Vic-la-Gardiole

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Vic-la-Gardiole
Vic-la-Gardiole
Vue depuis la Gardiole.
Blason de Vic-la-Gardiole
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Montpellier
Intercommunalité Sète Agglopôle Méditerranée
Maire
Mandat
Magali Ferrier
2020-2026
Code postal 34110
Code commune 34333
Démographie
Gentilé Vicois
Population
municipale
3 416 hab. (2021 en augmentation de 5,3 % par rapport à 2015)
Densité 185 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 29′ 27″ nord, 3° 47′ 51″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 216 m
Superficie 18,49 km2
Type Commune urbaine et littorale
Unité urbaine Mireval
(banlieue)
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Frontignan
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Vic-la-Gardiole
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Vic-la-Gardiole

Vic-la-Gardiole (en occitan Vic de la Gardiòla) est une commune française située dans le département de l'Hérault en région Occitanie. Depuis le , elle fait partie de la communauté d'agglomération Sète Agglopôle Méditerranée. Ses habitants sont appelés les Vicois.

Géographie

Carte
Vue générale.

Située entre Montpellier et Frontignan, Vic-la-Gardiole est un village de 3 000 habitants (~10 000 en période estivale), à proximité immédiate de la mer Méditerranée. Le sud du territoire se compose d'étangs notamment l'étang de Vic et de zones humides alors que, plus au nord, le massif de la Gardiole présente une grande diversité de la faune et de la flore méditerranéenne. Auparavant petit village de pêcheurs, la ville attire une population de plus en plus importante de par l'attractivité de Montpellier[réf. nécessaire], située seulement à 17 km. Curieusement, la zone des plages n'appartient pas à la commune mais est partagée entre Frontignan et Villeneuve-lès-Maguelone.

Communes limitrophes

Climat

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

  • Moyenne annuelle de température : 14,8 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,3 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 14,6 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 16,2 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 584 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 6 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,5 j

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[1].

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Villeneuve-les-Mag-Inra », sur la commune de Villeneuve-lès-Maguelone, mise en service en 1980[6]et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[7],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 15 °C et la hauteur de précipitations de 592,2 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Sete », sur la commune de Sète, mise en service en 1949 et à 12 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 15 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,4 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,8 °C pour 1991-2020[12].

Milieux naturels et biodiversité

Espaces protégés

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13],[14].

Le Conservatoire du Littoral a acquis 1 561 ha en 1979 à l’étang de Vic, sur quatre communes : Frontignan, Mireval, Vic-la-Gardiole et Villeneuve-lès-Maguelone[15] ; en 1980, 279 ha aux salins de Frontignan, sur Frontignan et Vic-la-Gardiole[16] ; et 85 ha toujours en 1980 au bois des Aresquiers, sur Frontignan et Vic-la-Gardiole[17] ;

7 583 ha des « étangs palavasiens » sont par ailleurs classés comme « zone humide protégée par la convention de Ramsar » et concernent huit communes : Frontignan, Lattes, Mireval, Palavas-les-Flots, Pérols, Vic-la-Gardiole et Villeneuve-lès-Maguelone[18].

Réseau Natura 2000

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3].

La commune inclut une zone de protection spéciale (ZPS) Natura 2000 dans le cadre de la directive Oiseaux : la ZPS des étangs palavasiens et étang de l'Estagnol, 6 600 ha répartis sur huit communes[20]. Sur cette surface, 50 % sont classés selon la loi de 1930 et 1 % inscrit de même, 35 % ont été acquis par le Conservatoire du Littoral, 14 % sont une réserve de chasse et de faune sauvage d'ACCA (association communale de chasse agréée), 2 % sont protégés par un arrêté de protection de biotope, d’habitat naturel ou de site d’intérêt géologique, 1 % est une réserve naturelle nationale (l'étang de l'Estagnol) et 1 % est la propriété du département. Cette ZPS comprend une série importante de grandes lagunes communiquant encore entre elles (étang de l'Ingril, étang de Vic, étang de Pierre-Blanche, étang de l'Arnel, étang du Prevost, étang du Grec, étang du Méjean et étang de Pérols), imbriquées entre terre et mer. On y trouve d'anciens marais salants non exploités, générateurs d'une grande diversité d'habitats à forte valeur patrimoniale.

L'étang de l'Estagnol est situé dans une ancienne doline d'alluvions récentes dans les calcaires de la Gardiole, au sud-ouest de Montpellier. L'alimentation en eau se fait par la nappe phréatique d'eau douce de la plaine de Mireval, par les alimentations karstiques des reliefs avoisinants et par la résurgence d'une perte de la Mosson. En conséquence, son eau est moins saumâtre que celle des autres étangs palavasiens. Les lagunes attirent une avifaune à la fois abondante et variée qu'elle soit nicheuse, hivernante ou migratrice. Des espèces rares viennent s'y reposer, comme la sterne naine, le gravelot à collier interrompu et la talève sultane. Les flamants roses y sont nombreux. Une dizaine d'espèces de l'annexe I se reproduisent à l'étang de l'Estagnol : busard des roseaux, blongios nain, héron pourpré, sterne pierregarin, parfois le butor étoilé… Il est une zone d'hivernage ou d'étape pour de nombreux migrateurs : anatidés, foulques, guifettes et sterne pierregarin[21].

La commune comprend aussi un site d'intérêt communautaire (SIC) Natura 2000 dans le cadre de la directive Habitat : le SIC des étangs palavasiens, 6 600 ha d'étangs répartis sur plusieurs communes et séparés de la mer par un lido encore vierge d'urbanisation sur un grand linéaire côtier, ce qui permet la coexistence de différents habitats naturels littoraux : systèmes dunaires, laisses de mer et sansouires. Ils sont composés à 60 % de lagunes côtières (habitat prioritaire), 7,1 % de fourrés halophiles méditerranéens et thermo-atlantiques (Sarcocornia fruticosi ou « corail de mer »), 4,9 % de prés-salés méditerranéens (communauté de plantes appelée Juncetalia maritimi) et 16 autres types d'habitat pour le reste. Leur ouverture sur la mer grâce à des graus permet la migration des poissons. En 2012, seul l'étang du Grec est protégé par un arrêté préfectoral de protection du biotope comprenant les zones humides situées entre la route départementale Carnon-Palavas et les zones urbanisées du littoral. Le périmètre du site intègre ces zones humides en suivant précisément la limite de la zone couverte par l'arrêté de biotope. L'étang de l'Estagnol, classé en réserve naturelle nationale, est protégé des atteintes directes mais son approvisionnement en eau est d'origine incertaine et rend les interventions difficiles[22].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L'étang de Vic-la-Gardiole.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Dix ZNIEFF sont recensées sur la commune :

  • La ZNIEFF du complexe paludo-laguno-dunaire des étangs montpelliérains, 14 344 ha de cladiaies riveraines (habitat déterminant) répartis entre 14 communes[23],[24] ;
  • La ZNIEFF de l'étang de Vic, 1 339 ha de terrains en friche et terrains vagues (habitat déterminant) partagés entre Vic-la-Gardiole et Villeneuve-lès-Maguelone[25] ;
  • La ZNIEFF des garrigues de la Gardiole, 450 ha de terrains en friche et terrains vagues (habitat déterminant) partagés entre les communes de Fabrègues, Frontignan, Gigean et Vic-la-Gardiole[26] ;
  • La ZNIEFF des îlots de l'étang d'Ingril, 192 ha de terrains en friche et terrains vagues (habitat déterminant) partagés entre Frontignan et Vic-la-Gardiole[27] ;
  • La ZNIEFF du lido et étang de Pierre-Blanche, 578 ha de dunes grises (habitat déterminant) partagés entre Frontignan, Vic-la-Gardiole et Villeneuve-lès-Maguelone[28] ;
  • La ZNIEFF du marais de la Grande Maïre et Prés des Aresquiés, 142 ha de steppes à Lavande de mer catalano-provençales (habitat déterminant) partagés entre Frontignan et Vic-la-Gardiole[29] ;
  • La ZNIEFF du marais de la Grande Palude, 245 ha de cladiaies riveraines (habitat déterminant) sur la commune[30] ;
  • La ZNIEFF du marais du Boulas et salins de Villeneuve, 302 ha de cladiaies riveraines (habitat déterminant) partagés entre Mireval, Vic-la-Gardiole et Villeneuve-lès-Maguelone[31] ;
  • La ZNIEFF de la montagne de la Gardiole, 5 289 ha de prairies humides méditerranéennes à grandes herbes (habitat déterminant) réparties sur 10 communes[32],[33] ;
  • La ZNIEFF de la pointe de la Robine, 59 ha couverts d'un tapis de Salicorne vivace (Arthrocnemum perennis) (habitat déterminant), sur la commune[34].

Urbanisme

Typologie

Vic-la-Gardiole est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[35],[36],[37]. Elle appartient à l'unité urbaine de Mireval, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[38] et 6 544 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[39],[40].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[41],[42].

La commune, bordée par la mer Méditerranée, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[43]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[44],[45].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des surfaces en eau (39,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (39,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : eaux maritimes (39,5 %), zones humides côtières (13 %), cultures permanentes (12,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (11,4 %), zones agricoles hétérogènes (7,7 %), prairies (6,1 %), forêts (4,7 %), zones urbanisées (3,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,2 %)[46].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Politique et administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
  1935 Albert Pellet[47] SFIO  
1935 1962 Arthur Jeanjean[48] SFIO Viticulteur
1962 juin 1995 Georges Debaille    
juin 1995 mars 2014 Jean-Pierre Deneu SE Professeur
Conseiller communautaire Thau Agglo
mars 2014 En cours Magali Ferrier SE[49]  
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[51].

En 2021, la commune comptait 3 416 habitants[Note 6], en augmentation de 5,3 % par rapport à 2015 (Hérault : +7,29 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
89133161241240285330302296
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
318396385352377317354416411
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
423483440500465486466452526
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
5415286028271 6072 4642 8832 8452 855
2015 2020 2021 - - - - - -
3 2443 4293 416------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[52] puis Insee à partir de 2006[53].)
Histogramme de l'évolution démographique

Histoire

Ancienne maison.
Église Sainte-Léocadie.

L'étymologie de Vic est le nom latin Vicum : village, division administrative romaine ne possédant pas de statuts. Avant 1790, on trouve le nom de Vic et Maureillan. Le [54], Vic prit le nom de « Vic-les-Étangs » car il y avait beaucoup d'étangs. Le nom actuel date du [55]. Le nom de Gardiole vient de la colline toute proche où se trouvait un poste de garde appartenant aux évêques de Maguelone.

Économie

Viticulture

Le terroir de Vic-la-Gardiole n'a pas grand chose en commun avec celui de la Camargue. Il s'agit d'un terroir argilo-calcaire et non sablonneux. Le muscat petit grain est le principal cépage cultivé à Vic-la-Gardiole. Une partie de la commune est en appellation « Muscat de Mireval » et le reste en appellation « Muscat de Frontignan ».

Commerces

Vic-la-Gardiole est doté de services et commerces. Elle a, à disposition, une poste et un office du tourisme. Pour la santé, elle dispose d'une pharmacie, un cabinet médical, un cabinet dentaire et un kinésithérapeute. Côté commerces, elle possède des salons de coiffure, un débit de tabac et presses, une supérette, une boucherie, une boulangerie et une cave à vin en culture biologique. La restauration est présente avec un bar, un bar à tapas, une crêperie, une pizzeria, un hôtel restaurant, plusieurs campings et plusieurs restaurants.

Lieux et monuments

Vue sur Sète.
  • L’église Sainte-Léocadie de Vic-la-Gardiole est une église romane fortifiée du XIIe siècle classée monument historique. Elle servait de refuge à la population. Elle contient une citerne interne permettant l'approvisionnement en eau ;
  • Le château des Aresquiers appartenait au chapitre cathédral de Maguelone depuis le XIIe siècle, qui devient au XVIe siècle le chapitre Saint-Pierre de Montpellier après le transfert de l'évêché. En 1568, il est inféodé à Pierre de la Coste, juge-mage en la sénéchaussée de Montpellier. Les héritiers de Pierre de la Coste vendent en 1589 le domaine à Jean Darles, notaire royal, secrétaire du chapitre cathédrale Saint-Pierre, dont les héritiers le revendront en 1615 au chapitre Saint-Pierre ;
  • Le château de Maureilhan, à l'emplacement de l'ancienne villa gallo romaine proche du port antique du Vicus[56] ;
  • Le bois des Aresquiers.

Personnalités

Galerie

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
  4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
  6. « Station Météo-France Villeneuve-les-Mag-Inra - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Orthodromie entre Vic-la-Gardiole et Villeneuve-lès-Maguelone », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France Villeneuve-les-Mag-Inra - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Vic-la-Gardiole et Sète », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  11. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  12. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  13. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
  14. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
  15. FR1100274 - « Étang de Vic » - Terrain acquis par le Conservatoire du Littoral, fiche INPN.
  16. FR1100278 - « Salins de Frontignan » - Terrain acquis par le Conservatoire du Littoral, fiche INPN.
  17. FR1100277 - « Bois des Aresquiers » - Terrain acquis par le Conservatoire du Littoral, fiche INPN.
  18. FR7200028 - « Étangs palavasiens », fiche INPN.
  19. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  20. Les huit communes de la ZPS des étangs palavasiens et étang de l'Estagnol sont : Frontignan, Lattes, Mauguio, Mireval, Palavas-les-Flots, Pérols, Vic-la-Gardiole et Villeneuve-lès-Maguelone.
  21. NATURA 2000 - FR9110042 – ZPS des étangs palavasiens et étang de l'Estagnol.
  22. NATURA 2000 - FR9101410 - Étangs palavasiens.
  23. Les 14 communes de la ZNIEFF du complexe paludo-laguno-dunaire des étangs montpelliérains sont : Aigues-Mortes, Candillargues, Frontignan, Lansargues, Lattes, Marsillargues, Mauguio, Mireval, Palavas-les-Flots, Pérols, Saint-Nazaire-de-Pézan, Vic-la-Gardiole, Villeneuve-lès-Maguelone et La Grande-Motte.
  24. ZNIEFF 910010743 - Complexe paludo-laguno-dunaire des étangs montpelliérains sur le site de l’INPN et sa carte sur le site de la DIREN..
  25. ZNIEFF 910030165 - Étang de Vic sur le site de l’INPN et sa carte sur le site de la DIREN..
  26. ZNIEFF 910014049 - Garrigues de la Gardiole sur le site de l’INPN et sa carte sur le site de la DIREN..
  27. ZNIEFF 910006422 - Îlots de l'étang d'Ingril sur le site de l’INPN et sa carte sur le site de la DIREN..
  28. ZNIEFF 910006422 - Lido et étang de Pierre-Blanche sur le site de l’INPN et sa carte sur le site de la DIREN..
  29. ZNIEFF 910006987 - Marais de la Grande Maïre et Prés des Aresquiés sur le site de l’INPN et sa carte sur le site de la DIREN..
  30. ZNIEFF 910006979 - Marais de la Grande Palude sur le site de l’INPN et sa carte sur le site de la DIREN..
  31. ZNIEFF 910006420 - Marais du Boulas et salins de Villeneuve sur le site de l’INPN et sa carte sur le site de la DIREN..
  32. Les 10 communes de la ZNIEFF de la montagne de la Gardiole sont : Balaruc-les-Bains, Balaruc-le-Vieux, Fabrègues, Frontignan, Gigean, Lattes, Mireval, Saint-Jean-de-Védas, Vic-la-Gardiole et Villeneuve-lès-Maguelone.
  33. ZNIEFF 910010764 - Montagne de la Gardiole sur le site de l’INPN et sa carte sur le site de la DIREN..
  34. ZNIEFF 910006421 - Pointe de la Robine sur le site de l’INPN et sa carte sur le site de la DIREN..
  35. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  36. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
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Voir aussi

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Bibliographie

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  • Joseph Meffre, Notre-Dame de la Gardiole : inauguration du sanctuaire et discours de monseigneur Joseph Meffre, Montpellier, Manufacture de la Charité, s.d., 31 p.
  • Laurence Serra, L'Amphitrite, une épave aux Aresquiers, Montpellier, ADM, , 142 p.
  • Pierre Serre et Jean Joubert, « Les Aresquiers : bataille pour un cul de sac », Sud, l'hebdomadaire du Languedoc,‎
  • Marcel Soulier, « La préhistoire dans la commune de Vic-la-Gardiole (Hérault) », Bulletin de la Société d'études scientifiques de Sète et de sa région, t. II,‎ , p. 58-72
  • Jean Vallery-Radot, « L'église de Vic-la-Gardiole », Congrès Archéologique de France, t. CVIII,‎ , p. 186-190
  • Stéphane Xiberras et Daniel Kuentz, Vic-la-Gardiole, Gap, Impr. Louis-Jean, , 64 p.

Fonds d'archives

Articles connexes

Liens externes