Saint-Simon (Charente)

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Saint-Simon
Saint-Simon (Charente)
La mairie est aussi la maison des gabarriers.
Blason de Saint-Simon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Cognac
Maire
Mandat
Jean-Jacques Delage
2020-2026
Code postal 16120
Code commune 16352
Démographie
Gentilé Saint-Simoniens ou Saint-Simonais
Population
municipale
226 hab. (2021 en augmentation de 13 % par rapport à 2015)
Densité 60 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 39′ 02″ nord, 0° 04′ 29″ ouest
Altitude Min. 15 m
Max. 53 m
Superficie 3,77 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Charente-Champagne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Saint-Simon
Géolocalisation sur la carte : France
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Saint-Simon
Géolocalisation sur la carte : Charente
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Saint-Simon
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Saint-Simon

Saint-Simon est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont les Saint-Simoniens et les Saint-Simoniennes, ou les Saint-Simonais et les Saint-Simonaises[1].

C'était la pépinière où se recrutaient la plupart des matelots du fleuve Charente. On y rencontrait des charpentiers constructeurs de gabares.

Géographie

Localisation et accès

Saint-Simon est située à 6 km au nord et en aval de Châteauneuf-sur-Charente et 18 km à l'ouest d'Angoulême, sur la rive droite de la Charente.

À 1,5 km de Vibrac, Saint-Simon qui s'appelait autrefois Saint-Sigismond, échelonne ses maisons le long du fleuve. Son bourg est aussi à 8 km à l'est et en amont de Jarnac et 20 km à l'est de Cognac[2].

La route principale de la commune est la D 22, route de Châteauneuf à Bassac et Jarnac par la rive droite. La D 155 franchit le fleuve à l'ouest de la commune, en direction de Saint-Amant-de-Graves et Saint-Même-les-Carrières[3].

La gare la plus proche est celle de Châteauneuf, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Cognac, Saintes et Royan.

Hameaux et lieux-dits

Un gros hameau de la commune, Juac, est situé également sur la rive droite de la Charente, à l'ouest du bourg, en direction de Bassac.

L'Épineuil, est un petit hameau touchant Juac, près de la Guirlande.

Communes limitrophes

Communes limitrophes de Saint-Simon
Moulidars
Bassac Saint-Simon Vibrac
Graves-Saint-Amant Angeac-Charente

Géologie et relief

Le sol de la commune est calcaire et appartient au Purbeckien, ancienne zone lagunaire de la fin du Jurassique supérieur, qui s'étendait vers l'ouest dans tout le Pays Bas et riche en gypse.

Au sud de la route de Jarnac à Châteauneuf s'étend la vallée de la Charente, dont la zone inondable est couverte par des alluvions du Quaternaire. Des alluvions moins récentes occupent une basse terrasse alluviale entre le bourg et Juac[4],[5],[6].

Le relief est celui d'une plaine légèrement inclinée vers le sud-ouest et la vallée de la Charente qui occupe le sud de la commune. Le point culminant est à une altitude de 53 m, situé sur la limite nord-est au Couret. Le point le plus bas est à 15 m, situé le long du fleuve. Le bourg, situé près de la Charente, est à 22 m d'altitude[3].

Hydrographie

La commune est située sur la rive droite de la Charente dans sa portion entre Châteauneuf et Jarnac, qui fait la limite sud.

La Guirlande, qui vient de Vaux-Rouillac, limite la commune à l'ouest[3].

Climat

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Urbanisme

Typologie

Saint-Simon est une commune rurale[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9]. La commune est en outre hors attraction des villes[10],[11].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (46,2 %), terres arables (34,4 %), zones agricoles hétérogènes (16,3 %), forêts (3,1 %)[12].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie

Le nom est attesté sous la forme ancienne, en latin, Sanctus Sigismundus au XIVe siècle[13].

Sigismond, roi des Burgondes, est mort en 524[14]. Simon peut aussi représenter un des 12 apôtres[15],[Note 2].

Pendant la Révolution, Saint-Simon s'est appelé Simon-Charente[16].

Histoire

L'Antiquité a laissé quelques vestiges. À Juac, un vieux gué faisait peut-être partie d'un chemin antique nord-sud. Près de ce gué, une épée de la fin du second âge du fer (rare exemple d'épée de cette époque) a été trouvée. Sur les rives de la Guirlande, des monnaies de Dioclétien ont été mises au jour[17].

Le logis seigneurial de Saint-Simon était à l'entrée du bourg, venant de Vibrac, à l'endroit appelé Hautemoure. Cette seigneurie, après avoir appartenu pendant le XVIe siècle et le commencement du XVIIe siècle à la famille de Montalembert, fut cédée, le , par Jean et Guy de Montalembert à un échevin de la ville d'Angoulême, Jean Thomas. Les héritiers de ce dernier vendirent à Jean-Louis Le Musnier, sieur de Moulidars, le fief de Saint-Simon, qui fut acquis en 1707, par Pierre Navarre, sieur du Cluzeau, conseiller à la Maison de ville d'Angoulême. La famille Navarre posséda Hautemoure pendant la plus grande partie du XVIIe siècle, et le fief fut aboli à la Révolution. Aujourd'hui le domaine est morcelé et appartient à divers propriétaires.

Entre le bourg et le village de Juac, s'élevait le logis de la Rocque, ancienne métairie noble du fief d'Hautemoure. Il fut rasé au début du XIXe siècle et remplacé par une maison bourgeoise et de vastes magasins. Ce logis acquis au XVIe siècle par François Le Musnier, sieur de Lartige et de Rouffignac, fut cédé à François Aigron, sieur de Combizan[18], qui fut lieutenant-général à Cognac et vice-sénéchal d'Angoumois, Aunis et Saintonge. Son fils le vendit à Pierre Rambaud, sieur de Mareuil[Note 3], conseiller du roi.

Cette famille Rambaud, très anciennement établie à Châteauneuf, s'était enrichie par le négoce. Elle conserva la Rocque jusqu'à la fin du XVIIIe siècle, époque à laquelle, par le mariage de Marie Mauricette Rambaud avec Philippe Marett, de Cognac, la Rocque devint la possession de ce dernier, qui fit abattre le logis.

La famille Rambaud de La Rocque a été représentée par Marcel Rambaud de La Rocque, conseiller général du canton de Jarnac au début du XXe siècle, dont le père a été longtemps le président de l'assemblée départementale.

Les plus anciens registres paroissiaux remontent seulement à 1705[19].

L'ancien port de gabares était situé sur la Charente.

Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1838 1849 Jean Boucherie    
1849 1865 Jean Richard-Delisle    
1865 1876 Jean Guillot    
1876 1886 Jean-Marie Blanchard    
1886 1891 Philippe Castaigne    
1891 1929 Ulysse Richard-Delisle    
1929 1933 Mr Ménard    
1933 1945 Georges Affré    
1945 1947 Pierre Grouillard    
1947 1959 Louis Baumard    
1959 1965 Pierre Giraud    
1965 1971 Philippe Mitterrand[20]    
1971 1977 Pierre Giraud    
1977 2001 Jacqueline Mitterrand[21]    
2001 2008 Michel Marquet SE Artisan électricien retraité
2008 En cours Jean-Jacques Delage SE Animateur patrimoine fluvial

Jumelages

Saint-Simon est jumelée avec la commune française d'Eguelshardt, en Moselle.

Démographie

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[23].

En 2021, la commune comptait 226 habitants[Note 4], en augmentation de 13 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
665633722732757782738737684
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
677660615572540472460440436
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
454410333332330297278283252
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
247272266222239217211204200
2020 2021 - - - - - - -
223226-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

  • 47,5 % d’hommes (0 à 14 ans = 11,7 %, 15 à 29 ans = 12,6 %, 30 à 44 ans = 17,5 %, 45 à 59 ans = 23,3 %, plus de 60 ans = 35 %) ;
  • 52,5 % de femmes (0 à 14 ans = 10,5 %, 15 à 29 ans = 17,5 %, 30 à 44 ans = 13,2 %, 45 à 59 ans = 23,7 %, plus de 60 ans = 35,1 %).

La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (35 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (26,6 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (52,5 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

Pyramide des âges à Saint-Simon en 2007 en pourcentage[26]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,9 
90 ans ou +
0,9 
11,7 
75 à 89 ans
15,8 
21,4 
60 à 74 ans
18,4 
23,3 
45 à 59 ans
23,7 
17,5 
30 à 44 ans
13,2 
12,6 
15 à 29 ans
17,5 
11,7 
0 à 14 ans
10,5 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[27]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ans ou +
1,6 
8,2 
75 à 89 ans
11,8 
15,2 
60 à 74 ans
15,8 
22,3 
45 à 59 ans
21,5 
20,0 
30 à 44 ans
19,2 
16,7 
15 à 29 ans
14,7 
17,1 
0 à 14 ans
15,4 

Économie

Équipements, services et vie locale

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Patrimoine religieux

  • Église paroissiale Saint-Sigismon : cette petite église, du style roman de transition le plus pur, paraît, d'après son architecture, appartenir à deux campagnes différentes, mais presque de la même époque: la nef, de la fin du XIIe siècle ; la coupole et le chevet, du commencement du XIIIe siècle. Autrefois cette coupole était surmontée d'une tour carrée, dont il ne reste plus qu'un côté, aménagé en campanile à deux ouvertures, dont l'une renferme la cloche. Les quatre groupes de colonnes qui portent la coupole appartiennent à un édifice plus ancien[19],[28]. Elle est classée monument historique depuis 1974[29].
  • Le portail du cimetière (1855)[30] et quatre tombeaux du XIXe siècle sont inscrits à l'inventaire topographique des monuments historiques.

Patrimoine civil

  • Musée des gabariers de Saint-Simon, impasse de la Forge, ainsi que diverses traces de l'existence des gabariers, disséminées au long d'un parcours de découverte à travers le village.
  • Les quais de la Charente.

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Blason Blasonnement :
D’argent au lion de sable, armé et lampassé de gueules, tenant une torche d’or enflammée de gueules.

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Selon A.Dauzat, les 12 communes françaises portant le nom de Saint-Simon Ce lien renvoie vers une page d'homonymie appartiennent à l'un ou l'autre de ces deux types.
  3. D'après Jean-Marie Ouvrard, « Pierre Rambaud, sieur de Mareuil - Blasons de la Charente », (consulté le ), Pierre Rambaud a pris le titre de "sieur de Mareuil" d'après un fief nommé les mas de Mareuil qu'il possédait sur les paroisses de Douzat et Moulidars, acquis des seigneurs de Vibrac qui étaient les de Mareuil, qui possédaient aussi au début du XVe siècle Villebois, Angeac, Bourzac et Mareuil (Dordogne).
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références

  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b et c Carte IGN sous Géoportail
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Cognac », sur Infoterre (consulté le )
  7. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  13. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 284,387
  14. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  15. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 629.
  16. Jacques Baudet et Jacques Chauveaud, « Toponymie révolutionnaire en Charente », Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente,‎ 4e trimestre 1986, p. 272-278 (lire en ligne [PDF] sur andre.j.balout.free.fr, consulté en )
  17. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 111
  18. Jean-Marie Ouvrard, « Aigron - Blasons de la Charente », (consulté le )
  19. a et b Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 352
  20. frère du président François Mitterrand
  21. belle-sœur du président François Mitterrand
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. « Évolution et structure de la population à Saint-Simon en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
  27. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
  28. « Église Saint-Sigismond (notice) », notice no IA00041868, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  29. « Église Saint-Sigismond », notice no PA00104511, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  30. « Cimetière », notice no IA00041853, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

Voir aussi

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Articles connexes

Liens externes