Saint-Remy-en-l'Eau

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Saint-Remy-en-l'Eau
Saint-Remy-en-l'Eau
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité Communauté de communes du Plateau Picard
Maire
Mandat
Pascal Theophile
2020-2026
Code postal 60130
Code commune 60595
Démographie
Gentilé Saint Remois, Saint Remoise
Population
municipale
438 hab. (2021 en augmentation de 12,02 % par rapport à 2015)
Densité 44 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 28′ 21″ nord, 2° 25′ 55″ est
Altitude Min. 75 m
Max. 171 m
Superficie 10,06 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives Première circonscription
Localisation
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Saint-Remy-en-l'Eau
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Saint-Remy-en-l'Eau

Saint-Remy-en-l'Eau est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de la commune de Saint-Remy-en-l'Eau.

Saint-Remy-en-l'Eau est une commune située à 68 km au nord de Paris, 26 km à l'est de Beauvais, 29 km à l'ouest de Compiègne et à 48 km au sud d'Amiens[1].

Communes limitrophes de Saint-Remy-en-l'Eau
Valescourt
Saint-Remy-en-l'Eau Lieuvillers
Fournival Avrechy Cuignières

Topographie et géologie[modifier | modifier le code]

La commune de Saint-Remy-en-l'Eau s'est établie dans la vallée de l'Arré, cours d'eau entaillant le plateau picard dans un axe nord-sud. Le point culminant du territoire se situe à 171 mètres d'altitude au niveau de la limite communale dans le bois de Valescourt, tandis que le point le plus bas se trouve au débouché de l'Arré sur le terroir d'Avrechy à 75 mètres au-dessus du niveau de la mer. Plusieurs vallons sont dirigés vers la vallée centrale de l'Arré, notamment le Fossé Saint-Germain et le Fond du Quesnel à l'ouest ainsi que la petite vallée des Serrans au sud-est. Le village s'étend entre 82 et 92 mètres, la ferme de la Malborgne à 159 mètres[2]. La commune se trouve zone de sismicité 1, c'est-à-dire très faiblement exposée aux risques de tremblement de terre[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Lavoir sur l'Arré.

La commune de Saint-Remy-en-L'Eau est traversée par l'Arré, cours d'eau appartenant au bassin versant de la Seine prenant sa source à Saint-Just-en-Chaussée et se jetant dans la Brêche à Clermont. Il se divise en deux bras au niveau du village, avant de n'en former qu'un au niveau du château. Il est également alimenté par le ruissellement provenant des vallons latéraux[2]. Le fond de cette vallée constituant la zone la plus basse du territoire est situé au-dessus de nappes phréatiques sous-affleurantes[4]. Un lavoir établi sur l'Arré subsiste toujours près du village.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 675 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Godenvillers à 16 km à vol d'oiseau[7], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 701,9 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Milieux naturels[modifier | modifier le code]

Hormis les espaces bâtis couvrant 30 hectares pour 3 % de la surface communale, le territoire comprend 73 % d'espaces cultivés sur 736 hectares ainsi que 69 hectares de vergers et de prairies. Les espaces boisés représentés à l'ouest par les bois de Mont, de Valescourt, des Avennes et de Saint-Remy, et à l'est sur les coteaux couvrent 17 % du terroir sur 175 hectares[11],[2]. Le bois de Mont constitue une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique de type 1[12], ainsi qu'un corridor écologique potentiel[13].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Remy-en-l'Eau est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[14],[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17],[18].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (84,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (78,7 %), forêts (12,8 %), prairies (5 %), zones urbanisées (2,8 %), zones agricoles hétérogènes (0,8 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

L'essentiel de l'espace bâti se concentre au chef-lieu. La commune possède deux écarts habités : le château au sud et la ferme de la Malborgne à l'ouest[2].

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

La gare de Saint-Rémy-en-l'Eau sur la ligne de Paris-Nord à Lille.

La commune est traversée par trois routes départementales : la D 916, la D 101 et la D 158. La route départementale 916, ancienne route nationale française 16 reliant Paris à Dunkerque est le principal axe de circulation vers Creil par Clermont au sud, ou bien en direction d'Amiens par Saint-Just-en-Chaussée au nord. Son tracé traverse la partie orientale du territoire. La route départementale 101, reliant Bulles à Estrées-Saint-Denis traverse le village d'ouest en est par les rues de Fournival, de la mairie et de l'Arré. Enfin, la route départementale 158 de Saint-Just-en-Chaussée à Airion constitue le second axe nord-sud plus proche de l'Arré en traversant le chef-lieu par la rue de l'église. Plusieurs voies communales se dispersent sur le territoire, notamment vers le hameau de la Malborgne, ou bien vers la D916[2].

La gare de Saint-Rémy-en-l'Eau, sur la ligne de Paris-Nord à Lille, demeure peu desservie et les usagers se dirigent souvent vers la gare de Saint-Just-en-Chaussée, à 4 km au nord[1].

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 6304 et 6342 du réseau interurbain de l'Oise[20]. La commune fait partie du réseau TADAM, service de transport collectif à la demande, mis en place à titre expérimental par la communauté de communes du Plateau Picard. Elle est reliée à l'un des 8 points de destination situés à Saint-Just-en-Chaussée, Maignelay-Montigny, La Neuville-Roy et Tricot au départ des 98 points d'origine du territoire[21]. Une navette de regroupement pédagogique intercommunale (ligne 6837) mise en place avec les communes de Fournival et Valescourt s'arrête dans le village[20].

L'aéroport de Beauvais-Tillé se trouve à 23 km à l'ouest[1] et l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle se situe à 52 km au sud-est[1]. Il n'existe pas de liaisons par transports en commun entre la commune et ces aéroports.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes « Sanctus Remigius de âquâ vel ad aquam vel super aquam » (1170-1180) ; de Sancto Remigio (1224) ; Sanctus Remigius de aquâ (1235) ; Sanctus Remigius super aquam (1235) ; Sanctus Remigius juxta Noueroy (1257) ; Saint Remy delez Noueroy (1257) ; « le grange de Saint Remin delez Noueroy » (1257) ; Sanctus Remigius ad aquam (XIIIe) ; Saint Remi a leaue (1260) ; Saint Remi a leau (1303) ; ecclesia sancti Remigii ad aquam (vers 1320) ; Saint Remy a leau (1373) ; Saint Remy a l’yaue (1373) ; Saint Rhemy (1545) ; Saint Remi en l’aire (1545) ; Saint Remy en l’Eaue (1561) ; Saint Remy en l’eau (1610) ; Remi en l’eau ou sur Aire (1631) ; Saint Remy a l’Eau (1667) ; Saint Remi à l’eau (XVIIe) ; Saint-Remy-en-l’Eau (1840)[22].

Saint-Remy est un hagiotoponyme fait référence à Remi de Reims.

Le déterminant complémentaire locatif -l'Eau correspond à la rivière l'Arré autrefois appelée l'Aire[23].

Histoire[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason à dessiner Blason
Parti d'azur et de gueules, au tronc écoté et arraché de frêne d'or sommé de deux feuilles du même mises en chevron renversé, accompagné en chef d'un cœur d'argent chargé d'une fasce d'azur surchargée de trois fleurs de lis d'or et sommé d'une couronne fermée au naturel, à dextre d'un heaume de tournoi d'argent, orné d'or, taré de profil et contourné et à senestre d'une rose d'argent boutonnée et pointée d'or, le tout brochant[24].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
juin 1995 2014 Boris Gogny-Goubert DIV  
avril 2014[25] En cours
(au 9 avril 2014)
Pascal Théophile SE Cadre dans le secteur bancaire

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].

En 2021, la commune comptait 438 habitants[Note 3], en augmentation de 12,02 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
404440436438614392385403394
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
386363332314323305338325312
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
321305304321318308286333359
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
319316291380393370403412396
2018 2021 - - - - - - -
428438-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,0 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 215 hommes pour 213 femmes, soit un taux de 50,23 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
0,9 
4,2 
75-89 ans
7,0 
19,5 
60-74 ans
17,4 
18,6 
45-59 ans
20,7 
21,4 
30-44 ans
19,7 
14,0 
15-29 ans
16,4 
21,4 
0-14 ans
17,8 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Galerie[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d « orthodromie : distance à vol d'oiseau », sur le site lion1906.com, site personnel de Lionel Delvarre (consulté le ).
  2. a b c d et e « Carte au 1/15000e » sur Géoportail (consulté le 22 novembre 2016)..
  3. « Géorisques : Mieux connâitre les risques sur le territoire - Saint-Remy-en-l'Eau », sur www.georisques.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Carte de remontée des nappes », sur www.innondationsnappes.fr (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  7. « Orthodromie entre Saint-Remy-en-l'Eau et Godenvillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Godenvillers » (commune de Godenvillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Godenvillers » (commune de Godenvillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. « Synthèse des zonages du patrimoine naturel et paysager, de la faune, de la flore et des habitats naturels sur la commune de Saint-Remy-en-l'Eau », sur www.donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Larris et Bois de Mont, fiche znieff détaillée », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
  13. « Corridors écologiques potentiels sur la commune de Saint-Remy-en-l'Eau », sur www.donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  20. a et b « Transports en commun à Saint-Remy-en-l'Eau », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  21. « TADAM, le service de transport collectif à a demande du plateau Picard », sur Oise Mobilité (consulté le ).
  22. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 527.
  23. Société de linguistique picarde, Toponymie du département de l'Oise : 14 index, 9 cartes, Musée de Picardie, , p. 230.
  24. http://www.saint-remy70.fr/fr/information/34984/un-blason-commune
  25. « Le visage de vos nouveaux élus », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3284,‎ , p. 29 (ISSN 1144-5092).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Remy-en-l'Eau (60595) », (consulté le ).
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  32. « Château », notice no PA00114874, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.