Antoine Bourdelle

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Antoine Bourdelle
Portrait d'Antoine Bourdelle (1925)
Naissance
Décès
Sépulture
Nom de naissance
Émile-Antoine BordellesVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activité
Formation
Maître
Lieux de travail
Conjoints
Stéphanie Vanparÿs (d) (de à )
Cléopâtre Bourdelle-Sevastos (d) (de à )Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfants
Pierre Bourdelle (d)
Rhodia Dufet-Bourdelle (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Distinctions
Archives conservées par
Archives départementales des Yvelines (166J, Ms 1237, 13147-13152, 7 pièces, -)[1]Voir et modifier les données sur Wikidata
Œuvres principales
signature d'Antoine Bourdelle
Signature

Antoine Bourdelle, né Émile Antoine Bordelles à Montauban le [2] et mort au Vésinet le , est un sculpteur et artiste peintre français.

Élève d'Alexandre Falguière, il fréquente l'atelier de Jules Dalou[3] et travaille comme praticien pour Auguste Rodin pendant quinze ans. Il enseigne auprès de nombreux élèves dont certains, tels Matisse, Maillol, Iché, Giacometti ou Richier, sont des artistes majeurs de leur génération. Il connaît une renommée internationale avec ses sculptures monumentales comme Héraklès archer.

Son fils Pierre Bourdelle (1901-1966) est un sculpteur et décorateur américain.

Biographie

Enregistré Émile Antoine Bordelles à Montauban en Tarn-et-Garonne (erreur de transcription à l'état civil lors de sa naissance : l'orthographe et donc la prononciation du nom de ses ancêtres est Bourdelle, le père signe bien 'Bourdelle').

L'enfance (1861-1876)

Il quitte l'école à l'âge de 13 ans pour travailler, afin de l'aider, dans l'atelier d'ébénisterie de son père, Antoine Bourdelle.

Les années de formation (1876-1893)

S'orientant vers la sculpture, il décroche une bourse d'études à l'Académie des beaux-arts de Toulouse en 1876.

Il suit ensuite peu de temps les cours de l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris où il a pour maître Falguière. Membre de la « bande à Schnegg », il était l'ami de Gaston Schnegg, Lucien Schnegg, François Pompon, Jane Poupelet, Léon-Ernest Drivier, Jules Desbois...

Il décide de quitter l'École des Beaux Arts en 1886. Pour vivre, il dessine et vend ses dessins au bureau des vendeurs d'arts parisiens Goupil & Cie ; il travaille aussi chez Théo van Gogh le frère de Vincent.

Les années Rodin (1893-1908)

Bourdelle et la danseuse américaine Grace Christie (1925)

En 1893, il entre comme praticien dans l'atelier de Rodin et participe au concours pour le monument aux morts de la guerre de 1870 à Montauban sa ville natale. La première maquette de ce monument est présentée en 1896. Les membres du comité chargé du projet l'accueillent très défavorablement. Finalement, il obtient cette commande en 1897 grâce à l'intervention de Rodin.

Il épouse en 1904 Stéphanie Van Parys, dont il avait eu en 1903 un fils, Pierre.

L'affirmation de son style (1909-1929)

Bourdelle quitte Rodin en 1908. Il voyage en Pologne et reçoit la commande du Monument à Mickiéwicz auquel il va travailler jusqu'à sa mort. Il exécute le buste d'Ingres, Beethoven dans le vent, Beethoven aux deux mains et le Bélier couché.

En 1921, il épouse Stéphanie Sevastos.

Il est le créateur et le vice-président du Salon des Tuileries, et en 1924 est décoré Commandeur de l'Ordre de la Légion d'honneur.

Les derniers mois

Bourdelle sur son lit de mort

Le 7 mai 1929, Antoine Bourdelle, malade, va se reposer dans la maison de son ami le fondeur Eugène Rudier au 18 route des Bouleaux au Vésinet[4], près de Paris. Pendant plusieurs semaines, Antoine Bourdelle fut si faible que l'on ne put lui montrer les lettres adressées par son ami André Suarès. Il se rétablit en juillet, put travailler et recevoir André Suarès, qui vint le visiter plusieurs fois au cours de l'été. Mais à la fin septembre, il rechute et meurt le 1er octobre 1929.

Antoine Bourdelle est enterré au cimetière du Montparnasse à Paris.

Œuvres

Sculptures

  • En 1888, il réalise ses premières sculptures de Beethoven. Il opte pour la pureté et la rigueur des formes. Il devient un des précurseurs de la sculpture monumentale du XXe siècle qui suscitera l'admiration notamment d'Auguste Rodin.
  • Il est appelé par Gabriel Thomas sur le chantier du théâtre des Champs-Élysées pour lequel il s'improvise également architecte. Il travaillera sur cette construction de 1910 à 1914, élaborant des sculptures monumentales. Initialement il devait réaliser le décor sculpté du bâtiment, mais très vite il participe aux aspects architecturaux aux côtés d'Auguste Perret[5] ainsi qu'à la décoration intérieure (fresques).
  • Pour l' Église Notre-Dame du Raincy d'Auguste Perret, il réalisa une pietà en bas-relief au-dessus de la porte d'entrée. Elle a été mise en place et inaugurée le [6]. Ce bronze avait été commandé pendant les années 1920 par le chanoine Nègre à Bourdelle, mais faute de crédits l'artiste ne réalisa alors qu'une esquisse conservée au musée Bourdelle.
  • Le Fruit une sculpture réalisée en 1906.
Hercules the Archer à New York
Le Monument à Mickiewicz : l'Épopée Polonaise au Musée Bourdelle à Paris
  • Héraklès archer réalisé en 1909, devait être initialement réalisé en un seul exemplaire selon Gabriel Thomas qui avait commandé l'œuvre. Mais dès 1916, d'autres exemplaires furent vendus, tant le succès fut important. Le modèle de la sculpture est le commandant Doyen-Parigot, qu'il avait rencontré aux "Samedis Auguste Rodin". Ce militaire, sportif accompli, inspira Bourdelle qui se tourna vers la légende d'Héraclès. Parmi les douze travaux, Bourdelle choisi l'extermination des Oiseaux du lac Stymphale. Toutefois Bourdelle modifia la tête de son modèle, celui-ci ayant demandé qu'il ne soit pas identifiable. La sculpture fit sensation au salon de 1910.
  • Monument au général Alvear, à Buenos Aires, Argentine, considéré par certains comme son chef d'oeuvre.
  • Le Monument aux Morts de Montauban est la première commande importante de Bourdelle. Sa vision romantique du monument lui vaudra des oppositions violentes. L'intervention de Auguste Rodin en 1897 permit à Bourdelle de réaliser cette sculpture sans accepter aucun compromis. Le monument sera érigé à Montauban en 1902[7]. Le Grand Guerrier, bronze monumental, en est l'un des éléments les plus célèbres (coll. Musée Bourdelle, Paris et Fondation Pierre Gianadda, parc de sculptures, Martigny, Suisse). Un groupe de trois figures a été exposé en 1899 sous le titre La Guerre, les figures hurlantes. Il a été créé dans le cadre du projet du Monument aux Morts de Montauban. Finalement non utilisée dans le monument, cette sculpture connut une existence indépendante[réf. nécessaire].
  • Le Monument à Mickiewicz, la première maquette date de 1909 mais Bourdelle n'inaugurera ce projet Place de l'Alma à Paris que vingt ans plus tard, quelques mois avant sa mort.
  • Dans les années 1920, à la demande de son ami, Robert Danis architecte directeur de l'Architecture au Ministère de la construction, il réalise pour la crypte de l'Hartmannswillerkopf, le Vieil Armand, les deux anges qui ornent l'entrée.
  • Sa statue de la France[8], dans deux versions, orne aujourd'hui le Palais de Tokyo à Paris et surplombe la citadelle de Briançon. Il fut envisagé un moment de l'ériger au port du Verdon, face à l'océan, port où débarquèrent en 1917 les troupes américaines, en remerciement de l'effort de guerre américain. Un exemplaire en bronze de la tête de "la France" est exposé dans le hall de la mairie du XV° arrondissement de Paris.
  • Le Monument aux morts de Capoulet-et-Junac (09) classé aux monuments historiques depuis le 6 août 2007 a été érigé en 1936 à l'initiative du Docteur Paul Voivenel alors maire de la commune. Ces trois figures créées dans le cadre du projet du Monument aux Morts de Montauban et non utilisées représentent la mort, la souffrance et la peur. Le Monument aux Morts de Capoulet-Junac a été inauguré en 1936 par Philippe Pétain. La sculpture est désormais exposée au musée Voivenel de Capoulet et a été remplacée par une copie.

Dessin

Isodora Duncan

Le dessin a été pour Bourdelle une passion impérative. Il a commencé à dessiner très jeune et n'a jamais cessé. Chaque jour à l'aube, il dessinait ses visions d'artiste. À l'Académie de la Grande Chaumière, à un élève à qui il demande s'il dessine et qui lui répond : "Oui, un peu", Bourdelle s'enflamme : "un peu ! mais ce n'est pas un peu qu'il faut dessiner, c'est constamment. Le dessin c'est de la discipline et c'est là que résidait la grande force d'Ingres. La base de la beauté, le savoir c'est le dessin. La sculpture finalement ce n'est pas autre chose que du dessin dans tous les sens"[9]. Il a illustré en 1927 un ouvrage d'Isodora Duncan. [10] Le musée Antoine Bourdelle de Paris conserve près de 6 000 dessins de celui-ci. Parmi ceux-ci les études à l'encre pour la façade du théâtre des Champs-Élysées, des dessins d'Isadora Duncan, la danseuse américaine, la Cathédrale Notre-Dame de Reims en flammes...

Un peintre méconnu

Fillette à la rose de Bourdelle

On ignore souvent que Bourdelle a également été un peintre. Il a exécuté plus de deux cents toiles et pastels, essentiellement des portraits, à l'huile et au pastel[11]. Si ces oeuvres sont demeurées peu connues, c'est en raison du prestige mondial que devait lui apporter sa sculpture qui maintiendra dans l'ombre son activité de peintre à part entière.

Dans un premier temps, il signa ses oeuvres 'Emile Bourdelle', puis il signera 'Emile Antoine Bourdelle' ou 'Bourdelle' tout court.

Il exposera à de nombreuses reprises son oeuvre peint :

  • 1891, quelques pastels au Salon de la Société Nationale des Beaux-arts (SNBA), et ce jusqu'en 1898.
  • 1905, il présente sept pastels au Salon d'Automne. La même année, à sa première exposition personnelle, chez Hébrard, rue Royale, il présente quelques peintures parmi ses sculptures.

Il participa de 1911 à 1913 à la décoration du foyer du théâtre des Champs-Elysées où la majorité des fresques sont de lui (et de certains de ses élèves)[12].

Les fondeurs

L'industrie du bronze française en 1878, occupe dans 600 fonderies plus de 7 500 ouvriers. Dès 1818 les fondeurs s'organisent en une « Réunion des fabricants de bronze » pour défendre leurs intérêts et en particulier lutter contre la contrefaçon. Pour lutter contre celle-ci ainsi que la multiplication inconsidérée de tirages d'une même œuvre, les fondeurs Rudier, Hébrard et Valsuani sont les premiers à numéroter leurs tirages. Chaque épreuve porte un numéro d'ordre et le chiffre total du tirage.

Antoine Bourdelle travailla avec de nombreux fondeurs, en privilégiant son ami Eugène Rudier, la Fonderie Susse ainsi que chez les frères Attilio et Claude Valsuani.

C'est lui qui réalisa l'épée d'académicien d'Albert Besnard.

Enseignement

L'Institut Rodin

L'Institut Rodin est fondé en janvier 1900 à Montparnasse. Les cours devaient être assurés par Auguste Rodin lui-même mais aussi par Antoine Bourdelle et Jules Desbois. Malgré son succès, l'entreprise échoue faute d'une bonne gestion et des absences de Rodin. Cette expérience permet à Bourdelle de découvrir sa vocation d'enseignant[13].

L'académie de la Grande Chaumière (1909 - 1929)

À partir de 1909, Antoine Bourdelle enseigne à l'Académie de la Grande Chaumière[14] à Montparnasse qui est une école située au 14 rue de la Grande Chaumière à Paris, fondée en 1902 par la Suissesse Martha Stettler (1870-1946). Elle a surtout été fameuse au début du XXe siècle.

Bourdelle y accueille de nombreux élèves qui seront, pour certains, tels Giacometti, Henri Matisse, Aristide Maillol, René Iché et Germaine Richier, des artistes majeurs de leur génération. Son influence dans le domaine de la sculpture en fut renforcée et Bourdelle sera bientôt considéré comme l'incarnation d'une césure esthétique, alternative fondamentale à la politique de tabula rasa des avant-gardes. Célébré de par le monde, il est plébiscité par ses contemporains, tels Anatole France, André Suarès et Gide, ainsi que par les plus prestigieuses institutions muséales internationales, de Rome à Stockholm en passant par Bucarest ou Bruxelles.

Les séances d'enseignement se divisent en deux temps distincts : les corrections des travaux puis la lecture et l'étude de leçons préparées. Antoine Bourdelle enseigne à la Grande Chaumière hebdomadairement accompagné d'un assistant qui retranscrit l'enseignement du maître. Selon Bourdelle l'apprentissage artistique exige le contact avec des œuvres, ainsi Bourdelle organise en mai 1910 une visite de la cathédrale de Reims. Ce séjour nourrit par la suite plusieurs leçons de Bourdelle. Le musée du Louvre, le salon des Tuileries ou le musée de sculpture comparée font partie des visites récurrentes de Bourdelle et de ses élèves. Ces visites collectives différencient l'enseignement de Bourdelle par rapport à ses confrères[15].

À voir

Lieux de mémoire

  • À Paris, le Musée Bourdelle se situe au 16, rue Antoine Bourdelle dans les anciens ateliers qu'il occupa de 1884 à 1929, dans le XVe arrondissement. Ce musée a été inauguré en 1949 et agrandi une première fois en 1961, à l'occasion du centenaire de sa naissance, avec la construction du grand hall (1959-1961). Puis le 21 octobre 1992 une nouvelle aile du musée, construite par l'architecte Christian de Portzamparc (1989-1992), a été inaugurée[19]. Le musée Bourdelle a mis de nombreuses œuvres en dépôt à la Fondation de Coubertin, à Saint-Rémy-lès-Chevreuse (Yvelines).
  • À Montauban, la ville expose une partie des œuvres de l'artiste, environ 70 sculptures, dans une salle du musée Ingres.
  • Le Musée Toulouse-Lautrec d'Albi abrite un excellent fond d'œuvres de Bourdelle.
  • À Égreville, en Seine-et-Marne, un musée de plein air, le Jardin-musée Bourdelle d'Égreville dédié à Antoine Bourdelle présente un remarquable ensemble de 56 sculptures. Cette réplique, en plein air, du musée installé dans son ancien atelier parisien, est un petit bijou dans lequel les bronzes originaux s'intègrent complètement aux parterres dessinés dans l'esprit des broderies des jardins à la française.
  • À Yongin, le musée d´art Ho-Am a dédié son jardin aux sculptures de cet artiste.
  • À Montauban, le Lycée Antoine Bourdelle revêt son nom en son honneur.

Galerie

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Textes

  • L'Atelier perpétuel : Proses & Poésies, Paris, Éditions des Cendres/Paris-Musées, , 28 ill. en couleur + 280 (ISBN 978-2-7596-0073-1)
    Édition établie par Marc Kopylov et Colin Lemoine.
  • Cours et Leçons à l'Académie de la Grande Chaumière, t. 1 : Cours, Paris, Éditions des Cendres/Paris-Musées, , 336 p. (ISBN 978-2759600342)
    Édition établie par Laure Dalon.
  • Cours et Leçons à l'Académie de la Grande Chaumière, t. 2 : Leçons, Paris, Éditions des Cendres/Paris-Musées, , 408 p. (ISBN 978-2759600359)
    Édition établie par Laure Dalon.

Bibliographie critique

  • Denise Basdevant, Bourdelle et le Théâtre des Champs-Elysées, Chêne:Hachette, 1982
  • Véronique Gautherin, L'Œil et la main (2000)
  • Ionel Jianou et Michel Dufet, Bourdelle Édition Arted 1970.
  • Marina Lambraki - Plaka, Bourdelle et la Grèce, les sources antiques de l'oeuvre de Bourdelle (1985)
  • Colin Lemoine, Antoine Bourdelle. L'oeuvre à demeure, Paris, Paris-Musées, 2009
  • Colin Lemoine, Bourdelle, Paris, Éditions Cercle d'art, 2004
  • Antoine Bourdelle, passeur de la modernité, catalogue de l'exposition de Bucarest (commissariat Roxana Theodorescu, Juliette Laffon et Colin Lemoine / Catalogue Colin Lemoine), Bucarest, Musée Nationald'Art de Roumanie, 2006
  • Colin Lemoine, Le Fruit : une œuvre majuscule d’Antoine Bourdelle, Ligeia, janvier-juin 2005, no 57-58-59-60, p. 60-78
  • Colin Lemoine, "...sans ce modelé à la Rodin, à la XVIIIe siècle qui beurre le tout" : Bourdelle et la question d'un primitivisme occidental, Bulletin du musée Ingres, mai 2006, no 78, p. 49-66
  • Giovanni Lista, "Antoine Bourdelle ou la modernité à rebours", in Antoine Bourdelle, Kitakyushu Municipal Museum of Art, 9 juin-16 juillet 2007, Kitakyushu – Musée Bourdelle, Paris
  • Giovanni Lista, "Antoine Bourdelle", in Célébrations Nationales, Ministère de la Culture et de la Communication-Archives de France, Paris, 2010
  • René-Jean - Coïmbra Editora,Emile Antoine Bourdelle, Coïmbra 1930
  • Emmanuel Schwartz, Les Sculptures de l'École des Beaux-Arts de Paris. Histoire, doctrines, catalogue, École nationale supérieure des Beaux-Arts, Paris, 2003.
  • Jean Selz, Bourdelle peintre 1861-1929, éditions 666, Paris, ouvrage conçu par Madame Rhodia Dufet-Bourdelle
  • Cléopâtre Sevastos (sa seconde épouse), Ma vie avec Bourdelle, Paris-Musées et Éditions des Cendres, 2005 (édition annotée par Colin Lemoine)
  • Dossier de l'Art no 10 de janvier/février 1993.

Liens internes

Liens externes

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Notes et références

  1. « https://archives.yvelines.fr/rechercher/archives-en-ligne/correspondances-du-musee-departemental-maurice-denis/correspondances-du-musee-maurice-denis », sous le nom BOURDELLE Antoine (consulté le )
  2. AD 82 en ligne, 6 E 121-366, vue 19/38, acte 462, état civil de Montauban, le père signe bien Bourdelle
  3. L'atelier de Bourdelle était situé au 16 impasse du Maine. Dalou occupait l'atelier voisin, au 18. L'impasse du Maine est devenue l'actuelle rue Antoine Bourdelle.
  4. Référence : http://histoire-vesinet.org/saga_rudier.htm
  5. Source : Denise Basdevant : Bourdelle et le Théatre des Champs Elysées ed Chêne Hachette 1982
  6. André Arcellaschi et Albert Hari, Petit Guide de Notre-Dame du Raincy, éditions du Signe, 2003, ISBN 2-7468-0717-3
  7. Bourdelle par Ionel Jianou et Michel Dufet Edition Arted 1970 page 36
  8. voir Base Arcade, cote F/21/4776
  9. Source : Dossier de l'art no 10 de Janvier 1993, page 52
  10. Les écrits sur la Danse, Isodora Duncan, Éditions du Grenier, Paris, 1927
  11. Voir dans la bibliographie l'ouvrage de Jean Selz, conçu par sa fille Rhodia Dufet Bourdelle, consacré à sa peinture
  12. Bourdelle et le Théâtre des Champs-Elysées par Denise Basdevant (Chêne/Hachette, 1982)
  13. Livret de présentation de l'exposition: Antoine Bourdelle "Le meneur de rêves" du 15 janvier au 20 aril 2008 au musée Bourdelle
  14. Source : http://www.grande-chaumiere.fr/page_fr/histoire.html
  15. Cours et leçons à l'Académie de la Grande Chaumière Édition établie et présentée par Laure Dalon Édition des Cendres 2007
  16. Source : http://theses.enc.sorbonne.fr/document1026.html
  17. http://www.texasescapes.com/TexasArtists/Raoul-Josset.htm Raoul Josset aux Etats-Unis
  18. http://www.ville-bergerac.com/eva/spip.php?rubrique119 Musée Costi à Bergerac
  19. Source : http://www.paris.fr/portail/Culture/Portal.lut?page_id=6937&document_type_id=4&document_id=20365&portlet_id=15834&multileveldocument_sheet_id=3076