Courville-sur-Eure
Courville-sur-Eure | |||||
L'église Saint-Pierre Classé MH (1907)[1]. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Eure-et-Loir | ||||
Arrondissement | Chartres | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Entre Beauce et Perche | ||||
Maire Mandat |
Hervé Buisson 2020-2026 |
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Code postal | 28190 | ||||
Code commune | 28116 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Courvillois | ||||
Population municipale |
2 806 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 252 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 27′ 03″ nord, 1° 14′ 28″ est | ||||
Altitude | Min. 155 m Max. 194 m |
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Superficie | 11,13 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Courville-sur-Eure (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Chartres (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Illiers-Combray | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Liens | |||||
Site web | courville-sur-eure.fr | ||||
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Courville-sur-Eure est une commune française, située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.
Géographie
Situation
-
Courville-sur-Eure dans son arrondissement.
-
Carte de la commune de Courville-sur-Eure.
Communes limitrophes
Lieux-dits et écarts
- Lancey, Vaujoly, le Tronchet.
Hydrographie
Provenant de l'ouest par Chuisnes, la rivière l'Eure, affluent en rive gauche du fleuve la Seine, traverse le sud de la commune pour se diriger ensuite vers l'est et Saint-Luperce.
Voies de communication et transports
Desserte ferroviaire
La gare de Courville-sur-Eure se situe sur la ligne de Paris-Montparnasse à Brest.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Thimert », sur la commune de Thimert-Gâtelles, mise en service en 1979[8] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de précipitations de 622,3 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Chartres », sur la commune de Champhol, mise en service en 1923 et à 19 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[12] à 11 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Courville-sur-Eure est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Courville-sur-Eure, une unité urbaine monocommunale[18] de 2 867 habitants en 2017, constituant une ville isolée[19],[20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chartres, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 117 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21],[22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (86,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72,7 %), zones urbanisées (15,2 %), zones agricoles hétérogènes (8 %), eaux continentales[Note 8] (2,4 %), prairies (1,6 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes suivantes : Curvavilla vers 1030; Curba-villa en 1031; Corbevilla en 1168; Curbevilla en 1258; Courbeville en 1289; Courbville 1463; Corvilla en 1351; Saint-Nicolas de Courville en 1736[25],[26].
Il s'agit d'une formation toponymique médévale en -ville (ancien français vile) au sens ancien de « domaine rural, village »[25]. Il est précédé de l'adjectif courbe[25] dont l'association avec -ville donne un sens global obscur : que signifie exactement « domaine, village courbe » ?
L'Eure est une rivière qui prend sa source dans la région naturelle du Perche et qui coule dans les départements de l'Orne, d'Eure-et-Loir, de l'Eure et de la Seine-Maritime.
Histoire
Ancien Régime
Lorsqu'en l'an 877 l'hérédité des fiefs fut proclamée par l'édit de Kiersy, un ordre social nouveau remplace la société gallo-romaine : la féodalité se constitue. Partout se construisent des châteaux fortifiés, symboles de la domination féodale : Courville devint une châtellenie, sous la domination d'un petit seigneur féodal, appelé sire d'abord sous la famille Vieux-pont, puis baron avec les Billy et les Ligneris ; en 1656, la baronnie de Courville est érigée en marquisat lorsque cette seigneurie passe entre les mains des descendants de Sully[26].
Courville fut autrefois entouré de murailles et de fossés ; on y accède alors par plusieurs portes. Mais ces fortifications ne tardent pas à devenir inutiles. Au XIIe siècle, resserré dans les limites trop étroites de son enceinte, Courville s’agrandit, sa population augmente, sa bourgeoisie commerçante et aisée obtient des privilèges et peut prendre part à l'administration locale. Un syndic, nommé pour trois ans, est chargé de faire exécuter les « ordres du Roy et les ordonnances de Monseigneur l'Intendant et de veiller pareillement à tout ce qui pouvait être des intérêts de la communauté des habitants »[26].
Civilement, Courville faisaient partie de la généralité d'Orléans et de l'élection de Chartres : au point de vue religieux, il était le chef-lieu d'un doyenné relevant de l'archidiaconé de Chartres[26].
Révolution française et Empire
Par un décret du 15 janvier 1790, l'assemblée nationale divise la France en 83 départements, chacun d'eux étant partagé en district, les districts en cantons et ces derniers en municipalités. Le canton de Courville-sur-Eure est compris dans le district de Châteauneuf et composé de douze municipalités[Note 9]. Mais la loi du 28 pluviôse an VIII modifie cette organisation ; les districts sont remplacés par des sous-préfectures. Puis, l'arrêté du 29 fructidor an IX, qui réduit le nombre des cantons, constitue celui de Courville comme il l'est actuellement, en ajoutant quatre communes aux douze précédentes[26],[Note 10].
Époque contemporaine
Entre le 29 janvier 1939 et le 8 février, plus de 2 000 réfugiés espagnols fuyant l'effondrement de la république espagnole devant les troupes de Franco, arrivent en Eure-et-Loir. Devant l'insuffisance des structures d'accueil (le camp de Lucé et la prison de Châteaudun rouverte pour l’occasion), 53 villages sont mis à contribution[27], dont Courville-sur-Eure[28]. Les réfugiés, essentiellement des femmes et des enfants (les hommes sont désarmés et retenus dans le sud de la France), sont soumis à une quarantaine stricte, vaccinés, le courrier est limité, le ravitaillement, s'il est peu varié et cuisiné à la française, est cependant assuré[29]. Une partie des réfugiés rentrent en Espagne, incités par le gouvernement français qui facilite les conditions du retour, mais en décembre, 922 ont préféré rester et sont rassemblés à Dreux et Lucé[30].
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
Jumelages
La commune est jumelée depuis 1987 avec Alveston (South Gloucestershire)[37].
Ville | Pays | Période | ||
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Alveston[38] | Royaume-Uni | depuis |
Politique environnementale
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[40].
En 2021, la commune comptait 2 806 habitants[Note 11], en évolution de −0,14 % par rapport à 2015 (Eure-et-Loir : −0,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
La commune possède le plus grand collège d'Eure-et-Loir en termes de capacité d'accueil. Deux écoles primaires sont aussi présentes, une publique et l'autre privée catholique.
Sports et activités culturelles
Fondation | |
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Couleurs | Blanc et bleu |
Siège |
Rue Pannard, 28190 Courville-sur-Eure |
Président | Serge Juhel |
Sections actuelles | Basket-ball, boxe, Dentelle aux fuseaux, Football, Gymnastique volontaire, Judo, Karaté, Philatélie, Randonnée pédestre Tarot, Tennis et Yoga |
Sections anciennes | Gymnastique et la préparation militaire |
L'association régie par la loi 1901 Amicale courvilloise, fondée le 14 janvier 1913, a pour objet de regrouper des sections ayant pour but la promotion, l'apprentissage, la pratique et le développement de toute activité à caractère sportif ou culturel au bénéfice du plus grand nombre possible de pratiquants. À son origine, deux disciplines sont pratiquées : la gymnastique et la préparation militaire[43].
En 1920 apparaît la première équipe de football[44].
Manifestations culturelles et festivités
Économie
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Éolienne E. Lebert-Auguste Bollée (1902) d'une hauteur 20 mètres, située rue Masselin Inscrit MH (1993)[46] ;
- Porte provenant de l'église Saint-Nicolas, aujourd'hui incorporée à l'hôpital, place Saint-Nicolas Classé MH (1920)[47] ;
- Fresque murale du château d'eau.
-
Vue aérienne.
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Vue générale.
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Porte provenant de l'église Saint-Nicolas.
Personnalités liées à la commune
- Charles-François Panard (1689-1765), poète et auteur dramatique, né à Courville-sur-Eure ;
- La salle des fêtes de la ville portant son nom est inaugurée le 14 mai 1899. Elle est reconstruite au XXIe siècle dans la même rue portant son nom[48] ;
- Anne Nicolas Alexandre Texier (1772-1846), homme politique français né à Courville, maire de 1825 à 1832 et de 1835 à 1841, député d'Eure-et-Loir de 1830 à 1834 ;
- Christiane (1924-2018) et Jacques Tarride (1903-1994), acteurs installés dans la commune en 1972 ; À sa mort Christiane Tarride a fait un legs de 4 millions d'euros à la commune pour l'édification d'une salle de spectacle[49].
- Marcel Leturgeon (né en 1924), footballeur né à Courville-sur-Eure, finaliste de la Coupe de France 1951 ;
- Ludovic Sylvestre (né en 1984), footballeur ayant grandi à Courville-sur-Eure ;
- Quentin Minel (né en 1992), handballeur professionnel ayant commencé à Courville-sur-Eure.
Héraldique
Blason | D'argent à dix annelets de gueules ordonnés 3, 3, 3 et 1. |
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Détails | Armoiries de la famille de Vieuxpont. Adopté par la municipalité le . |
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
- Liste des cours d'eau d'Eure-et-Loir
- Liste illustrée des monuments historiques d'Eure-et-Loir
- Liste des gares d'Eure-et-Loir
- Liste des communes d'Eure-et-Loir
- Ancienne communauté de communes du Pays Courvillois
- Ancien canton de Courville-sur-Eure
Liens externes
- Site de la ville
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Courville-sur-Eure sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- À savoir : Courville, Billancelles, Chuisnes, Dangers, Fruncé, Landelles, Le Favril, Mittainvilliers, Pontgouin, Saint-Arnoult-des-Bois, Saint-Germain-le-Gaillard et Vérigny
- Fontaine-la-Guyon, Saint-Georges-sur-Eure et Saint-Luperce qui faisaient partie du canton de Bailleau-l'Évêque supprimé et Orrouer qui appartenait à celui d’Illiers-Combray
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
- « L'église Saint-Pierre », notice no PA00097088, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Thimert - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Courville-sur-Eure et Thimert-Gâtelles », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Thimert - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Courville-sur-Eure et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Courville-sur-Eure », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 219a.
- Armand Pelé, Courville, Essais historiques, Lafolye, coll. « Monographies des villes et villages de France », , 155 p..
- Jeanine Sodigné-Loustau, « L'accueil des réfugiés civils espagnols de 1936 à 1940. Un exemple : la région Centre », Matériaux pour l'histoire de notre temps. 1996, no 44. p. 43.
- Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 46.
- Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 43-44.
- Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 47.
- Châteaux en Eure-et-Loir, Charles Métais, volume 1er, Archives du diocèse de Chartres, 1902.
- Fiche personnalité Jean Robert BOUGEARD, sur perche-gouet.net
- Fiche personnalité Robert BIZARD, sur perche-gouet.net
- « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- https://www.lesbiographies.com/#/Biographie/BUISSON-Herve,68216
- Les amis des jumelages de Courville.
- « http://jumelage-courville.org/ » (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Amicale Courvilloise », sur courville-sur-eure.fr (consulté le ).
- « Le club », sur am_courville.sportsregions.fr (consulté le ).
- « Les objets classés de l'église », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « L'éolienne », notice no PA00125350, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « L'hôpital », notice no PA00097089, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Pannard, célèbre courvillois », sur courville-sur-eure.fr (consulté le ).
- "Eure-et-Loir : une comédienne lègue 4 millions d'euros à sa commune" sur franceinfo.fr, 18 octobre 2018.