Sainte-Eusoye

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Sainte-Eusoye
Sainte-Eusoye
Ancienne grange cistercienne.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité CC de l'Oise Picarde
Maire
Mandat
Pierre Dugrosprez
2020-2026
Code postal 60480
Code commune 60573
Démographie
Gentilé Eusébiens, Eusébiennes
Population
municipale
338 hab. (2021 en augmentation de 10,46 % par rapport à 2015)
Densité 40 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 34′ 40″ nord, 2° 14′ 46″ est
Altitude Min. 95 m
Max. 178 m
Superficie 8,48 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
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Sainte-Eusoye
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Sainte-Eusoye
Liens
Site web www.sainte-eusoye.fr

Sainte-Eusoye est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Ses habitants sont appelés les Eusébiens et les Eusébiennes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 710 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-les-Merles à 11 km à vol d'oiseau[3], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,9 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Sainte-Eusoye est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (89,2 %), zones agricoles hétérogènes (5,8 %), zones urbanisées (3,8 %), forêts (1,2 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 6103, 6114 et 6140 du réseau interurbain de l'Oise[13].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes de Sancta Eusebia (1030) ; « in villa sancte Eusebie juxta grangiam tussurarium » (1196) ; Sainte Eusebe (1236) ; de sancto Ysoie (1263) ; « qui ex nomine Eusebioe sancta Isoia vocatur » (1265) ; in villa sancte Eusebie (1265) ; la ville de Saint Ysaie (1274) ; S. Yzaie (1283) ; de Sancto Eusebio (1292) ; Sanctus Eusebius (XIIIe) ; de Sancto Esibio (1316) ; Saint Ysoie (1316) ; Sainte Ysoie (1329) ; Sainte Usoye (1373) ; Saincte Usoye (1373) ; Sainte Usoy (1450) ; Sainte Ysoye (1454) ; Saint Usoye (1456) ; Saint Usoit (1469) ; Sainte Eusoie (1540) ; Sainte Euzoie (1592) ; « in pago Belvacensi quadam villa ex nomine Sanctoe Eusibie Sancta Ysoya vocatur » (XVIIe) ; Sainte-Eusoye (1840)[14].

Sainte-Eusoye est un hagiotoponyme qui fait référence à Eusébie d'Hamage, abbesse de l'abbaye d'Hamage. Eusoye est la forme populaire de Eusébie/Eusébe[15].

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Froissy[16]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Saint-Just-en-Chaussée.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la Brèche et de la Noye créée fin 1992.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[17], le préfet de l'Oise a publié en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[18], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[19].

Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[20], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [21].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1988 ? Jean Dufossé    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001[22] En cours
(au 11 mai 2016)
Pierre Dugrosprez   Agriculteur
Vice-président de la CCVBN (2014 → 2016)
Vice-président de la CC de l'Oise Picarde (2017 → )
Réélu pour le mandat 2014-2020-/small>[23],[24]

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

La commune, malgré sa faible importance, s'est dotée en 2007 d'un réseau d'assainissement collectif et d'une station d'épuration[22].

Un verger de 24 arbres fruitiers (16 pommiers, 5 poiriers, 2 pruniers et 1 noyer) d'espèces anciennes a été planté en 2014 par le conseil municipal, afin de permettre de se remémorer et de retrouver l’histoire de la commune. Les fruits seront mis à disposition des habitants de la commune et de ceux de Sauveleux[25].

Distinctions et labels[modifier | modifier le code]

La qualité du fleurissement de la commune a été reconnue par un 4e prix ex-aequo au concours départemental des villes et villages fleuris en 2017, catégorie « communes de 301 à 1000 habitants[26] ».

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].

En 2021, la commune comptait 338 habitants[Note 3], en augmentation de 10,46 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
541735592593631495461454444
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
389389319281279253242224225
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
203219210181164148154168158
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
138147170202210229238241303
2018 2021 - - - - - - -
329338-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 15,8 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 175 hommes pour 154 femmes, soit un taux de 53,19 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
0,0 
1,1 
75-89 ans
5,8 
11,4 
60-74 ans
13,0 
22,9 
45-59 ans
25,3 
22,3 
30-44 ans
24,7 
16,0 
15-29 ans
9,1 
25,7 
0-14 ans
22,1 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les enfants de la commune sont scolarisés au groupe scolaire Le Moustier de Froissy, dans le cadre d'un regroupement pédagogique concentré rassemblant les communes de Froissy, La Neuville-Saint Pierre, Noirémont, Reuil-sur-Brêche et Sainte- Eusoye. L'école primaire accueille 210 élèves pour l'année scolaire 2015-2016[32].

Autres équipements[modifier | modifier le code]

La commune a préempté en 2013 l'ancien presbytère, où elle a transféré en la mairie du village[33],[34],[35].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Ferme du Troussures : elle se compose des ruines d'une ancienne grange cistercienne ainsi qu'un pigeonnier inscrit au titre des monuments historiques depuis 1989[36]. La ferme était dépendante de l'abbaye de Chaalis.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Sainte-Eusoye et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  13. « Transports en commun à Sainte-Eusoye », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  14. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 502.
  15. Maurice Lebègue, Les Noms des communes du département de l'Oise, , p. 187.
  16. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  17. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  18. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
  19. « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalité à fiscalité propre au  », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers,‎ , p. 15.
  20. R. Th., « La fusion des communautés de communes est définitive », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3417,‎ , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d’agglomération ont tous recueilli une majorité favorable ; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme ».
  21. Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430,‎ , p. 17.
  22. a et b Frédéric Hennebert, « La station d'épuration qui fait rêver », Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne) « Pierre Dugrosprez, lui, n'a pas hésité. A peine élu en 2001, cet agriculteur a fait de l'assainissement l'une de ses priorités. « Je ne suis pas écolo, mais je veux qu'on respecte la terre. On n'est plus au Moyen Age, on ne peut plus renvoyer les eaux n'importe où », explique-t-il ».
  23. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Les maires en place », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3284,‎ , p. 18 (ISSN 1144-5092).
  24. « Pierre Dugrosprez entame un 4e mandat », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3607,‎ , p. 27.
  25. « Des pommiers et des poiriers réservés aux habitants du village », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3393,‎ , p. 29.
  26. « 4e prix départemental l’an passé Le village accentue ses efforts d’embellissement : Le village joue la carte de l’embellissement à travers ses plantations et ses aménagements qui renforcent son caractère rural et bucolique », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3494,‎ , p. 18.
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Sainte-Eusoye (60573) », (consulté le ).
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  32. « La nouvelle école du Moustier a été inaugurée », Le Courrier picard, édition de Grandvilliers, no 3384,‎ , p. 27 « Le bâtiment [de l'école primaire] réhabilité et agrandi en 2014 et 2015 regroupe sept classes, une salle de restauration et une salle pour activités périscolaires ».
  33. « Le presbytère deviendra finalement une mairie : Des avancées sur le projet de nouvelle mairie : voilà ce qu'il faut retenir de l'année 2013 et de la cérémonie des vœux prononcés, samedi 11 janvier, par le maire, Pierre Dugrosprez », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. « Sainte-Eusoye : Une nouvelle mairie pour 2016 », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  35. Sylvie Godin, « La nouvelle mairie dans un cadre exceptionnel », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3446,‎ , p. 19.
  36. « Ferme de Troussures », notice no PA00114979, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. « Fonts baptismaux », notice no PM60001415, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.