Arzano (Finistère)

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Arzano
Arzano (Finistère)
L'église paroissiale Saint-Pierre-aux-Liens.
Blason de Arzano
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Finistère
Arrondissement Quimper
Intercommunalité Quimperlé Communauté
Maire
Mandat
Anne Borry
2020-2026
Code postal 29300
Code commune 29002
Démographie
Gentilé Arzanois
Population
municipale
1 419 hab. (2021 en augmentation de 2,31 % par rapport à 2015)
Densité 42 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 54′ 07″ nord, 3° 26′ 20″ ouest
Altitude Min. 6 m
Max. 97 m
Superficie 34,04 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Quimperlé
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Quimperlé
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Liens
Site web arzano.fr

Arzano ([aʁzano]) est une commune française située dans le département du Finistère, en région Bretagne. Historiquement, elle fait partie du pays vannetais et du Kemenet-Héboé.

Géographie

Arzano est une commune rurale dont le territoire s'étend entre les vallées de l'Ellé à l'ouest et du Scorff à l'est. La rivière Ellé sépare Arzano de Tréméven et Locunolé, tandis que la rivière Le Scorff sépare Arzano de Plouay et Cléguer. Le bourg occupe une position centrale et est situé à vol d'oiseau à 9 km au nord-est de Quimperlé, à 18 km au nord-ouest de Lorient, à 50 km à l'est de Quimper et à 58 km à l'ouest de Vannes.

La commune est vallonnée et s'étage entre 6 mètres et 97 mètres d'altitude. Le bourg est situé sur une colline dominant la vallée de l'Ellé. Le sous-sol est de constitution granitique.

Carte de la commune d'Arzano (contours de la commune en orange).

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

  • Moyenne annuelle de température : 11,5 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,9 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,6 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 11,6 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 1 071 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 15,2 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,6 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lorient-Lann Bihoue », sur la commune de Quéven, mise en service en 1952[7] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[9], à 12 °C pour 1981-2010[10], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[11].

Urbanisme

Typologie

Arzano est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[12],[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Quimperlé, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

Occupation des sols en 2018
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Tissu urbain discontinu 1,4 % 47
Terres arables hors périmètres d'irrigation 43,5 % 1 475
Prairies et autres surfaces toujours en herbe 8,8 % 299
Systèmes culturaux et parcellaires complexes 17,2 % 584
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants 1,5 % 52
Forêts de feuillus 14,4 % 487
Forêts de conifères 2,4 % 81
Forêts mélangées 9,9 % 337
Forêt et végétation arbustive en mutation 0,8 % 26
Source : Corine Land Cover[17]

Toponymie

Le nom de la paroisse est attesté historiquement sous les formes « Arzennou » en 1148, « Arthou » en 1167, « Arznou » en 1327 et 1387, « Arzenou » en 1380, 1382 et 1516, « Arzano » en 1536 et « Arsanno » en 1630[18].

Ce toponyme breton est un anthroponyme composé de arz, « ours » qui qualifie un « guerrier vigoureux »[19], et de gnou « connu, fameux »[20], « qui a la puissance de l'ours ». Il pourrait s'agir du nom d'un seigneur local.

En breton moderne, le nom de la commune est An Arzhanaou[18], prononcé [nahaˈnɔw].

Histoire

Moyen Âge et Temps Modernes

La plupart des terres d'Arzano étaient du fief de la seigneurie de La Roche-Moysan, une puissante seigneurie qui s'étendait également sur les paroisses voisines de Meslan, Rédené, Gestel, Lesbin (Pont-Scorff), Quéven, Ploemeur, Guidel et pour moitié de Groix. La seigneurie de La Roche-Moysan était un ancien démembrement de la seigneurie du Kemenet-Heboé. La seigneurie appartenait en 1282 à Geoffroi de La Roche Moisan, en 1294 à Olivier de Tinténiac et en 1382 à Jean de Vendôme. Jean de Vendôme vendit par acte du 2 février 1382, à Charles de Rohan, seigneur de Guémené, le château, la terre et la châtellenie de la Roche-Moysan avec les moulins, bois et tout ce qui en dépendait[21]. La seigneurie resta aux mains de la famille des Rohan, branche de Rohan-Guémené jusqu'à la Révolution française[22]. Le siège de la seigneurie était à l'origine le château de La Roche-Moyzan situé à Arzano sur la rive droite du Scorff mais le voyant ruiné, Louis de Rohan-Guémené transfèrera le siège à Tréfaven en Ploemeur en 1482. Les vestiges de ce château sont encore visibles aujourd'hui. Il s'agit de la motte castrale du Roc'h.

Blason famille Bizien, sieurs de Kerigomarc'h.

Plusieurs manoirs existaient sur le territoire de la paroisse d'Arzano. Jean-Baptiste Ogée cite le manoir de Kerenech qui appartenait en 1240 à Philippe de Kerysequel, le manoir de Kerygomarch en 1250 à François Bizien, le manoir de Kerguegan en 1410 à Alain Henri, le manoir de La Villeneuve en 1420 à Terrien Penhoët et le manoir de Taluangorn (Talgorn), en 1500, à Jean Kerouallan.

Le manoir de Kerygomarch, propriété de la famille Bizien depuis au moins le XIIIe siècle (en 1248, Hamon Bizien participe à la septième croisade), prit par la suite le nom de manoir de Laz, par déformation du nom de ses nouveaux propriétaires (en 1610, Marie Bizien, dernière du nom, se marie avec Paul de l'âge de Volude, baron de La Chastre, un seigneur charentais) ; le « manoir du Lage » devint progressivement le « manoir du Laz ». Le domaine de Kerygomarch inclut une métairie au nord et un moulin à eau au sud. Le manoir actuel a probablement été construit au début du XVIe siècle par Jean Bizien. Ses armoiries figurent au-dessus de la porte d'entrée, une clé de voûte et le linteau de la cheminée de la salle ouest au rez-de-chaussée. Le domaine de Laz fut vendu comme bien national lors de la Révolution française et acheté en 1812 par Benjamin Brizoual qui le transmit à ses descendants ; l'un de ceux-ci, Yves Guyonvarc'h, transforma partiellement le manoir en style néo-gothique au début du XXe siècle[23].

Le XVIIIe siècle

La paroisse d'Arzano, en y incluant les habitants de sa trêve Guilligomarc'h, comptait en 1778 une population de 2 600 communiants selon le géographe Jean-Baptiste Ogée.

Révolution Française

Arzano est érigé en commune en 1790 et rattaché au département du Finistère nouvellement créé pour fournir un hinterland à l'est à la ville de Quimperlé. Arzano, Guilligomarc'h et Rédené sont les trois paroisses du diocèse de Vannes, donc parlant le vannetais, rattachées au département du Finistère.

Le XIXe siècle

Groupe de paroissiens posant devant l'église (carte postale du début du XXe siècle).

Joseph Louis Le Nir, originaire de Rosporden, fut curé d'Arzano de 1810 à 1829. Il assura en plus de son ministère, la fonction de maître d'école. Il faisait classe à quelques enfants de la paroisse et des environs, dont dix à douze qui se destinaient au séminaire étudiaient le latin. La plupart étaient de pauvres paysans. Le futur poète Auguste Brizeux compta parmi ses élèves.

Lors de l'enterrement d'Antoine de Fournas, maire d'Arzano, en 1829 en présence du comte de Botderu, pair de France, et de toute la noblesse des environs, le recteur déclara que cet homme « a été toute sa vie le scandale de la paroisse ». La famille, indignée, organisa la messe de huitaine[24] dans une autre paroisse[25].

Politique et administration

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1943 1983 Jean Fichoux MRPRPFCNIPRI agriculteur, conseiller général du canton d'Arzano (1949-1979), Sénateur (1959-1962)
1983 2001 Georges Dauphin PS Président de la fédération départementale
des syndicats d'exploitants agricoles
Conseiller général du canton d'Arzano (1979-1992)
mars 2001 mai 2013
(démission)
Marie-Isabelle Doussal PS Conseillère générale du canton d'Arzano (1998-2015)
2013 En cours
(au 27 mai 2020)
Anne Borry[27],[28]
Réélue pour le mandat 2020-2026
App.PS[29] Enseignante à l'UBS
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31].

En 2021, la commune comptait 1 419 habitants[Note 6], en augmentation de 2,31 % par rapport à 2015 (Finistère : +1,52 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
3 0003 1501 7571 8341 8731 9571 8011 9171 957
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 8741 8621 8771 7791 8611 9481 9521 9431 948
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 8511 9171 9411 7381 8391 7931 6761 7661 524
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 3101 2061 1031 1131 2241 3241 3251 4021 390
2021 - - - - - - - -
1 419--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Chaumière du village du Moustoir en Arzano où vivait Marie Penlan, la muse du poète Auguste Brizeux (carte postale du début du XXe siècle).

Il existait aussi autrefois des chapelles dans les villages de Saint-Adrien (reconstruite au XIXe siècle et disparue en 1952) et de Saint-Durec (déjà disparue en 1902).

Il existait 7 moulins à eau à Arzano dont le moulin du Roc'h (site protégé), le moulin de Laz, le moulin de Castellin, le moulin de Zuliou, le moulin de Penlann.

Langue bretonne

La charte Ya d'ar brezhoneg a été votée par le conseil municipal le 23 mai 2018.

Personnalités liées à la commune

  • Auguste Brizeux, placé dès 1811, à Arzano, chez le recteur Joseph-Marie Lenir qui lui inculquera quelques rudiments de philosophie et de théologie appris à Saint-Sulpice.
  • Louis Yhuel (1926-1999), organiste, y est né.

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes

  1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
  3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
  4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
  7. « Station météofrance Lorient-Lann Bihoue - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Orthodromie entre Arzano et Quéven », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station météorologique de Lorient-Lann Bihoue - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  10. « Station météorologique de Lorient-Lann Bihoue - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  11. « Station météorologique de Lorient-Lann Bihoue - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur Corine Land Cover, (consulté le ).
  18. a et b Base de données KerOfis de l'Office public de la langue bretonne (consulté le ).
  19. Jean-Yves Le Moing, Noms de lieux de Bretagne : plus de 1200 noms expliqués, Paris, Christine Bonneton Éditeur, , 231 p. (ISBN 978-2-86253-283-7, BNF 39280144), p. 89.
  20. Jean-Yves Le Moing, Noms de lieux de Bretagne : plus de 1200 noms expliqués, Paris, Christine Bonneton Éditeur, , 231 p. (ISBN 978-2-86253-283-7, BNF 39280144), p. 188.
  21. Jean-Baptiste Ogée, dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, Arzano, 1778
  22. site infobretagne consultable http://www.infobretagne.com/arzano.htm
  23. L'inventaire culturel du patrimoine en Bretagne, « Manoir du Laz, Arzano ».
  24. Messe célébrée en mémoire du défunt une semaine après son enterrement
  25. Jean Rohou, "Catholiques et Bretons toujours ? (essai sur l'histoire du christianisme en Bretagne)", éditions Dialogues, Brest, 2012, (ISBN 978-2-918135-37-1).
  26. Antoine Marie Thomas François de Fournas, né en 1766, décédé en 1829 à Kervégant
  27. https://www.ouest-france.fr/anne-borry-elue-maire-darzano-ce-soir-371590
  28. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le )
  29. https://www.ouest-france.fr/bretagne/quimperle-29300/departementales-les-candidats-ps-du-canton-de-quimperle-3141808
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.