Frédéric Lefebvre

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Frédéric Lefebvre
Illustration.
Frédéric Lefebvre lors d'un meeting UMP
à Issy-les-Moulineaux, le 18 février 2010.
Fonctions
Député de la 1re circonscription des Français établis hors de France
En fonction depuis le
(10 ans, 10 mois et 29 jours)
Législature XIVe
Prédécesseur Corinne Narassiguin
Secrétaire d'État chargé du Commerce, de l'Artisanat, des Petites et Moyennes Entreprises, du Tourisme, des Services, des Professions libérales et de la Consommation

(1 an, 5 mois et 26 jours)
Président Nicolas Sarkozy
Gouvernement François Fillon III
Prédécesseur Hervé Novelli
Successeur Sylvia Pinel
(Commerce, Artisanat et Tourisme)
Fleur Pellerin
(Petites et Moyennes Entreprises)

Benoît Hamon
(Consommation et économie solidaire)

Député de la
10e circonscription des Hauts-de-Seine

(2 ans et 4 jours)
Législature XIIIe
Prédécesseur André Santini
Successeur André Santini
Biographie
Date de naissance (60 ans)
Lieu de naissance Neuilly-sur-Seine (Seine)
Nationalité Drapeau de la France Française
Parti politique RPR
UMP
Profession Chef d'entreprise
Avocat

Frédéric Lefebvre, né le à Neuilly-sur-Seine (Seine), est un homme politique Français.

Membre de l'UMP, dont il est un temps porte-parole, il est député de la dixième circonscription des Hauts-de-Seine de 2007 à 2009, en tant que suppléant d'André Santini. Dans le gouvernement Fillon III, de 2010 à 2012, il est secrétaire d'État chargé du Commerce, de l'Artisanat, des Petites et Moyennes Entreprises, du Tourisme, des Services, des Professions libérales et de la Consommation. Il est élu député de la première circonscription des Français établis hors de France en 2013.

Biographie

Débuts au sein des cabinets

Fils d'un médecin « antigaulliste[1] » à cause de la guerre d'Algérie, Frédéric Lefebvre est marié à la graphologue Valérie Lefebvre, et père de deux enfants, Quentin et Alix.

Il est responsable des jeunes RPR de Garches lorsqu'il rencontre Nicolas Sarkozy à l'occasion de la campagne présidentielle de Jacques Chirac de 1981[2].

Licencié en droit privé et titulaire d'un DEA en droit public interne, il débute sa carrière en 1986 comme collaborateur de Gérard-Henri Mathieu, secrétaire général du groupe RPR au Conseil de Paris[3].

En 1987, il rejoint le cabinet de Jacques Chaban-Delmas, président de l'Assemblée nationale, comme chargé de mission aux côtés de Patrick Ollier. En 1988, ce dernier l'embauche pour devenir, jusqu'en 1993, son assistant parlementaire ainsi que celui de Michèle Alliot-Marie[3].

Il entre au conseil municipal de Garches en 1989, et devient adjoint au maire[2].

Conseiller de Nicolas Sarkozy et lobbyiste

À partir de 1993, il collabore avec Nicolas Sarkozy, ministre du Budget et porte-parole du gouvernement Édouard Balladur, d'abord comme attaché parlementaire, puis comme chef adjoint de cabinet, chargé de la communication jusqu'à la victoire de Jacques Chirac à l'élection présidentielle de 1995, durant laquelle il a organisé les déplacements de soutien de Nicolas Sarkozy à Édouard Balladur.

De 1995 à 2002, il est assistant parlementaire de Nicolas Sarkozy à mi-temps. À cette époque, en 1996, il crée avec notamment Steven Zunz et Stéphan Denoyés, anciens assistants parlementaires de Christian Estrosi et Charles-Ange Ginesy, Perroquet institutionnel communication (Pic conseil), cabinet parisien de communication institutionnelle et de lobbying[4], ayant pour clients entre autres les industries du tabac, de l'alcool et les casinos[5]. Même s'il dit ne plus être actif dans sa société depuis 2000[6], il a touché 199 325  à titre d'actionnaire en 2008, d'après un document interne à Pic Conseil[7].

En mai 2002, après la nomination de Nicolas Sarkozy comme ministre de l'Intérieur, puis au ministère de l'Économie, des Finances et de l'Industrie, il reprend son rôle de conseiller, chargé des Relations avec le Parlement jusqu'en novembre 2004, et comme chargé de relations avec les élus entre 2004 et 2005, dans son cabinet de président du conseil général des Hauts-de-Seine[3]. À ces fonctions, il tisse des réseaux pour le compte du ministre auprès des parlementaires UMP, ce qui permet à Nicolas Sarkozy de briguer la tête du parti, puis la présidence de la République[8].

Réélu adjoint au maire de Garches aux municipales de 1995 et 2001, il siège à la communauté d'agglomération Cœur de Seine[9] depuis sa création en 2005 et jusqu’à l'obtention de son poste de député d'Issy-les-Moulineaux et de Vanves, obtenu par la nomination en tant que ministre d'André Santini, dont il était le suppléant. Il est aussi élu en 2004 conseiller régional d'Île-de-France sur la liste d'union UMP-UDF-MPF de l'opposition régionale.

Pic conseil, dont Frédéric Lefebvre était encore l'actionnaire majoritaire en nue-propriété fin 2006, s'unit en 2004 à une autre agence de lobbying, Causalis, sous la marque Domaines publics et vend notamment ses services au Syndicat national des professionnels immobiliers, au groupe Lucien Barrière, à Bouygues, à Altadis, et à Alcatel. En janvier 2005, Frédéric Lefebvre fonde une société de conseil en communication, Frédéric Lefebvre Conseil[10], et reprend à mi-temps, en juin suivant, ses fonctions de conseiller chargé des relations avec le Parlement après le retour de Nicolas Sarkozy au ministère de l'Intérieur[11].

Après avoir créé le « pôle relation élus » de l’UMP en novembre 2004, il devient quelques mois plus tard directeur de cabinet du président de l'UMP, puis membre de son équipe de campagne pour l'élection présidentielle de 2007. Lors de la réorganisation de l'UMP qui suit la victoire de Nicolas Sarkozy, il est nommé secrétaire national de l’UMP chargé de l’économie, des finances publiques et des nouvelles technologies. Il occupe cette fonction jusqu'en 2011[12].

De à , Frédéric Lefebvre est coresponsable de la e-campagne de Valérie Pécresse pour les élections régionales d'Île-de-France.

Député, porte-parole de l'UMP

Aux élections législatives de 2007, Frédéric Lefebvre est choisi comme suppléant par le député sortant de la dixième circonscription des Hauts-de-Seine, le centriste André Santini, qui, réélu le avec 55,90 % des voix au second tour, est nommé dans le 2e gouvernement Fillon le 19 juin. Frédéric Lefebvre est ainsi proclamé député le à sa place, siégeant au sein du groupe UMP alors qu'André Santini s'était inscrit dans le groupe Nouveau Centre[1].

À l’Assemblée nationale, il multiplie les responsabilités dans le domaine économique et financier. Membre de la commission des Finances, il est nommé rapporteur du budget de l’emploi et prend la parole sur « les niches fiscales, les retraites, les prêts à taux variable, le tarif social pour le gaz, la participation des salariés aux résultats des entreprises, les règles anti-concentration pour les chaînes hertziennes, l'adhésion de la Turquie à l'Union européenne... »[13], au point d'« irrite[r] au sein du groupe, où beaucoup se méfient de sa proximité avec le chef de l'État »[14], mais parvient à faire voter à l'Assemblée huit de ses amendements à l'unanimité durant la première session parlementaire de 2008[15].

Président avec Jérôme Chartier d’un groupe de travail sur le pouvoir d’achat au sein du groupe UMP, il est coprésident du club parlementaire sur l'avenir de l'audiovisuel public et du groupe d'études sur l'audiovisuel et le cinéma, travaillant sur les réformes de l'audiovisuel en parallèle de la commission Copé, provoquant ainsi des tensions au sein du parti majoritaire[16]. Il est ainsi l'auteur d'amendements discutés, tel celui voté par l'Assemblée nationale le 5 juin 2008 relevant de 2,5 % à 8 % le seuil d'audience d'une chaîne de télévision en dessous duquel la chaîne n'a pas à se conformer au plafond de 49 % de détention de son capital par un même opérateur. Cet amendement a été critiqué comme trop favorable à TF1 et M6[17]. Il est également l'auteur, en 2008, d'un amendement sur la discrimination positive à France Télévision[18].

Très présent dans les médias par sa fonction de porte-parole du parti présidentiel, qu'il occupe de à , il multiplie les prises de parole, sans craindre la polémique[8]. Ainsi, il critique en mai 2008 l'absence de reprise par l'AFP de communiqués de presse de l'UMP concernant Ségolène Royal[8], affirme que les « provocations » des collectifs d'aide aux étrangers en situation irrégulière dont RESF auraient amené à l'incendie du centre de rétention de Vincennes[19],[20], et défendant en février 2009 la proposition d'Éric Besson de régulariser les immigrés clandestins qui dénonceraient des passeurs, en déclarant que « la dénonciation est un devoir républicain »[21], à ne pas confondre avec la délation, qui, elle, est « condamnable »[22]. Ces déclarations fracassantes, parfois appelées lefebvreries, lui valent le surnom de « sniper de l'UMP »[23].

Le , lors du remaniement ministériel, André Santini n'est pas reconduit au gouvernement[24]. En conséquence, à la suite de la modification de l'article 25 de la réforme constitutionnelle de l'année précédente, André Santini a la possibilité de retrouver son siège automatiquement. Le , le président de l'Assemblée nationale, Bernard Accoyer, annonce que Frédéric Lefebvre n'est plus député.

Partisan déclaré de la régulation d'Internet, Frédéric Lefebvre s'est beaucoup exprimé sur le sujet. Il déclare, en décembre 2008, que « l'absence de régulation du Net provoque chaque jour des victimes ». Certains[Qui ?] lui reprochent alors un amalgame très controversé[25] entre internautes et trafiquants, proxénètes, racistes, violeurs et psychopathes[26]. Il a également comparé certains sites de streaming illégaux à des dealeurs de drogue[27] et lié éducation des enfants et piratage[28]. Dans le cadre de la loi Création et Internet, dite loi Hadopi, il a déposé un amendement pour taxer les sites collaboratifs au profit de France Télévisions[29]. Il a également défendu un amendement mettant l'Internet français sous tutelle du CSA : « Le CSA, dont chacun se plait à souligner le travail en matière de protection des enfants sur tous les diffuseurs de contenus, doit pouvoir étendre son action à Internet[30]. » Ces positions lui valent en 2009 un Big Brother Award[31].

Frédéric Lefebvre prête serment comme avocat au barreau de Paris le [32].

Du à , il est chargé de l'économie, de la refondation du capitalisme et du nouveau partage des richesses à la direction de l'UMP[33]. Il cumule ces fonctions avec celles de porte-parole du parti présidentiel. Avec les ateliers du changements, il est également l'un des instigateurs de plusieurs propositions pour réformer le capitalisme[34].

Secrétaire d'État

Le , Frédéric Lefebvre est nommé secrétaire d'État auprès de la ministre de l'Économie, des Finances et de l'Industrie, chargé du Commerce, de l’Artisanat, des Petites et Moyennes Entreprises, du Tourisme, des Services, des Professions libérales et de la Consommation, dans le gouvernement François Fillon III, succédant ainsi à Hervé Novelli, avec un portefeuille élargi notamment aux professions libérales. Son passage est marqué par un mouvement de simplification pour les entreprises, particulièrement les PME[35]. Il lance également sur le modèle de la fête de la musique initiée par Jack Lang, la première fête de la gastronomie[36], qui sera poursuivie par le gouvernement Ayrault dans lequel 4 ministres différents se partagent son portefeuille : Benoît Hamon à la consommation, Fleur Pellerin aux PME, Sylvia Pinel à l'artisanat et au tourisme, le reste de son portefeuille étant assumé directement par Pierre Moscovici.

Député des Français de l'étranger

Il fonde un think tank, dénommé Nouveaux Horizons[37].

Fin 2011, Frédéric Lefebvre est désigné par l'UMP candidat aux législatives pour la première circonscription des Français établis hors de France (États-Unis et Canada)[38],[39]. Devant faire face à des candidatures dissidentes à droite, il arrive en deuxième position au premier tour et est battu au second par la socialiste Corinne Narassiguin, qui remporte 54,01 % des voix[40]. Le , le Conseil constitutionnel annule le scrutin en raison d'irrégularités et déclare Corinne Narassiguin inéligible.

Il arrive en tête du premier tour de l'élection législative partielle, devançant notamment de plus de 20 % le candidat de l'UDI Louis Giscard d'Estaing qui n'atteint pas les 9 %[41]. À l'issue du second tour, le , il est élu député face au candidat socialiste, Franck Scemama, avec 53,72 % des voix, dans un contexte de forte abstention[42],[43].

Il dépose quatre propositions de loi dans la semaine qui suit son élection, et fait adopter un amendement au projet de loi sur la consommation, tout en adoptant un discours moins offensif qu'à l'époque où il était dans la majorité[44].

En 2013, il lance une pétition pour « une règle de platine » sur les prélèvements obligatoires en France[45]. En 2014, il assiste au voyage de François Hollande aux Etats-Unis et ce dernier le félicite pour son « esprit républicain » alors que Frédéric Lefebvre prône l'unité et titille le Président d'un « chiche » qui fait couler beaucoup d'encre[source insuffisante][46].

Détail des mandats et fonctions

  • -  : adjoint au maire de Garches (Hauts-de-Seine)
  • depuis le  : membre du conseil régional d'Île-de-France
  • -  : député de la dixième circonscription des Hauts-de-Seine (en tant que suppléant d'André Santini)
  • -  : vice-président de l'Association nationale pour la démocratie locale (ANDL)
  •  : Chevalier de l'ordre national du Mérite
  • -  : secrétaire d'État auprès de la ministre de l'Économie, des Finances et de l'Industrie, chargé du Commerce, de l'Artisanat, des Petites et Moyennes Entreprises, du Tourisme, des Services, des Professions libérales et de la Consommation
  • en 2011, Frédéric Lefebvre se voit décerner le prix de l'encouragement Press Club humour et politique
  • depuis le  : membre fondateur de l'Association "Les amis de Nicolas Sarkozy"
  • depuis le  : député de la première circonscription des Français établis hors de France
  • il est également membre de la commission de la défense nationale et des forces armées.

Bibliographie

  • Le mieux est l'ami du bien, (Le Cherche midi, 2011), (ISBN 9782749118710)
    Ce livre a été au centre d'une controverse concernant plusieurs passages qui ont été recopiés, sans citer la source, d'articles provenant de Wikipédia et de l'AFP[47],[48]. Son éditeur le défend cependant soulignant que l'essentiel est sourcé et que les passages incriminés sont dans un autre pas d'écriture. « L'origine des citations figure expressement dans le livre. Celles qui ont échappé à ma vigilance seront réintégrées par l'éditeur lors de la réimpression » a déclaré à ce sujet Frédéric Lefebvre[49].
  • Le travail aujourd'hui (Le Cherche midi, 2012)
    Frédéric Lefebvre livre dans cet ouvrage sa vision du travail.
  • Vous êtes prioritaires (2014)

Notes et références

  1. a et b Martine Chevalet, « Lefebvre, le député du président », Le Parisien, 28 mai 2008
  2. a et b « Frédéric Lefebvre », C à dire, France 5.
  3. a b et c Notice biographique in Who's Who in France, 2007
  4. Hélène Constanty, « À la croisée des couloirs », L'Express, 28 septembre 2006.
  5. Députés sous influences ISBN 978-2-213-63008-3 (Fayard)
  6. Frédéric Lefebvre a-t-il touché de l'argent des lobbys audiovisuels ?, Guillaume Champeau, Numerama, 17 novembre 2009
  7. Frédéric Lefebvre accusé de conflit d'intérêt, il dément, Tefy Andriamanana, L'express.fr, 13 novembre 2009
  8. a b et c Ivan Porspoder, « Lefèbvre, l'aboyeur de Sarkozy », leJDD.fr, 1er mai 2008
  9. « Compte-rendu de la séance d'installation du Conseil communautaire »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le )
  10. « Frédéric Lefebvre ou le retour de la Firme », Marianne2, 4 avril 2008
  11. Vincent Nouzille, Un Perroquet conseille l’Intérieur, Bakchich.info, 8 décembre 2006
  12. UMP - Notre équipe, site de l'UMP.
  13. Lefebvre (UMP): "rassurer sur la Turquie" , lefigaro.fr, 28 avril 2008
  14. P.F, « Ces députés UMP qui ont gagné en influence - Frédéric Lefebvre : l'ubiquiste », Les Échos, 2 juillet 2008
  15. « En forme - Frédéric Lefebvre », Le Point no1843, 10 janvier 2008
  16. Régis Soubrouillard, Frédéric Lefebvre ou le retour de la Firme, Marianne, 4 avril 2008
  17. « Première étape pour un allègement du seuil anticoncentration pour la TNT », Les Échos, 6 juin 2008.
  18. Diversité à la télévision : l'amendement Lefebvre adopté
  19. « Notre conférence. Lundi 13H », Mediapart, 23 juin 2008.
  20. « Incendie du centre de rétention: L’UMP met en cause RESF », Libération, 23 juin 2008.
  21. UMP : « La dénonciation est un devoir républicain », paru le , sur le site du Nouvel Observateur.
  22. La dénonciation est un devoir républicain
  23. Les meilleures sorties du "sniper" Frédéric Lefebvre, lemonde.fr, 15 novembre 2010
  24. « Décret du 23 juin 2009 relatif à la composition du Gouvernement », Légifrance
  25. « Ces propos sur la nécessité d'une régulation d'Internet témoignent d'une profonde méconnaissance de ce domaine, il ne connait absolument pas l'Internet », Pierre Kosciusko-Morizet, cofondateur de Price Minister et directeur de l'Association pour le commerce et les services en ligne.
  26. « La mafia s’est toujours développée là ou l’État était absent ; de même, les trafiquants d’armes, de médicaments ou d’objets volés et les proxénètes ont trouvé refuge sur Internet, et les psychopathes, les violeurs, les racistes et les voleurs y ont fait leur nid. », Première séance du lundi 15 décembre 2008 sur le site de l'Assemblée nationale
  27. http://www.20minutes.fr/article/302080/Media-Frederic-Lefebvre-Les-sites-comme-beeMotion-sont-des-dealers.php
  28. http://www.pcinpact.com/actu/news/49503-frederic-lefebvre-argent-poche-itunes.htm
  29. Vincent Delfau, « Frédéric Lefebvre pourrait succéder à Éric Besson à l'Économie numérique », Le Monde informatique, 6 janvier 2009
  30. http://www.assemblee-nationale.fr/13/cri/2008-2009/20090103.asp
  31. « Frédéric Lefebvre reçoit un Big Brother Award », Libération,‎ (lire en ligne, consulté le )
  32. « Frédéric Lefebvre devient avocat », dépêche AFP reprise par Le Figaro, 22 octobre 2009.
  33. « L'UMP s'attaque à la "refondation du capitalisme" », sur La Figaro,
  34. L'UMP s'attaque à la «refondation du capitalisme»
  35. Valérie Talmon, « Frédéric Lefebvre dévoile un programme de simplification pour les PME », sur Les Echos Business,
  36. Thibaut Danancher, « Frédéric Lefebvre : "La gastronomie écrit de belles histoires" », sur Le Point,
  37. [1]
  38. "Législatives : les batailles internes de la majorité", "Le Monde.fr, 9 janvier 2012
  39. Législatives : Frédéric Lefebvre à la conquête de l'Amérique, Le Point, 14 mai 2012.
  40. Résultats des élections législatives : 1re circonscription - Amérique du Nord, Le Monde, juin 2012.
  41. « Suite à l'invalidation de l'élection de Corinne Narassiguin (PS), Frédéric Lefebvre (UMP) a été élu en Amérique du Nord », sur Le Petit Journal,
  42. http://www.diplomatie.gouv.fr/fr/vivre-a-l-etranger/vivre-a-l-etranger-vos-droits-et/elections-legislatives-partielles/article/elections-legislatives-partielles-107272
  43. http://www.leparisien.fr/flash-actualite-politique/legislatives-frederic-lefebvre-elu-depute-des-francais-d-amerique-du-nord-09-06-2013-2880199.php
  44. « Frédéric Lefebvre, l'opposition médiatique », sur France-Amérique,
  45. Frédéric Lefebvre prône une «une règle de platine» en matière de fiscalité
  46. L’Élysée salue «l’esprit républicain» de Frédéric Lefebvre
  47. « FIGURE DE STYLE - Lefebvre copie-colle », bigbrowser.blog.lemonde.fr, 24 mars 2011.
  48. « Lefebvre plagie pour boucler son bouquin », Matthieu Deprieck, L'express.fr, 24 mars 2011
  49. Des références du livre de Frédéric Lefebvre empruntées et non sourcées

Voir aussi

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