Suaux

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Suaux
Suaux
Château et mairie de Suaux.
Blason de Suaux
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes de Charente Limousine
Maire
Mandat
Olivier Perinet
2020-2026
Code postal 16260
Code commune 16375
Démographie
Population
municipale
382 hab. (2021 en diminution de 7,28 % par rapport à 2015)
Densité 32 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 51′ 09″ nord, 0° 30′ 25″ est
Altitude Min. 120 m
Max. 212 m
Superficie 11,93 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Charente-Bonnieure
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Suaux
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Suaux
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Suaux
Liens
Site web www.suaux.fr

Suaux (Suaus en occitan) est une commune française, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Suaux est une commune située au nord-est de la Charente aux portes de la Charente limousine. Elle est située sur la route nationale 141 de Saintes à Limoges par Angoulême et elle est à 35 km au nord-est d'Angoulême.

Elle est aussi située à 6 km au nord-est de Chasseneuil et 7 km au sud-ouest de Roumazières-Loubert sur cette même route, et fait partie du canton de Saint-Claud, dont elle est distante de 6 km du chef-lieu. Le bourg de Suaux est aussi à 9 km au nord-ouest de Montembœuf, 16 km au nord-est de La Rochefoucauld et 22 km au sud-ouest de Confolens[1].

La commune est aussi traversée par la D 60 qui va de La Rochefoucauld à Chantrezac en direction de Confolens, qui traverse la N 141 au bourg, et la D 365 qui va du bourg vers Lussac.

La voie ferrée Angoulême-Limoges passe aussi dans la commune, mais elle n'y a aucun arrêt. La gare la plus proche est celle de Chasseneuil ou de Roumazières, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Limoges.

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

La commune comporte de nombreux hameaux, le plus souvent au sud du bourg ; le Pouyalet, situé sur la N 141 en direction de Fontafie fait exception. On peut citer : la Saille, le Masfoubert, la Quérillère, Brassac, la Messandière, Lage, Montpioux, etc.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune est en bordure du Bassin aquitain et appartient encore à la partie calcaire de la Charente. La commune occupe un plateau recouvert par un dépôt tertiaire d'argile rouge à silex en provenance du Massif central tout proche, et on peut voir les assises datant du Jurassique inférieur dans la vallée de la Bonnieure ou son affluent qu'emprunte la voie ferrée[2],[3],[4].

Le relief est celui d'un plateau assez élevé, d'altitude moyenne 180 m, légèrement incliné vers l'ouest. La Bonnieure a creusé une vallée dont le fond est à 120 m.

Le point culminant d'altitude 212 m est à l'est de la commune en limite avec Genouillac.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Suaux.

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[5]. Elle est drainée par la Bonnieure et le ruisseau de la Grande Fontaine, qui constituent un réseau hydrographique de 3 km de longueur totale[6],[Carte 1].

La commune est coupée au sud par la Bonnieure, affluent de la Charente près de Mansle, qui coule d'est en ouest. Elle prend sa source près de Roumazières, passe à Genouillac avant de traverser la commune, puis se dirige vers Chasseneuil.

Elle reçoit sur sa rive droite la Grande Fontaine, ruisseau temporaire qui prend sa source à la Messandière et qui a creusé une vallée aussi profonde, dans laquelle passe la voie ferrée pour quitter en douceur la vallée de la Bonnieure en direction de Limoges.

Pas d'autre cours d'eau n'est à signaler dans la commune, à cause du sous-sol calcaire. Le sol argileux permet cependant quelques petites retenues d'eau et fontaines localisées surtout en flancs de vallées.

Gestion des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[7]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [8].

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat est océanique aquitain, légèrement dégradé; les hivers étant plus frais et les précipitations plus nombreuses dans la partie nord-est de la Charente que dans le reste du département.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Suaux est une commune rurale[Note 1],[9]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (72,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (29,6 %), zones agricoles hétérogènes (29,3 %), forêts (24,1 %), terres arables (13,9 %), zones urbanisées (3,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Suaux est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Suaux.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[17]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[18].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 96,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 236 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 236 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[18].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2009. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[15].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[20].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Une forme ancienne est de Soellis en 1281[21].

L'étymologie est semblable à celle de Soyaux. Elle proviendrait du bas latin sutis, qui signifie « porcherie », et suffixe -ellum[22].

Dialecte[modifier | modifier le code]

La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est limousin[23]. Elle se nomme Suaus en occitan[24].

Histoire[modifier | modifier le code]

Des vestiges d'une villa gallo-romaine du Ier siècle situés au lieu-dit chez Michaud ont été découverts en 1962 et classés monument historique en 1973[25],[26]. Ces vestiges ont été recouverts en 1985 et le pré a retrouvé sa vocation agricole.

L'ancienne voie romaine de Saintes à Lyon passait en effet à proximité, au sud de la vallée de la Bonnieure, à un kilomètre.

À la fin du XVIe siècle, Jean de Volvire, fils de Philippe de Volvire, baron de Ruffec, qui a joué un rôle important dans les guerres de religion du côté des catholiques en Angoumois, était seigneur de Brassac. Il a fait reconstruire le logis de Brassac en 1610.

Le château du Suaux fut construit en 1585 par le marquis de Chesse, ou par le chevalier Isaac de Saint-Georges selon une autre source[27].

Sous l'Ancien Régime, Suaux faisait partie avec les paroisses de Mazerolles, Cherves, Châtelars et Rouzède de la baronnie de Manteresse, qui a appartenu à Étienne Chérade, comte de Montbron et de Marthon[28].

Administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1988 ? Jean Dumas    
1995 2008 Claude Rougier SE  
2008 En cours Olivier Périnet SE Ingénieur informaticien
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30].

En 2021, la commune comptait 382 habitants[Note 2], en diminution de 7,28 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
891771783884900845905968870
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
869872850882850840807772769
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
733714609564540519522512509
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
484460373367356369370409390
2021 - - - - - - - -
382--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,3 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 33,6 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 186 hommes pour 202 femmes, soit un taux de 52,06 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
2,2 
90 ou +
3,5 
7,6 
75-89 ans
10,5 
23,7 
60-74 ans
19,8 
12,9 
45-59 ans
21,7 
17,6 
30-44 ans
13,7 
17,6 
15-29 ans
14,2 
18,5 
0-14 ans
16,6 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Économie[modifier | modifier le code]

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le logis de Brassac fut construit par Jean de Volvire, seigneur de Brassac, vers 1610. Ce domaine passa en 1822 à la famille de James. Il fut un lieu de refuge pour la Résistance. Le logis n’est pas visible de la route et l’entrée du domaine est privée. La propriété possède un pigeonnier avec un toit à quatre pans recouvert de tuiles[27].

Du château de Suaux construit en 1585 il reste une partie où s'est installée la mairie depuis 1878 et une partie occupée par des logements. Du XVIe siècle restent une échauguette sur la mairie, un pigeonnier à 180 boulins, des fresques et une cheminée. Les fossés et le pont-levis ont disparu[35].

L'église Saint-Cybard qui daterait du XIIIe siècle a été restaurée et présente un chemin de croix, une tribune, une chaire, et des éclairages intérieurs[27].

Galerie d'images[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
D’argent au chevron de gueules accompagné de trois merlettes de sable, à la bordure d’or.
Commentaires : Blason de Suaux.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Suaux » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  2. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  3. Carte du BRGM sous Géoportail
  4. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de La Rochefoucauld », sur Infoterre, (consulté le ).
  5. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  6. « Fiche communale de Suaux », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  7. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  8. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Suaux », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  18. a et b « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Suaux », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  21. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. II, Angoulême, imprimerie Roux et Despujols, , 588 p., p. 125
  22. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 664.
  23. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
  24. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le ).
  25. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 196-199
  26. « Villa gallo-romaine », notice no PA00104521, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  27. a b et c Suaux sur le site du Pays Charente Limousine
  28. Bulletin de la Société archéologique et historique de la Charente, « Une seigneurie à la belle étoile, la baronnie de Manteresse », (consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Suaux (16375) », (consulté le ).
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  35. Association Promotion Patrimoine, Philippe Floris (dir.) et Pascal Talon (dir.), Châteaux, manoirs et logis : La Charente, Éditions Patrimoines & Médias, , 499 p. (ISBN 978-2-910137-05-2 et 2-910137-05-8, présentation en ligne), p. 117

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]