Borne (Haute-Loire)
Borne | |||||
La Borne en bas du village de Borne. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Haute-Loire | ||||
Arrondissement | Le Puy-en-Velay | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Puy-en-Velay | ||||
Maire Mandat |
Annie Bouchet 2020-2026 |
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Code postal | 43350 | ||||
Code commune | 43036 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bornais[1] | ||||
Population municipale |
408 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 74 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 06′ 03″ nord, 3° 47′ 59″ est | ||||
Altitude | Min. 720 m Max. 885 m |
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Superficie | 5,48 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Le Puy-en-Velay (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Paulien | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Loire
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Borne est une commune française située dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune de Borne se trouve dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
Elle se situe à 13 km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[2], préfecture du département, et à 5 km de Saint-Paulien[3], bureau centralisateur du canton de Saint-Paulien dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Saint-Vidal (2,8 km), Blanzac (3,5 km), Loudes (4,2 km), Saint-Paulien (4,2 km), Lissac (4,4 km), Chaspuzac (5,3 km), Sanssac-l'Église (5,6 km), Polignac (5,8 km).
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 707 mm, avec 8,2 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Puy-Loudes », sur la commune de Chaspuzac à 5 km à vol d'oiseau[7], est de 9,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 682,4 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Borne est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Puy-en-Velay, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 59 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (88,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (62,6 %), prairies (17,2 %), forêts (12,6 %), zones urbanisées (6,2 %), terres arables (1,4 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
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Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
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Carte orthophotographique de la commune.
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 213, alors qu'il était de 212 en 2013 et de 205 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 78,9 % étaient des résidences principales, 8 % des résidences secondaires et 13,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,3 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Borne en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (8 %) inférieure à celle du département (16,1 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 82,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (78,1 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Borne[I 2] | Haute-Loire[I 5] | France entière[I 6] |
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Résidences principales (en %) | 78,9 | 71,5 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 8 | 16,1 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 13,1 | 12,4 | 8,2 |
Toponymie
[modifier | modifier le code]Du mot pré-latin, Borna (« trou, source »), sans doute d'origine gauloise.
Histoire
[modifier | modifier le code]Borne est une commune ancienne, à 12 km du Puy-en-Velay, le long de la rivière du même nom. La commune se situe à la jonction de deux grandes voies romaines et médiévales, la via Strada, qui reliait Le Puy à Clermont-Ferrand et la via Bolen, qui reliait Lyon et le Midi.
Ancienne bourgade de passage, elle dispose encore d’un des trois tumulus explorés en 1823 par Deribier de Cheyssac, et daté d’avant 1032. C’est son plus vieux « monument », le long de la très ancienne voie Strada, dont le but était de guider le voyageur en direction de Puy afin d’éviter les marais de Nolhac tout proches.
La rivière Borne se traversait dans le village par un pont médiéval encore existant. D’origine fin XIe, début XIIe, il a été élargi et renforcé au XVIIIe siècle. C'est apparent au droit des avant-becs et après-becs, pointus façon médiévale, puis circulaires façon moderne, mais aussi au niveau de l’encorbellement. Cet ouvrage est long de 83 m entre piles d’entrées, soit plus de 100 m au total. Il restera en fonction jusqu’en 1852, date de mise en service du pont actuel. Une travée sera dynamitée par la Résistance en février 1944. Restauré par l'association Borne Patrimoine, il est désormais possible de le franchir à pied grâce à une passerelle métallique qui remplace l'arche détruite.
Le village dispose aussi de grottes troglodytes, au lieu-dit le Rocher, dont une seule a pu être conservée accessible à la suite de l’éboulement de 2004.
On trouvera aussi une très petite chapelle ornée de peintures, au fond de l'ancien cimetière, derrière l’église.
L’église en elle-même date du Moyen Âge pour sa partie cœur. La nef d'entrée est un peu plus récente et la chapelle sud est XIXe. À noter l’histoire de la réalisation de la voûte de l’église, ou celle de la fabrication de la cloche, relatée par Ignace Corthiasd, frère du curé de l’époque, qui aux environs de 1830 relate les faits dans ses « annales » conservées en mairie de Borne.
Jusqu’au XVIIe siècle, le clergé était représenté localement par des moines de l'ordre des Prémontés qui avaient la charge de l’église mais qui vivaient miséreux.
Il existe à cheval sur Borne et Saint-Vidal, les grottes et les ruines de l’ancien village des Muses. Ce village peut être daté d’environ 1300. Il n’existait déjà plus à la réalisation de la carte de Cassini, qui dans ce secteur date d'environ 1760. Cet ensemble, enchevêtré dans les pierres, laisse apparaître des jambages appareillés, des constructions en moellons sans liant, de forme rectangulaire, voire circulaire. Chaque construction dispose en son centre d’un trou d'environ 50 cm de profondeur, et 50 cm de diamètre : peut-être l'âtre central.
Plus près de nous, le Pont Rouge, ouvrage métallique du type Eiffel, enjambe la Borne à 500 m en aval du village. Propriété privée, il est remarquable par le treillis métallique le formant et par son système de sous-tension.
À noter aussi la cascade du Bourbouilloux, en amont du pont médiéval, site naturel marquant la chute de l’affluent de la Borne et son bassin de réception ; à découvrir.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune de Borne est membre de la communauté d'agglomération du Puy-en-Velay[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Le Puy-en-Velay. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[15].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement du Puy-en-Velay, au département de la Haute-Loire, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Saint-Paulien pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la deuxième circonscription de la Haute-Loire pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[16].
Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Élections de 2020
[modifier | modifier le code]Le conseil municipal de Borne, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[17] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[18]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. La totalité des onze candidats en lice[19] est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 53,52 %[20]. Annie Bouchet, maire sortante, est réélue pour un nouveau mandat le [21].
Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[22]. Un siège est attribué à la commune au sein de la communauté d'agglomération du Puy-en-Velay[23].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[26].
En 2021, la commune comptait 408 habitants[Note 4], en évolution de −3,77 % par rapport à 2015 (Haute-Loire : +0,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,7 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,3 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 202 hommes pour 205 femmes, soit un taux de 50,37 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (50,87 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
[modifier | modifier le code]Revenus
[modifier | modifier le code]En 2018, la commune compte 170 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 423 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 390 €[I 9] (20 800 € dans le département[I 10]).
Emploi
[modifier | modifier le code]Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 11] | 4,7 % | 7,8 % | 7,5 % |
Département[I 12] | 6,3 % | 7,7 % | 7,7 % |
France entière[I 13] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 253 personnes, parmi lesquelles on compte 77,5 % d'actifs (70 % ayant un emploi et 7,5 % de chômeurs) et 22,5 % d'inactifs[Note 6],[I 11]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction du Puy-en-Velay, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 14]. Elle compte 34 emplois en 2018, contre 31 en 2013 et 50 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 180, soit un indicateur de concentration d'emploi de 18,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 59,8 %[I 15].
Sur ces 180 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 23 travaillent dans la commune, soit 13 % des habitants[I 16]. Pour se rendre au travail, 93,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,6 % les transports en commun, 1,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 17].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Anecdote
[modifier | modifier le code]Au mois de mars 2011, Cédric Enjolras, président du club de football de Borne, le FC Borne a tenté de recruter la star internationale du football Lionel Messi en remplissant et en envoyant un formulaire de demande de transfert officiel à la FFF, à l'attention de ses collègues catalans. Cette plaisanterie n'aura pas été du goût de la Fédération française de football car Cédric Enjolras fut suspendu pendant 6 mois.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]- Communes de la Haute-Loire
- Extrait d'une notice sur le résultat des fouilles faites dans un tumulus, près Borne, route du Puy à Brioude par Deribier de Cheissac.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Borne ».
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Borne » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Borne - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Borne - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Borne (43036) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Borne » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Borne » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Borne » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- https://www.habitants.fr/haute-loire-43
- Stephan Georg, « Distance entre Borne et Le Puy-en-Velay », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Borne et Saint-Paulien », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Borne », sur villorama.com (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Borne et Chaspuzac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Le Puy-Loudes », sur la commune de Chaspuzac - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Le Puy-Loudes », sur la commune de Chaspuzac - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Le Puy-en-Velay », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « communauté d'agglomération du Puy-en-Velay - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
- « Découpage électoral de la Haute-Loire (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
- Article L. 252 du Code électoral
- « Municipales : le mode de scrutin dans les communes de moins de 1000 habitants », sur vie-publique.fr, (consulté le ).
- « Candidatures au 1er tour pour Borne », sur site du ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- « Résultats du 1er tour pour Borne », sur le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- « Répertoire national des élus - version du 3 septembre 2020 », sur data.gouv.fr (consulté le ).
- « Conseillers communautaires : les règles de l'élection », sur vie-publique.fr (consulté le ).
- « Elections municipales et communautaires 2020 dans la Haute-Loire - nombre de conseillers municipaux et communautaires »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur haute-loire.gouv.fr (consulté le ).
- Liste des maires de la Haute-Loire sur le site de la préfecture (consulté le 26 août 2014).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.