Biras

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Biras
Biras
Le village de Biras.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Nontron
Intercommunalité Communauté de communes Dronne et Belle
Maire
Mandat
Jean-Michel Nadal
2020-2026
Code postal 24310
Code commune 24042
Démographie
Gentilé Biracois
Population
municipale
700 hab. (2021 en augmentation de 5,42 % par rapport à 2015)
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 17′ 15″ nord, 0° 38′ 19″ est
Altitude Min. 119 m
Max. 237 m
Superficie 19,43 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Périgueux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Brantôme en Périgord
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Biras
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Biras
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Biras
Liens
Site web www.biras-perigord.fr/

Biras (prononciation [bi.ʁɑ][1]) est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Généralités[modifier | modifier le code]

La commune de Biras est située dans la moitié nord du département de la Dordogne, en Périgord central. Elle est incluse dans l'aire d'attraction de Périgueux.

Dans un petit vallon à l'écart des routes principales, le bourg de Biras est situé, en distances orthodromiques, sept kilomètres à l'est de Lisle et neuf kilomètres au nord de Chancelade.

Le territoire communal est desservi par les routes départementales RD 106E1 et 939, cette dernière étant, entre Périgueux et Brantôme, le principal axe de la commune.

En provenance au nord de la commune de Brantôme en Périgord (commune déléguée de Valeuil), un tronçon commun aux GR 36 et GR 361 traverse le territoire communal sur plus de cinq kilomètres, passe à proximité du château de la Côte et continue vers l'ouest et la commune de Bussac.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Carte de Biras et des communes avoisinantes en 2018.

Biras est limitrophe de quatre autres communes. Au sud, le lieu-dit le Poteau des Quatre Communes pourrait laisser supposer que Biras est aussi limitrophe de La Chapelle-Gonaguet, mais il s'en faut d'environ quatre-vingts mètres.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Géologie[modifier | modifier le code]

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Biras est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[2].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et de roches sédimentaires du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c2c, date du Turonien moyen à supérieur, composée de calcaires cryptocristallins, calcaires gréseux à rudistes et marnes à huîtres et à rhynchonelles. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 758 - Périgueux (ouest) » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[3],[4] et sa notice associée[5].

Carte géologique de Biras.

Relief et paysages[modifier | modifier le code]

Vue prise en direction du nord-ouest depuis le bourg de Biras.

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 119 m[6] à l'extrême ouest, au lieu-dit les Chaufours, là où le ruisseau qui prend sa source au bourg de Biras quitte la commune et entre sur celle de Bussac, et 237 m[6] à l'est, au lieu-dit le Grand Claud[7],[8].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [9]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[10]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[11].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 19,43 km2[6],[12],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 19,78 km2[4].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[15]. Elle est drainée par la Valade et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 7 km de longueur totale[16],[17].

La Valade, affluent de rive droite de la Donzelle et sous-affluent de la Dronne, prend sa source dans le nord de la commune qu'elle arrose en direction de l'ouest sur plus de trois kilomètres.

Gestion et qualité des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[18]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [19].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 1].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[20]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[21].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 971 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[20]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Coulounieix-Chamiers à 12 km à vol d'oiseau[22], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 912,2 mm[23],[24]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[25].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Biras est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[26],[27],[28].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Périgueux, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[29],[30].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

En 2006, au niveau communal, les sols se répartissaient de la façon suivante : 51,3 % de territoires agricoles et 48,3 % de forêts ou de milieux semi-naturels[31].

Villages, hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Outre le bourg de Biras proprement dit, la commune se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[32] :

  • Banet
  • les Barrières
  • Beaupied
  • le Bigas
  • Bois de la Vergne
  • Bourliou
  • les Bouyges
  • le Brouillaud
  • les Brugeauds
  • Bruneties
  • la Burnie
  • les Chaufours
  • la Cloche
  • le Cluzeau Bas
  • le Cluzeau Haut
  • la Côte
  • la Courbille
  • la Courelie
  • Fontanaud
  • la Fouillarge
  • la Gare
  • le Grand Clos
  • les Granges
  • la Guibaudie
  • Jamaud
  • les Jartes
  • Lagerie
  • Lescure
  • la Loube
  • le Maine
  • le Maine[Note 5]
  • les Marouneaux
  • le Mas
  • le Meynassé
  • les Mièdres
  • le Montet
  • les Moulineaux
  • la Pacalie
  • les Palissous
  • la Petite Burnie
  • le Poteau des Quatre Communes
  • Précéger
  • Puyloriol
  • le Puy-Mas
  • Rama
  • le Roc
  • Rossignol
  • les Signettes
  • Termon
  • le Treuil
  • le Varachou
  • les Volves.

Prévention des risques[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Biras est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[33]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[34].

Biras est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[35]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[36],[37].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Biras.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[38]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[39]. 76,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[40].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1986, 1988, 1993, 1999 et 2018, par la sécheresse en 1989, 2003 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[33].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Les formes anciennes de la localité sont : Beiras 1211[41],[42], Biaras, Biras XIIIe siècle[41],[42], Byras 1364[41], Biras 1757[43].

Pour Ernest Nègre, l'étymologie de ce toponyme est expliquable par un hydronyme préceltique *berr- + suffixe romain --aceum, qui désigne d'abord le ruisseau puis le village, puisque le village est à la naissance d'un sous-affluent de la Dronne par la Donzelle. Pour d'autres, le toponyme provient du nom gallo-romain Biracius[1]. Une autre hypothèse pourrait le faire venir du gaulois birros « court » qui a donné le latin birrus « sorte de petite cape » et est à l'origine du français béret[44]. Le patronage de l'église à saint Cloud pourrait suggérer une possible origine mérovingienne avec la racine Ber, Per « ours », la forme Bero est attestée au VIe siècle[45]. L'absence de formes antérieures au XIIIe siècle ne permet pas d'aller plus loin et réclame une grand prudence.

En occitan, la commune porte le nom de Biràs, prononcé localement [biːˈrɒ] ou [biˈra][1].

Histoire[modifier | modifier le code]

L'église de Biras a été bâtie au XIIe siècle et profondément modifiée après la guerre de Cent Ans[46]. Au Moyen Âge, Biras était une paroisse dépendant de la châtellenie de Bourdeilles[47].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune de Biras a été rattachée, dès 1790, au canton de Lisle qui dépendait du district de Perigueux. Les districts sont supprimés en 1795 et le canton de Lisle en 1801. La commune est alors rattachée au canton de Brantôme dépendant de l'arrondissement de Périgueux[6].

En 2017, Biras est rattachée à l'arrondissement de Nontron[48],[49] et en 2020 le canton de Brantôme est renommé canton de Brantôme en Périgord.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Le , la commune adhère à la communauté de communes du Brantômois. Celle-ci disparait le , remplacée au par une nouvelle intercommunalité élargie : la communauté de communes Dronne et Belle.

Administration municipale[modifier | modifier le code]

La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[50],[51].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

L'agence postale et la mairie en 2020.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
31 octobre 1790 20 novembre 1791 Urbain François Feytaud   Curé-maire
20 novembre 1791 1796 Pierre Mazeaud   Tisserand
1796 1819 Jean Baptiste Boussarie du Chatenet    
1819 1821 Manem de la Plansonnie   Administrateur provisoire
1821 1826 Jean Jacques Rousseau Lafarge   Agriculteur
1826 1833 Jean Baptiste Faucher   Sous-lieutenant
1833 1836 Guillaume Bourgoint Lagrange   Agriculteur
1836 1844 Jean Chaumel du Planchat[Note 7]    
1844 1846 Guillaume Bourgoint Lagrange   Agriculteur
1846 1848 Chaumel du Planchat    
1848 1859 Jean Dauriac   Marchand de bestiaux
1859 1870 Jean Léon Blois   Marchand de vins
1871 1881 Front Faye   Agriculteur
1881 mai 1888 Antoine Fargeot   Marchand de bestiaux
mai 1888 1942 (Charles) Georges Dethan   Ingénieur agricole
1942 novembre 1944 Maurice Aymard    
novembre 1944 octobre 1947 Louis Rebière    
octobre 1947 mars 1959 Noé (Geoffroy) Nadal   Agriculteur
mars 1959   Joseph Lançon   Médecin
  mars 1989 Léonce (Pierre) Séchère   Marchand de bestiaux
mars 1989 mars 2001 René (Pierre) Nadal   Agriculteur
mars 2001 mai 2020 Claude Séchère SE[52] Marchand de bestiaux retraité
mai 2020 En cours Jean-Michel Nadal    

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Justice[modifier | modifier le code]

Dans le domaine judiciaire, Biras relève[53] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de Biras se nomment les Biracois[54].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[56].

En 2021, la commune comptait 700 habitants[Note 8], en augmentation de 5,42 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
771769824871890842809773768
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
764747770746753746715680659
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
642647643572552539510473424
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
370344343354372362493531626
2018 2021 - - - - - - -
664700-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[57].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

La fête patronale du village se tient chaque année lors d'un week-end début septembre, pour la Saint-Cloud[58].

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2016[59], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 347 personnes, soit 52,3 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (31) a augmenté par rapport à 2011 (20) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 8,9 %.

Établissements[modifier | modifier le code]

Au , la commune compte quarante-huit établissements[60], dont seize dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, treize dans la construction, douze au niveau des commerces, transports ou services, quatre relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et trois dans l'industrie[61].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[13],[14]
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Deux lieux-dits du même nom, situés, l'un au nord-est du bourg, l'autre à l'extrême sud, entre la Burnie et la Loube.
  6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  7. En 1842-1843, Jean Chaumel du Planchat est administrateur provisoire de la commune voisine de Sencenac-Puy-de-Fourches
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

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  2. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  3. « Carte géologique de Biras » sur Géoportail (consulté le 13 juin 2022).
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  5. « Notice associée à la feuille no 758 - Périgueux (ouest) de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  6. a b c d et e Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  7. « 237 » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022)..
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  9. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  11. « Portrait du Périgord central », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  12. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Biras », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  14. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  15. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
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