Saint-Barthélemy (Morbihan)

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Saint-Barthélemy
Saint-Barthélemy (Morbihan)
La chapelle Saint-Adrien.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Pontivy
Intercommunalité Baud Communauté
Maire
Mandat
Yolande Kervarrec
2020-2026
Code postal 56150
Code commune 56207
Démographie
Gentilé Bartholéméen, Bartholéméenne
Population
municipale
1 168 hab. (2021 en diminution de 1,93 % par rapport à 2015)
Densité 53 hab./km2
Population
agglomération
13 500 hab.
Géographie
Coordonnées 47° 55′ 36″ nord, 3° 02′ 38″ ouest
Altitude 90 m
Min. 27 m
Max. 151 m
Superficie 21,9 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Pontivy
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Barthélemy
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Saint-Barthélemy

Saint-Barthélemy [sɛ̃.baʁ.te.le.mi] est une commune française, située dans le département du Morbihan en région Bretagne.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte de la commune de Saint-Barthélemy et des communes avoisinantes.
Communes limitrophes de Saint-Barthélemy
Melrand Pluméliau-Bieuzy
Quistinic Saint-Barthélemy Guénin
Baud



Relief et hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est vallonnée, l'altitude étant comprise entre 27 mètres au niveau de la vallée du Blavet et 151 mètres sur les hauteurs à la limite orientale de la commune. Le bourg est situé au centre du territoire communal, à une altitude voisine de 100 mètres.

La commune est limitée à l'ouest par le fleuve côtier Blavet, qui sert de frontière naturelle avec Melrand et Quistinic, et dont le cours est canalisé (écluses de Tréblavet, de Talhouët et de Pont Saint-Adrien). Plusieurs affluents de rive gauche de celui-ci limitent ou traversent son finage : le ruisseau de Saint-Thuriau sert de limite avec Pluméliau (désormais Pluméliau-Bieuzy), de même que le ruisseau du Moulin de Guervaud sur la partie amont de son cours (celui-ci traverse le nord-ouest du territoire comunal dans sa partie aval) ; le Ruisseau du Mounin de Kerhuilc passe juste au sud du bourg ; enfin le Ruisseau du Roffol (dénommé aussi Ruisseau de Kermorvan ou de Kerdualic dans sa partie amont et Ruisseau de Kernars dans sa partie aval) sert de limite avec Baud.

Le sous-sol de la commune est constitué essentiellement de schiste.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[2]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur », exposée à un climat médian, à dominante océanique[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 964 mm, avec 14,2 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Moréac à 17 km à vol d'oiseau[4], est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 043,7 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Paysages et habitat[modifier | modifier le code]

La commune présente un paysage agraire traditionnel de bocage avec un habitat dispersé en écrts formés de hameaux ("villages") et fermes isolées. Les espaces boisés sont peu nombreux, occupant essentiellement certains fonds de vallée.

La commune a conservé pour l'essentiel son aspect rural (le patrimoine bâti traditionnel est en moellons de schiste dans la partie est et de granite dans la partie ouest de la commune, ce dernier provenant des communes voisines situées plus à l'ouest)[8].

Toutefois, en raison de la proximité de Baud, le bourg a connu depuis la Seconde Guerre mondiale une large expansion, surtout à l'est du bourg traditionnel.

Transports[modifier | modifier le code]

La ligne de chemin de fer d'Auray à Pontivy, qui emprunte la vallée du Blavet, traverse l'ouest de la commune[9]. Une gare existait à Saint-Rivalain, dans l'angle nord-ouest du territoire communal.

La RD 768 (ancienne Route nationale 168), aménagée en voie expresse, qui va de Baud à Pontivy et au-delà Saint-Brieuc, longe, en l'écornant quelque peu, la limite orientale de la commune, laquelle est desservie par l'échangeur de Lann Pontual qui, via la RD 203, dessert le bourg de Saint-Barthélemy, lequel est aussi desservi par la RD 142 qui vient directement de Baud et continue ensuite en direction de Melrand.

Le Blavet canalisé n'a pas suscité d'activité nautique notable dans la commune.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Barthélemy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

Occupation des sols en 2018
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Tissu urbain discontinu 2,9 % 65
Terres arables hors périmètres d'irrigation 65,9 % 1460
Prairies et autres surfaces toujours en herbe 2,5 % 55
Systèmes culturaux et parcellaires complexes 15,8 % 349
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants 6,7 % 149
Forêts de feuillus 5,3 % 117
Forêts de conifères 0,8 % 18
Forêts mélangées 0,1 % 2
Source : Corine Land Cover[15]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Saint-Barthélémy, en breton Bartelame[16], est une commune récente créée le , date où son territoire est détaché de celui de Baud.

Saint-Barthélémy est venu d'une tentative de christianisation du breton Bartelame qui est un toponyme sans rapport avec saint Barthélemy.

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Les deux menhirs de Kernars.

Les menhirs de Kernars datent du Néolithique et la stèle gauloise de Khérel de l'Âge du fer. Un souterrain datant de l'époque gauloise existe à la Villeneuve.

Antiquité[modifier | modifier le code]

Une voie romaine menant à Castennec, l'ancienne Sulim, traverse la commune en passant par Talforêt, à Tylosquet et au Henven. Un reste de retranchement d'un camp romain est signalé à Pen-Mané par Joseph-Marie Le Méné[17].

Moyen-Âge[modifier | modifier le code]

Saint-Barthélemy est issu d'un démembrement de la paroisse de l'Armorique primitive de Baud et dépendait du doyenné de Porhoët[18].

Le manoir de Kerhuillic est attesté dès 1390 et dans les réformation et montres de la noblesse dès 1448 comme appartenant à la famille de Kerhuelic (Henry de Kerhuelic est cité dans la réformation de 1427)[19].

Temps modernes[modifier | modifier le code]

Froment, seigle, avoine, blé noir et chanvre étaient traditionnellement cultivés, de même que les pommiers à cidre ; l'élevage bovin était important[8].

Avant 1789 la trève de Saint-Barthélémy comptait sept moulins à eau, tous situés sur les affluents du Blavet : Roffol, Kernars, Talhouët, Saint-Adrien, Kercadio, Tréblavet et Squirio. Quatre de ces moulins (Talhouët, Tréblavet, Kernars et Roffol) fonctionnaient encore en 1922[20].

Le XIXe siècle[modifier | modifier le code]

Le cadastre de 1826 montre un hameau de quelques fermes regroupées à l'ouest de la chapelle Saint-Barthélemy, uniquement desservie par des chemins ruraux c'est pourtant ce hameau qui fut choisi en 1867 comme centre de la nouvelle commune lors de sa création[21].

Ancienne trève de Baud, Saint-Barthélemy est érigée en commune le et devient une paroisse à part entière en 1871. Ceci était demandé depuis 1860 par de nombreux habitants qui se trouvaient trop éloignés de Baud[22].

Les premières élections municipales furent organisées le . Une mairie école fut construite en 1879 et une nouvelle église paroissiale en 1895, en remplacement de l'ancienne chapelle tréviale, laquelle fut détruite en 1912. Le bourg se déplaça progressivement depuis le "Vieux bourg" aux alentours de la nouvelle église[22].

Le XXe siècle[modifier | modifier le code]

La Belle Époque[modifier | modifier le code]

La Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts de Saint-Barthélemy porte les noms de 82 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux 9 sont morts en Belgique (dont 6 dès 1914, 1 en 1915 et 2 en 1918) ; Julien Le Louer dans l'actuelle Macédoine du Nord en 1917 ; Joseph Thubaut en 1918 alors qu'il était en captivité en Allemagne ; tous les autres sont morts sur le sol français (parmi ceux-ci Julien Le Bras, Jean Le Gall et Joseph Le Métayer ont été décorés à la fois de la Médaille militaire et de la Croix de guerre)[23].

L'Entre-deux-guerres[modifier | modifier le code]

La Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts de Saint-Barthélemy porte les noms de 13 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale ; parmi elles Alexandre Cargouet, Pierre Kerguenal, Jean Le Bras, Adrien Malard et Gaston Russel sont des soldats qui ont été tués lors de la Bataille de France au printemps 1940 ; Jean Le Dortz, gendarme à Écouché (Orne), résistant, déporté au camp de concentration de Neuengamme, décédé le des suites de sa déportation, chevalier de la Légion d'honneur, Croix de guerre avec palmes ; René Pierre Le Pessec, dit "commandant Gaston", résistant, a été tué en mars 1944 après avoir été emprisonné à Vannes , puis à Locminé (son corps n'a jamais été retrouvé)[24] ; Jean Dabet, aussi résistant, a été tué à l'ennemi à Pluméliau le  ; Eugène Jan est mort en captivité en Allemagne ; Mathurin Lorcy est mort le en Allemagne[23].

L'après Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Un soldat (Éloi Le Tutour) originaire de Saint-Barthélemy est mort pour la France pendant la Guerre d'Algérie[23].

Le XXIe siècle[modifier | modifier le code]

La supérette Vivéco, qui avait ouvert en 2016 en reprenant les locaux d'Intermarché, a fermé le [25] ; elle a rouvert sous l'enseigne Proxi Super en février 2022[26]. « Ce qui nous a animé, mon épouse et moi, à la base, c’est notre volonté d’amener davantage de commerce dans la ruralité » a déclaré François Thenadey, époux de la gérante du nouveau magasin[27].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[28]
Période Identité Étiquette Qualité
octobre 1867 1874 François Henrio[Note 2]   Cultivateur. Premier maire de Saint-Barthélemy.
1874 1878 Jean-François Bellec[Note 3]   Laboureur.
1878 mai 1892 Mathurin Le Gourriérec[Note 4]   Cultivateur. Meunier. Propriétaire.
mai 1892 décembre 1919[29] Louis Naizin[Note 5] Républicain
progressiste
Cultivateur. Conseiller d'arrondissement (1907 → 1913)
décembre 1919[29] 1934 Joseph Le Gourriérec[Note 6] Républicain Meunier. Fils de Mathurin Le Gourriérec, maire entre 1878 et 1892.
1934 mai 1935 Joseph Kerjouan    
mai 1935 septembre 1938
(décès)
Yves Guilloux[Note 7]   Ancien combattant.
septembre 1938 janvier 1939
(décès)
Joseph Le Guéhennec
(1884-1939)
PDP Conseiller d'arrondissement (1937 → 1939)
janvier 1939 mars 1965 Joachim Le Gal
(1887-1966)
  Ancien cultivateur
mars 1965 octobre 1979
(démission)
Jacques Ollivier[30],[31]
(1934-2015)
FGDS
puis PS
Instituteur puis directeur d'école
Conseiller général du canton de Baud (1976 → 1979)
Réélu en 1971 et 1977
octobre 1979[32] mars 1989 Alphonse Kervarrec[33]
(1926-2016)
DVG Négociant en produits agricoles, résistant
Premier adjoint (1965 → 1979)
Réélu en 1983
mars 1989 mars 2014 Noël Maho DVG Chef d'entreprise retraité (Groupe Maho)
Réélu en 1995, 2001 et 2008
mars 2014[34] En cours Yolande Kervarrec DVG Responsable des achats, adjointe au maire (2010 → 2014)
4e vice-présidente de Baud Communauté (2021 → )
Réélue en 2020[35]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1872. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37].

En 2021, la commune comptait 1 168 habitants[Note 8], en diminution de 1,93 % par rapport à 2015 (Morbihan : +3,21 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
1 5161 6111 7061 7001 7601 8011 8621 9321 907
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
1 8611 8001 9211 9501 9091 5641 5011 3751 343
1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017 2021 -
1 1881 0931 0501 1101 1191 1941 1641 168-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église paroissiale Saint-Barthélemy : elle date de 1891 (elle a remplacé l'ancienne chapelle tréviale, devenue trop petite), est en forme de croix latine et de style néo-gothique. La croix de mission est érigée en 1912 et le clocher date de 1913[42].
  • Chapelle Saint-Thuriau, dédiée à saint Thuriau : elle date de la fin du XIXe siècle (1885), est de plan rectangulaire à nef unique et chevet plat : elle a remplacé une chapelle antérieure datant probablement du XVIe siècle dont le pardon était très fréquenté. Elle conserve la dépouille du chef chouan Claude Lorcy[43].
  • Chapelle Saint-Guen, dédiée à saint Guen (Gwenn (sainte) ?), mais aussi à saint Méen ; située dans le village de Saint-Guen, de plan rectangulaire et construite en moellons de granite et de schiste, elle a été reconstruite au XVIIIe siècle et restaurée en 1974[44]. Une fontaine de dévotion se trouve à proximité[45].
  • Chapelle Saint-Fiacre, dédiée à saint Fiacre : située dans le village de Saint-Fiacre, elle date de la fin du XIVe siècle ou du début du XVe siècle, mais a été largement transformée par la suite, notamment au début du XVIIe siècle, ainsi qu'au XIXe siècle ; elle est de plan rectangulaire et à nef unique. Une nouvelle restauration, avec ajout d'une sacristie, a eu lieu après l'effondrement de son pignon ouest survenu en 1952[46].
  • Chapelles disparues :
    • Chapelle Saint-Corentin : située dans le village de Saint-Corentin, elle datait du XVIIe siècle. Il subsiste la fontaine de dévotion[47].
    • Une chapelle a existé à Saint-Ily ;une fontaine de dévotion y était encore visible à la fin du XIXe siècle.
  • Les fontaines et lavoirs : « Je ne connais aucun autre lieu où les vestiges du culte de l'eau soient aussi nombreux et aussi frappants » a écrit François Marie Cayot-Délandre. Même si certaines ont disparu depuis, il en subsiste 7 qui sont répertoriées, souvent associées à des lavoirs[48].
  • Le château ou manoir de Kerhuelic ou Kerhuilic était jadis une importante maison noble qui possédait un moulin et une chapelle privée aujourd'hui désaffectée. Le Manoir de Kerhuilic est attesté depuis 1390[19]. Daté de 1555, la métairie, bâtie à l'écart du logis seigneurial, affiche les armoiries de ses bâtisseurs. Le bâtiment abrite, sous un même toit, le logis du métayer et les greniers de la seigneurie[49].
  • Château de Pen-Mané : il date de la fin du XIXe siècle et a remplacé un ancien manoir qui avait appartenu à la famille de La Fuglaie et racheté vers 1850 par la famille Le Courrierec de Talnay[50].
  • De nombreuses fermes et maisons de la commune présentent un intérêt patrimonial[51].
  • Les menhirs de Kernars.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. François Henrio, né le au bourg de aint-Barthélemy, décédé le au bourg de Saint-Barthélemy.
  3. Jean François Bellec, né le à Melrand, décédé le à Saint-Barthélemy.
  4. Mathurin Le Gourriérec, né le à Coët Pourron en Baud, décédé le à Talvern en Saint-Barthélemy.
  5. Louis Naizin, né le à Guénin.
  6. Joseph Marie Le Gourriérec, né le au moulin de Roffol en Saint-Barthélemy.
  7. Yves Guilloux, né le à Lignol, décédé en 1938 à Saint-Barthélemy.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Saint-Barthélemy et Moréac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Moreac » (commune de Moréac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Moreac » (commune de Moréac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. a et b « Présentation de la commune de Saint-Barthélemy », sur patrimoine.bzh, (consulté le ).
  9. « Voie ferrée (Saint-Barthélemy) », sur patrimoine.bzh, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « Données statistiques sur les communes de Métropole ; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
  16. Saint-Barthélemy , geobreizh.bzh.
  17. Joseph-Marie Le Méné, Histoire archéologique, féodale et religieuse des paroisses du diocèse de Vannes, Vannes, Imprimerie de Galles, .
  18. « Étymologie et histoire de Saint-Barthélemy », sur infobretagne.com (consulté le ).
  19. a et b « Manoir, Kerhuilic (Saint-Barthélemy) », sur patrimoine.bzh, (consulté le ).
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  21. « Village, dit bourg de Saint-Barthélemy », sur patrimoine.bzh, (consulté le ).
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  24. Julie Schittly, « Morbihan. Où repose le commandant Gaston, tué en 1944 ? », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. « À Saint-Barthélémy, la supérette Vivéco fermera le 23 janvier », Journal Le Télégramme,‎ 5 jznvier 2022 (lire en ligne, consulté le ).
  26. « Saint-Barthélemy. Proxi Super ouvre ses portes lundi », Journal Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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  28. Liste des maires de Saint-Barthélemy (en fin de document)
  29. a et b « M. Naizin, maire de Saint-Barthélémy depuis 27 ans, ne se représentait pas. Mais son fils s'était mis à sa place à la tête de la liste libérale. M. Joseph Le Gourrierec avait constitué une liste républicaine. Celle-ci a été entièrement élue. », L'Ouest-Éclair, 3 décembre 1919.
  30. Notice OLLIVIER Jacques par François Prigent, version mise en ligne le 26 juin 2013, dernière modification le 9 septembre 2022
  31. « Décès de Jacques Ollivier, ancien maire », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
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  33. « Nécrologie. Alphonse Kervarrec, maire honoraire », Le Télégramme,‎ (lire en ligne).
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  38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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  49. Christel Douard et Jean Kerhervé, Manoirs : Une histoire en Bretagne, Châteaulin, Locus Solus, , 215 p. (ISBN 978-2-36833-338-9), p. 93.
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Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]