Utilisateur:Fagmt/Trebote (fr)

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Historicité[modifier | modifier le code]

M.Grenier - Belles Lettres[modifier | modifier le code]

«  Quelle que soit l'importance des faits archéologiques mis en lumière par M. H. Koethe et la signification chro- nologique des tessons de vases recueillis dans le sous-sol de Trêves, on hésitera donc à reculer la fondation de la ville jusqu'au début du règne de Claude. Nous n'en tenons pas moins à signaler l'intérêt des recherches qui se poursuivent activement à Trêves et qui, sans aucun doute, finiront par nous apporter un jour une solution excluant toute incertitude.  »

— Grenier Albert. La fondation de Trèves. In: Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 80ᵉ année, N. 2, 1936. pp. 166-170. / DOI : https://doi.org/10.3406/crai.1936.76743 / www.persee.fr/doc/crai_0065-0536_1936_num_80_2_76743

M. Fuchs - Université de Poitiers[modifier | modifier le code]

« La reproduction et la représentation sur un support électronique quel qu’il soit sont formellement interdites sauf autorisation expresse du titulaire des droits. » [1]

«  L'histoire de la ville de Trèves est peuplée de fictions, de faux et d’informations légendaires1. Ainsi, vers l´an mil, on attribue la fondation mythique de la cité au prince assyrien Trebeta, fils de Ninus, qui, chassé de sa patrie par sa belle-mère Semiramis, aurait parcouru le monde avant de fonder sur la Moselle une cité à son nom2. Trèves a longtemps conservé cette tradition et l’a répétée à maintes reprises, y compris tardivement à l’époque moderne, au cours d’un procès devant la cour impériale en 1570 par exemple3.  »

— L’authentification tardive des reliques à Trèves par Rüdiger FUCHS [2]

2 L’épitaphe fictive de Trebeta a, paraît-il, été trouvée dans les environs de la cité, où se trouve un tertre funéraire romain:

« Nini Semlramis qui est plus mon mari /

Mais la plupart ont saisi plus que les augmentations antérieures /
Trebeta pas loin de leur royaume natal /
Un fugitif tristement célèbre qui a fait notre ville /
Treberis à faire pour donner de l'amour /
Ce qui est connu est le chef de la anteritate européenne /

Le fils de héros des épitaphes de l'intégration. »

—  Google Traduction , L’épitaphe fictive de Trebeta [3]

« Nini Semiramis quae tanto coniuge felix /

Plurima possedit sed plura prioribus addit /
Expulit a patrio privignum Trebeta regno /
Profugus insignem nostram qui condidit urbem /
Treberis huic nomen dans ob factoris amorem /
Quae caput Europae cognoscitur anteritate /

Filius huius Hero patris haec epigrammata pono. »

— L’épitaphe fictive de Trebeta [3]

Parcours[modifier | modifier le code]

«  Le premier fondateur d'icelle fut vn Assirien nom- mé Trebote, fils de Nine premier du nom, lequel persécuté par sa belle mère Sémiramis ( laquelle usurpoit le Royaume Babilonien qui luy apparte- noit ) passa par mer & s'en vint en Europe, traver- sant tant de pays, qu'en fin il s'arresta sur le Rhin, puis passa outre jusqu'à la Moselle , pres laquelle ayant trouué vne vallée tres plaifante , se meit à y bastir vne cité, qu'il appella de son nom.  »

—  Des Rues, François (1575?-1633), Description contenant toutes les singularitez des plus célèbres villes et places remarquables du royaume de France, avec les choses plus mémorables advenues en iceluy , reveu, corrigé et auguementé du sommaire de l'estat, cartes des provinces et de quelques portraitz des plus signalées villes du dict royaume, J. Petit (Rouen), , 381 p., [8]-352-[8] p. : titre gravé, plans ; in-8 (OCLC 776834182, BNF 30335637, lire en ligne [normal/texte/écoute]), p. 271-272 [4]

Omnes Viae[modifier | modifier le code]

Calculs[modifier | modifier le code]

https://omnesviae.org/fr/#!iter_TPPlace2627_ (Singara-)
Iter brevissimum Ab 'Singara' ad 'Nisibi'
Summa LXXXV Milia Passuum / Leuga Gallica. (85 Mille Pas)
Fere VI dies. (environ 6 jours)
civitas Singara (Shingal) - via xxxiii. - Baba - via xix. - Thebeta - via xxxiii. - civitas Nisibi (Nusaybin)

Mille Romain environ 1482 mètres

étapes Mille Passum x 1.482 m / 3.600 h
civitas Singara (Shingal)
via XXXIII 48.906 m 13,585 h
Baba
via XIX 28.158 m 7,822 h
Thebeta
via XXXIII 48.906 m 13,585 h
civitas Nisibi
Singara - Nisibi LXXXV (85) 125.970 m 34,992 h

85.000 / 6 = 14.167 pas par jour

podomètre : 1 pas = 60 cm = 0.60 m

14.167 x 0.60 = 8.500 m, soit 8,500 km par jour

chrono : 1 pas = 1 s

14.167 pas = 14.167 s

14.167 / 3600 = 3,94 h ~ 4 h 00 mn

Références[modifier | modifier le code]

« Omnes viae viewer

https://omnesviae.org/fr/viewer/

Sur omnes viae de Peutinger on peut lire en Mesopotamia sur la voie vers Singara: Macharta XXIIII, Nisibi XXXIII, Thebeta XVIIII puis Baba XXXIII et Singara,

mais il semble qu'il y ait un problème de localisation sur la carte classique ?

Synthèse

Thebeta

«  Omnes viae iter

TPPlace2625_TPPlace2627 (Thebeta-Singara)
Iter brevissimum Ab 'Thebeta' ad 'Singara' Summa LII Milia Passuum / Leuga Gallica. Fere IV dies.

  • Thebeta ↔ via xix. ↔ Baba ↔ via xxxiii. ↔ civitas Singara (Shingal)

Thebeta, n'est pas sur Omnes Viae ?

A place mentioned on the Tabula Peutingeriana.
Vici.org: https://vici.org/vici/34871/
Rome's world: TPPlace2625 ?

TPPlace2626_ (Baba-)
Iter brevissimum Ab 'Baba' ad 'Nisibi' Summa LII Milia Passuum / Leuga Gallica. Fere IV dies.

  • Baba - via xix. - Thebeta - via xxxiii. - civitas Nisibi (Nusaybin)

https://omnesviae.org/fr/#!iter_TPPlace2627_ (Singara-)
Iter brevissimum Ab 'Singara' ad 'Nisibi' Summa LXXXV Milia Passuum / Leuga Gallica. Fere VI dies.

  • civitas Singara (Shingal) - via xxxiii. - Baba - via xix. - Thebeta - via xxxiii. - civitas Nisibi (Nusaybin)

https://omnesviae.org/fr/#!iter_TPPlace2625_ (Thebeta-)
Iter brevissimum Ab 'Thebeta' ad 'Nisibi' Summa XXXIII Milia Passuum / Leuga Gallica. Fere III dies.

  • Thebeta - via xxxiii. - civitas Nisibi (Nusaybin)

https://omnesviae.org/fr/#!iter_TPPlace2623_ (Macharta-)
Iter brevissimum Ab 'Macharta' ad 'Ressaina' Summa LXIV Milia Passuum / Leuga Gallica. Fere V dies.

  • Macharta (Kızıltepe) viaxxviii. Rene viaxxxvi. civitas Ressaina (Răs el Aïn)

Select iter

Singara A place mentioned on the Tabula Peutingeriana. Shingal Vici.org: https://vici.org/vici/2415/ Rome's world: TPPlace2627

Nisibi A place mentioned on the Tabula Peutingeriana. Nisibis Vici.org: https://vici.org/vici/3251/ Rome's world: TPPlace2673

Macharta A place mentioned on the Tabula Peutingeriana. Kızıltepe Vici.org: https://vici.org/vici/2413/ Rome's world: TPPlace2623

Iter

TPPlace2623_TPPlace2627 (Macharta-Singara)
Iter brevissimum Ab 'Macharta' ad 'Singara' Summa CIX Milia Passuum / Leuga Gallica. Fere VIII dies.

  • Macharta (Kızıltepe) ↔ via xxiv. ↔ civitas Nisibi (Nusaybin) ↔ via xxxiii. ↔ Thebeta ↔ via xix. ↔ Baba ↔ via xxxiii. ↔ civitas Singara (Shingal)  »

— Omnes Viae

Pléiades: Nisibis, Roaf, M., T. Sinclair, S. Kroll, St J. Simpson, « Places: 874623 (Nisibis/Antiochia) », Pleiades (consulté le Date invalide (april 17, 2018 3:05 pm))

Orbis 2012[modifier | modifier le code]

Orbis 2012

« De Thebeta à Augusta Treverorum

Choisir décembre pour éviter les routes plus au nord, en longeant les côtes, sans prendre la haute mer, priorité "à moindre coût", calmement, en empruntant les voies fluviales.

Le tracé emprunte effectivement la vallée du Rhône jusqu'à Cabilennum, puis à l'est jusqu'à Cambete, au nord jusqu'à Mogonlacum, au nord ouest jusqu'à Confluentes, au sud ouest jusqu'à Augusta Treverorum.

Au départ, en partant vers l'ouest de Nisibis jusqu'à Zeugma, puis Antiochia, jusqu'à la côte à Seleuka Pieria.

Ensuite, par la mer en longeant les côtes, jusqu'à Massilia puis Arelate. »

« To Augusta Treverorum

from Nisibis

The cheapest journey from Nisibis to Augusta Treverorum in December takes 166.2 days, covering 6573 kilometers.

from Singara

The cheapest journey from Singara to Augusta Treverorum in January takes 216.9 days, covering 6631 kilometers. »

— Orbis 2012

« Mode de transport et priorité des voies

Un mode de transport "par les voies navigables fluviales", au départ de Nisibis ou Sangara, passera par Circesium, Soura et Zeugma.

Si ce mode n'est pas sélectionné, le tracé emprunte seulement les voies terrestres, au départ de Nisibis ou Singara, passera par Edessa et Zeugma.

Une priorité "plus court" emprunte uniquement les voies terrestres en passant par Constantinopolis.

Une priorité "plus rapide" emprunte les voies navigables côtières jusqu'à Aquilela. »

«  »

— Orbis 2012

«  Par l'océan En août le tracé rejoint l'océan par Gibraltar (Tingi), puis jusqu'au delta du Rhin (Lugdunum Cananefatium). »

« Par l'océan

from Nisibis to Augusta Treverorum in August

The cheapest journey from Nisibis to Augusta Treverorum in August takes 161.2 days, covering 9509 kilometers. »

— Orbis 2012

Recherche précédente[modifier | modifier le code]

from Dura (Dora, Bagdad) to Augusta Treverorum in March takes 143.6 days, covering 4206 kilometers

http://orbis.stanford.edu/#mapping

The cheapest journey from Dura to Augusta Treverorum in March takes 143.6 days, covering 4206 kilometers.

Prices in denarii, based on the use of a faster sail ship and a civilian river boat (where applicable), and on these road options:

  • Per kilogram of wheat (by donkey): 117.53
  • Per kilogram of wheat (by wagon): 146.94
  • Per passenger in a carriage: 5668.97

parcours de Babylone à Tier Aug Trevirorum

http://www.omnesviae.org/fr/#!iter_TPPlace2702_TPPlace897

Distance et durée du parcours

Iter brevissimum

Ab 'Babylonia' ad 'Avḡ Tresvirorvm'

Summa MMMCXXII Milia Passuum / Leuga Gallica.

Fere CCIX dies.

MMMCXXII Milia Passum, soit 3.122.000 pas

CCIX DIES, soit 209 jours

3.122.000 / 209 = 14.938 pas par jour

podomètre : 1 pas = 60 cm = 0.60 m

14.938 x 0.60 = 8.963 m, soit 8,963 km par jour

chrono : 1 pas = 1 s

14.938 pas = 14.938 s

14.938 / 3600 = 4,15 h = 4 h 08 mn 58 s

Légende[modifier | modifier le code]

13 Blasons Texte et représentation personnage central Texte et représentation 13 Blasons
1 3 Blasons Texte
Trebeta uonn \ erenn schon ¤ dregt Trier / die edell kron ?
Texte 3 Blasons
Trebeta connait \ Érenn déjà ¤ cela excite Trèves / le noble roi ?
2 Mercure Jupiter
3 2 Blasons Mercure
Trebeta
présentant
Jupiter 2 Blasons
4 3 Blasons
Mercure[5]
les trois forteresses
Jupiter[6]
3 Blasons
5 3 Blasons
de son père
Ninus ¤ Rex
3 Blasons
6 Blason schrim und figur ist gemacht wie das original mit sich bracht Blason
7 Blason Blason

« Trebeta en tant que légendaire fondateur de la ville, peinture à l'huile de Claudius Markar de l'année 1684 dans la salle Trebeta du Simeonstift, musée d'histoire de la ville Simeonstift à Trèves, numéro d'inventaire III, 641 »

—  Google Traduction , Description du média

« Trebeta als sagenhafter Stadtgründer, Ölgemälde von Claudius Markar aus dem Jahr 1684 im Trebeta-Saal des Simeonstiftes, Stadtgeschichtliches Museum Simeonstift in Trier, Inventarnummer III, 641 »

— Description du média

« Trebeta connait \ Érenn déjà ¤ cela excite Trèves / le noble roi ? »

—  Google Traduction , Ligne 1

« Trebeta uonn \ Érenn schon ¤ dregt Trier / die Edell kron »

— Ligne 1

[5]

« De quoi était une bonne chose

Mercurius genent du vol Tempell
tel zwaier mangnetenn krafft

vous fait flotter »

—  Google Traduction ? , Mercure

« Von eifen was gegofsen ein bilde hoche

Mercurius genent der im Tempell floge
folches zwaier mangnetenn krafft

inn der lussth schwebenn macht »

— Mercure

[6]

« De mermett une image soit genanth

un blatthenn hiclth ef en finesse hanth ce qui est fait de lifchteun fo guet

le weiruch fume dans la fumée »

« Von mermett ein bild iupither genanth

ein blatthenn hiclth ef in finer hanth das was vonn lifchteun gemacht fo guet

das weiruch da in rauch tsunder gluet »

« L'écran et la figure sont faits comme l'original apporté avec »

—  Google Traduction , Ligne 6

« schrim und figur ist gemacht wie das original mit sich bracht »

— Ligne 6

Trebote[modifier | modifier le code]

Trebeta (de)[modifier | modifier le code]

1559 Représentation de Trebote, détruite durant la seconde guerre mondiale.

Trebote était le fils du légendaire Roi Assyrien Ninos et d'une Reine chaldéenne. Sa belle-mère a été plus tard la Reine Sémiramis. Cela a conduit son beau-fils Trebeta hors de son Royaume. Trebeta fuit en Europe avec ses fidèles et fonde sur la Moselle vers 2000 av. J.-C., la ville de Trèves. Cette Légende du Sage de Trêves eponymem ("éponyme") Fondateur de la ville a été enregistrée pour la première fois en 1105 dans la Gesta Treverorum. On a cru reconnaître sa tombe dans un tumulus de:Franzensknüppchen plus tard visés sur le de:Petrisberg. À la fin du moyen âge, d'autres villes attribuent leur origine à Trebeta (par exemple, Strasbourg).

[[Kategorie:Sagengestalt]] [[Kategorie:Geschichte (Trier)]]

Trebata (it)[modifier | modifier le code]

Trebata, leggendario fondatore di Treviri - Olio su tela di Claudius Markar (1684) nella "Sala di Trebata" Museo della storia della città Simeonstift a Treviri, Inventario numero III, 641
Trebata, fondateur légendaire de Trèves - Huile sur toile par Claudius Markar (1684) dans la "Salle de Trebata" Musée de l'Histoire de la ville Simeonstift à Trèves, Numéro d'inventaire III, 641
Cette entrée sur les arguments Mythologie et Allemands n'est qu'un croquis . Contribuer à l'améliorer selon les conventions de Wikipédia . Suivez la suggestion du projet de référence . Croquis allemand

Trebata (...) est le fondateur légendaire de la ville de Trèves ( Allemagne ).

Selon la légende, Trebata était le fils de Ninus , roi d'Assyrie et reine chaldéenne .

Elle avait la reine Semiramide comme belle-mère . Alors il l'a forcé à quitter le royaume des Assyriens. Il a dû fuir avec son suivi en Europe et vers l'an 2000 avant JC, il a fondé la ville de Trèves sur les rives de la Moselle . Cette saga du fondateur fondateur de Trèves a été rapportée pour la première fois en 1105 dans les chroniques de Gesta Treverorum .

On croyait reconnaître sa tombe dans le soi-disant Franzensknüppchen de Petrisberg, à Trèves. À la fin du Moyen Âge, d'autres villes ont revendiqué leurs origines et sont revenues à Trebata. (par exemple Strasbourg )

À Trèves, la «fontaine de Trebata» se souvient aujourd'hui de la saga et une écriture latine dans la maison rouge de la place du marché se réfère à:

(LA) « ANTE ROMAM TREVIRIS STETIT ANNIS MILLE TRECENTIS. PERSTET ET ÆTERNA PACE FRVATVR. AMEN. »

( IT ) "Des milliers et trois cents ans avant Rome il y avait Trèves, pour que cela puisse exister et jouir de la paix pour toujours"

Autre média : La maison rouge avec l'inscription

Bibliografia

  • ( DE ) Ilse Haari-Oberg: L'histoire de l'impact de la déclaration fondatrice de Trèves du 10ème au 15ème siècle (= Publications universitaires européennes, Série 3, Volume 607), Bern et al 1994 (Diss Bonn).
  • ( DE ) Wolfgang Binsfeld: La légende fondatrice. Dans: Rheinisches Landesmuseum Trèves (éd.): Trier - Augustusstadt le Treverer. 2e édition, Mayence 1984, (ISBN 3-8053-0792-6) , p 7f.

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Τρήβητος (el) ... good trip (Τριρ) :)[modifier | modifier le code]

Trivitos (Τρήβητος) était le fils du roi légendaire d' Assyrie Ninos mentionné dans les textes de la période hellénistique et une reine Chaldéenne (Χαλδαίοι). Lorsque sa mère, la reine Semiramis (Σεμίραμις) , bannit Tryavos (Τρήβητο) de son royaume, il s'enfuit avec ses partisans en Europe et arriva à la Moselle fondée en 2000 av. la ville de Trèves (Τριέρη/Τριρ), dont elle a donné son nom.

Ce mythe a été enregistré pour la première fois en 1105 dans "la gesta des Trévires" (Πράξεις Τριβιρίων) . À Trèves (Τριέρη), il y a une inscription datant de 1684 faisant référence à ce mythe.

ANTE ROMAM TREVIRIS STETIT ANNIS MILLE TRECENTIS. PERSTET ET ÆTERNA PACE FRVATVR. AMEN.

avant Rome, Trier a été dépensé pour mille trois cents ans qu'il y ait éternellement en paix

Βιβλιογραφία

Ilse Haari-Oberg, l'histoire de l'action de Trèves légende de fondation du 10 au 15ème siècle (études universitaires européennes, série 3, vol. 607), Berne et al, 1994 (Diss. Bonn).

Στο λήμμα αυτό έχει ενσωματωθεί κείμενο από το λήμμα Trebeta της Γερμανικής Βικιπαίδειας, η οποία διανέμεται υπό την GNU FDL και την CC-BY-SA 3.0. (ιστορικό/συντάκτες).

Cette entrée incorpore le texte de Trebeta dans Wikipedia allemand , distribué sous GNU FDL et CC-BY-SA 3.0 . ( historien / auteurs ).

Catégorie : Ασσύριοι

Trebeta (en)[modifier | modifier le code]

Trebote était le légendaire fondateur de Trèves (Allemagne) d'après la Geste des Trévires. Il a été dit être le fils de Ninos, Roi d'Assyrie, par une épouse avant son mariage avec la Reine Sémiramis. Sa belle-mère Sémiramis le méprisait, et quand elle pris le pouvoir après la mort de son père Ninos, Trebote quitta l'Assyrie et vint en Europe. Après avoir erré pendant un certain temps, Il dirigea un groupe de colons à s'établir à Trèves, dans l'actuelle Allemagne vers 2000 av. J.-C.. À sa mort, son corps était censé être incinéré sur Petrisberg par le peuple de Trèves.

L'historien Allemand Johannes Aventinus conteste au XVe siècle que Trebeta (qu'il appelait Trever ou Treiber) soit le fils de Ninos, affirmant qu'il était en fait un fils du Ninus contemporain Mannus, qui était censé être le second roi d'Allemagne. Aventinus aussi crédite Trever avec l'établissement de peuplements à Metz, Mainz, Basel, Strasbourg, Speyer et Worms.

[[Category:Legendary rulers]] [[Category:Mythological kings]]

Trebeta (es)[modifier | modifier le code]

Trierer Hauptmarkt, place du marché central de Trèves, où une inscription est gardée en mémoire de la Fondation de la ville par Trebeta

Trebote était un personnage légendaire, fils du roi Assyrien Ninos, fondateur de la ville de Treviris d'après la Gesta Treverorum rédigée en 1105.

Trebeta, fils d'une princesse chaldéenne, épouse de Ninos jusqu'à ce qu'il s'unisse à Sémiramis, tomba en disgrâce après la mort de son père et la succession au trône de sa marâtre, fût contraint à l'exil en Europe.

Avec un groupe de colons, Trebeta s’établit sur les rives de la rivière Moselle et fonde la ville éponyme trois mille ans avant Rome elle-même et dont la Maison Rouge (Rotes Haus) de la place du marché central, a conservé l'inscription:

«  ANTE ROMAM TREVIRIS STETIT ANNIS MILLE TRECENTIS.
PERSTET ET ÆTERNA PACE FRVATVR. AMEN.  »

— Rotes Haus, Trierer Hauptmarkt

Une autre légende , soutenue depuis le XIVe siècle par les chroniqueurs de Koenigshoffen dont Jacques Twinger de Koenigshoffen, et Daniel Specklin au XVIe siècle, attribue également à Trabeta la fondation de Strasbourg[7]. Après sa mort, son corps fut incinéré sur de:Petrisberg par le peuple de Tréviris.

[[Catégorie:Histoire de Strasbourg]] [[Catégorie:Mythologie germanique]] [[Categoría:Mitología asiria]]

Trebeta (de) # place du marché de Trèves[modifier | modifier le code]

La fontaine de Trebeta
La Maison rouge (Rotes Haus)


La fontaine de Trebeta (Trebeta Brunnen) rappele aujourd'hui la légende et une Inscription en façade de la Maison Rouge (Rotes Haus) sur la principale place du marché de Trèves (Trier Haupmarkt) y fait référence:

ANTE ROMAM TREVIRIS STETIT ANNIS MILLE TRECENTIS.
PERSTET ET ÆTERNA PACE FRVATVR. AMEN.
Treviris érigée Trois Mille Ans Avant Rome.
Quelle puisse continuer d'exister et de jouir de la paix éternelle.

Aujourd'hui ce Musée en plein air (Living-History-Gruppe) est appelé l'Espace Trèves/Eifel Trebeta (Raum Trier/Eifel Trebeta). Les Vikings y sont représentés après les raids de l'année 882 et 892 sur l'abbaye de Prüm.



Place du Marché[modifier | modifier le code]

Musée de la ville Fondation Simeon salle Trebeta (Stadtmuseum Simeonstift Saal Trebeta)[modifier | modifier le code]

Signification du mot Stift [8]


Le père de Sémiramis, fils présumé d'Achille[modifier | modifier le code]

« Sémiramis est la fille de Dercéto, une déesse mi-femme mi-poisson qui vivait dans un lac voisin d'Ascalon, et de Caÿstros, le fils présumé d'Achille et de Penthésilée. Cette union est provoquée par Aphrodite qui avait à se plaindre de Dercéto. » (Sémiramis)

Mausolée d'Igel (de l'Aigle?)[modifier | modifier le code]

« Le mausolée d'Igel (en allemand : Igeler Säule) est un monument funéraire romain du iiie siècle, situé à Igel, à 9 km à l'ouest de Trèves, sur la rive gauche de la Moselle, en Allemagne. »
« Il a aussi servi de borne milliaire, se trouvant exactement à 8,8 km, soit quatre lieues (leuga) d'Augusta Treverorum (Trèves). La lieue romaine (d'origine gauloise) est en effet définie comme égale à un mille romain et demi. »
« Les reliefs, sur les quatre faces, montrent des traces de peinture. Ils figurent des scènes mythologiques : Achille, Persée et Andromède, les travaux et l'apothéose d'Hercule. On y voit aussi des scènes quotidiennes entre les riches marchands d'étoffes d'Augusta Treverorum (Trèves) et leurs clients. Le monument est coiffé d'une sculpture montrant Jupiter et Ganymède emportés vers l'Olympe par un aigle (en latin : aquila), dont le nom d'Igel est dérivé. »

Statues de Ajax, Hector et Antonio Canova[modifier | modifier le code]

Éaque grand-père de Achille et Ajax , Achille et Ajax sont donc cousins germains[modifier | modifier le code]

« Dans la mythologie grecque, Éaque (en grec ancien Αἰακός / Aiakós) est le fils de Zeus et de la nymphe Égine. Il est grand-père d'Achille et d'Ajax fils de Télamon. On appelle ses descendants les Éacides. » (Éaque)
« Éaque épouse alors Endéis qui lui donne deux fils : Pélée, le père d'Achille, et Télamon, le père d'Ajax. Éaque est donc l'aïeul des deux héros de la guerre de Troie. » (Éaque)
« Platon au Livre III des Lois, fait de Ninos le fondateur de l'empire et de la puissance de l’empire assyrien, dont il fait une des causes de la guerre de Troie. » (cf. article à propos de Ninos)

Conspiration de Tiepolo à l'encontre du doge[modifier | modifier le code]

«L’actuel palais, appelé aujourd’hui palais Barozzi Emo Treves de Bonfili, se dresse en un lieu où existait la Ca’ Grande (la Grande Maison) qui fut construite en 1164 pour Domenico Barozzi. Ce premier palais était en face d’un autre édifice, appartenant également aux Barozzi et qui fut rasé en 1310 à la suite de la participation de deux membres de la famille dans la conspiration de Tiepolo, voulant assassiner le doge Pietro Gradenigo alors en guerre contre le pape. Les Barozzi conservèrent ce palais dans leur descendance jusqu'en 1827, date à laquelle il fut vendu à la famille Treves.

Le palais Bauer Grünwald, aujourd’hui transformé en hôtel de luxe, appartenait également aux Barozzi.»

« Dans une salle, dont la paroi extérieure a été démolie et reconstruite pour les faire entrer, sont conservées les statues colossales de Hector, Ajax et de leur auteur Antonio Canova. »

La Fondation de Treves par Trebote[modifier | modifier le code]

Première page des chroniques du Hainaut, résumé de l'histoire du Hainaut réalisée par Jean Wauquelin à partir du travail de Jacques de Guyse
Détail de la miniature présentant Jean Wauquelin remettant son livre à Philippe le Bon en présence de Charles le Téméraire, Nicolas Rolin et Jean Chevrot

Éditions du XVIe siècle[modifier | modifier le code]

La fondation de la ville de Trèves (édition de 1551)[modifier | modifier le code]

«  CATALOGUE DES VILLES

La fondation de Treues.

L 'Histoire de treues traictant de la fonda- tion d'icelle par le récit de frere Jacques de Guise homme de grant saouoir & diligen ce dit que Ninus roy des Babyloniens ou As- siriens filz de Belus & fondateur de la grand' cité de Niniue eut à femme la grande Semira-mis Royne de Babylone de laquelle il eut vn filz nommé Ninus second du nom (Ninyas). Icelle Se- miramis commença i regner apres la mort de son mary, l'an du deluge trois cens deux[9] & re gna quarante deux ans, jusques à ce qu'elle fut accusée de son dict fils Ninus (Ninyas) lequel elle auoit sollicité de folle amour comme disent les hi- stoires. Or auoit eu Ninus premier du nom un filz d'une / d'une autre femme nommée Trabeta [10] qui du Royaume paternel deuoit estre successeur. Mais la royne Semiramis voulant y abiter print l'aministration & gouvernement du royaume pour son filz Ninus (Ninyas) comme dessus est dict. Et dict Iacques de Guise preallegu qu'elle solicita & exhorta celuy de Trabeta (Trebote) à l'ay mer follement, mais luy refusant le libidineux vouloir d'icelle, encourut sa mauuaise grace, & le print en merueilleuse haine . Trebote [11] crai- gnant la puissance & fureur de sa marastre, Babylone delaissa, & cherchant autre terre pour habiter, finablement s'arresta en la Gau- le belgicque , non pas trop loing de la riuiere du Rhin, & en ce lieu fonda vne puissante ci- té qu'il nomma Treues de son nom,en laquel le comme dict Jehan le maire feist premiere- ment adorer l'idolle statue ou simulacre de son grand pere Iuppiter[12], Belus[13] (Marduk) filz de Nembroth, le geant[14], mil neuf cens quarante sept ans auant l'incarnation nostre seigneur Iesus Christ, qui fut l'année premiere de sa fondation tres an- ticque . A cecy s'accorde L'autheur de la mer des histoires[15] disant ainsi . Treues fondée par Trebote filz de Ninus fut la premiere Cité de Europe, Apres la mort dudict Trebote son filz Hero[16] selon la forme des Anciens feit brusler le corps / le corps de son pere, puis l'enseuelit sur la montaigne Vran, & mist dessus luy vne tom- be de marbre ou estoient par vers contenus & d'escritz elegáment ses gestes & faitz. Apres la mort dudit Hero ceux de Treues croissantz en nombre & richesses enuironnerent leur ci té de murs & de tours , & firent quatre portes tendans vers les quatre parties du monde auec ce édifierent vn temple à Mercure , auquel fut son ymage colloquée . Apres ceste cité furent edifiées & fondées plusieurs autres, c'est à sça- uoir Basle, Argentine:Spire, Magunce, et Co- loigne, lesquelles furent toutes faites tributai res à celle cité.  »

— Gilles Corrozet, Claude Champier, Symphorien Champier , citant Jacques de Guise (1340-1399) dans une édition de 1551 [17]

De l'ancien Royaume et pays d'Austrasie au Province des Mediomatrices (édition de 1611)[modifier | modifier le code]

«  DESCRIPTION DE LA FRANCE. De l'ancien Royaume et pays d'Austrasie au Province des Mediomatrices. LE pays d'Austrasie a esté de grande estendue, comprenant depuis la Meuse jusqu'au Rhin, çauoir depuis Colloigne jusqu'au pays d'Alsace, ayant la cité de Mets pour capitale, d'où advint que ce Royaume se nommoit plustost de Mets que d'Austrasie. La première considération du traict de ce pays est contenue soubs la Gaule Belgique, qui avait jadis deux Métropolitaines, la première Treves, l'autre Rheims. FONDATION DE LA VILLE DE TREVES. CEste ville a jadis vaincu en gloire toutes celles de Gaule, & est située sur la riuiere de Moselle. Le premier fondateur d'icelle fut vn Assirien nom- mé Trebote, fils de Nine premier du nom, lequel persécuté par sa belle mère Sémiramis ( laquelle usurpoit le Royaume Babilonien qui luy apparte- noit ) passa par mer & s'en vint en Europe, traver- sant tant de pays, qu'en fin il s'arresta sur le Rhin, puis passa outre jusqu'à la Moselle , pres laquelle ayant trouué vne vallée tres plaifante , se meit à y bastir vne cité, qu'il appella de son nom. Ceste ville a esté tres puissante & des premières en l'amitié des Romains. Elle a esté ruinée & sacca- gée plusieurs fois par les Vvandales, Bourguignons, & les François, les édifices renversez & ruinez, & les citoyens massacrez & taillez en pieces par les Barbares. Elle a esté rebastie fort magnifiquement, sauf pour la construction de plusieurs bastiments. En icelle se void encor vn palais faict de Brique, dont les murs sont sì forts qu'on ne les peut rom- pre , & du tout semblable au bastiment des anciens murs de Babilone en Assirie. Treues est la cité Métropolitaine du pays Bel- gique , dont l'Archeuesque est Eslecteur de l'Em- pire.Elle fut convertie à la foy par sainct Eucharie disciple de sainct Pierre. DE LA VILLE DE METS. A première cité dépendante de la pre- mière Belgique est Mets,portant ce nom des Mediomatrices , parce que les peu- ples s'y tenant auoient trois villes,& que leur Métropolitaine estoit au milieu d'icelles, sça- voir que Mets estoit entre Toul, Verdun, et Tre- ves  »

— François des Rues (1575?-1633) voir aussi wikisource, citant Jacques de Guise (1340-1399) dans un ouvrage de 1611 [18]

Les fondations des Villes & Citez assises en la Gaule Belgique (édition de 1556)[modifier | modifier le code]

«   »

— Gilles Corrozet (1510-1568) Claude Champier (1520?-15..?) , citant Jacques de Guise (1340-1399) dans un ouvrage de 1556 [19]

Bavo (origine Troyenne des Gaulois)[modifier | modifier le code]

Légende de l'origine troyenne des Gaulois «Belgis aurait été autrefois capitale des Belges ou de la Gaule belgique, avant les conquêtes romaines»

Gesta Treverorum[modifier | modifier le code]

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5503225n/f547.image

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Geste des Trévires[modifier | modifier le code]

1093 GESTA TREVERORUM. 1094[modifier | modifier le code]

«  Germaniam, Belgicam, Galliam togatam, braca-tam, cisalpinam, transalpinam, Pannoniam, Italiam, Ruriam, Liguriam, Dalmatiam, Muricum, Bizemilia cunctamque Europam. — Tre-bete mortuo, Hero filius principatu suc-cessit, qui patrem secundum ritum gentilitatis igne combustum in vertice Jurani montis tumu-lavit; cui etiam aras instituit, et sibi subjectis ut deum adorare praecepit : error magnus et a Nino, ipsius Heronis avo, adinventus, qui primus patris sui Belis simulachrum fudit et hominem pro deo venerari jussit. Hero patris sui merita tabulae marmoreae inscripsit, quam ad ejus me-moriam pariter et futurorum notitiam cum co re-condidit ad instar hujusccmodi. Nini Semiramis, quae tanto conjuge felix Plurima possedit, set plura prioribus addit, Nou contenta suis, nectolis finibus orbis, Expulit a patrio privignum Trebeta regno, Profugus insignem nostram qui condidit urbem, Treberis huic nomen dans ob factoris amorem; Quae capud Europae cognoscitur anteritate. Fiiius hujus Hero patris haec epigramata pono, Cujus ad inferias hic cum Jove Mars lenet aras Sidere concordi, pax est non dissocianti. 3. Post Heronem Trebirorum ex ipsa gente orti principes extiterunt et duces; jamque Treberenses et numero aucti et opibus, urbem suam munire et modis omnibus decreverunt ador- nare. Primo itaque ad aquilonarem plagam

urbis ex quadris ' 00 lapidibus cum lurribus magnis portam aedilicavcrunt 101, ipsa sui 10' magnitudine ct minaci proceritate inirabilcm 103 (175), eaniquc portam Nigram I0* portam Martis appellavere, 10° ctijus lapides non ceincnlo aliqco, set ferro con- glutinabantur ct plumbo Marlis loc; Marlis 10T, qui deus bclli credebatur; et 108 per hanc portam bcl- lum gcsturi proficisccbarilur; Nigram auleni ob Iristiliam, quia de bello fugicntos per eaiidcin 109 trisles reverlehanliir. Canipus antc porlam 110 lon- gittidine ct lu latitudine spaiiosus Martis vocabatur, ubi tyroncs arniis inslrticbanlur. Secunda deinde porta ad ortum solis ctim lurrilus speciosis cst oedificata ils, ad quamvictorcsde bello reverlentcs 113 tocius "'* civiialis occursu excipiebantur et loeliti», et ob "■" hoc Alba porta nominata i 16 (174). Tcrlia porla ad plagam mcridianain cuin turribus lir- mis ct allis in inedio est m urbis construcla 118, caque de causa porta Media niincupala 119 (175). Forum rcruinls 0 vcnalium maximum ante hanc po-.lam constilultim habcbatur, locus etiam quo mortui ad sepclicndum efferebantur. Qtiarla porla versus occidenleni construcia cst ad litus Mosclhc, quoe miia sui opcrosilate et turrium incomparabili pulehritudine celeras portas excelluit lsl, et ob lioc portae lnclitae lss vocabulum sumpsit. Hanc porlain stcllis ex auro factis mirabilitcr pinxere, qua* porlni navium proximum lsa noclc et die is* Itiminis ofli- cium praibuere. Fecerunl ibidem et ls 8 capitolium maxiinum, teinpluin quoque idolorum lss, in quo  »

— Source: gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France, département Collections numérisées, 2008-242365

Retranscription[modifier | modifier le code]

Page 1093 Germaniam, Belgicam, Galliam togatam, bracatam, cisalpinam, transalpinam, Pannoniam, Italiam, Ruriam, Liguriam, Dalmatiam, Muricum, Bizemilia cunctamque Europam. — Trebete mortuo, Hero, filius principatu successit, qui patrem, secundum ritum gentilitatis igne combustum in vertice Jurani montis tumulavit; cui etiam aras instituit, et sibi subjectis ut deum adorare praecepit :

error magnus et a Nino, ipsius Heronis avo, adinventus, qui primus patris sui Belis simulachrum fudit et hominem pro deo venerari jussit.

Hero patris sui merita tabulae marmoreae inscripsit, quam ad ejus me-moriam pariter et futurorum notitiam cum co re-condidit ad instar hujusccmodi.

Nini Semiramis, quae tanto conjuge felix Plurima possedit, set plura prioribus addit, Nou contenta suis, nectolis finibus orbis, Expulit a patrio privignum Trebeta regno, Profugus insignem nostram qui condidit urbem, Treberis huic nomen dans ob factoris amorem; Quae capud Europae cognoscitur anteritate. Fiiius hujus Hero patris haec epigramata pono, Cujus ad inferias hic cum Jove Mars tenet aras Sidere concordi, pax est non dissocianti.

3. Post Heronem Trebirorum ex ipsa gente orti principes extiterunt et duces; jamque Treberenses et numero aucti et opibus, urbem suam munire et modis omnibus decreverunt adornare.

Primo itaque ad aquilonarem plagam

Traduction[modifier | modifier le code]

Page 1093 Allemagne, Pays-Bas, et de la Gaule et de la robe, Plus loin, Cisalpine, Transalpine, la Pannonie, Italie, le pays, la Ligurie, la Dalmatie, Violet, Bizemilia toute l'Europe. - Trebeta morts, Hero, fils d'un leadership réussi, qui était un père, selon la manière des païens, brûlé au feu Juran dans le haut de la tumulavit de montagne; qui a également établi les autels, leurs sujets à adorer comme un dieu, et a donné la commande,

Et un grand Nino erreur, Son grand-père Heron, adinventa il a répandu une image de Bel, qui fut le premier de son père, et ordre à l'homme d'adorer comme un dieu.

Les mérites des tables du héros de marbre, il a écrit de son père, plutôt que de me faire la connaissance des choses à venir, ainsi que le co-re-fait, à la mémoire comme un hujusccmodi.

Nini Semiramis, qui possédait un très grand partenaire Felix, Mais beaucoup d'anciens ajoute, Nou satisfaits de leurs nectolis extrémités du monde, Trebeta pas loin du royaume de son père, Qui a établi les caractéristiques de migration de notre ville, Treberis donné ce nom à cause de son amour spécial; Chef de l'Europe, qui est connu anteritate. Le fils aîné du héros de cette vie Epigramata, Ses rites funéraires ici avec Jupiter, Mars détient bas Étoile harmonieuse, La paix est pas dissocianti.

3. Après ils ont été princes et chefs de la nation de la très Heronem Trebirorum; Lorsque Treberenses et l'augmentation en nombre et en richesse, fortifier leur ville Et par tous les moyens, ils ont décidé de se vêtir.

Tout d'abord, sur le côté nord

1093 GESTA TREVERORUM. 1094[modifier | modifier le code]

«  Germaniam, Belgicam, Galliam togatam [gt 1], braca-tam, cisalpinam, transalpinam, Pannoniam, Italiam, Ruriam [(gtb 1], Liguriam, Dalmatiam, Muricum [(gtb 2], Bizemilia [gt 2] cunctamque [gt 3] Europam. — [gt 4] Tre-bete 73 mortuo, Hero filius T* in pi incipatu T8 suc-cessit T 6, qui patrem secundum ritum gentilitatis igne combustum in vertice Jurani T7 montis tumu- lavit; cui etiam T8 aras instituit, et sibi subjectis T9 ut deum adorare praccepil 80 : crror magnus ct a Nino, ipsius Heronis avo, adinventus, qui primus palris sui Belis 81 simulachriim 8S fudit cl homincm pro dco vcnerari jussit. Ilero patris sui merita 83 tabulae marnioreae inscripsit, quain ad 8* ejus mc- moriam pariler et futurorum nolitiani cura co rc- condidit ad instar hujusccmodi 8S (172). Niui Semiramis, quw tanlo conjuge felix ji

Plurima possedil, set plura prioribus acldil sc, Non 8T contenla suis, nectolis finibus 88 orbis, Exputila palrio 89 privicjnnm Trebcla recjno, Profugus insignem nostram qui condidil urbem, Treberis 90 huic nomen dans ob fucloris amorem; Quw capud Europm cognoscitur anteritate. Fiiius liujus Hero" 1 palris hwc epigramata 9S pono, Cujus ad inferias Itic cum Jove Mars lenet aras Siclere concordi, pax est non dissocinnti.

3 ". Posl Hcronem Trebirorum 9* ex ipsa ger.te orli 9S principes 96 extiterunt et duces; jamque Tieberenscs ST et numcro aucti ct opibus, urbcm suam munire et modis omiiibus decreverunt ador- nare. Primo itaque 9S ad aquilonarem " plagam

urbis ex quadris ' 00 lapidibus cum lurribus magnis portam aedilicavcrunt 101, ipsa sui 10' magnitudine ct minaci proceritate inirabilcm 103 (175), eaniquc portam Nigram I0* portam Martis appellavere, 10° ctijus lapides non ceincnlo aliqco, set ferro con- glutinabantur ct plumbo Marlis loc; Marlis 10T, qui deus bclli credebatur; et 108 per hanc portam bcl- lum gcsturi proficisccbarilur; Nigram auleni ob Iristiliam, quia de bello fugicntos per eaiidcin 109 trisles reverlehanliir. Canipus antc porlam 110 lon- gittidine ct lu latitudine spaiiosus Martis vocabatur, ubi tyroncs arniis inslrticbanlur. Secunda deinde porta ad ortum solis ctim lurrilus speciosis cst oedificata ils, ad quamvictorcsde bello reverlentcs 113 tocius "'* civiialis occursu excipiebantur et loeliti», et ob "■" hoc Alba porta nominata i 16 (174). Tcrlia porla ad plagam mcridianain cuin turribus lir- mis ct allis in inedio est m urbis construcla 118, caque de causa porta Media niincupala 119 (175). Forum rcruinls 0 vcnalium maximum ante hanc po-.lam constilultim habcbatur, locus etiam quo mortui ad sepclicndum efferebantur. Qtiarla porla versus occidenleni construcia cst ad litus Mosclhc, quoe miia sui opcrosilate et turrium incomparabili pulehritudine celeras portas excelluit lsl, et ob lioc portae lnclitae lss vocabulum sumpsit. Hanc porlain stcllis ex auro factis mirabilitcr pinxere, qua* porlni navium proximum lsa noclc et die is* Itiminis ofli- cium praibuere. Fecerunl ibidem et ls 8 capitolium maxiinum, teinpluin quoque idolorum lss, in quo  »

— Source: gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France, département Collections numérisées, 2008-242365


VARIÆ LECTIONES.[modifier | modifier le code]

  1. thogatam B 2. G. br. t. c. 5b.
  2. bihcniilia lb. bize. milia 2. biremilia 5a. biremiliam 5b. byzemiliam B2. bizemiliam C 4. 6.
  3. totamque 5b.
  4. c. III. inc. C. Leibn.

NOTÆ C[modifier | modifier le code]

  1. (170) Etruriam?
  2. (171) Illiricum scribere debuit.

Origines antiques[modifier | modifier le code]

Trebote descendant de Noé[modifier | modifier le code]

Noé père de Cham lui même père de Koush lui-même père de Nimrod identifié à Marduk père de Nabû, or à propos de Nimrod, «Selon Alexandre Hislop, pasteur protestant du XIXe siècle», «Puisque le dieu Mardouk (Merodak) était tenu pour le fondateur de Babylone, Hislop a émis l'hypothèse que Mardouk représente Nimrod déifié. De même, il en rapproche la figure des divinités méditerranéennes et orientales Bacchus-Dionysos, voire Cupidon et Mithra archétypes antiques de l'Enfant Divin.» Nabû «est le dieu mésopotamien du savoir et de l'écriture. Selon la mythologie babylonienne, c'est le fils de Mardouk et de Sarpanitu.» Ninos, «Une version le donne comme fils de Belus ou Bēl (nom signifiant « seigneur »), identifié à Cronos, il aurait conquis l'Asie occidentale en 17 ans avec l'aide d'Ariaeus, roi d'Arabie, et fondé le premier empire Mésopotamien.» «parfois identifié au Nimrod de la Bible, fils de Koush (Genèse 10).» Bélus, «Bélus est un roi légendaire d'Assyrie, qui apparaît dans les sources latines ou grecques. Son nom est dérivé de Bēl, l'épithète du dieu Marduk de Babylone. Son fils tout aussi légendaire est Ninus.» Bēl «est progressivement devenu le titre personnel du dieu Babylonien Marduk. De même, Bēlit renvoie à la femme de Marduk, Zarpanitu.» «Les grecs reprirent un temps cette particule, appelant alors leur principal dieu Zeus : Belos (Ζευς Βελος).» Trebote «Trebote était le légendaire fondateur de Trèves d'après la Geste des Trévires (Gesta Treverorum). Il a été dit être le fils du légendaire Roi Assyrien Ninos et d'une Reine chaldéenne [20] avant que Ninos ne se marie avec la Reine Sémiramis.»

Marduk, Mardouk, Merodak, le dieu Mérodach[modifier | modifier le code]

Persée[21]

Grivel Jos. Nemrod et les écritures cunéiformes.
In: Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres,
18ᵉ année, N. 1, 1874. pp. 37-46.

Page 40

« identifier avec ceux que nous connaissions par l'histoire sacrée et profane, comme Oanès (Anum), Assur, Bel, Nebo, Samas, Sin, etc.»
« Mais Marduk = Mérodach n'est pas un nom assyrien ni sémitique, c'est un nom purement accadien, ainsi que tous les assyriologues doivent en convenir. Il devait donc aussi répondre à un nom, à une forme assyrienne renfermée dans l'idéogramme Amar-ud <^ZI ^i1. »

Page 38

  • --! <= "! Amar-ud. (Isaïe, XXXIX, 1) (assyrien)
  • --! =!!- =!! =!!" Marduk. (accadien)
  • --! ! Su.
  • --! ¨ !!! Mis, sit, etc.
  • --! -=! <!-! E=== / Silik-mulu-khi?
  • Nemrod נמרוד
  • Nimrud כלח
  • נםרר

à propos de Ninos[modifier | modifier le code]

La mort de Ninus, l'an du déluge trois cent deux[22]

Déluge: Les textes mésopotamiens - Articles détaillés : Atrahasis et Épopée de Gilgamesh. - George Smith du British Museum, découvrit et déchiffra la tablette 11 de l'épopée babylonienne de Gilgamesh en 1862. Depuis cette date, nous savons que le récit biblique du Déluge n'est pas une création hébraïque, mais bien sumérienne. Vers -1700, dans l'Épopée d'Atrahasis ou "Poème de Supersage", repris vers -1200 dans la version assyro-babylonienne "standard" de l'Épopée de Gilgamesh (dont l'origine sumérienne remonte à -1700) apparaît, avec plus de détails que dans les autres versions, l’épisode d’un homme nommé Ziusudra selon les sources sumériennes, Atrahasis dit "Le Supersage" ou Uta-Napishtim à Babylone et à Ninive (Mésopotamie antique, Irak moderne). Cet homme fit le récit à Gilgamesh de la colère des grands dieux ...

à propos de Sémiramis et Stabrobatès roi des Indiens[modifier | modifier le code]

Sémiramis

Source Diodore de Sicile, Bibliothèque historique [détail des éditions] [lire en ligne] (II, 4 et suiv.).
http://remacle.org/bloodwolf/historiens/diodore/livre2a.htm
  133 Stabrobatès, roi des Indiens, instruit des immenses préparatifs de Sémiramis, songea de son côté à les surpasser. Il commença d'abord par construire quatre mille barques de roseaux. L'Inde produit, aux environs des fleuves et des endroits marécageux, une grande quantité de roseaux d'une telle épaisseur qu'un homme peut à peine en embrasser une tige ; et les navires bâtis avec ces roseaux passent pour être d'un excellent usage, ces matériaux ne pourrissant pas. Il fit ensuite fabriquer des armes avec beaucoup de soin ; et, parcourant toute l'Inde, il assembla une armée de beaucoup supérieure à celle de Sémiramis. Il ordonna des chasses d'éléphants sauvages, afin d'augmenter le nombre de ceux qu'il possédait déjà ; et il les équipa tous magnifiquement d'un terrible attirail guerrier. C'était un spectacle inouï de voir ces animaux se mettre en marche, ornés de tout leur appareil de guerre.
  XVIII. Après ces préparatifs, il envoya des messagers à Sémiramis ...

Sémiramis Sources Diodore de Sicile, Bibliothèque historique [détail des éditions] [lire en ligne] (II, 4 et suiv.). Ctésias, Persica [détail des éditions] Hygin, Fables [détail des éditions] [(la) lire en ligne] (CCXL). Pierre Marello, « Les Femmes et le Palais » dans Les dossiers d'archéologie no 171, mai 1992, pp. 50-55.

Palettes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Impact de l'histoire de la Légende fondatrice de Trèves du Xe au XVe siècle[modifier | modifier le code]

  • Die Wirkungsgeschichte der Trierer Gründungssage vom 10. bis 15. Jahrhundert (Publications universitaires europeennes. Serie III, Histoire et sciences auxiliaires) (German Edition)(German)Paperback– August 1, 1994 by Ilse Haari-Oberg
    • Worldcat : worldcat title Ilse Haari-Oberg: Die Wirkungsgeschichte der Trierer Gründungssage vom 10. bis 15. Jahrhundert (Collection : Europäische Hochschulschriften., Reihe III,, Geschichte und ihre Hilfswissenschaften ;, Bd. 607.), (Éditeur : Bern ; New York : P. Lang, ©1994.) (Diss. Bonn). (ISBN 390675250X et 9783906752501) OCLC 33454371 (Notes : Originally presented as the author's thesis (doctoral)--Universität Bonn, 1993.), (Description : 204 pages : illustrations ; 23 cm.)
    • Viaf Ilse Haari-Oberg: [2] Worldcatid lccn-no95-53788 , Notice n° : FRBNF13324974
    • Bnf : (ISBN 3-906752-50-X) (br.) Notice n° : FRBNF36988900
    • Die Wirkungsgeschichte der Trierer Gründungssage vom 10. bis 15. Jahrhundert, Bern, P. Lang, (OCLC 33454371, BNF 36988900)

La Légende de la Fondation - Musée d'État rhénan de Trèves[modifier | modifier le code]

Argentoratum-Strasbourg, du lieu fortifié le Castrum à la ville antique l'Urbs[modifier | modifier le code]

«Argentoratum est le nom latin d'origine celtique (*arganto-, argent, même racine qu'en latin et *rāti-, levée de terre, fortin) de l'actuelle ville de Strasbourg.»

Autres références[modifier | modifier le code]

(de)

  • Ilse Haari-Oberg: Die Wirkungsgeschichte der Trierer Gründungssage vom 10. bis 15. Jahrhundert (= Europäische Hochschulschriften, Reihe 3, Band 607), Bern u.a. 1994 (Diss. Bonn).
  • Wolfgang Binsfeld: Die Gründungslegende. In: Rheinisches Landesmuseum Trier (Hrsg.): Trier - Augustusstadt der Treverer. 2. Auflage, Mainz 1984, (ISBN 3-8053-0792-6), S. 7f.

(en)

  • Ilse Haari-Oberg (1994) Die Wirkungsgeschichte der Trierer Gründungssage vom 10. bis 15. Jahrhundert (L'Histoire Reçue de la Saga de la Fondation de Treves du XIe au XVIe siècle)
  • Wolfgang Binsfeld (1984) Die Gründungslegende. (La légende de la Fondation) in: Trier - Augustusstadt der Treverer., Mainz, (ISBN 3-8053-0792-6)

(es)

  • Jean-Pierre Klein: "Argentoratum-Strasbourg, du Castrum à l'Urbs", en Strasbourg, urbanisme et architecture des origines à nos jours.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. http://in-scription.edel.univ-poitiers.fr/index.php?id=63
  2. L’authentification tardive des reliques à Trèves : une étude à partir de la paléographie Publié en ligne le 20 décembre 2016 Auteurs : Par Rüdiger FUCHS
  3. 2 L’épitaphe fictive de Trebeta a, paraît-il, été trouvée dans les environs de la cité, où se trouve un tertre funéraire romain
    • Rüdiger FUCHS, « La tradition apostolique et impériale à Trèves : mythes de fondations et leurs monuments », Épigraphie et iconographie.
    • Actes du Colloque tenu à Poitiers les 5-8 octobre 1995, Poitiers, 1996, p. 57-74, 67-70 ;
    • Die Inschriften der Stadt Trier II (1501 bis 1674), Wiesbaden, 2012 [dorénavant DI 71], appendice n. 1.
    • Des Rues, François (1575?-1633), idem, Rouen, J. Petit (Rouen) 1611, (OCLC 776834182, BNF 30335637)
    • De l'ancien Royaume et pays d'Austrasie au Province des Mediomatrices. Le premier fondateur un assyrien nommé Trebote.
    Source: gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-L20-6 (B)
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  4. a et b Von eifen was gegofsen ein bilde hoche
    Mercurius genent der im Tempell floge
    folches zwaier mangnetenn krafft
    inn der lussth schwebenn macht
  5. a et b Von mermett ein bild iupither genanth ein blatthenn hiclth ef in finer hanth das was vonn lifchteun gemacht fo guet das weiruch da in rauch tsunder gluet
  6. Jean-Pierre Klein: "Argentoratum-Strasbourg, du Castrum à l'Urbs", en Strasbourg, urbanisme et architecture des origines à nos jours.
  7. Signification du mot Stift :

    Sur les autres projets Wikimedia :

  • convertir une date avec geneanet l'an trois cent deux du calendrier hébreu l'an -3460 du calendrier grégorien
  • ambiguité: la femme de Ninus «nommée Trabeta», quant à son fils il se nomme Trebote
  • et non Trabeta
  • le géant, en référence à la planète géante
  • Seigneur et Maître, épithètes et attributs de Marduk «On lui associe le dragon (Mushkhushu), la planète Jupiter et le nombre 50 (également attribué à Enlil).» Bēl «(transcrit en grec : Βελος, en latin : Belus) est un mot akkadien signifiant « maître » ou « seigneur ».» «est progressivement devenu le titre personnel du dieu Babylonien Marduk.» «Les grecs reprirent un temps cette particule, appelant alors leur principal dieu Zeus : Belos (Ζευς Βελος).» et chez les romains Jupiter (mythologie)
  • Le géant de Ninive
  • Jean Le Maire#Œuvres «11. Son Illustration de Gaule et Singularité de Troie paraît en 1511 (premier livre) et 1512 (deuxième et troisième livres).»
  • Hero: Hero, Héros, Éros
  • La Fondation de la ville de Trèves
  • Trebote
    • De l'ancien Royaume et pays d'Austrasie au Province des Mediomatrices. Le premier fondateur un assyrien nommé Trebote.
    Source: gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-L20-6 (B)
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  • à propos de Hero fils de Trebote
    • ce texte n'est pas disponible en ocr
    • Texte proche voire identique à celui de l'édition de 1551
    • Titre: «[Le bastiment des antiques érections des principales villes et citez...] / [par G. Corrozet et Cl. Champier]. Un petit traicté des fleuves et fontaines admirables estant és Gaules / par messire Symphorien Champier ; trad. en langue françoise par Claude Champier. Des saints lieux de Gaule... / auteur Claude Champier»
    • «Le bastiment des antiques érections des principales villes et citez...» éd.1556
    • Corrozet, Gilles (1510-1568) Champier, Claude (1520?-15..?), idem (bnf), Lyon, Lyon : Benoist Rigaud : Jan Saugrain, 1556, , 160 p. (BNF 37284373)
    • Corrozet, Gilles (1510-1568) Champier, Claude (1520?-15..?), idem (oclc), Lyon, Lyon : Benoist Rigaud : Jan Saugrain, 1556, , 160 p. (OCLC 467317029, BNF 37284373)
  • Trabeta
  • Grivel Jos. Nemrod et les écritures cunéiformes. In: Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 18ᵉ année, N. 1, 1874. pp. 37-46.
  • [1]
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    Dans «Musée de la ville Fondation Simeon salle Trebeta (Stadtmuseum Simeonstift Saal Trebeta)», Signification du mot stift/Stift :

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