Gannes

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Gannes
Gannes
Chapelle Notre-Dame-de-Bonsecours, sur la route de Sains-Morainvillers.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité CC du Plateau Picard
Maire
Mandat
Olivier de Beule
2020-2026
Code postal 60120
Code commune 60268
Démographie
Gentilé Gannois, Gannoises
Population
municipale
346 hab. (2021 en diminution de 3,35 % par rapport à 2015)
Densité 40 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 34′ 11″ nord, 2° 25′ 21″ est
Altitude Min. 104 m
Max. 144 m
Superficie 8,56 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Gannes
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Gannes
Géolocalisation sur la carte : Oise
Voir sur la carte topographique de l'Oise
Gannes
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Gannes
Liens
Site web http://www.mairie-gannes.fr

Gannes est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Gannois et les Gannoises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

En 1835, Louis Graves présente le village comme « placé au centre du territoire dont le périmètre est ovalaire; des bois occupent. les régions du nord-est et du nord-ouest: Une longue rue sur le chemin de Saint-Just à La Hérelle, à laquelle aboutissent trois embranchements latéraux, constitue le village;. il n'y a pas de sources dans l'étendue du Pays[1]  ».

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Ansauvillers, Brunvillers-la-Motte, La Hérelle, Mory-Montcrux, Quinquempoix et Sains-Morainvillers.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 685 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Godenvillers à 10 km à vol d'oiseau[4], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 701,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Gannes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (85,1 %), forêts (6,9 %), zones urbanisées (4,5 %), zones agricoles hétérogènes (3,6 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 159, alors qu'il était de 150 en 2013 et de 142 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 84,7 % étaient des résidences principales, 5,7 % des résidences secondaires et 9,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Gannes en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (5,7 %) supérieure à celle du département (2,5 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 80,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (79,2 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement à Gannes en 2018.
Typologie Gannes[I 1] Oise[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 84,7 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 5,7 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 9,5 7,1 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Le quai de la gare.

La commune dispose de la gare de Gannes sur la ligne de Paris-Nord à Lille, desservie par des trains TER Hauts-de-France reliant Paris-Nord à Amiens.

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 6304 et 6328 du réseau interurbain de l'Oise[14].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Galneae (766) ; Galnoe (vers 1130) ; Gannoe (1147) ; de Gannis (1147) ; apud Galnas (vers 1175) ; de Galnis (vers 1175) ; Gane (1178) ; Galnes (1189) ; Johannes de Jaunes (vers 1200) ; Johennis de Gaunes (1237) ; Jehan de Gaunes (1241) ; Gannes (1242) ; Gaulnes (1295) ; Gaunes (1296) ; Johannem de Gaunes (XIIIe) ; Gannez (1340) ; Gannes le long (1550) ; de Ganna (1663)[15].

Du latin galbinum « jaune »[16]. Le terroir possède de nombreux gisements de terre jaune, excellente terre à briques et à genêts[16].

Histoire[modifier | modifier le code]

Ancien Régime[modifier | modifier le code]

Louis Graves indiquait que « Il avait, au Moyen Âge, un château considérable situé à l'est du village vers le chemin de Quinquempoix. Cette forteresse servit plusieurs fois de refuge à la population de Cannes, Quinquempoix et autres lieux voisins pendant les guerres des Bourguignons et des Espagnols ; les seigneurs de Blin avaient une réputation de bravoure qui les faisait considérer comme les protecteurs de la contrée. Le château, démoli vers le dix-septième siècle, fut remplacé par une autre construction qui.disparut elle-même dans la Révolution. Le domaine de Blin appartenait, bien avant le règne d'Henri IV, à la famille Pasquier [...} ; elle le posséda jusqu’à révolution de 1789[1] ».

Sous l'Ancien Régime, la terre de Cannes avait le titre de vicomté[1].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Les briqueteries de Gannes ont fait la renommée du village pendant des siècles[16].

En 1835, on trouvait à Gannes des carrières des sablonnières et trois moulins à vent. Une partie: de la population fabriquait alors des toiles de chanvre[1].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1983 2 janvier 2007[17] Georges Van Vynckt[18] UDF[19] Démissionnaire
2007 En cours
(au 2 juin 2023)
Olivier de Beule SE Vice-président (2014 → 2023) puis président (2023 → ) de la CC du Plateau Picard
Président du RPI[20] de Gannes, Brunvillers La Motte, Quinquempoix (2020 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[21]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Brunvillers-la-Motte et Quinquempoix dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI). L'école de Gannes est une école maternelle d'une classe[22],[23].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[25].

En 2021, la commune comptait 346 habitants[Note 2], en diminution de 3,35 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
466493538538516523527490489
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
437439456424434425435412391
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
352390355373378424315280320
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
320307289281296320323323349
2017 2021 - - - - - - -
340346-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune.

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,5 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 178 hommes pour 163 femmes, soit un taux de 52,2 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,1 
90 ou +
1,3 
5,2 
75-89 ans
8,9 
15,6 
60-74 ans
15,1 
17,0 
45-59 ans
18,6 
21,2 
30-44 ans
21,4 
12,8 
15-29 ans
18,2 
27,0 
0-14 ans
16,5 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Culture mocale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Denis avec son cadran solaire.
  • Église Saint-Denis (XVIe siècle)[30] : des poutres de chêne était autrefois posées à environ trois mètres du sol et supportaient un toit qui n'était pas bien haut étant donné la faible hauteur des poutres de soutien.
    En 1660, les poutres ont été coupées, dont il reste les morceaux encastrés dans le mur, et l'église a été surélevée. En 1869, on a posé sous le toit en bois une voûte en ciment supportée par des piliers construit dans ce but[31].
    L'église possède un grand christ en bois recouvert de plâtre et datant de sa fondation[32],[33], un confessionnal Renaissance et deux chapelles latérales en bois, avec statues en bois du XVIIIe siècle.
    Une dalle verticale rappelle que le cœur de M.F. de Lannois, ancien seigneur du lieu, est placé dans le mur.
  • Chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours : petite chapelle, route de la Gare fondée vers 1630, reconstruite en 1776. Une neuvaine y a lieu chaque année au mois de juillet[34].
  • Le château de Gannes.
  • Chapelle, dans une propriété.
  • Mémoriaux de guerre :
    • Le monument aux morts dans le cimetière.
    • La stèle à l'intersection de la D 164 et de la rue de l'Épinette, commémorant les sept aviateurs britanniques morts en 1944, en mémoire du crash du Lancaster HK 559 abattu par les Allemands la nuit du 17 au , lors des combats de la Libération de la France[35].
    • Les tombes des aviateurs britanniques, entretenues par la Commonwealth War Graves Commission .(CWGC).
  • Plusieurs calvaires sur le territoire de la commune.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Saint Vincent de Paul (1581-1660), prêtre et une figure du renouveau spirituel, apostolique du catholicisme français du XVIIe siècle, appelé en à Gannes auprès d’un vieillard mourant, lui fait une confession publique et générale et lance le lendemai la demande de Madame de Gondi un appel à la confession au cours d'un sermon mémorable prononcé dans l'église de Folleville, considéré comme l’origine de la fondation de la Congrégation de la Mission (ou Lazaristes), qui regroupait des prêtres missionnaires se rendant partout où les villageois n'étaient pas évangélisés[36].
    L'église conserve un tableau du XIXe siècle représentant « Saint Vincent de Paul prêchant[37] ».

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Gannes Blason
D'argent à la bande de gueules côtoyée de deux cotices du même[38].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Thierry Van Gasse, Gannes : Le village de GANNES et son patrimoine, , 66 p. (lire en ligne [PDF]).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Saint-Just-en-Chaussée, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, (lire en ligne [PDF]).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Gannes et Godenvillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Godenvillers » (commune de Godenvillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Godenvillers » (commune de Godenvillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « Transports en commun à Gannes », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  15. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 581.
  16. a b et c Philippe Boulfroy, Nom de lieux Picards et particularismes de l'Oise, , p. 142.
  17. « Courier d'Ét@t » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ) : « La démission pour convenances personnelles de M. Georges Van Vynck, maire de Gannes, a été acceptée le 2 février 2007. Il conserve cependant son mandat de conseiller municipal », p. 4.
  18. « L’ancien maire de Gannes décédé », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Georges Van Vynckt est né le 28 juin 1927 à Gannes, dans la ferme où il a toujours vécu comme agriculteur. Il a siégé 50 années au conseil municipal, dont 25 en tant que maire. Il avait volontairement passé la main il y a une dizaine d’années, avant la fin de son mandat pour assurer une transition en douceur ».
  19. Annuaire des Mairies de l'Oise (60), EIP (ISBN 978-2-35258-160-4, lire en ligne).
  20. « Conseil municipal », sur mairie-gannes.fr (consulté le ).
  21. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Les élus de Gannes », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3284,‎ , p. 20 (ISSN 1144-5092).
  22. « École », Vie pratique, sur mairie-gannes.fr, (consulté le ).
  23. « Des poules à l'école, c'est pédagogique et écologique », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Gannes (60268) », (consulté le ).
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  30. Photographie de Jacques Tealdi (1967) : « Intérieur : la nef vers le choeur [sic] », notice no AP02L08469, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
  31. Julien Heyligen, « Gannes : le clocher foudroyé résonne de nouveau… sauf la nuit : Le boîtier électrique avait explosé en juillet dernier. A l’extérieur, de nouvelles aiguilles ont été installées sur l’horloge dont les chiffres sont gravés dans la pierre. », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. « Christ sur la croix », notice no PM60000860, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  33. Photographie de C. David (1996) : « Croix : Christ en croix », notice no IVR22_19966003105ZA, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
  34. « Église - Chapelle », Patrimoine, sur mairie-gannes.fr (consulté le ).
  35. Benjamin Derveaux, « Oise : les descendants des aviateurs morts dans le crash de Gannes leur rendent hommage : Pour le 75e anniversaire du crash du Lancaster HK 559 abattu par les Allemands en juin 1944, leurs familles avaient fait le voyage depuis l’Angleterre, l’Ecosse, et l’Australie », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  36. « Saint Vincent de Paul à Gannes », Patrimoine, sur mairie-gannes.fr (consulté le ).
  37. « Tableau : Saint Vincent de Paul prêchant », notice no OA060_20206000196, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
  38. « L'Armorial », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).