Saint-Laurent-de-Céris

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Saint-Laurent-de-Céris
Saint-Laurent-de-Céris
La mairie de Saint-Laurent-de-Céris.
Blason de Saint-Laurent-de-Céris
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes de Charente Limousine
Maire
Mandat
Manuel Desvergne
2020-2026
Code postal 16450
Code commune 16329
Démographie
Gentilé Saint-Laurentais
Population
municipale
745 hab. (2021 en diminution de 4,36 % par rapport à 2015)
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 56′ 32″ nord, 0° 28′ 54″ est
Altitude Min. 128 m
Max. 208 m
Superficie 29,89 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Charente-Bonnieure
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Laurent-de-Céris
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Saint-Laurent-de-Céris
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Saint-Laurent-de-Céris

Saint-Laurent-de-Céris (Sent Laurenç en marchois, dialecte occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont les Saint-Laurentais et les Saint-Laurentaises[1].

Géographie

Localisation et accès

Saint-Laurent-de-Céris est une commune du Nord-Est de la Charente, située à 5 km au nord de Saint-Claud et 41 km au nord-est d'Angoulême. Elle est la plus septentrionale du canton de Saint-Claud.

Le bourg de Saint-Laurent, construit au-dessus du vallon de la Sonnette, est aussi à 8 km au sud-est de Champagne-Mouton, 9 km au nord-ouest de Roumazières-Loubert et 17 km au sud-ouest de Confolens[2].

La D 951, route de Chasseneuil à Bellac et maillon de la route Centre-Europe Atlantique Angoulême-Montluçon par Confolens, traverse le sud-est de la commune et passe à 3,5 km du bourg. La D 15, départementale secondaire de Confolens à Cognac par Saint-Angeau, traverse la commune et le bourg d'est en ouest[3].

Hameaux et lieux-dits

De nombreux hameaux sont disséminés, principalement dans la partie sud de la commune. Parmi les principaux, on trouve : le Mas Rodier, au-dessus de la Sonnette ; le Mas Broussard, près du bourg, sur la route du Grand-Madieu ; la Mardelie, Vilaine et Chez-Rioux, dans le sud-ouest de la commune ; la Prévôtie et le Temple, près de la route d'Ambernac ; Lascoux, Anglade, La Jarnaud, dans l'extrême nord ; Loubignac, près de la route de Confolens ; le Coudert ; la Jaude, sur la route de Saint-Claud ; Peupry ; les Fregnaudies, près de la source de la Sonnette, etc.[3].

Communes limitrophes

Géologie et relief

Géologiquement, la commune est dans le calcaire du Jurassique du Bassin aquitain, comme toute la moitié nord du département de la Charente. Plus particulièrement, le Bajocien (Dogger) occupe une partie centrale de la commune et est visible à l'ouest de la commune. On trouve aussi le Jurassique inférieur (ou Lias) à l'extrémité sud-ouest. D'importants épandages d'altérites et dépôts du Tertiaire en provenance du Massif central sous forme d'argile à silex et d'argile marbrée couvrent le plateau sur le restant du territoire communal[4],[5],[6].

Tout le nord de la commune occupe un vaste plateau boisé d'une altitude moyenne de 190 m, compris entre la vallée de la Charente à l'est, et celle de l'Argent, au nord-ouest. La vallée de la Sonnette et ses petits affluents creusent ce plateau.

Le point culminant de la commune est à une altitude de 208 m, situé non loin de la limite sud près de la Chaume. Le point le plus bas est à 128 m, situé le long de la Sonnette sur la limite ouest. Le bourg, sur le flanc nord de la vallée de la Sonnette, est à 155 m d'altitude[3].

Hydrographie

La Charente entre Roumazières et Alloue forme la limite orientale de la commune.

Le sud de la commune, arrosé par la Sonnette et par plusieurs petits affluents de ce cours d'eau est la partie de la commune dans laquelle se trouvent la plupart des agglomérations. La Sonnette, sous-affluent de la Charente par le Son-Sonnette, prend sa source dans la commune au sud-est et passe au pied du bourg, où elle reçoit un petit affluent prenant sa source au nord.

Le ruisseau de la Combe est un petit affluent de la Sonnette qui limite la commune au sud.

L'Argent, autre sous-affluent de la Charente par l'Argentor et qui passe à Champagne-Mouton, arrose la limite nord-ouest de la commune.

La Charente reçoit aussi sur sa rive gauche le ruisseau des Mazes, court ruisseau intermittent près de la Font du Mas, et un autre plus au nord au pied de la Jarnaud.

On trouve aussi plusieurs fontaines, comme la fontaine du Chêne en limite nord, la fontaine Frétannière et la fontaine Barlière en aval du bourg, la fontaine du Verger en limite sud donnant naissance au ruisseau de la Combe. Il y a aussi de nombreuses petites retenues d'eau grâce au sol argileux[3].

Climat

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain, légèrement dégradé car la commune se situe aux abords de la Charente limousine.

Urbanisme

Typologie

Saint-Laurent-de-Céris est une commune rurale[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9]. La commune est en outre hors attraction des villes[10],[11].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (78,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (49,1 %), forêts (22,8 %), zones agricoles hétérogènes (19,4 %), terres arables (6,6 %), zones urbanisées (2,1 %)[12].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie

Les formes anciennes sont Sanctus Laurentius de Cereso, Sanctus Laurencius de Serezo au XIVe siècle[13].

La paroisse de Saint-Laurent s'appelait aussi Saint-Laurent La Chaux avant le XIIIe siècle, par suite des nombreux fours à chaux construits sur son territoire[14].

Saint Laurent (Laurentius) était un martyr chrétien du IIIe siècle, mort à Rome[15]. Le nom de Saint-Laurent-de-Céris lui a été donné au XIIIe siècle parce que l'épouse d'un seigneur de Saint-Laurent (Boson de Céris), aurait voulu que le nom de leur famille soit donné à la localité[14],[16].

En 1793, la commune a été créée Saint-Laurent, puis s'est appelée Saint-Laurent-de-Céris en 1801[17].

Dialecte

La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte local est marchois (idiome d'influence mixte d'oc et d'oïl)[18],[19]. Elle se nomme Sent Laurenç en occitan[20].

Histoire

La voie ancienne supposée romaine d'Angoulême à Argenton par Ambernac et Confolens traverserait la commune au Mas Broussard, près du bourg[21]. Un autre chemin antique est-ouest, mais peut-être médiéval, a été reconnu aux Frégnaudies[22].

Près du bourg de Saint-Laurent, on peut voir les restes d'un ancien château qui a été autrefois le siège d'une seigneurie[14].

En 1280, Boson de Céris, chevalier, était seigneur de Menet (à Montbron) et de Saint-Laurent La Chaux. La légende veut que la comtesse de Céris, l'épouse du comte de Saint-Laurent, fit un vœu à la fontaine du Lait (alias du Coudert) : si elle était mère dans l'année, elle donnerait son nom à la commune et ferait édifier une chapelle, ce qui fut exaucé. En 1308, ou 1364 selon une autre source[23], leur fille Marguerite épousa Arnaud de La Faye, et lui apporta en dot la terre de Menet[16].

La seigneurie de Saint-Laurent appartenait en propre à la maison de La Rochefoucauld dès la fin du XIIIe siècle (1297). D'abord incorporée, au XVIe siècle, à la baronnie de La Rochefoucauld, elle entre plus tard dans la mouvance du château de Champagne-Mouton.

Dans les premières années du XVIIe siècle, le fief de Saint-Laurent-de-Céris était possédé par François Pastoureau, conseiller du roi au parlement de Paris, seigneur de Chassiecq, Vieux-Cérier, etc. Plus tard, vers l'année 1664, il passe entre les mains de la famille de Rocquart. Enfin, vers le milieu du XVIIIe siècle, le mariage de Marie-Françoise de Rocquart avec Joachim Regnauld, chevalier, fait passer la terre aux mains de la famille Regnauld, l'une des plus anciennes du pays.

Pendant la première moitié du XXe siècle, la commune était desservie par la ligne de Ruffec à Roumazières et la gare de Saint-Laurent - Grand-Madieu était sur son territoire, à 1,5 km du bourg.

Au début de ce même siècle, l'industrie était représentée par des fours à chaux et une importante filature de laine, les établissements Rensonnet et Cie, qui datent de la seconde moitié du XIXe siècle[14]. L'usine de pantoufles Rondinaud a pris sa suite, mais elle a cessé son activité vers 1985[24].

Au début du XXe siècle, des foires se tenaient le 14 de chaque mois[14].

Héraldique

Blason de Saint-Laurent-de-Céris Blason
D'azur, à la croix alaisée d'argent[25].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1988 ? Pierre Vergnaud    
2001 2014 Yves Gendry SE Retraité
2020 En cours Manuel Desvergnes   Exploitant forestier

Démographie

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[27].

En 2021, la commune comptait 745 habitants[Note 2], en diminution de 4,36 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
1 0599421 0181 0551 1831 2991 3501 4251 380
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 3051 2631 2751 3151 4171 4441 3941 3271 242
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1 3111 2171 1141 1191 1571 1041 0711 1101 040
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
1 001883802741746750788775745
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 27,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 34,2 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 369 hommes pour 411 femmes, soit un taux de 52,69 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
1,5 
8,7 
75-89 ans
13,6 
21,2 
60-74 ans
22,4 
23,7 
45-59 ans
20,7 
15,6 
30-44 ans
16,2 
10,7 
15-29 ans
12,3 
19,3 
0-14 ans
13,3 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Économie

Industrie

Équipements, services et vie locale

Enseignement

Saint-Laurent possède une école primaire publique comprenant quatre classes (une de maternelle et trois d'élémentaire). Le secteur du collège est Champagne-Mouton[31].

Lieux et monuments

L'église Saint-Laurent.
  • L'église Saint-Laurent, de la seconde moitié du XIIe siècle, a été presque entièrement rebâtie de 1861 à 1896[32].
  • Monument du maquis de Lafond à la grange d'Andourchapt. Érigé en mémoire de 33 patriotes faits prisonniers le et fusillés à la Butte de Biard près de Poitiers le [33].

Personnalités liées à la commune

  • Gardner McKay (1932-2001), acteur américain. Enfant, il a passé avec son frère ses vacances au village chez la famille Mathias demeurant au mas Broussard. Alors qu'il était la vedette de la série Aventures dans les îles, il y revient en 1963 pour leur rendre visite.

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références

  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b c et d Carte IGN sous Géoportail
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Confolens », sur Infoterre, (consulté le )
  7. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  13. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 142,282
  14. a b c d et e Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 337
  15. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 610.
  16. a et b Jean-Marie Ouvrard, « Blasons de Charente, famille de Céris », (consulté le )
  17. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. Charles de Tourtoulon et Olivier Bringuier, Limite géographique de la langue d'oc et de la langue d'oil, Paris, Imprimerie nationale (réimprimé en 2007 par Massert-Meuzac, IEO), , 63 p. (Carte de la limite oc-oil en France, partie ouest, visualisation en ligne)
  19. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
  20. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le )
  21. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 165
  22. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 196
  23. Société du Berry, Compte rendu des travaux de la Société du Berry à Paris, Siège de la Société, , 287 p. (lire en ligne), p. 214
  24. « Ancienne usine Rondinaud », notice no IA00066380, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  25. « De Céris », sur jm.ouvrard.pagesperso-orange.fr (consulté le )
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Laurent-de-Céris (16329) », (consulté le ).
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  31. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
  32. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. II, Angoulême, imprimerie Roux et Despujols, , 588 p.
  33. Les plaques commémoratives - Sources de mémoire

Voir aussi

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Articles connexes

Liens externes