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Tarerach

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Tarerach
Tarerach
Vue générale de Tarerach.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Prades
Intercommunalité Communauté de communes Conflent-Canigó
Maire
Mandat
Jean-Louis Salies
2020-2026
Code postal 66320
Code commune 66201
Démographie
Gentilé Tarérachois
Population
municipale
44 hab. (2021 en évolution de −16,98 % par rapport à 2015)
Densité 5,4 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 41′ 29″ nord, 2° 30′ 06″ est
Altitude Min. 354 m
Max. 863 m
Superficie 8,16 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Perpignan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Vallée de l'Agly
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Tarerach
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Tarerach
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Tarerach

Tarerach (prononcé [taʁeʁak] Écouter; nommée également Tarérach non officiellement) est une commune française située dans le nord du département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de Conflent, correspondant à l'ensemble des vallées pyrénéennes qui « confluent » avec le lit creusé par la Têt entre Mont-Louis et Rodès.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la rivière de Tarérach et par un autre cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Tarerach est une commune rurale qui compte 44 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 172 habitants en 1846. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan. Ses habitants sont appelés les Tarerachois ou Tarerachoises.

Géographie

Localisation

Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Tarerach se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 32 km à vol d'oiseau de Perpignan[1], préfecture du département, à 10 km de Prades[2], sous-préfecture, et à 32 km de Rivesaltes[3], bureau centralisateur du canton de la Vallée de l'Agly dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Ille-sur-Têt[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Trévillach (3,1 km), Arboussols (3,3 km), Campoussy (4,1 km), Montalba-le-Château (4,8 km), Pézilla-de-Conflent (5,5 km), Vinça (5,6 km), Marquixanes (5,6 km), Trilla (5,6 km).

Sur le plan historique et culturel, Tarerach fait partie de la région de Conflent, héritière de l'ancien comté de Conflent et de la viguerie de Conflent. Ce pays correspond à l'ensemble des vallées pyrénéennes qui « confluent » avec le lit creusé par la Têt entre Mont-Louis, porte de la Cerdagne, et Rodès, aux abords de la plaine du Roussillon[5].

Communes limitrophes de Tarerach
Trévillach
Campoussy Tarerach Rodès
Arboussols
Situation de la commune.

Géologie et relief

Tarerach sur une carte géologique des Pyrénées.
Affleurement granitique à 400 mètres à l'est du village de Tarerach.

La commune de Tarerach est entièrement située sur le grand "pluton" de Millas, une intrusion ignée de granit (sous diverses formes), déposé dans des formations paléozoïques plus anciennes, il y a environ 300 millions d'années, lors de l'orogenèse hercyniennne[6],[7].

Ce pluton est aujourd'hui situé dans la partie nord de la zone axiale de la chaîne des Pyrénées, dans le secteur oriental de cette chaîne de montagnes.

Une carrière de feldspath, exploité pour la céramique, est située à environ quatre kilomètres au sud-est de Tarerach[8],[9].

Roc del Moro

Le point le plus bas de la commune se situe à une altitude de 350 mètres, dans le fond de l'étroite vallée de la Ribera de Tarerac (qui occupe le secteur sud de la commune). Le point culminant de la commune se situe à un peu plus de 850 mètres d'altitude, près du Roc de Curet, sur une crête à l'ouest du village de Tarerach.

Plus au sud, le long de cette crête, située à la limite ouest de la commune, se trouvent les "tors" granitiques de forme caractéristique du Roc del Cucut et du Roc del Moro.

Le bassin viticole de Tarerach.

A l'est du village de Tarerach se trouve un bassin important, au relief doux, à une altitude d'environ 500 mètres. Prolongement occidental d'un bassin similaire autour de Montalba-le-Château, ce bassin s'est formé à la suite d'une profonde altération chimique et mécanique du granit, les produits de cette altération ayant ensuite été enlevés, du moins en partie, par l'érosion fluviale et éolienne. Une grande partie du bassin est encore recouverte de couches de ces produits d'altération (saprolite à grains fins et grus (en), à gros grains). Ces dépôts ont rendu la terre apte à la culture, et en effet ce bassin est une enclave viticole notable[10],[11].

La limite occidentale de ce bassin, derrière le village de Tarerach, est marquée par un escarpement abrupt de quelque 300 mètres de haut (voir l'image Vue générale de Tarerach ci-dessus). Comme l'illustre la carte géologique[6], cet escarpement se trouve dans une zone de failles au sein du massif granitique et on pense qu'l'escarpement a été généré par une faille néotectonique[12]. Cependant, la nature relativement dégradée de cet escarpement suggère qu'il n'a pas été soumis à une activité tectonique très récente[13].

La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[14].

Hydrographie

Milieux naturels et biodiversité

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[15] : les « coteaux du Fenouillèdes et Roc del Maure » (1 147 ha), couvrant 5 communes du département[16] et le « plateau de Rodès et de Montalba » (2 677 ha), couvrant 5 communes du département[17] et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[15] : le « massif du Fenouillèdes » (34 157 ha), couvrant 40 communes dont une dans l'Aude et 39 dans les Pyrénées-Orientales[18].

Urbanisme

Typologie

Tarerach est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[19],[I 2],[20].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 3],[I 4].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (63,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (66,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (63,6 %), cultures permanentes (29,6 %), zones agricoles hétérogènes (6,8 %)[21].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Tarerach est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque particulier, le risque radon[22],[23].

Risques naturels

Zones inondables de la commune de Tarerach.

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin de la Têt[24].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des glissements de terrains, soit des chutes de blocs[25].

Risque particulier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Tarerach est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[26].

Toponymie

En catalan, le nom de la commune est Tarerac selon l'Institut d’Estudis Catalan[27], contre l'avis de Lluís Basseda qui préférait Tarerach[28].

Le nom apparait pour la première fois en 958 sous la forme Tarasago. Le s devient r (phénomène de rhotacisme) sous l'influence du premier r, aux alentours du XVe siècle. Il a sans doute pour origine le nom d'un propriétaire terrien de l'époque franque, Therasus, auquel a été accolé le suffixe -acum[28].

Histoire

Le feu de Tarerach est un incendie qui a détruit 1970 hectares de forêts et garrigues en , après s'être déclenché sur la commune.

Politique et administration

Administration municipale

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001[29] 2014 Francis Legentil    
2014[30] En cours Jean-Louis Salies    

Population et société

Démographie ancienne

La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

Évolution de la population
1358 1365 1378 1553 1720 1767 1774 1789
8 f7 f4 f1 f15 f173 H41 f32 f
(Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

Démographie contemporaine

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].

En 2021, la commune comptait 44 habitants[Note 6], en évolution de −16,98 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Orientales : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
151126125158164151147172158
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
134143124109126125130128111
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
108106111968982898672
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
745672524838555754
2017 2021 - - - - - - -
4644-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[35] 1975[35] 1982[35] 1990[35] 1999[35] 2006[36] 2009[37] 2013[38]
Rang de la commune dans le département 206 170 215 200 213 204 197 202
Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

Enseignement

Manifestations culturelles et festivités

  • Fête patronale : au [39] ;
  • Fêtes communales : et 2e dimanche de juillet[39].

Santé

Sports

Économie

Emploi

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 5] 8,6 % 0 % 16 %
Département[I 6] 10,3 % 12,9 % 13,3 %
France entière[I 7] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 24 personnes, parmi lesquelles on compte 56 % d'actifs (40 % ayant un emploi et 16 % de chômeurs) et 44 % d'inactifs[Note 7],[I 5]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département, alors qu'il était inférieur à celui du département en 2008.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Perpignan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 8]. Elle compte 8 emplois en 2018, contre 8 en 2013 et 22 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 10, soit un indicateur de concentration d'emploi de 80,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 33,3 %[I 9].

Sur ces 10 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 6 travaillent dans la commune, soit 60 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 90 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues et 10 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied[I 11].

Activités hors agriculture

8 établissements[Note 8] sont implantés à Tarerach au [I 12]. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 37,5 % du nombre total d'établissements de la commune (3 sur les 8 entreprises implantées à Tarerach), contre 14,3 % au niveau départemental[I 13].

Agriculture

1988 2000 2010 2020
Exploitations 13 10 10 7
SAU[Note 9] (ha) 224 189 187 139

La commune est dans le Conflent, une petite région agricole occupant le centre-ouest du département des Pyrénées-Orientales[40]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est la viticulture[Carte 3]. Sept exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 11] (13 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 139 ha[42],[Carte 4],[Carte 5].

Culture locale et patrimoine

Monuments et lieux touristiques

Personnalités liées à la commune

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  8. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  9. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  10. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  11. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[41].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

Site de l'Insee

  1. a b et c « Métadonnées de la commune de Tarerach » (consulté le ).
  2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  3. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Perpignan » (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  5. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Tarerach » (consulté le ).
  6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  8. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  9. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Tarerach » (consulté le ).
  10. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  11. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  12. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Tarerach » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).

Autres sources

  1. Stephan Georg, « Distance entre Tarerach et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Tarerach et Prades », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Tarerach et Rivesaltes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Tarerach », sur www.villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 194-195.
  6. a et b Genna A. (2009) Carte géologique harmonisée du département des Pyrénées-Orientales. Notice technique, Rapport final, BRGM/RP-57032-FR, en particulier pages 417-8.
  7. « Carte - géologie et topographie » sur Géoportail. Avec Notice explicative de la feuille Rivesaltes (1090) à 1/50 000, BRGM Éditions, Orléans, 1993; consultée le 31 juillet 2022.
  8. www.mindat.org (image de la carrière).
  9. Géologues, numéro 155, Société Géologique France, Fig. 2 page 94, et page 96, www.geosoc.fr.
  10. Calvet, Marc; Delmas, Magali; Gunnell, Yanni; Laumonier, Bernard. Geology and Landscapes of the Eastern Pyrenees, 2022 ("GeoGuide"), pages 459-460. Springer International Publishing. Édition du Kindle.
  11. Dans "Geoguide", le bassin de Tarerach est décrit comme un "etch" bassin. Sur la formation de tels bassins, voir les diagrammes à l'adresse suivante : www.researchgate.net.
  12. Lagasquie J-J (1984), Géomorphologie des granites. Les massifs granitiques de la moitié orientale des Pyrénées françaises, Éd du CNRS, Toulouse.
  13. "Geoguide", page 461.
  14. « Plan séisme » (consulté le ).
  15. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Tarerach », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « ZNIEFF les « coteaux du Fenouillèdes et Roc del Maure » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « ZNIEFF le « plateau de Rodès et de Montalba » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « ZNIEFF le « massif du Fenouillèdes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  22. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), chapitre 1 - Liste des risques par commune.
  23. « Les risques près de chez moi - commune de Tarerach », sur Géorisques (consulté le )
  24. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  25. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  26. « cartographie des risques d'inondations du tri de perpignan/saint-cyprien », (consulté le )
  27. (ca)(fr)Institut d’Estudis Catalans, Université de Perpignan, Nomenclàtor toponímic de la Catalunya del Nord, Barcelone, (lire en ligne).
  28. a et b Lluís Basseda, Toponymie historique de Catalunya Nord, t. 1, Prades, Revista Terra Nostra, , 796 p., p. 700, 701.
  29. Préfecture des Pyrénées-Orientales, Liste des maires élus en 2008, consultée le 22 juillet 2010
  30. [PDF] « Liste des maires du département des Pyrénées-Orientales à la suite des élections municipales et communautaires des 23 et 30 mars 2014 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur la-clau.net.
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. a b c d et e INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
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  37. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  38. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
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