Saint-Christophe (Charente)

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Saint-Christophe
Saint-Christophe (Charente)
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes de Charente Limousine
Maire
Mandat
Patrick Rousseau
2020-2026
Code postal 16420
Code commune 16306
Démographie
Gentilé Saint-Christophoriens
Population
municipale
312 hab. (2021 en diminution de 12,85 % par rapport à 2015)
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 00′ 13″ nord, 0° 51′ 03″ est
Altitude Min. 199 m
Max. 340 m
Superficie 23,65 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Charente-Vienne
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Christophe
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Saint-Christophe
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Saint-Christophe

Saint-Christophe (Sent-Crestòfa en occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont les Saint-Christophoriens et les Saint-Christophoriennes[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Saint-Christophe est une commune de la Charente limousine limitrophe de la Haute-Vienne située à 14 km de Confolens et 67 km au nord-est d'Angoulême.

Le bourg de Saint-Christophe est aussi à 5 km à l'est de Lesterps, 13 km au nord de Saint-Junien, 18 km au nord-est de Chabanais, 21 km au sud-ouest de Bellac et 37 km au nord-ouest de Limoges[2].

La route principale de la commune est la D 82, route de Confolens et Lesterps à Limoges par Oradour-sur-Glane, qui la traverse d'ouest en est. Le bourg est aussi desservi par la D 163 qui va vers le sud-ouest à Chabanais, et la D 330 au sud vers Brigueuil et Saint-Junien[3].

La gare la plus proche est celle de Saint-Junien, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Limoges.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

La commune compte de nombreux hameaux : au nord et à l'est : Joumard, Villesot, le Marousse, Essubras, l'Aumônerie (orthographié autrefois la Monnerie[4]), la Coutimanie, la Courrière Noire, Brac; au sud : le Grand Mesurat et le Petit Mesurat, la Cigogne, la Tuilerie; à l'ouest : Priésac, le Quéroy, Villessanot, etc. ainsi que quelques fermes[3].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Saint-Christophe
Val d'Issoire
(Haute-Vienne)
Nouic
(Haute-Vienne)
Lesterps Saint-Christophe Montrollet
Saulgond Brigueuil

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Comme toute cette partie nord-est du département de la Charente qu'on appelle la Charente limousine, la commune se trouve sur le plateau du Limousin, partie occidentale du Massif central, composé de roches cristallines et métamorphiques, relique de la chaîne hercynienne.

Le sous-sol de la commune se compose essentiellement de gneiss. On trouve aussi du granit et de la diorite à l'ouest[5],[6],[7].

La commune de Saint-Christophe occupe un vaste plateau ondulé incliné vers l'ouest, dont l'altitude moyenne dépasse 250 m. Les altitudes s'étagent entre 199 m, dans la vallée de la Marchadaine au nord-ouest, et 340 m, au nord-est à la Butte de Frochet. Le bourg est à environ 270 m d'altitude[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Saint-Christophe.

La commune est située dans la région hydrographique de « la Loire de la Vienne (c) à la Maine (nc) », une partie du Bassin de la Loire, au sein du Bassin Loire-Bretagne[8]. Elle est drainée par la Courrière, la Marchadaine, l'Eaupedde et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 31 km de longueur totale[9],[Carte 1].

La Marchadaine, affluent de l'Issoire et sous-affluent de la Vienne traverse le nord-est de la commune. La Courrière, autre affluent de l'Issoire qui passe près Lesterps, prend sa source au sud. De petits étangs parsèment aussi la commune.

Gestion des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Vienne ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin du bassin de la Vienne, d'une superficie de 7 060 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Vienne[10]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Loire-Bretagne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [11].

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat est océanique dégradé. C'est celui de la Charente limousine, plus humide et plus frais que celui du reste du département.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Christophe est une commune rurale[Note 1],[12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13],[14]. La commune est en outre hors attraction des villes[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (85,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (67,3 %), forêts (15,8 %), zones agricoles hétérogènes (11,4 %), terres arables (4,3 %), zones urbanisées (1,2 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Christophe est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Christophe.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 19,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 284 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 18 sont en aléa moyen ou fort, soit 6 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[21].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[18].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Christophe est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[22].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous sa forme latinisée Sanctus Christophorus prope Stirpem (« Saint-Christophe près de Lesterps ») en 1315[23].

Son nom vient de saint Christophe, porteur du Christ et martyr au IIIe siècle[24].

La commune s'est appelée Saint-Christophe à partir du nom de la paroisse, dès sa création en 1793[25]. Pour ne pas la confondre avec la commune de Saint-Christophe près de Chalais (fusionnée en 1946), elle était parfois appelée parfois informellement Saint-Christophe-de-Confolens, comme Saint-Christophe-de-Chalais pour l'ancienne commune près de Chalais. Mais elles étaient toutes deux écrites Saint-Christophe sur les cartes de Cassini (XVIIIe siècle) et d'État-Major (XIXe siècle)[3].

Dialecte[modifier | modifier le code]

La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est limousin[26]. Elle se nomme Sent-Crestòfa en occitan[27].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le camp de la Faye, dans le nord de la commune et proche de l'oppidum du Dognon dans la commune voisine de Lesterps, est supposé romain. Ses talus reposent sur des substructions[28],[29].

Saint-Christophe, paroisse de l'ancien diocèse de Limoges, était au XIVe siècle à la limite du comté de l'Angoumois et du Limousin[30].

L'église de Saint-Christophe était le siège d'un prieuré dépendant de l'abbaye de Lesterps. En 1782, le dernier prieur, nommé Dessain, fit construire l'actuel presbytère de ses propres deniers.

Le château, dont il ne reste qu'une tour, était le siège d'une seigneurie qui relevait de la vicomté de Brigueuil. Ses plus anciens seigneurs connus appartenaient à la famille du Theil ou du Teil. Le fut scellé par contrat conclu au château une double alliance entre la famille du Teil et la branche bellachonne de la famille Feydeau : tandis que Robert Feydeau, sieur de Charbonnières (Blanzac), épousait le jour-même en l’église de Saint-Christophe Isabeau du Teil, le lendemain François du Teil, frère d’Isabeau, épousait en l’église Notre-Dame de Bellac[31] Catherine Feydeau, sœur de Robert. Les époux du Teil ne laissant pas d’enfant à leur décès, la seigneurie de Saint-Christophe passa alors en 1729 aux Feydeau[32] qui en portent le nom et en possèdent encore le domaine aujourd'hui[33],[34].

Dans le sud de la commune, Pers (aujourd'hui orthographié Pairs) était aussi le siège d'un fief. Au début du XVe siècle, le château de Pers appartenait à la famille de Cognac. À la fin du XVIe siècle, une rivalité avait surgi entre les seigneurs de Saint-Christophe et ceux de Pers au sujet des préséances à l'église, et elle fut réglée par arbitrage. Au XVIIIe siècle, la terre de Pers passa aux des Monstiers, baron d'Auby et de la Valette (paroisse de Nouic), qui ne la conservèrent pas longtemps[34],[35],[36].

Administration[modifier | modifier le code]

La commune de Saint-Christophe a été créée en 1793 dans le canton de Brigueuil puis est passée dans celui de Confolens en 1801 et Confolens-Sud en 1802.

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1981 ? Fernand Gainand    
2001 2014 Gilles Sénégas SE Cadre EDF
2014 mai 2020 Jean-Paul Valadeau   Ouvrier d'usine
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[38].

En 2021, la commune comptait 312 habitants[Note 2], en diminution de 12,85 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
1 2649231 1171 2221 2121 2051 2501 2351 150
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 1021 1061 0421 0811 0951 1021 0721 0751 088
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1 0471 017907833785775733671628
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
480414381339315319320355319
2021 - - - - - - - -
312--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 23,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 38,6 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 159 hommes pour 160 femmes, soit un taux de 50,16 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
1,9 
9,4 
75-89 ans
11,3 
30,8 
60-74 ans
23,8 
24,5 
45-59 ans
24,4 
15,1 
30-44 ans
12,5 
6,9 
15-29 ans
10,6 
13,2 
0-14 ans
15,6 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[41]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Remarques[modifier | modifier le code]

Durant le XXe siècle, Saint-Christophe a perdu 70 % de sa population.

Économie[modifier | modifier le code]

Le moulin du Buisson a été un moulin à blé et une minoterie construite à la fin du XIXe siècle. Un moulin à huile a été détruit vers 1960[42]. L'autre minoterie était la minoterie Trouillaud située au lieu-dit l'Aumônerie construite entre 1880 et 1900 qui possède une turbine hydraulique installée en 1939[43].

Actuellement l'activité se limite au relai Saint-Christophe, un garage et un électricien, en sus de la SERIM (Société d'Études et Réalisations Industrielles Meunières), ainsi qu'un restaurant.

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

Vivre à Saint-Christophe[modifier | modifier le code]

Le parc derrière l'église.

Les clubs sportifs sont le Saint-Christophe Football Club, le Nouic Rallye Compétition et l'Association communale de chasse, les autres associations étant l'Amicale pour les enfants de Saint-Christophe, le club du 3e âge et le comité des fêtes[44].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Son chœur date du XIIe siècle, son clocher du XVe siècle comme l'allongement de la nef puis elle a été restaurée en 1690.

Une litre funéraire qui porte les armes de la famille du Theil ceinturait le chœur[44].

Logis vu de la place de l'Église.
  • Logis au centre du bourg, dont la tour était celle de l'ancien château[33].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Saint-Christophe » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références[modifier | modifier le code]

  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b c et d Carte IGN sous Géoportail
  4. Carte d'État-Major sur Géoportail
  5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  6. Carte du BRGM sous Géoportail
  7. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille d'Oradour-sur-Glane », sur Infoterre, (consulté le )
  8. « Carte et liste des communes du Bassin Loire-Bretagne », sur agence.eau-loire-bretagne.frr, (consulté le )
  9. « Fiche communale de Saint-Christophe », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
  10. « SAGE Vienne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  11. « Caractéristiques du SDAGE Loire-Bretagne 2022-2027 », sur sdage-sage.eau-loire-bretagne.fr (consulté le )
  12. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  18. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Christophe », sur Géorisques (consulté le )
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  21. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Christophe », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
  22. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
  23. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 21
  24. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 592.
  25. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
  27. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le )
  28. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 127
  29. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 148
  30. Jean Combes (dir.) et Michel Luc (dir.), La Charente de la Préhistoire à nos jours (ouvrage collectif), St-Jean-d'Y, Imprimerie Bordessoules, coll. « L'histoire par les documents », , 429 p. (ISBN 2-903504-21-0, BNF 34901024, présentation en ligne), p. 129 (carte)
  31. Registre de ND de Bellac, vue 243/326).
  32. La seigneurie de Saint-Christophe passa en 1729 à Jean Feydeau (1698-1779), fils de Robert Feydeau de Charbonnières, capitaine de la milice bourgeoise de Bellac, et d’Isabeau du Teil (Registre de ND de Bellac, vue 304/326).
  33. a et b Inventaire général du patrimoine culturel, communauté de communes du Confolentais, « Château de Saint-Christophe », (consulté le )
  34. a et b Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 320-321
  35. Inventaire général du patrimoine culturel, communauté de communes du Confolentais, « Saint-Christophe, château de Pairs », (consulté le )
  36. Jean-Marie Ouvrard, « Famille de Coignac », (consulté le )
  37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Christophe (16306) », (consulté le ).
  41. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  42. « Moulin du Buisson », notice no IA00066375, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  43. « Minoterie Trouillaud », notice no IA00066376, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  44. a et b Site de la Communauté de communes
  45. « Retable », notice no PM16000323, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  46. « Fer à hosties », notice no PM16000262, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  47. Dossier militaire

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Dujardin V., Moinot É., Ourry Y. (2007) - Le Confolentais, entre Poitou, Charente et Limousin, Images du patrimoine, n° 243, Geste éditions, 2007.

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • Site de la communauté de communes du Confolentais, « Saint-Christophe » (consulté le )
  • Catillus Carol, « Saint-Christophe », (consulté le )
  • Communauté de communes du Confolentais, Inventaire du patrimoine culturel, « Saint-Christophe », (consulté le )