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Radio France

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Radio France
logo de Radio France
illustration de Radio France

Création (49 ans)
Dates clés 1975 : création de la société et reprise des activités de l'ORTF
Forme juridique Société anonyme à capitaux publics
Siège social Maison de la Radio et de la Musique (Paris, France)
Direction Sibyle Veil, présidente-directrice générale
Président Sibyle VeilVoir et modifier les données sur Wikidata
Actionnaires Drapeau de la France État français (100 %)
Activité Radio du service public
Produits Radiodiffusion, production, orchestres et chœur
Filiales Voir « Filiales »
Effectif 4 835 en 2021
SIREN 326094471Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web www.radiofrance.com
www.radiofrance.fr

Chiffre d'affaires 661,2 millions d'euros en 2021
Résultat net 3,7 millions d'euros en 2021
Société précédente Office de radiodiffusion télévision françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata

Radio France est la société nationale de radiodiffusion française qui gère les stations de radio publiques en France métropolitaine, plusieurs formations musicales ainsi qu'un label d'édition de disques et de musique.

Créée le après le démantèlement de l’Office de radiodiffusion-télévision française (ORTF), elle est constituée sous la forme d'une société anonyme à capitaux publics intégralement détenue par l'État français[1].

Concert de l'Acousmonium (conçu en 1974) à la Maison de Radio France

1975-1986 : développement de Radio France

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La société nationale de radiodiffusion Radio France naît le [2], date effective d’application de la loi no 74-696 du [3], qui supprime l’Office de radiodiffusion-télévision française (ORTF) et crée sept organismes autonomes : Radio France, pour la radiodiffusion ; TF1, Antenne 2 et FR3, pour la télévision ; la TDF, la SFP, et l’INA, trois sociétés publiques. Cependant, le monopole d’État est maintenu et chacune des sociétés est placée sous la tutelle du Premier ministre. Cette nouvelle Société nationale de radiodiffusion est chargée par la réforme de gérer et développer les chaînes de radio publiques de l'ex-Office, à l'exception des centres régionaux et ultra-marins de radio[4] qui sont confiés à la société nationale de programme FR3. Son activité commence réellement le .

Radio France conserve la dénomination des chaînes de radios utilisée par l’ORTF (France Inter, France Culture, France Musique, FIP) et crée RFI qui reprend ce qui reste des activités radiophoniques extérieures de la Direction des Affaires étrangères et de la Coopération de l’ORTF.

En 1980, face à la multiplication des radios pirates au milieu des années 1970 et dans la perspective de la fin du monopole de Radio France où François Mitterrand devienne président de la République, mais aussi pour démontrer à l'État la capacité de Radio France à gérer les stations régionales, qui échappent encore à son giron, Jacqueline Baudrier crée trois prototypes de radios locales (Fréquence Nord[5], Radio Mayenne[6], et Melun FM[7]) et deux stations thématiques : Radio 7 pour les jeunes, et Radio bleue pour les séniors.

La loi no 82-652 du sur la communication audiovisuelle supprime le monopole d'État et recrée par le décret no 82-792 du [8] la société nationale de radiodiffusion Radio France qui est maintenant placée sous la tutelle de la Haute Autorité de la communication audiovisuelle qui établit le cahier des charges, veille aux règles de concurrence et nomme le président. Par la même loi, FR3 cesse d'être l'opérateur des 29 centres radiophoniques régionaux qui sont transférés à Radio France le , à l'exception des 9 stations ultra-marines qui échoient à la nouvelle Société de radiodiffusion et de télévision française pour l'Outre-mer (RFO) qui vient d'être créée à cet effet. De même, Radio France internationale gagne en autonomie en devenant une filiale de Radio France.

1986-2000 : évolutions affectant RFI, Radio 7, France Info et Le Mouv'

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La loi no 86-1067 du 30 septembre 1986 relative à la liberté de communication fait de Radio France internationale une société indépendante de Radio France depuis 1987. La même année, Radio France ferme Radio 7 et, avec les moyens techniques et une part du personnel et du budget ainsi libérés, crée la première chaîne de radio d'information continue 24 h sur 24 en France, France Info, avec un point sur l’information toutes les demi-heures, des rubriques spécialisées et le suivi de l’évolution des événements.

En mars 1989, Radio France connaît une des plus longues grèves de son histoire alors Jean Maheu devient président-directeur général de la Maison Ronde[9].

Dix ans plus tard, en 1997, Radio France lance Le Mouv', nouvelle radio entièrement numérique destinée aux jeunes. Implantée à Toulouse, elle déménagera à Paris en 2010.

2000-2010 : le Plan Bleu concernant France Bleu, FIP et Le Mouv'

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En septembre 2000, le Plan Bleu met en œuvre le réseau France Bleu, né de la fusion des radios locales de Radio France et de Radio Bleue. Les FIP de Metz et de Nice entrent dans cette fusion. Dans la même période, le Plan Bleu concerne le réseau FIP (fermeture de cinq stations) et la distribution des fréquences du Mouv'.

En 2002, France Info reprend les émetteurs AM de France Bleu sauf ceux de la Corse, de Strasbourg et de Paris.[réf. nécessaire]

Un important mouvement de grève est déclenché à Radio France le après un préavis déposé par le SNJ, la SNJ-CGT, la SJA-FO et la CFDT le . Les grévistes réclament l'ouverture de négociations sur les salaires et le respect du Plan Servat sur les salaires signé en 1994 qui prévoit notamment l'examen annuel des écarts salariaux entre Radio France et France Télévisions. Les antennes du groupe (et notamment France Info) sont fortement perturbées et les négociations entre l'intersyndicale et la direction échouent le . La grève dure jusqu'au après l'annonce la veille par Jean-Marie Cavada de la remise à plat intégrale du système de rémunération. Ce nouveau système est entériné par l'accord du signé par Jean-Paul Cluzel, successeur de Jean-Marie Cavada qui a démissionné en pour se présenter aux élections européennes sur la liste de l'UDF. Cet accord qui institue le NIS (Nouvel instrument salarial) reprend les termes de l'accord de [10].

2010-2015 : à l'heure du défi numérique

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À partir de 2010, après dix ans de pause, Radio France étoffe le réseau France Bleu avec l'ouverture de France Bleu Maine (), de France Bleu Toulouse () et de France Bleu Saint-Étienne Loire ().

Un autre événement important se déroule en 2010; la discothèque qui rassemble tous les disques et vinyles que possède radio France, avant situé à la maison de la radio, est entièrement déplacé (faute de place) au nord de Paris près de la porte d’Aubervilliers dans un hangar de près de 4 000 m2 ; une collection monumentale de plus de 1,5 million de disques tous entièrement répertoriés. Un autre travail monumental consiste à numériser et répertorier sur ordinateur l’entièreté de la collection de disque, une tâche toujours inachevée à l'heure actuelle.

En , Radio France lance RF8, un site internet destiné au partage et à l'écoute musicale, dont le principe est la mise en ligne de playlist élaborées par les programmateurs musicaux de l'ensemble des chaines[11].

Le , trois émetteurs AM de France Info sont arrêtés.

Le , un incendie est déclaré vers 12 h 40 au huitième étage de la maison de la Radio puis se propage au septième étage. Toutes les antennes de Radio France (mais pas France Bleu situé dans les locaux provisoires avenue du Général-Mangin) seront interrompues pendant près de deux heures (de 12 h 40 à 14 h 10). France Info, qui a évacué en direct à l'antenne, reprendra ses programmes assez vite depuis les studios de France Bleu.

En , la radio entièrement numérique Le Mouv' devient Mouv', une radio musicale positionnée fortement sur le hip-hop et l'électro fédérant une communauté d'auditeurs et d'internautes âgée de 15 à 30 ans.

2015-2018 : des problèmes financiers

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À la suite de problèmes financiers, une grève a lieu à Radio France entre mars et , la plus longue de son histoire (28 jours)[12]. Le groupe connaît un déficit de 21,3 millions d'euros et doit économiser environ 50 millions d'euros[13]. Plusieurs pistes sont invoquées comme un plan de départs volontaires de 300 à 380 personnes, en priorité des seniors[14].

En pleine grève, la Cour des comptes publie un rapport pointant du doigt les conditions de travail « très favorables » des radios publiques, en particulier concernant le volume de travail, les compléments de rémunération, les avantages en nature, des services en sureffectifs, enfin la menace de grève comme « donnée centrale de la négociation collective »[15]. Le rapport montre également que les budgets ont augmenté de 27,5 % en dix ans, des effectifs en augmentation de 18,8 % entre 2006 et 2013[16].

Le , le Tribunal de commerce de Paris a jugé Radio France coupable de concurrence déloyale envers les radios privées. Le , la justice reproche au groupe public d'avoir diffusé de nouveaux messages publicitaires de marque sur les antennes de France Bleu, en contravention avec son cahier des missions et des charges et au mépris du précédent jugement[17].

Le 1er, 2 et , les derniers émetteurs AM de France Bleu et France Info sont arrêtés.

Le , une version TV de France Info est lancée par France Télévisions. Cette nouvelle chaîne d'information se veut être un média global d'information public (TV, Radio et Internet). Cette nouvelle chaîne s'appuie sur la marque France Info, venant de la radio de Radio France, mais aussi de son expérience et de sa réactivité. La création de cette nouvelle chaîne, entraîne un rapprochement entre les principaux groupes de médias publics, car elle est alimentée par France Télévisions, Radio France (via la radio France Info), France Média Monde (via France 24) et l'INA.

Le , la diffusion en grande ondes de France Inter (162kHz) commencée il y a plus de 75 ans via Allouis, est interrompue pour répondre aux besoins financiers.

Le , Radio France lance une radio d'urgence pour les populations de Saint-Martin et de Saint-Barthélemy, confrontées aux ouragans Irma et José[18].

Le président de Radio France Mathieu Gallet est condamné en à un an de prison avec sursis et 20 000 euros d'amende pour « favoritisme »[19].

Le , le Conseil supérieur de l'audiovisuel, réuni en assemblée plénière, révoque le mandat de Mathieu Gallet avec prise d'effet à compter du [20]. L'intérim est assuré par le doyen des administrateurs de Radio France, Jean-Luc Vergne.

2018-2020 : le temps des économies

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Le , Sibyle Veil, ex-conseillère de Nicolas Sarkozy, nommée par le CSA, accède à la présidence de Radio France pour une durée de cinq ans[21],[22].

Le , on apprend que Radio France cherche à réaliser plus de 60 millions d'euros d'économies à travers des suppressions de postes, alors que dans un premier temps, Sybile Veil évoque une économie de 20 millions d'euros à ses salariés[23],[24]. La direction prévoit la suppression de 270 à 390 emplois sur un total de 4 600 personnes[25]. Un rapport d’expertise établit que la PDG de Radio France, Sibyle Veil, a présenté de fausses simulations financières afin de justifier des suppressions d'emplois. D'après Mediapart, « en assurant la promotion de l’une de ses proches à la tête de Radio France (Sibyle Veil), Emmanuel Macron attend d’elle qu’elle se comporte comme une préfète. Qu’elle coupe dans les crédits comme dans les effectifs »[26].

Fin , Guy Lagache, directeur des antennes et de la stratégie éditoriale de Radio France, est remplacé par Dana Hastier, directrice exécutive de France 3 entre 2014 et 2018[27],[28].

Fin , le plan définitif d'économie décidé par Radio France est connu : 299 postes seront supprimés sur les 4 600 temps pleins embauchés par l'entreprise. Radio France mise sur 236 départs volontaires[29]. En parallèle, 76 nouveaux postes vont être créés, dont 50 pour le numérique. Le plan prévoit de générer 60 millions d'euros d'économies d'ici à 2022[30]. De plus, le projet de réforme de l'audiovisuel prévoit de fusionner les différentes sociétés nationales d'audiovisuel (Radio France, l'INA, France Médias Monde et France TV) dans une nouvelle holding France Médias avec un flou autour de son fonctionnement, de l'organisation des programmes, de la place des salariés et de sa gouvernance. L'annonce de ce plan a provoqué un appel à la grève de la part des unions syndicales de journalistes[31],[32], entraînant des perturbations d'antennes durant deux semaines[33].

Après une grève de plus de trois semaines, Sibyle Veil annonce qu'elle ne lâche rien et que ce serait « irresponsable » d'abandonner le plan d'économies de Radio France[34],[35]. Elle ne veut amorcer aucune négociation avec les délégués du personnel[36]. Après une trève le , la grève est reconduite à partir du , avec l'annulation du concert de nouvel an par l'Orchestre national de France[37].

Depuis 2020 : pandémie de coronavirus

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Le , en conséquence des mesures gouvernementales pour lutter contre la pandémie de coronavirus, Radio France active son plan de continuité d'activité[38].

En , Radio France annonce une perte nette de 700 000 euros pour 2019, première année où la dotation de l’État avait été réduite. Les prévisions pour 2020 sont très pessimistes en raison de la crise liée à l'épidémie de Covid-19 et la direction du groupe annonce qu'il y aura des « pertes significatives »[39].

Le , Radio France annonce l'acquisition des droits de retransmission pour les JO d'hiver de Pékin 2022 et les JO de Paris 2024 grâce à un partenariat conclu avec Discovery Channel[40].

En , Radio France indique que ses pertes pour 2020 se sont finalement limitées à 9,6 millions d'euros, précisant qu'hors crise, son bénéfice d'exploitation aurait dû être positif à 1,5 million d'euros[41].

En juin 2024, le départ de Laurence Bloch est annoncé pour le 1er juillet[42]. Elle est remplacée par Vincent Meslet à la direction des antennes et de la stratégie éditoriale[43].

Identité de l'entreprise

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Le siège de Radio France est la maison de la radio et de la musique (anciennement maison de la Radio), située 116 avenue du Président-Kennedy dans le 16e arrondissement de Paris. Inauguré le par le Président Charles de Gaulle, le bâtiment connait une réhabilitation à partir de 2003.

Identité visuelle (logo)

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La première version du logo du 6 janvier 1975 représente la maison de la Radio inaugurée en 1963. Il est épuré en 1985, puis redessiné en 1991 et adopte une nouvelle typographie. En 2001, il est modernisé en prenant du relief. Un nouveau logo a été mis en place en mais le point rouge depuis le 6 janvier 1975, est supprimé. Un autre logo est dévoilé le , accompagné d'une refonte de ceux des orchestres de Radio France. Ce dernier ne comporte plus la « poêle à frire », présente sur les logos de Radio France depuis sa création et représentant le bâtiment de la Maison de la Radio.

Les logos de Radio France, au cours de son histoire, ont été les suivants[44] :

Équipements

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Le siège comporte une centaine de studios (destinés aux émissions radios, fictions, concerts, etc.) et un auditorium :

  • Auditorium de Radio France : édifié sur l’emplacement des anciens studios 102 et 103 ;
  • Studio 104 (856 places) ;
  • Studio 105 (237 places) et le studio 106 (137 places) dédiés aux émissions en public et aux concerts des émissions musicales ;
  • Studios 611 et 621 dédiés à la chaine France Inter (tout comme les studios 511 et 521) ;
  • Studio 221 est le studio « télégénique », où sont diffusées des émissions comme Les Informés, le 8.30 Franceinfo, ou Questions politiques sur la chaîne de télévision France Info.

Le groupe Radio France est détenu à 100 % par l'État français. Le financement de Radio France provient à près de 80 % de la redevance audiovisuelle, les 20 % restants proviennent de ressources propres, principalement issus de la publicité et des activités de diversification développées par Radio France.

Année Ressources publiques Ressources propres Chiffre d’affaires total
Redevance Subvention Recettes publicitaires Ventes de services
1990[45] 285 200 000  14 500 000  14 800 000  314 600 000 
1991[45] en augmentation 306 100 000  en augmentation 16 100 000  en augmentation 16 200 000  en augmentation 338 300 000 
1992[45] en augmentation 311 400 000  en augmentation 8 800 000  en diminution 15 600 000  en diminution 15 400 000  en augmentation 351 200 000 
1993[45] en augmentation 332 400 000  en diminution 5 800 000  en augmentation 16 100 000  en diminution 15 100 000  en augmentation 369 400 000 
1994[45] en augmentation 334 300 000  en augmentation 16 100 000  en diminution 15 000 000  en augmentation 15 800 000  en augmentation 381 200 000 
1995[45] en augmentation 356 000 000  en diminution 6 000 000  en augmentation 19 600 000  en augmentation 17 000 000  en augmentation 398 600 000 
1996[45] en diminution 321 500 000  en augmentation 52 400 000  en augmentation 21 400 000  en diminution 16 500 000  en augmentation 411 700 000 
1997[45] en augmentation 325 600 000  en diminution 48 700 000  en diminution 20 100 000  en augmentation 16 800 000  en diminution 411 200 000 
1998[45] en augmentation 386 500 000  en augmentation 21 300 000  en diminution 15 800 000  en augmentation 423 600 000 
1999[45] en augmentation 394 400 000  en diminution 19 400 000  en diminution 12 800 000  en augmentation 426 600 000 
2000[46] en augmentation 411 310 000  en augmentation 24 150 000  en augmentation 15 690 000  en augmentation 451 150 000 
2001[46] en augmentation 429 710 000  en augmentation 26 700 000  en augmentation 16 200 000  en augmentation 472 610 000 
2002[47] en augmentation 443 300 000  en augmentation 34 520 000  en augmentation 17 140 000  en augmentation 494 960 000 
2003[47] en augmentation 452 290 000  en augmentation 35 640 000  en augmentation 17 990 000  en augmentation 505 920 000 
2004[48] en augmentation 469 300 000  en augmentation 40 000 000  en stagnation 18 000 000  en augmentation 527 300 000 
2005[49] en augmentation 479 871 000  en augmentation 43 038 000  en augmentation 18 107 000  en augmentation 541 015 000 
2006[49] en augmentation 489 365 000  en augmentation 44 665 000  en augmentation 18 294 000  en augmentation 552 324 000 
2007[50] en augmentation 502 094 000  en diminution 44 073 000  en augmentation 19 463 000  en augmentation 565 630 000 
2008[50] en augmentation 514 128 000  en diminution 43 654 000  en diminution 19 129 000  en augmentation 576 912 000 
2009 en augmentation 533 942 000  en diminution 39 432 000  en augmentation 21 110 000  en augmentation 594 483 000 
2010 en augmentation 549 621 000  en augmentation 41 779 000  en augmentation 21 872 000  en augmentation 613 273 000 
2011[51] en augmentation 568 598 000  en diminution 41 337 000  en augmentation 22 793 000  en augmentation 632 728 000 
2012[52] en augmentation 583 138 000  en diminution 40 423 000  en augmentation 26 580 000  en augmentation 650 141 000 
2013[53] en diminution 574 441 000  en diminution 40 404 000  en diminution 26 026 000  en diminution 640 871 000 
2014[54] en augmentation 575 900 000  en augmentation 41 990 000  en augmentation 27 600 000  en augmentation 645 480 000 
2015[55] en diminution 572 240 000  en diminution 40 200 000  en diminution 26 400 000  en diminution 638 830 000 
2016[56] en augmentation 577 300 000  en augmentation 43 300 000  en augmentation 32 300 000  en augmentation 652 800 000 
2017[57] en augmentation 577 800 000  en augmentation 48 400 000  en diminution 29 800 000  en augmentation 656 000 000 
2018[58] en augmentation 586 400 000  - en augmentation 52 600 000  en augmentation 32 300 000  en augmentation 671 200 000 
2019[58] en diminution 582 400 000  - en augmentation 55 200 000  en augmentation 36 300 000  en augmentation 673 900 000 
2020[59] en diminution 577 400 000  - en augmentation 56 700 000  en diminution 20 200 000  en diminution 654 300 000 
2021[60] en diminution 569 400 000  - en augmentation 59 800 000  en augmentation 32 000 000  en augmentation 661 200 000 

Activité, rentabilité, effectif

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Le redressement des comptes[61].
2014 2015 2016 2017 2018
Chiffre d'affaires en millions d'euros 645 639 653 656 671
Résultat net en millions d'euros - 2 - 15,9 - 10,6 - 4,8 +7,3
Effectif moyen annuel 4 655 4 630 6 613 4 595 4 562

Patrimoine et vente aux enchères

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Du au , 4 550 disques vinyles appartenant à la discothèque de Radio France sont mis en ligne sur Internet pour la 4e édition de vente aux enchères au public, après les succès des précédentes éditions de , et [62]. Le , le parc d'instruments de musique de Radio France est sujet à une vente aux enchères[63]. Cette vente se passe aussi sur Internet, proposée en ligne du 7 au [64].

Organisation

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Généralités

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En , un projet de loi émanant du ministère de la Culture annonce la création de « France Médias », société mère qui regroupera France Télévisions, Radio France, France Médias Monde et l'INA[65]. Ce projet de loi prévoit en outre la fin des nominations des dirigeants de Radio France par le CSA, pouvoir qui sera attribué au conseil d'administration de l'entité radiophonique, qui continuera de fonctionner de façon indépendante, mais aussi en synergie avec les autres entités de France Médias[65].

Présidents-directeurs généraux

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Mathieu Gallet, ancien président-directeur général de l'Institut national de l'audiovisuel (INA) de 2010 à 2014, est nommé à l'unanimité par les membres du Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA)[66] le et prend ses fonctions le . Après avoir été condamné pour favoritisme à un an de prison avec sursis et 20 000 euros d'amende[67], il est révoqué par le CSA le 1er mars 2018[68]. Doyen du conseil d'administration, Jean-Luc Vergne assurera l'interim jusqu'au 12 avril 2018[69].

Entrée en fonction Nom Activité Texte de nomination
Jacqueline Baudrier journaliste [Légifrance 1]
[Légifrance 2]
[Légifrance 3]
août 1981 Michèle Cotta [Légifrance 4]
Jean-Noël Jeanneney historien [Légifrance 5]
[Légifrance 6]
décembre 1986 Roland Faure journaliste [Légifrance 7]
février 1989 Jean Maheu conseiller maître
à la Cour des comptes
[Légifrance 8]
[Légifrance 9]
[Légifrance 10]
Michel Boyon conseiller d'État [Légifrance 11]
Jean-Marie Cavada journaliste [Légifrance 12]
[Légifrance 13]
Jean-Paul Cluzel inspecteur général des finances [Légifrance 14]
Jean-Luc Hees journaliste [Légifrance 15]
Mathieu Gallet économiste [Légifrance 16]
Jean-Luc Vergne (intérim) [20]
Sibyle Veil conseiller d'État [Légifrance 17]

Stations, filiales et participations

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Les missions et les services de Radio France
Les radios : produire et diffuser
FIP radio musicale consacrée à tous les genres musicaux
France Bleu 44 radios locales
France Culture radio culturelle
France Info radio d'information en continu
France Inter radio généraliste
France Musique radio musicale classique et jazz
Mouv' radio destinée aux jeunes
Sophia la banque de programmes de Radio France pour les radios indépendantes fermée en 2020
La télévision : Radio France détient 15 % du capital d'Arte France
Arte France société française d'édition de programmes de télévision
Internet
RF8 site d’écoute et de partage de musique en ligne fermé en 2015[70]
Les orchestres et chœur : Assurer la gestion et le développement
Les Concerts de Radio France
L'Orchestre national de France
L'Orchestre philharmonique de Radio France
Le Chœur de Radio France
La Maîtrise de Radio France
Les services
Radio France Publicité destiné à la commercialisation de l'espace publicitaire de France Inter, France Info, France Bleu (national et local)
Musée de Radio France le musée de Radio France
Les festivals : organiser
Festival Présences de musique contemporaine
Festival Présences électronique de musique électroacoustique

Cadres du groupe

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Communication

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Au-delà de son métier premier qui est de faire de la radio, Radio France œuvre sur de nombreux chantiers politiques, sociaux ou culturels. Le groupe déploie des moyens pour soutenir différentes causes, s'engage sur plusieurs fronts, et le fait savoir au travers d'actions de communication. Ainsi, en 2018 Radio France indique que :

  • le nouvel accord d'entreprise 2018-2020 « soutient la politique volontariste de Radio France en faveur de l'égalité des chances »[81] ;
  • un nouvel accord d'entreprise triennal pour promouvoir l'égalité professionnelle et salariale entre les hommes et les femmes a été signé le [82] ;
  • depuis 2016, des partenariats de projets sont menés pour le développement culturel de pays francophones (Bénin, Haïti, Gabon)[83] ;
  • le groupe audiovisuel et le Comité France-Chine s'associent pour promouvoir les échanges économiques et culturels entre la France et la Chine autour de la musique[84] ;
  • il signe la création d'un programme d'échanges artistiques s'appuyant sur un cercle de mécènes en Chine[85] ;
  • il soutient la Semaine européenne pour l'emploi des personnes handicapées, en prévoyant des animations à la Maison de la Radio[86].

Comité d'éthique

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En application de la loi du et de son décret d’application du , un comité d'éthique est créé visant à renforcer la liberté, l’indépendance et le pluralisme des médias. […] Ce comité est composé de cinq personnalités indépendantes nommées pour trois ans, et dont le mandat est renouvelable[87].

Activités du groupe

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Cellule Investigation et enquête

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La cellule investigation de Radio France, nom usuel de la direction des enquêtes et de l'investigation de Radio France, créée en 2014, est une équipe de journalistes dédiée aux enquêtes de fond, visant à révéler des informations d'intérêt général souvent cachées (abus, scandales, dysfonctionnements...). En dix ans, cette cellule a produit près de 400 enquêtes sur une large palette de sujets, de la politique à l'économie en passant par les affaires sociales et les questions environnementales. Elle produit des émissions comme Secrets d'info (sur France Inter) et Samedi investigation sur France Info. La cellule a contribué à révéler des affaires majeures (ex. : Pandora Papers, Uber Files. Elle a été récompensée par plusieurs prix, dont un Online Journalism Award en 2023 (pour son enquête Story Killers). Elle a créé une plateforme permettant aux citoyens de signaler des faits susceptibles d'intéresser les journalistes.

Elle est divisée en trois pôles : production, numérique, et investigation. Ce dernier pôle comprend cinq enquêteurs[88].

La cellule investigation est partenaire de Disclose depuis 2018[89].

Éditions Radio France

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Radio France se présente également comme éditeur pour des œuvres issues d'émissions des stations du groupe ou créées par des producteurs maison, dans les domaines littéraire (y compris bande dessinée et livres illustrés), sonore et ludique. Cependant, ces "éditions" ont essentiellement un rôle de label accordé à un titre, le travail d'édition technique étant généralement assuré par un éditeur traditionnel.

Les labels accordés sont généralement ceux des chaînes du groupe : France Inter, France Culture, franceinfo, France Musique et Fip[90].

Partenariats réguliers et événementiels

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Lorsque l'actualité le nécessite, les stations de Radio France ont recours à une programmation événementielle, laquelle n'est plus soumise aux grilles de programmes. Ces événements, qu'ils soient politiques, économiques, sociétaux, culturels ou sportifs, se retrouvent dans les pages retraçant les chronologies annuelles du média radio.

Par exemple, entre 2016 et 2018, Radio France a effectué des commémorations, s'est mobilisée pour prendre part à des événements sociaux, culturels ou sportifs.

Commémorations

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Radio France commémore parfois des événements historiques. Par exemple :

Événements sociétaux, culturels ou sportifs

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L'entreprise publique se mobilise fortement pour prendre part, tous les ans, à des événements sociaux, culturels ou sportifs.

Par exemple, entre 2016 et 2018, nombre de ces rendez-vous ont trait au domaine du livre ou de la langue française. Radio France prend part à la Nuit de la lecture en [94], à la Semaine de la langue française et de la francophonie en [95], au Salon du Livre de Paris en [96], à la manifestation Radio France fête le livre en et 2018[97],[98].

Par ailleurs, sur le plan sociétal, Radio France se joint au Téléthon en [99], est partenaire du Salon international de l'agriculture en [100], soutient le Sidaction en [101], mobilise les sept stations du groupe pour la COP24 en [102].

Sur le plan culturel, Radio France est au Festival de Cannes en [103], à la Fête de la musique en [104], au Concert de Paris du Champ de Mars en [105].

Sur le plan sportif, Radio France mobilise la Maison de la Radio pour fêter le sport avec l'ONG Play international en septembre depuis 2016[106],[107], est la radio officielle du Championnat du monde de handball masculin 2017 en janvier[108], envoie une puissante délégation de journalistes pour les Jeux olympiques d'hiver de 2018 en février[109].

Autres partenariats

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Diffusion hertzienne (AM, FM, DAB+)

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Depuis 1975, Radio France diffuse en FM sur la quasi-totalité du territoire.

Radio France diffuse entre 1975 et 2016 en AM : France Inter GO (1939-2016), France Inter PO (1956-1996), France Inter OC (1975-1981) ; France Culture PO (1975-1980) ; RFI OC (1975-1986) (avant sa scission de Radio France) ; Radio Bleu PO (1980-2000), France Bleu PO (2000-2016) ; France Info PO (2000-2016).

En 2016, les programmes de Radio France sont diffusés en RNT (DAB+) sur la région Parisienne via une expérimentation. En 2019, le CSA attribue à l'ensemble des fréquences nationales de Radio France[112], via une procédure d'appel d'offres, une diffusion en DAB+. Cette technologie vise principalement à permettre une meilleure qualité sonore, l'ajout de données synchronisées ou non avec la radio (textes défilant, images, informations, sites Web, etc.) et un coût de diffusion inférieur à celui de la FM[113].

Depuis le toutes les radios de Radio France sauf France Bleu, sont diffusées sur le multiplex métropolitain 2. Elles sont actuellement audibles entre Paris et Marseille ce qui permet de couvrir l'A6 et l'A7[114]. L'émetteur expérimental parisien lancé en 2016 a, quant à lui, été arrêté.

Diffusion numérique

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Depuis 2006, Radio France produit ses programmes entièrement en numérique et propose depuis 2012 de nombreuses émissions en podcast sous format MP3[115].

À partir de 2014, face à l'essor de la consommation de vidéos sur Internet, et le développement de l'usage des tablettes ou smartphones, Radio France instaure le concept de « radio enrichie » qui consiste à filmer le studio lors de l'enregistrement de certaines émissions de radio[116]. La vidéo est alors mise en ligne en direct (en streaming) sur le site web de la station ou insérée dans un catalogue de vidéos de façon à être consultable après la diffusion à l'antenne[117].

Notes et références

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Références sur Légifrance

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  3. Décret du 31 décembre 1980 portant nomination des présidents des sociétés nationales de radiodiffusion et de télévision, JORF no 6 du 8 janvier 1981, p. 201.
  4. Décret du 31 juillet 1981 portant nomination du président de la Société nationale de radiodiffusion Radio-France, JORF no 179 du 1er août 1981, p. 2112 ; Décret du 8 septembre 1982 mettant fin aux fonctions de président de la Société nationale de radiodiffusion Radio-France, JORF no 210 du 9 septembre 1982, p. 2747.
  5. Décision du 28 septembre 1982 relative à la composition du conseil d'administration des sociétés nationales prévues au chapitre II du titre III de la loi no 82-652 du 29 juillet 1982 sur la communication audiovisuelle, JORF no 246 du 21 octobre 1982, p. 3184.
  6. Décision no 20 du 15 octobre 1985 portant nomination au conseil d'administration des sociétés nationales prévues au chapitre II du titre III de la loi no 82-652 du 29 juillet 1982 sur la communication audiovisuelle, JORF no 244 du 19 octobre 1985, p. 12171.
  7. Décision no 2 du 3 décembre 1986 portant nomination aux conseils d'administration des sociétés nationales et de l'établissement public prévus au titre III de la loi no 86-1067 du 30 septembre 1986 relative à la liberté de communication, JORF no 281 du 4 décembre 1986, p. 14573–14574.
  8. Décision no 89-2 du 10 février 1989 portant nomination au conseil d'administration de la Société nationale de programme Radio France, JORF no 38 du 14 février 1989, p. 2139, NOR CSAX8901004S.
  9. Décision no 89-242 du 30 novembre 1989 portant désignation de personnalités qualifiées au sein des conseils d'administration de Radio France, Antenne 2, FR3, RFO, RFI et de l'Institut national de l'audiovisuel et nomination des présidents de Radio France, RFO et RFI, JORF no 280 du 2 décembre 1989, p. 14966, NOR CSAX8901246S.
  10. Décision no 92-1037 du 25 novembre 1992 portant désignation de personnalités qualifiées au sein du conseil d'administration de la Société nationale de programme Radio France et nomination du président de Radio France, JORF no 286 du 9 décembre 1992, p. 12806, NOR CSAX9211037S.
  11. Décision no 95-721 du 23 novembre 1995 portant désignation d'une personnalité qualifiée au sein du conseil d'administration de la Société nationale de programme Radio France et nomination du président de Radio France, JORF no 275 du 26 novembre 1995, p. 17345, NOR CSAX9501721S.
  12. Décision no 98-824 du 20 novembre 1998 portant désignation d'une personnalité qualifiée au sein du conseil d'administration de la Société nationale de programme Radio France et nomination du président de Radio France, JORF no 273 du 25 novembre 1998, p. 17822, NOR CSAX9801824S.
  13. Décision no 2001-589 du 20 novembre 2001 portant désignation d'une personnalité qualifiée au sein du conseil d'administration de la société nationale de programme Radio France et nomination du président de Radio France, JORF no 277 du 29 novembre 2001, p. 18991, NOR CSAX0101589S.
  14. Décision no 2004-193 du 12 mai 2004 portant désignation d'une personnalité qualifiée au sein du conseil d'administration de la société nationale de programme Radio France et nomination du président de Radio France, JORF no 111 du 13 mai 2004, p. 8537, texte no 106, NOR CSAX0401193S.
  15. Décret du 7 mai 2009 portant nomination du président de la société nationale de programme Radio France - M. Hees (Jean-Luc), JORF no 107 du 8 mai 2009, p. 7816, texte no 96, NOR MCCT0910133D ; Avis no 2009-4 du 8 avril 2009 relatif à la nomination du président de la société nationale de programme Radio France, JORF no 89 du 16 avril 2009, texte no 63, NOR CSAC0908253V.
  16. Décision n° 2014-60 du 27 février 2014 portant nomination du président de Radio France - M. Mathieu Gallet, JORF no 50 du 28 février 2014, texte no 126, NOR CSAC1405161S
  17. Décision n° 2018-209 du 12 avril 2018 portant nomination de la présidente de Radio France, JORF no 86 du 13 avril 2018, texte no 87, NOR CSAC1810366S

Notes et autres références

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  1. "L’État détient directement la totalité du capital social de la société qui est fixée à 74 260 056 euros et divisé en 1 904 104 actions de 39 euros chacune". Décret n° 2020-1047 du 14 août 2020 portant approbation de la modification apportée aux statuts de la société nationale de programme Radio France
  2. « Les grandes dates de Radio France », sur L'Humanité, (consulté le )
  3. Loi no 74-696 du 7 août 1974 relative à la radiodiffusion et télévision française, JORF no 186 du 8 août 1974, p. 8355–8358.
  4. Vingt-neuf centres radiophoniques régis par onze directions métropolitaines et une direction DOM-TOM gérant neuf stations dans la France d'outre-mer
  5. à l'échelon régional à partir du 19 mai 1980
  6. à l'échelon départemental à partir du 16 juin 1980
  7. à l'échelon d'une agglomération à partir du 11 septembre 1980
  8. Décret no 82-792 du 17 septembre 1982 portant création d'une société nationale de radiodiffusion sonore dénommée Radio France, JORF no 218 du 18 septembre 1982, p. 2811.
  9. Guide Télérama de la radio : Toutes les fréquences FM ville par ville, Télérama, , 293 p..
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  116. « Radio filmée : et vous, qu'est-ce que vous en pensez ? », Télérama,‎ (lire en ligne)
  117. « Vu à la radio : parlez, vous êtes filmés », Télérama,‎ (lire en ligne)

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Articles connexes

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Liens externes

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