Rocquencourt (Oise)

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Rocquencourt
Rocquencourt (Oise)
Vue de Rocquencourt.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité Communauté de communes de l'Oise Picarde
Maire
Mandat
Philippe Guilbert
2020-2026
Code postal 60120
Code commune 60544
Démographie
Gentilé Rocquencourtois, Rocquencourtoises
Population
municipale
191 hab. (2021 en stagnation par rapport à 2015)
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 39′ 00″ nord, 2° 25′ 06″ est
Altitude Min. 81 m
Max. 151 m
Superficie 9,81 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives Première circonscription
Localisation
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Rocquencourt
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Rocquencourt
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Rocquencourt
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Rocquencourt

Rocquencourt est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Rocquencourt est un village rural du plateau picard situé au rebord d’une vallée sèche, dans le département de l'Oise mais limitrophe de celui de la Somme, qui se trouve à 11 km à l'ouest de Montdidier, à 35 km au nord-est de Beauvais et à une trentaine de kilomètres au sud-est d'Amiens.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 702 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-les-Merles à 4 km à vol d'oiseau[3], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,9 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Statistiques 1991-2020 et records ROUVROY-LES-MERLES (60) - alt : 94m, lat : 49°39'01"N, lon : 2°22'14"E
Records établis sur la période du 01-04-1989 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,2 1,1 2,6 3,9 7,2 10 12 12 9,5 7,3 4,2 1,8 6,1
Température moyenne (°C) 3,9 4,4 7 9,5 12,9 16 18,2 18,2 15,1 11,5 7,2 4,4 10,7
Température maximale moyenne (°C) 6,6 7,7 11,5 15,2 18,6 21,9 24,5 24,5 20,6 15,6 10,3 7 15,3
Record de froid (°C)
date du record
−18,6
07.01.09
−12,9
07.02.12
−11,5
13.03.13
−6,6
07.04.21
−3,2
03.05.21
−2
05.06.1991
2,3
04.07.1990
2,1
08.08.1990
−1,3
30.09.18
−6,2
28.10.03
−10,8
24.11.1998
−17,2
18.12.10
−18,6
2009
Record de chaleur (°C)
date du record
15,2
27.01.03
20
24.02.1990
24,3
31.03.21
27,1
19.04.18
30,8
27.05.05
36,4
18.06.22
41,5
25.07.19
39,7
06.08.03
34,7
08.09.23
29,2
01.10.11
20,1
01.11.14
17
07.12.00
41,5
2019
Précipitations (mm) 52,4 42,9 46,1 43,2 57,4 54,2 59,7 58,1 49,1 57,8 57,2 69,8 647,9
Source : « Fiche 60555002 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Rocquencourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. La commune est en outre hors attraction des villes[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (99,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (96 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (92,9 %), zones agricoles hétérogènes (6,9 %), zones urbanisées (0,1 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Rocquencourt est aisément accessible par l'ex-RN 30 (actuelle RD 930), qui tangente le sud du territoire communal.

La gare la plus proche est celle de Breteuil-Embranchement, située sur la commune de Bacouël et desservie par des trains TER Hauts-de-France, qui effectuent des missions entre les gares de Paris-Nord et Amiens.

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 619, 624, 6122 et 6304 du réseau interurbain de l'Oise[13].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La localité a été désignée comme Boquencourt, Rokeneourt (Rochecartis, Roconis curtis , Rochencurtis en 1105, Roca in caria)[14].

Cela désignerait le « domaine de Roccon », un nom de personne germanique[réf. nécessaire].

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen-Âge[modifier | modifier le code]

La seigneurie est citée depuis le XIIe siècle.

Selon Louis Graves, « La terre de Bocquencourt qui appartint à l'ancienne maison de Conty, relevait du fief des grandes tournelles de Montdidier, possédé par la maison de Soyécourt qui jouissait ici d'un droit de travers[C'est-à-dire ?].
Une autre partie du pays constituait un hôpital dépendant de la commanderie de Framicourt près Montdidier »
[14].

Époque moderne[modifier | modifier le code]

En 1641, François de Gaudechart seigneur de Querrieu, devient seigneur de Rocquencourt par son mariage avec Françoise de Conty, fille d'Antoine de Conty, seigneur de Rocquencourt. La seigneurie de Rocquencourt consiste en un droit de terrage sur 800 journaux (300 hectares environ) de terre cédé par le prieur de l'abbaye Saint-Pierre de Corbie, par un bail perpétuel au seigneur de Rocquencourt le . Les deux seigneuries resteront liées jusqu'en 1789.

Litige avec l'abbaye de Corbie

"Selon un factum établi par les Religieux de l'abbaye de Corbie contre François de Gaudechart, marquis de Querrieu le , ledit seigneur de Querrieu, non content de jouir de ladite seigneurie qui lui rapporte plus de 2 000 Livres de rente, s'est avisé en 1681, de faire un procès aux religieux pour leur ôter un droit de champart qu'ils perçoivent sur 250 journaux (100 hectares) des terres de Rocquencourt et à la restitution des fruits depuis 29 ans. Les religieux accusent ledit seigneur de produire de fausses pièces et d'être d'une mauvaise foi évidente comme ses prédécesseurs, demandent qu'il soit condamné de se désister de l'occupation indue qu'il fait de la terre et Seigneurie de Rocquencourt à eux appartenant, leur en restituer les fruits avec l'intérêt et aux dépens."[15]. À l'issue du procès, François de Gaudechart est demeuré seigneur de Rocquencourt.

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Un film tourné par Weber en 1918 et des photos d'Ernest Baguet conservés par l'ECPAD comprennent des scènes de Rocquencourt, lors de l'offensive Michael[16].

Lors de la guerre, le village a subi des destructions[17] et a reçu la Croix de guerre 1914-1918 le [18],[19].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Breteuil[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune rejoint le canton de Saint-Just-en-Chaussée, qui n'est plus qu'une circonscription électorale.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la Brèche et de la Noye créée fin 1992.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[21], le préfet de l'Oise a publié en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[22], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[23].

Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[24], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [25].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1983[26] 2014[26] Christian Boitel   Agriculteur
Président du syndicat scolaire ( ? → 2014)
2014[26] En cours
(au 29 avril 2020)
Philippe Guilbert   Fonctionnaire

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28].

En 2021, la commune comptait 191 habitants[Note 2], en stagnation par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
414408447468522508505490526
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
519510450408391397366346344
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
312267271221252238217199203
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
192155120118130161179182193
2017 2021 - - - - - - -
197191-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 41,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,8 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 96 hommes pour 100 femmes, soit un taux de 51,02 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
2,1 
90 ou +
1,0 
5,2 
75-89 ans
9,9 
10,4 
60-74 ans
10,9 
22,9 
45-59 ans
14,9 
22,9 
30-44 ans
16,8 
16,7 
15-29 ans
22,8 
19,8 
0-14 ans
23,8 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les enfants de la commune sont scolarisés depuis la rentrée 2016 dans une école neuve située à Bacouel (sept classes et une restauration scolaire), qui constitue le regroupement pédagogique concentré (RPC) de Bacouel, Tartigny, Le Mesnil-Saint-Firmin, Rocquencourt, Sérivillers, Broyes et Plainville[32].

Commerces[modifier | modifier le code]

La commune n'a plus de commerces de proximité. La municipalité a favorisé la mise en place d'un distributeur automatique de pain frais près de la mairie au début 2020, qui a prouvé toute son utilité lors du confinement de 2020[33].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Notre-Dame : le portail en plein cintre et le chœur sont de style roman et datent des années 1200. Le clocher et la nef à chevet polygonal datent du XVIe siècle. Après les destructions de la guerre de Cent Ans, la nef est reconstruite avec des bas-côtés dans le style gothique flamboyant. Deux chapelles seigneuriales se trouvent de part et d'autre des bas-côtés. Le clocher est en briques[34].

L'autel-retable est remarquable et les fonts baptismaux sont classés monument historique[35].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • Carte spéciale des régions dévastées : 21 SE, Montdidier [Sud-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Rocquencourt et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Transports en commun à Rocquencourt », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  14. a et b Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Breteuil, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, (lire en ligne), p. 155-156.
  15. Bibliothèque municipale d'Amiens, HIS.3829,article 9[source insuffisante].
  16. « L’Oise et la Grande Guerre dans les collections photographiques et cinématographiques de l’ECPAD (1915-1919) » [PDF], sur centenaire-14-18.ecpad.fr (consulté le ), p. 7.
  17. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  18. « Histoire du Blason de Breteuil », L'histoire de notre ville, Ville de Breteuil (consulté le ).
  19. Journal officiel du 24février 1921, p. 2475.
  20. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  22. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
  23. « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalité à fiscalité propre au  », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers,‎ , p. 15.
  24. R. Th., « La fusion des communautés de communes est définitive », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3417,‎ , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d’agglomération ont tous recueilli une majorité favorable ; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme ».
  25. Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430,‎ , p. 17.
  26. a b et c « Rocquencourt : Philippe Guilbert élu maire », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Étonnamment, l’ancien maire ne l’avait pas retenu sur sa liste si bien qu’il s’est présenté sur une liste indépendante avec 2 autres candidats : il obtient le plus gros score du 1er tour (70 voix sur 107 votants) et a été élu maire avec 8 voix sur 11 ».
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Rocquencourt (60544) », (consulté le ).
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  32. S. G., « Bacouel : les enfants vont découvrir leur nouvelle école », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3409,‎ , p. 24.
  33. Sylvie Godin, « Il est plébiscité par les habitants - Le distributeur de pain fait un tabac : Rocquencourt - En cette période de confinement le distributeur de pain fait des heureix parmi la population et même au-delà », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3600,‎ , p. 14.
  34. Dominique Vermand, « Diocèse d'Amiens », Eglises de l'Oise - Art roman et gothique (consulté le ).
  35. « Fonts-Baptismaux de l'église Notre-Dame », notice no PM60001368, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.