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Colombier (Dordogne)

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Colombier
Colombier (Dordogne)
Vignobles à Colombier.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté d'agglomération bergeracoise (nouvelle)
Maire
Mandat
Marjorie Molleton
2020-2026
Code postal 24560
Code commune 24126
Démographie
Gentilé Colombériens
Population
municipale
274 hab. (2021 en évolution de +12,3 % par rapport à 2015)
Densité 39 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 47′ 00″ nord, 0° 31′ 10″ est
Altitude Min. 54 m
Max. 172 m
Superficie 7,03 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Bergerac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Sud-Bergeracois
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Colombier
Géolocalisation sur la carte : France
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Colombier
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Colombier
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Colombier

Colombier est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

Généralités

Située en Bergeracois, dans le sud du département de la Dordogne, la commune de Colombier fait partie de l'aire urbaine de Bergerac[1].

À proximité de la route nationale 21, le bourg de Colombier se situe, en distances orthodromiques, neuf kilomètres au sud-sud-est de Bergerac et seize kilomètres au nord-est d'Eymet.

Le sentier de grande randonnée GR 6 traverse le territoire communal d'ouest en est, sur environ six kilomètres.

Communes limitrophes

Colombier est limitrophe de six autres communes dont Bergerac au nord sur 750 mètres.

Géologie et relief

Géologie

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Colombier est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[2].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque. La formation la plus ancienne, notée e6b, se compose de molasses inférieures (faciès argileux dominant)  (Bartonien supérieur continental). La formation la plus récente, notée Fxb2, fait partie des formations superficielles de type basses terrasses, constituées d'alluvions anciennes. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 830 - Eymet » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[3],[4] et sa notice associée[5].

Carte géologique de Colombier.

Relief et paysages

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 54 m[6] à l'extrême nord, là où le ruisseau de Lespinassat quitte la commune et entre sur celle de Bergerac, et 172 m[6] à l'ouest, au nord du lieu-dit Bel-Air, en limite de la commune de Monbazillac[7].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[9]. La commune est dans le Bergeracois, une région naturelle présentant un relief contrasté, avec les deux grandes vallées de la Dordogne et du Dropt séparées par un plateau plus ou moins vallonné, dont la pente générale s’incline doucement d’est en ouest. Ce territoire offre des paysages ouverts qui tranchent avec les paysages périgourdins. Il est composé de vignes, vergers et cultures[10],[11].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 7,03 km2[6],[12],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 7,06 km2[4].

Hydrographie

Réseau hydrographique

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Colombier.

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[15]. Elle est drainée par le Gardonnette, le ruisseau de Lespinassat, le Cavérieu et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 7,5 km de longueur totale[16],[Carte 1].

La Gardonnette, d'une longueur totale de 24,6 km, prend sa source dans la commune de Bouniagues et se jette dans la Dordogne en rive gauche en limite de Gardonne et de Lamonzie-Saint-Martin, face à Saint-Pierre-d'Eyraud[17],[18]. Elle borde la commune au sud-est sur près d'un kilomètre et demi face à Ribagnac.

Gestion et qualité des eaux

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[19]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [20].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[21]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[22].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[21]

  • Moyenne annuelle de température : 12,7 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,4 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,9 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 5] : 865 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,9 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[25] complétée par des études régionales[26] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Laurent Vign », sur la commune de Saint-Laurent-des-Vignes, mise en service en 1962[27] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[28],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 794,4 mm pour la période 1981-2010[29]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 8 km[30], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[31], à 13,1 °C pour 1981-2010[32], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[33].

Urbanisme

Typologie

Colombier est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[34],[35],[36].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[37],[38].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (75,7 %), zones agricoles hétérogènes (13,2 %), terres arables (5,8 %), forêts (5,2 %), prairies (0,1 %)[39].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Toponymie

Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Colombiers[40].

En occitan, la commune porte le nom de Colombièr[41].

Histoire

En janvier 1924, au lieu-dit des Caraignes, près de l'agglomération de Labadie, commune de Colombier, l'emplacement d'une importante villa gallo-romaine fut révélé par la découverte d'un vase de type arceus (vase pansu à col étroit), rempli de 2 384 pièces de monnaie de bronze saucé, de potin ou d'argent. Toutes ces monnaies sont des antoniniani dont l'enfouissement est postérieur à l'an 270 car l'ensemble comporte une monnaie d'Aurélien[42].

Dépouillement des médailles du trésor de Labadie
Noms des empereurs
(dates du règne)
Nombre de
médailles
Nombre de
types distincts
Trajan (98-117) 1 1
Sévère Alexandre (222-235) 2 2
Gordien le Pieux (238-244) 2 2
Philippe père (244-249) 2 2
Otacilia, femme de Philippe 2 2
Trajan Dèce (249-251) 1 1
Etruscilla, femme de Trajan Dèce 6 3
Herennius (251) 3 2
Trébonien Galle (251-253) 15 11
Volusien (251-253) 18 11
Émilien (253) 3 2
Valérien père (253-260) 355 68
Mariniana, femme de Valérien 2 2
Gallien (253-268) 260 120
Salonine, femme de Gallien 77 28
Salonin (253-259) 103 19
Valérien jeune (258) 37 4
Macrianus (260-261) 6 4
Quiétus (260-261) 6 5
Postume (260-269) 1 430 78
Lélien (268-269) 3 1
Victorin père (265-267) 33 8
Tétricus père (271-274) 1 1
Marius (268-269) 6 4
Claude le Gothique (268-270) 9 9
Aurélien (270-275) 1 1
Total 2 384 391

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

Dès 1790, la commune de Colombier a été rattachée au canton de Ribagnac qui dépendait du district de Bergerac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton d'Issigeac dépendant de l'arrondissement de Bergerac[6].

Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[43]. La commune est alors rattachée électoralement au canton du Sud-Bergeracois.

Intercommunalité

Fin 2001, Colombier intègre dès sa création la communauté de communes de Bergerac Pourpre. Celle-ci est dissoute au 31 décembre 2012 et remplacée au 1er janvier 2013 par la communauté d'agglomération bergeracoise. Celle-ci fusionne avec la communauté de communes des Coteaux de Sigoulès au pour former la nouvelle communauté d'agglomération bergeracoise.

Administration municipale

La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[44],[45].

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1983 mars 2008 Henry Mondié    
mars 2008 mars 2014 Michel Bouscaillou SE[46] Retraité
mars 2014 mai 2020 Christophe Mamont    
mai 2020 En cours Marjorie Molleton SE  

Juridictions

Dans le domaine judiciaire, Colombier relève[47] :

Jumelages

Panneau de jumelage avec Notre-Dame-de-la-Merci.

Population et société

Démographie

Les habitants de Colombier se nomment les Colombériens[48].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[50].

En 2021, la commune comptait 274 habitants[Note 9], en évolution de +12,3 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
310377326442432421410410402
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
356377365395416403364303306
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
298286253250251261248260255
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
241233212195228226235236239
2017 2021 - - - - - - -
257274-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[51].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

Depuis 1994, chaque année le , foire à la brocante et vide-greniers de grande ampleur : 600 emplacements sur deux kilomètres de linéaires dans le village de Labadie[52]. Après deux années où cette manifestation n'a pu se tenir pour cause de pandémie de Covid-19, la 27e édition a lieu en 2022[53].

Économie

Emploi

En 2015[54], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 122 personnes, soit 50,0 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (quinze) a légèrement augmenté par rapport à 2010 (quatorze) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 12,5 %.

Établissements

Au , la commune compte trente-cinq établissements[55], dont seize au niveau des commerces, transports ou services, quatorze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, trois dans la construction, et deux relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[56].

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Modèle:Message galerie

Personnalités liées à la commune

Voir aussi

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Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[13],[14]
  3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[23].
  4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[24].
  6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Colombier » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

  1. Aire urbaine de Bergerac (109), Insee, consulté le 28 mai 2017.
  2. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  3. « Carte géologique de Colombier » sur Géoportail (consulté le 13 juin 2022).
  4. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Colombier », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
  5. « Notice associée à la feuille no 830 - Eymet de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
  6. a b c d et e Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  7. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
  8. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  9. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. « Repères géographiques du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  11. « Portrait du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  12. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Colombier », sur le site de l'Insee (consulté le )
  13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
  14. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
  15. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
  16. « Fiche communale de Colombier », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
  17. « Confluence Gardonnette-Dordogne au nord de Monteton » sur Géoportail (consulté le 27 juillet 2022)..
  18. Sandre, « le Gardonnette »
  19. « SAGE Dordogne Atlantique », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  20. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
  21. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  22. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  23. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  24. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  25. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  26. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
  27. « Station Météo-France Saint-Laurent Vign - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  28. « Orthodromie entre Colombier et Saint-Laurent-des-Vignes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  29. « Station Météo-France Saint-Laurent Vign - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  30. « Orthodromie entre Colombier et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  31. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  32. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  33. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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  36. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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  38. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  39. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  40. Carte 71 Bergerac, site cartocassini.org, consulté le 28 mai 2017.
  41. Le nom occitan des communes du Périgord - Colombièr sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
  42. André Jouanel, « Le trésor de monnaies romaines de Labadie, commune de Colombier », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1938, tome 65, p. 127-138, p. 381-392, p. 472-478, 1939, tome 66, p. 136-143, p. 270-278, p. 474-479, p. 570-581
  43. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
  44. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 2 septembre 2020.
  45. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 26 octobre 2020.
  46. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 10.
  47. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
  48. Fiche commune Colombier, Union des maires de la Dordogne, consultée le 17 novembre 2016.
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  50. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
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