pré-Long et par divers autres petits cours d'eau.

Cestayrols est une commune rurale qui compte 466 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 1 200 habitants en 1846. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Albi. Ses habitants sont appelés les Cestayrolais ou Cestayrolaises.

Géographie

Localisation

Cestayrols est située au centre du « Triangle d'Or » Albi/Gaillac/Cordes-sur-Ciel et est entouré par le vignoble gaillacois.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte avec les communes environnantes

Communes limitrophes

Hameaux et lieux-dits

La commune est issue du regroupement de trois paroisses : Cestayrols, Lincarque et Roumanou.

Hydrographie

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainée par la Vère (affluent de l'Aveyron)|Vère, le ruisseau de Vieulac, le ruisseau de Pré-Long, le ruisseau de Bésou, le ruisseau de Bonnefon, le ruisseau de la Rauze et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 17 km de longueur totale[3],[Carte 1].

La Vère, d'une longueur totale de 53,2 km, prend sa source dans la commune du Le Garric et s'écoule d'ouest en est. Elle traverse la commune et se jette dans l'Aveyron à Bruniquel, après avoir traversé 15 communes[4].

Le ruisseau de Vieulac, d'une longueur totale de 12,8 km, prend sa source dans la commune de Castanet et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn à Brens, après avoir traversé 7 communes[5].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Cestayrols.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[6].

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

  • Moyenne annuelle de température : 12,7 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,3 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 11,4 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,8 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 806 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,4 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,5 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Senouillac », sur la commune de Senouillac, mise en service en 2000[11]et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[12],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 636 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Albi », sur la commune du Sequestre, mise en service en 1976 et à 11 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 13,4 °C pour 1981-2010[15] à 13,8 °C pour 1991-2020[16].

Milieux naturels et biodiversité

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[17],[18],[19].

Urbanisme

Typologie

Cestayrols est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[20],[I 1],[21].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Albi, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 91 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2],[I 3].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (40,5 %), zones agricoles hétérogènes (26,7 %), cultures permanentes (18,6 %), forêts (11,3 %), prairies (3 %)[22].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Cestayrols est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[23]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[24].

Risques naturels

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Vère et le ruisseau de Vieulac. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie [25]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992 et 1994[26],[23].

Cestayrols est exposée au risque de feu de forêt. En 2022, il n'existe pas de Plan de Prévention des Risques incendie de forêt (PPRif). Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 6],[27].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Cestayrols.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[28]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (76,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 282 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 282 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[29],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[30].

Risques technologiques

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[31].

Toponymie

Selon Pascal Nègre, Cestayrols, Sestairol en 1163, est un diminutif de sextarius, setier en français. C'est une ancienne unité de mesure de capacité.

Lincarque a une origine voisine. Elle vient d'unicarcha, une arche unique ou mesure à grain. Les deux paroisses voisines auraient pu opposer leur unité de mesure[a 1].

Laffargue vient de la forge en occitan[a 2].

Roumanou est un nom de lieu habité par des Romains, cellam romanorum, monastère des Romains en 1150[a 3].

Lacalm, haute et basse, font référence à une lande inculte. Les constructeurs de ces deux hameaux ont défriché leur territoire[a 4].

Larroque est une roche abrupte, un lieu privilégier pour le fortifier[a 5].

Moussens pourrait être le domaine d'un Mozo, la terminologie en « ens » signale en tous cas, une origine wisigothique[a 6].

Fongousou signale une source, font en occitan[a 7].

Histoire

Antiquité

Le peuplement de la région est ancien. Les vestiges d'une villa gallo-romaine ont été fouillés, révélant environ un hectare de bâtiments : thermes, mosaïques, fresques, chauffage[a 8]. L'occupation du lieu se poursuit avec la chute de l'Empire Romain, une boucle de l'époque du royaume Wisigoth de Toulouse ayant aussi été trouvée sur le même site[a 9].

Moyen Âge

À la fin du XIIe siècle, la région appartient à la maison Alaman. Le premier connu est Doat Alaman, fondateur de la bastide de Labastide-de-Lévis. Ce gestionnaire a travaillé au service du comte de Toulouse Raymond VI[b 1]. Il meurt vers 1234 et ses deux fils se partagent le domaine. Sicard obtient le sud, le long du Tarn, et Doat, dit le Jeune obtient le nord regroupant les communes actuelles de Cestayrols, Fayssac, Villeneuve-sur-Vère[b 2].

Doat II meurt jeune, sa succession se faisant en 1261. Il avait auparavant créé la bastide de Villeneuve-Mont-Alaman. (devenue Villeneuve-d'en Doat, puis Villeneuve-sur-Vère) Ses fils se partagent le domaine. Doat III Alaman de Villeneuve hérite de l'est et le cadet, Sicard, damoiseau de Durfort devient le seigneur des territoires de Cestayrols, Fayssac, Noailles et des terres sur Cordes. Il prend le nom du château qu'il se fait construire au lieudit Durfort[b 3]. Ses descendants Raymond puis Doat en héritent[b 4].

Époque contemporaine

À la Révolution, la commune est issue de la fusion des trois paroisses de Cestayrols, Lincarque et Roumanou.

Héraldique

Cestayrols

Son blasonnement est : De gueules aux trois barres d'argent.

Politique et administration

Maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2003 En cours Jean Derrieux[32] DLF Vigneron
2001 2003 André Michalik   Enseignant
1983 2001 Jean-Marc Julien PS Enseignant
  1983 René Viguier    
Les données manquantes sont à compléter.

Politique et administration

La commune appartient à la communauté d'agglomération de Gaillac Graulhet Agglo. Elle a longtemps fait partie du canton de Gaillac, avant que le redécoupage pour les élections départementales de 2015 ne l'inclue dans le canton des Deux Rives.

L'école appartient, avec celle de Fayssac, commune voisine, à un regroupement pédagogique.

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[34]. En 2021, la commune comptait 466 habitants[Note 7], en évolution de −0,85 % par rapport à 2015 (Tarn : +1,82 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0341 1591 1421 1921 1481 1421 1091 2001 155
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1411 1171 0371 013977950904875842
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
808770778683670689679614568
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
551510442421414451500507478
2015 2020 2021 - - - - - -
470471466------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

Revenus

En 2018, la commune compte 218 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 499 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 570 [I 4] (20 400  dans le département[I 5]).

Emploi

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 8,1 % 9,9 % 8,6 %
Département[I 7] 8,2 % 9,9 % 10 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 254 personnes, parmi lesquelles on compte 77 % d'actifs (68,4 % ayant un emploi et 8,6 % de chômeurs) et 23 % d'inactifs[Note 9],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Albi, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 9]. Elle compte 55 emplois en 2018, contre 66 en 2013 et 59 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 179, soit un indicateur de concentration d'emploi de 30,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 49,3 %[I 10].

Sur ces 179 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 35 travaillent dans la commune, soit 19 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 91,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,7 % les transports en commun, 1,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Activités hors agriculture

Secteurs d'activités

15 établissements[Note 10] sont implantés à Cestayrols au [I 13]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 33,3 % du nombre total d'établissements de la commune (5 sur les 15 entreprises implantées à Cestayrols), contre 26,7 % au niveau départemental[I 14].

Entreprises et commerces

La commune, très rurale, est dominée par l'agriculture. Elle possède quatre domaines viticoles produisant des vins de l'AOC de Gaillac ou de l'IGP Côtes-du-tarn. L'élevage bovin laitier et boucher ou les grandes cultures (céréales, oléagineux essentiellement) complètent la production. Quelques artisans en mécanique ou bâtiment sont installés dans la commune.

L'activité touristique est un point fort avec des chambres d'hôtes et des gîtes ruraux.

Agriculture

La commune est dans le Gaillacois, une petite région agricole au sous-sol argilo-graveleux et/ou calcaire dédiée à la viticulture depuis plus de 2000 ans, située dans le centre-ouest du département du Tarn[37]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la viticulture[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 48 29 21 24
SAU[Note 12] (ha) 1 223 1 217 1 096 909

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 48 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 29 en 2000 puis à 21 en 2010[39] et enfin à 24 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 50 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 58 % de ses exploitations[40],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1223 ha en 1988 à 909 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 25 à 38 ha[39].

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Église de Lincarque.

Personnalités liées à la commune

Pour approfondir

Bibliographie

  • Collectif, Tarn : Aux couleurs de l'occitanie, Paris, Bonneton, , 319 p. (ISBN 2-86253-231-2)
  1. p. 46.
  2. p. 82.
  3. p. 41.
  4. p. 78.
  5. p. 88.
  6. p. 49.
  7. p. 66.
  8. p. 13.
  9. p. 15.

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  11. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  12. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[38].
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Cestayrols » sur Géoportail (consulté le 10 décembre 2021).
  2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

Site de l'Insee

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Albi » (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Cestayrols » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Cestayrols » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Cestayrols » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Cestayrols » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn » (consulté le ).

Autres sources

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
  3. « Fiche communale de Cestayrols », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
  4. Sandre, « la Vère (affluent de l'Aveyron) »
  5. Sandre, « le ruisseau de Vieulac »
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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Bibliographie

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