Ivry-la-Bataille

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Ivry-la-Bataille
Ivry-la-Bataille
Le village vu du château.
Blason de Ivry-la-Bataille
Blason
Ivry-la-Bataille
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Évreux
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Dreux
Maire
Mandat
Sylvie Hénaux
2020-2026
Code postal 27540
Code commune 27355
Démographie
Gentilé Ivryens
Population
municipale
2 638 hab. (2021 en diminution de 3,79 % par rapport à 2015)
Densité 340 hab./km2
Population
agglomération
5 123 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 48° 53′ 04″ nord, 1° 27′ 42″ est
Altitude Min. 55 m
Max. 137 m
Superficie 7,76 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Ivry-la-Bataille
(ville-centre)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-André-de-l'Eure
Législatives Première circonscription
Localisation
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Liens
Site web http://www.ville-ivry-la-bataille.fr/

Ivry-la-Bataille est une commune française située dans le département de l'Eure en région Normandie.

Ses habitants sont les Ivryen(ne)s.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte d'Ivry-la-Bataille et des communes limitrophes.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par l'Eure, affluent de la Seine, qui a joué un rôle important dans le développement de la ville.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat des plateaux abrités », correspondant aux plaines agricoles de l’Eure, avec une pluviométrie beaucoup plus faible que dans la plaine de Caen en raison du double effet d’abri provoqué par les collines du Bocage normand et par celles qui s’étendent sur un axe du Pays d'Auge au Perche[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 653 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de à 10 km à vol d'oiseau[5], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 633,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Ivry-la-Bataille est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Ivry-la-Bataille, une agglomération inter-régionale regroupant 3 communes[12] et 5 123 habitants en 2021, dont elle est ville-centre[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (74,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (66,4 %), zones urbanisées (18,8 %), prairies (6,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (5,5 %), forêts (2,4 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous la forme Ebriaco en 1023 ; Ibriacum au XIe siècle[18] ; Castrum Ebrense, Ibreicense ou Ivreicense en 1085 (Neustria pia) ; Ivriacum en 1118 (Suger, Vie de Louis le Gros) ; Castrum Ibreiense vers 1164 (charte de Henri II) ; Ivreium en 1193 (L. Dubois) ; Ivri en 1214 (feoda Normanniæ) ; Yvrie et Ybriacus vers 1250 (charte de la Noë) ; Ybreium en 1254 (reg. visit.) ; Yvre en 1270 (cart. du chap. d’Évreux) ; Ivry la Chaussée en 1588 (compte de 1454) ; Ibreium en 1557 (Robert Cœnalis) ; Ivrey en 1611 (Desrues, Singularitez de plus célèbres villes) ; Yvri en 1722 (Piganiol de la Force) ; Ivry en 1740 (sent. de la vic. de l’Eau) ; Ibroeya en 1779 (D. Bourget) ; Yvry en 1791 (Précis de la nouvelle Géographie de la France)[19].

Dans le nom d'Ivry-la-Bataille, « Ivry » vient du gaulois Eburiacum « lieu des ifs » comme Ivry-sur-Seine ; le suffixe « la-Bataille » fait allusion à une victoire, la bataille d'Ivry, remportée par Henri IV en 1590.

Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom d'Ivry-la-Hauteur[20].

Histoire[modifier | modifier le code]

La gare d'Ivry-la-Bataille.

Au temps de l'Empire romain, le bourg se nommait Iberium ou Heriacum[21].

Au Moyen Âge, le bourg d'Ivry, situé au pied de son château était ceint d'une muraille percée de portes fortifiées. Vers 1839, près de l'église, il n'en subsistait plus que les débris d'une porte flanqué à l'origine de deux tours, construites en appareil irrégulier. De cette période, il reste des celliers creusés dans le calcaire, à la base du promontoire dominant la ville, destinés à abriter des tonneaux de vin, la vigne étant omniprésente à l'époque médiévale. Jean de Wavrin, dans une chronique du XVe siècle, au moment de la reconquête du château en 1424, dit, que les Anglais arrivent « en une belle plaine au-dessus des vignes »[22].

Dès 1300[23], les archives font état d'échanges fluviaux entre Ivry et Rouen via l'Eure puis la Seine. Charles VII, au milieu du XVe siècle, ordonne aux baillis d’Évreux et de Chartres de « mettre ladite rivière de Chartres à la Seine, en telle disposition et ordonnances que les vaisseaux et bateaux y pussent passer ». Dans un compte de la baronnie d'Ivry, il est dit que « du au dernier jour de septembre 1548, il est passé par Ivry 437 bateaux montants et 367 descendants ». De même en , on précise qu'a transité par bateau « grande quantité de pierres, bois, fer et plâtres pour les bâtiments de Madame »[Note 3],[23].

En 1590, c'est dans les environs que le roi de France Henri IV battit les Ligueurs. Une pyramide érigée en mémoire de cette bataille fut détruite pendant la Révolution française, et rebâtie sous Napoléon Bonaparte : « Le , le premier consul Napoléon Bonaparte se rend sur les lieux de la bataille d'Ivry[24] ».

En 1860 la commune compte 950 habitants, et possède des tanneries[Note 4] et une filature de coton, actionnés par la force motrice des eaux de l'Eure. Le partage de cette dernière, entre bateaux et moulins, nécessite de réguler son débit. Il subsiste, rue de la Porte-à-Bateaux, une vanne qui retenait l'eau afin d'alimenter les moulins et ouverte le passage des bateaux[23].

L'Eure, voie d'échange, est déclassé en 1869 ; le train arrive à Ivry à partir de 1873[23]. De 1873 à 1969, elle sera desservie par une gare sur la ligne ferroviaire de Saint-Georges-Motel au Grand-Quevilly.

Au XIXe siècle, les halles, situées au centre de la Grand-Rue, aujourd'hui rue Henri-IV, sont supprimées. On construit, près de l'église, le bâtiment de l'Arsenal, qui dès 1898, abrite les pompiers, leurs véhicules et leurs matériels. La distillerie Bridot située près de l'hôtel de ville, reconvertit en salle polyvalente, est fondée à la même époque, comme les bâtiments de l'hôtel de ville[23].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
Cécile Schaad RPR Chef d'entreprise
Michel Bricaud RPR Chef d'entreprise
Nelly Bertin   Retraitée
[25] Patrick Maisons DVD Agriculteur
En cours Sylvie Hénaux DVD Ingénieure centralienne, professeure de mathématiques
Conseillère déléguée de la CA du Pays de Dreux (2020 → )

Jumelages[modifier | modifier le code]

Drapeau de l'Allemagne Laudenbach (Allemagne) depuis 1977[26].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].

En 2021, la commune comptait 2 638 habitants[Note 5], en diminution de 3,79 % par rapport à 2015 (Eure : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8007247857509149241 0101 004870
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
8729531 0531 0209911 1271 1611 1051 032
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0341 1361 2031 3001 3691 3741 2441 2951 272
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 6992 1832 3352 0652 5632 6392 6532 6812 565
2014 2019 2021 - - - - - -
2 7202 6652 638------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Dans l’église, un magnifique vitrail, don de madame veuve Auguste Laval, née Julie Ledoux, belle-sœur de Jacques-Désiré Laval, résume toute la vie du bon Père. Au centre y est représenté le Père, prêchant aux noirs de l’île Maurice et, sur son lit de mort, guérissant Caroline Prosper. De chaque côté, en haut du vitrail, deux images en l’honneur des saints patrons d’Auguste Lavallois Pierre et de sa femme Julie ; plus bas, des paysages de l'île Maurice, la rade de Port-Louis, le Pouce, des champs de canne, le tombeau de l’apôtre, l’ancienne cathédrale et l’église de Pamplemousses.
C’est dans cette même église que le docteur Laval regroupa les fidèles pour y célébrer le mois de Marie, devant une statue de la Vierge qui existe toujours.
  • Abbaye bénédictine Notre-Dame (ancienne), du XIe siècle, dont il ne reste que le portail d'entrée, une statue et une arcade romane. Ces vestiges sont classés au titre des monuments historiques depuis 1932[31].
  • Château d'Ivry-la-Bataille, forteresse médiévale des Xe et XIIIe siècles, classé au titre des monuments historiques depuis 1990[32]. Fief de la famille d'Ivry.
  • Maison dite « d'Henri IV ou de l'Ange », du XVIe siècle, dans le centre du bourg, inscrite au titre des monuments historiques depuis 1932[33]. Une tradition fausse prétend que le souverain y aurait séjourné après la bataille d'Ivry. Le mur gouttereau donnant sur la rue de Garenne, est à pan de bois avec un décor sculpté dont des engoulants (têtes animales monstrueuses) qui encadrent les sablières et des représentations humaines ou animales qui rehaussent les poteaux au niveau de l'encorbellement. On peut également voir au-dessus d'un profil féminin encadré dans un médaillon, Saint Martin.
  • Maison « du bailli » : située également rue de Garenne, elle occupe la totalité d'un îlot délimité au nord par la rue des Belles-Femmes, et on peut voir à la base sud du logis une fenêtre à meneau horizontal datable de la fin du XVe ou du début du XVIe siècle[34], et dans un angle une tourelle d'escalier.
  • « Grotte du Sabotier » cavité aménagée à mi-pente entre le château et le bourg, qui, à la suite de fouilles récentes ont permis d'affirmer qu'au XVIIIe siècle la grotte avait abrité un culte votif funéraire.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Jacques-Désiré Laval (1803-1864), s’installa dans cette ville, avec l’accord des trois médecins de la région, et y retrouva la pratique de la foi. Il y passa une année, d’ à . Sa demeure était l’ancienne gendarmerie, non loin du pont de l’Eure.
  • La tombe d’Auguste Laval, né à Croth le , se trouve dans le cimetière du village.
  • François-Joseph Mauduit, auteur d'un ouvrage sur Ivry, sa ville de naissance[35].
  • Charles-Henri Brasier (1864-1941), industriel automobile, né dans la commune.
  • Raymond Bussières (1907-1982), acteur, né dans la commune.
  • Georges Bernard (1883-1957), homme politique, né dans la commune.
  • Stefan Wul (pseudonyme de Pierre Pairault), écrivain, était dentiste à Ivry-la-Bataille du début des années 1950 jusqu'à sa retraite à la fin des années 1980.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes d'Ivry-la-Bataille

Ces armes se blasonnent ainsi :

d'or à trois chevrons de gueules

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. On est en pleine construction du château d'Anet.
  4. Des tanneries s'installent sur les berges de l'Eure dès le Moyen Âge, ainsi que des moulins à grain et des installations pour fouler le drap.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  5. « Orthodromie entre Ivry-la-Bataille et Bû », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Bu_sapc » (commune de Bû) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Bu_sapc » (commune de Bû) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 d'Ivry-la-Bataille », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Follain et Pitte 2015, p. 45.
  19. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 119.
  20. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Dictionnaire universel d'Histoire et de Géographie, éd. Hachette, année 1860, page 901.
  22. Follain et Pitte 2015, p. 46-47.
  23. a b c d et e Follain et Pitte 2015, p. 49.
  24. Le Journal de Rouen, 2 novembre 1802.
  25. « Maire d’Ivry-la-Bataille, Patrick Maisons ne se représentera pas aux élections municipales de 2020 », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne).
  26. Jumelage d'Ivry-la-Bataille sur l'atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures du ministère des Affaires étrangères, consulté le 12 janvier 2013.
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. « Église », notice no PA00099461, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. « Ancienne abbaye », notice no PA00099459, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. « Château », notice no PA00099460, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. « Maison dite de Henri IV », notice no PA00099462, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. Stéphane William Gondoin, « Les châteaux forts au temps de Guillaume le Conquérant », Patrimoine normand, no 94,‎ juillet-août-septembre 2015, p. 46 (ISSN 1271-6006).
  35. Cans Albert, « Histoire d'Ivry-la-Bataille et de l'Abbaye d'Ivry [compte-rendu] », revue d'histoire moderne & contemporaine, Évreux, vol. 1, no 5,‎ , p. 533-534 (lire en ligne).

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Pierre-Émile de La Balle, Émile Travers (photogr. Paul Robert), « Ivry-La-Bataille », dans La Normandie monumentale et pittoresque : Eure, Le Havre, Alphonse Lemâle, , Gr. in-fol. ; 20 cm (OCLC 1176911237, lire en ligne sur Gallica), 1re [-2e] partie.... Partie 1, p. 106-8.
  • François-Joseph Mauduit, Histoire d'Ivry-la-Bataille et de l'abbaye de Notre-Dame d'Ivry, d'après les notes et pièces inédites recueillies par feu M. F.-J. Mauduit, rédigées et classées par un membre de la Société libre d'agriculture, sciences, arts et belles-lettres de l'Eure, Évreux, Imprimerie de Charles Hérissey, , 609 p. (lire en ligne).
  • Erik Follain et Dominique Pitte, « À la découverte du passé d'Ivry-la-Bataille », Patrimoine normand, no 94,‎ juillet-août-septembre 2015, p. 45-52 (ISSN 1271-6006).

Liens[modifier | modifier le code]

Articles contextuels[modifier | modifier le code]

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