Jungholtz

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Jungholtz
Jungholtz
L'école et la mairie.
Blason de Jungholtz
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Haut-Rhin
Arrondissement Thann-Guebwiller
Intercommunalité Communauté de communes de la Région de Guebwiller
Maire
Mandat
Guy Habecker
2020-2026
Code postal 68500
Code commune 68159
Démographie
Population
municipale
910 hab. (2021 en augmentation de 0,11 % par rapport à 2015)
Densité 228 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 53′ 10″ nord, 7° 11′ 45″ est
Altitude Min. 297 m
Max. 881 m
Superficie km2
Type Commune urbaine
Aire d'attraction Mulhouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Guebwiller
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Jungholtz

Jungholtz est une commune française située dans l'aire d'attraction de Mulhouse et faisant partie de la collectivité européenne d'Alsace (circonscription administrative du Haut-Rhin), en région Grand Est.

Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace et fait partie de la communauté de communes de la région de Guebwiller.

Géographie[modifier | modifier le code]

Le village de Jungholtz et le cimetière israélite.
Le village de Jungholtz sur la route de Thierenbach.
Chapelle Saint-Joseph.
Entrée du village de Jungholtz en venant de Rimbach-Zell.

Le village de Jungholtz se trouve à 2 km à l'ouest de la ville de Soultz. Il fait partie du canton de Soultz-Haut-Rhin, et de l'arrondissement de Thann-Guebwiller. Le ruisseau du Rimbach arrose le village. Les habitants de Jungholtz sont nommés les Jungholtziens.

C'est une des 188 communes[1] du Parc naturel régional des Ballons des Vosges.

Cours d'eau[modifier | modifier le code]

  • Le Rimbach.

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

  • Saint-Anne ;
  • Thierenbach.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 956 mm, avec 10 jours de précipitations en janvier et 10 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Guebwiller », sur la commune de Guebwiller à 3 km à vol d'oiseau[4], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 919,6 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de −16,3 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Jungholtz est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mulhouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 132 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (65,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (65,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (65,6 %), zones agricoles hétérogènes (20,3 %), zones urbanisées (11,4 %), prairies (2,6 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire[modifier | modifier le code]

Origine du nom[modifier | modifier le code]

Le nom est vraisemblablement dérivé de l'allemand jung, jeune et de Holtz, bois. L'origine du nom désigne certainement le reboisement d'un terrain défriché. Aux VIe et VIIe siècles, le domaine est occupé par les Mérovingiens. L'abbaye d'Ebersmunster reçoit une partie de la vallée du Rimbach du duc Etichon-Aldaric. Le village fait partie, tout comme Wuenheim du canton de Soultz jusqu'en 1880 où il se sépare pour devenir une commune à part. Le village doit son nom au château attesté depuis le XIIIe siècle et servant à protéger le prieuré de Thierenbach. Entre 1455 et 1656 des rivalités opposent les autorités de Soultz et les habitants de Jungholtz concernant le territoire de la commune.

Le château de Jungholtz[modifier | modifier le code]

En 1220, le domaine est occupé par les chevaliers Jungholtz qui fondent le village vers 1259. Ce château qui dominait depuis le XIIIe siècle est aujourd'hui en ruine. D'abord aux mains de la famille qui en prit le nom, il passe ensuite entre les mains de plusieurs familles nobles avant de parvenir en 1493 à Reinhart Von Schauenburg[15] et sa famille. Pendant longtemps Jungholtz fait partie de la commune de Soultz pour la partie gauche du Rimbach. La rive gauche du Rimbach relevant du fief des Habsbourg. Le château est détruit au cours de la Révolution.

Un village juif[modifier | modifier le code]

Au XVIIIe siècle, le village est occupé par des Juifs sur la partie de la rive gauche du Rimbach. Le , les Juifs obtiennent l'autorisation d'inhumer leurs morts sur un terrain appartenant aux nobles des Schauenburg,connu sous le nom de Thiergarten, se trouvant dans les fossés du château[16].

Démarrage de l'industrie[modifier | modifier le code]

La proximité de la rivière et la présence de la forêt vont provoquer l'implantation de l'activité industrielle : tissage et constructions métalliques. En 1856, une aiguiserie de broches est installée au lieu-dit « Bachmatten ». L'intense activité industrielle va provoquer le la création de la commune de Jungholtz et de sa séparation avec celle de Soultz.

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Les bombardements français de 1915 et 1918 détruisent une grande partie du village. Il sera reconstruit en 1920. Jungholtz reste essentiellement un village ouvrier.

La commune a été décorée le de la croix de guerre 1914-1918[17].

Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

La ville est touchée par la guerre du fait de la proximité avec la frontière allemande. Jungholtz subit des bombardements. Le village est finalement libéré le par les spahis marocains.

Héraldique[modifier | modifier le code]


Blason de Jungholtz

Les armes de Jungholtz se blasonnent ainsi :
« Palé d'or et de gueules de six pièces. »[18]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Budget et fiscalité 2014[modifier | modifier le code]

En 2014, le budget de la commune était constitué ainsi[19] :

  • total des produits de fonctionnement : 523 000 , soit 567  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 418 000 , soit 453  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 329 000 , soit 357  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 488 000 , soit 529  par habitant.
  • endettement : 394 000 , soit 427  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d’habitation : 10,10 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 12,44 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 41,01 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 2014 François Meyer    
mars 2014 En cours
(au 31 mai 2020)
Guy Habecker [20]
Réélu pour le mandat 2020-2026
  Artisan
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1871. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[22].

En 2021, la commune comptait 910 habitants[Note 4], en augmentation de 0,11 % par rapport à 2015 (Haut-Rhin : +0,59 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1871 1875 1880 1885 1890 1895 1900 1905 1910
593577687711761737849905989
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
658774749673644669663678669
1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015 2020 2021
653677658889902906909917910
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

L'INSEE dénombre 912 habitants à Jungholtz en 2008[25].

Après une longue période de stabilité, la population a fortement augmenté (+ 39 %) dans les années 2000. La densité a donc elle aussi fortement augmenté de 164 hab/km², en 1999, à 228 hab/km2, en 2008, soit + 39 %. La densité est supérieure à celle de la moyenne du département du Haut-Rhin (211,6).

Politique[modifier | modifier le code]

Au 1er tour de la présidentielle de 2007, le taux de participation des citoyens résidents à Jungholtz a été de 86,3 % (contre 82,8 % en moyenne dans le Haut-Rhin), soit seulement 13,6 % d'abstention[26].

Aux élections municipales de 2008, le taux de participation au 1er tour a été de 78,5 %, soit 21,5 % d'abstention[27].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Prieuré de Thierenbach[modifier | modifier le code]

Église Sainte-Marie-Auxiliatrice[modifier | modifier le code]

Chapelle Sainte Anne[modifier | modifier le code]

Cette chapelle aurait été d'abord construite à une date inconnue, par des ermites, puis restaurée en 1685. Elle sera ensuite, en 1728 complètement reconstruite par le fils du bourgmestre de Soultz, François-Maurice Schmidt. Un ancien soldat, Peter Lugenbihler devenu franciscain va occuper le lieu qu'il rachètera finalement en 1791. Le gendre de Lingenbihler, transforme la chapelle en auberge vers 1878, puis en 1894 elle est agrandie et aménagée en pension. L'ensemble est détruite au cours de la Première Guerre mondiale, puis reconstruit en 1920-1922. En 1928 elle devint une maison de convalescence[28].

Cimetière israélite[modifier | modifier le code]

Cimetière israélite de Jungholtz.
Tombe de Reinau Abraham Jehuda à l'origine, de la création du cimetière israélite.

La présence d'un cimetière israélite est évoquée dès le XIIIe siècle[29].

En 1623, l'évêque de Strasbourg dont dépend la ville de Soultz, interdit aux Juifs de posséder une synagogue ou une école confessionnelle. Les juifs ont cependant l'autorisation de pratiquer leur culte à condition que cela se fasse dans la discrétion et dans leur demeure. Les seigneurs laïcs sont cependant plus tolérants envers les juifs que l'abbé de Murbach et l'évêque de Strasbourg qui mettent des barrières infranchissables envers les juifs. La famille de Schauenburg, propriétaire du château de Jungholtz accorde aux communautés juives de Jungholtz, Ribeauvillé, Soultz et Guebwiller, le , le droit d'inhumer leurs morts dans le fossé du château appelé "Thiergarden".

Tout près de là, à Uffholtz les choses ne se passent pas aussi bien. En 1673, les juifs de Uffholtz sont accusés d'entretenir une synagogue sur les terres faisant partie de la principauté de Murbach. Le cimetière de Jungholtz (47° 53′ 03″ N, 7° 11′ 46″ E) fut agrandi à plusieurs reprises et est actuellement le plus ancien conservé dans le Haut-Rhin.

Entre 1798 et 1804 les communautés juives vont acquérir par lots successifs l'ensemble du cimetière. Mais à partir du XIXe siècle plusieurs autres communautés juives font finir par acquérir d'autres cimetières. Celui de Jungholtz ne sert alors plus qu'aux défunts de la commune et des environs proches. Le cimetière est vandalisé entre 1940 et 1945 par les Nazis. Quatre cents pierres sont détruites. En 1952 un mémorial est érigé en souvenir des Juifs déportés de la région.

Autres sites et patrimoine[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Annexes[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Liste des 188 communes adhérentes au parc naturel régional des ballons des Vosges, 3e Charte 2012 - 2024
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Jungholtz et Guebwiller », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Guebwiller », sur la commune de Guebwiller - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Guebwiller », sur la commune de Guebwiller - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mulhouse », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  15. Les Schauenburg sont inhumés dans la basilique de Thierenbach
  16. « Château fort, Cimetière de Juifs dit Château des Jungholtz », notice no IA00111914, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  17. Communes décorées de la Croix de guerre 1914-1918
  18. Archives Départementales du Haut-Rhin
  19. Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du sur Internet Archive).
  20. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. Source : "Jungholtz (68159 - Commune) - Thème : Évolution et structure de la population", insee.fr, 27 juin 2010
  26. Source : 20minutes.fr
  27. Source : leparisien.fr
  28. « Ermitage Sainte-Anne, puis maison de convalescence », notice no IA00111919, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. Le cimetière israélite de Jungholtz
  30. « Cimetière », notice no IA00111913, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. Monument aux morts : Conflits commémorés1914-18 et 1939-45
  32. Monument aux Morts devant le cimetière, Plaque commémorative de la Fédération des sociétés catholiques de chant et de musique d'Alsace
  33. « Oratoire », notice no IA00111920, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. « Croix monumentales », notice no IA00111911, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. Notice no IM68004013, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture borne