Bergicourt

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Bergicourt
Bergicourt
La mairie-école.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Amiens
Intercommunalité CC Somme Sud-Ouest
Maire
Mandat
Sébastien Chabaille
2022-2026
Code postal 80290
Code commune 80083
Démographie
Gentilé Bergicourtois
Population
municipale
140 hab. (2021 en diminution de 10,26 % par rapport à 2015)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 44′ 52″ nord, 2° 01′ 29″ est
Altitude Min. 78 m
Max. 185 m
Superficie 6,85 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Poix-de-Picardie
Législatives 4e circonscription de la Somme
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Bergicourt
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Bergicourt
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Bergicourt
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Bergicourt
Liens
Site web https://bergicourt.fr

Bergicourt est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Représentations cartographiques de la commune
Carte
Mairie
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

Bergicourt est un village picard rural de la vallée des Évoissons situé dans le département de la Somme à moins d'une trentaine de kilomètres au sud-ouest d'Amiens, la capitale de Picardie, et à mi-chemin entre Lille, chef-lieu des Hauts-de-France et Paris. Le bourg le plus proche est Conty

Le village se trouve sur le flanc du plateau picard, au dessus de la vallée des Évoissons.

Le long des Évoissons se trouve une petite carrière de limon très pur ainsi qu'une exploitation d'alluvions de rivière dont sont extraits des galets de silex associés à de la tourbe récente[1]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est drainée par les Évoissons, un sous-affluent du fleuve côtier la Somme (fleuve) par la Selle.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Nord-est du bassin Parisien » et « Côtes de la Manche orientale »[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 773 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Arnoult à 19 km à vol d'oiseau[4], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 797,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Bergicourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (74,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (56,4 %), zones agricoles hétérogènes (24,7 %), forêts (16,8 %), prairies (2,1 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 76, alors qu'il était de 77 en 2013 et de 80 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 80,3 % étaient des résidences principales, 10,5 % des résidences secondaires et 9,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,6 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Bergicourt en 2018 en comparaison avec celle de la Somme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (10,5 %) supérieure à celle du département (8,3 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 83,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (87,3 % en 2013), contre 60,3 % pour la Somme et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement à Bergicourt en 2018.
Typologie Bergicourt[I 1] Somme[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 80,3 83,3 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 10,5 8,3 9,7
Logements vacants (en %) 9,2 8,4 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Bergicuria… ; Bergicort (1164) ; Berchicourt (1206) ; Bergicurt (1206) ; Berchicort (1237) ; Berchicurt (1237) ; Bergicourt (1301)[14].

Histoire[modifier | modifier le code]

Plaques commémoratives des combats du 5 au 7 juin 1940, pendant la Bataille de France.

La rue du 7 juin rappelle les combats de la bataille des Évoissons, lors de la bataille de France, en 1940, où le village a été défendu contre l'avancée des troupes allemandes par le 1er bataillon du 21e régiment d'infanterie et la 2e compagnie du 60e régiment d'infanterie, ainsi que le 2e bataillon de mitrailleurs[15],[16].

Des stèles rappellent le sacrifice de ces soldats.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Poix-de-Picardie[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Poix-de-Picardie modifié et agrandi

Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune était membre de la communauté de communes du Sud-Ouest Amiénois (CCSOA), créée en 2004.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.

Ce projet prévoit la « fusion des communautés de communes du Sud-Ouest Amiénois, du Contynois et de la région d'Oisemont », le nouvel ensemble de 37 412 habitants regroupant 120 communes[18],[19]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[20], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion[21].

La communauté de communes Somme Sud-Ouest (CC2SO), dont est désormais membre la commune, est ainsi créée au [22].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1959 1989 Jacques Culot[23]   Agriculteur.
mars 1989 2001 Michel Godart[24]   Instituteur puis directeur d'école
mars 2001 2006[24] Olivier Crété   Décédé en fonction
mars 2006[24] 2014[25] Michel Godard[26]   Directeur d'école retraité
2014[27] 2020[28] Philippe Dutitre    
2020[29] septembre 2022[30] Benoît Dolique   Démissionnaire
décembre 2022[31] En cours
(au 16 décembre 2022)
Sébastien Chabaille    

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].

En 2021, la commune comptait 140 habitants[Note 3], en diminution de 10,26 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
242238270256257246244253255
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
246252247233210200186194176
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
163179181165165148166159166
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
148125112135135131150153160
2017 2021 - - - - - - -
145140-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Lucien [35].
  • Chapelle Notre-Dame-de-Toutes-Grâces. Associée au nom des Daveluy, elle date de 1876, après la mort de trois des fils de la famille [36].
  • Jardin des Évoissons, 56 rue de l'Abreuvoir ; jardin privé ouvert à la visite sur rendez-vous : jardin à l'anglaise, jardin d'ombre, jardin à la française de part et d'autre de la rivière des Évoissons[37],[38].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Stèle à Antoine Daveluy, sur le clocher de l'église.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Bertrand Le Boudec et Hélène Izembart, Atlas des paysages de la Somme, t. II : Six structures paysagères, Amiens, Direction régionale de l'environnement, , 320 p. (lire en ligne [PDF]), p. 122.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Bergicourt et Saint-Arnoult », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 105-106 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  15. Jean-Marc Renaux, « Les combats des Évoissons (2) », Conty - La gazette, no 70,‎ , p. 4-5 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  16. Jean Daniel Kientz, « René Reger mort en juin 1940 dans la Somme, « courageux et dévoué » : Sa famille l’ignorait : le Colmarien mort en juin 1940 dans la Somme a été décoré de la médaille militaire en 1942. Son neveu, Edgard Schaffhauser, a durement bataillé en 2009-2010 pour qu’une plaque soit apposée sur l’ossuaire du Ladhof, là où les restes du soldat ont été transférés en 1972 », L'Alsace,‎ 6/3/2021 mis à jour le 8/3/2021 (lire en ligne, consulté le ) « En juin 2010, le conseil municipal de Bergicourt inaugurait une stèle en mémoire des soldats morts le 7 juin 1940. Tombé dans la Somme, René Reger, né à Colmar, faisait partie du 21e RI ».
  17. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  19. Benoît Delespierre, « Intercommunalité : La carte qui fait peur aux élus locaux », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  20. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  21. « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes du sud-ouest Amiénois, de la communauté de communes du Contynois et de la communauté de communes de la région d'Oisemont », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031,‎ , p. 93-95 (lire en ligne [PDF]).
  22. « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Somme Sud-Ouest issue de la fusion de la communauté de communes du Continois, de la communauté de communes de la Région de Oisement et de la communauté de communes du Sud Ouest Amiénois à compter du  » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
  23. Patrick Trantan, « La mémoire de Bergicourt s’est éteinte : Jacques Culot est décédé à 93 ans. Maire pendant 30 ans, il était indissociable du village », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Il est à l’origine de l’arrivée de l’eau courante dans chaque foyer avec la création du syndicat d’eau. Il s’est impliqué dans le SIVoM, en particulier à l’entretien des chemins ruraux. La création du plan d’eau et du camping lui reviennent ».
  24. a b et c « L’ancien maire distingué : Michel Godard a reçu la distinction de maire honoraire. L’occasion de retracer 50 ans au service de sa commune », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Instituteur à Bergicourt, puis directeur d’école à Conty, en fin de carrière, Michel Godard a été le secrétaire de la mairie jusqu’en 1989, l’année de son départ à la retraite. Il a été élu maire aussitôt. « J’avais l’expérience de la gestion d’une mairie », explique-t-il.
    Poussant un jeune à reprendre sa fonction en 2001, il garde son mandat de conseiller municipal de 2001 à 2006, et redevient maire à la suite du tragique décès de son successeur. Réélu en 2008, il restera maire de la commune jusqu’en 2014 »
    .
  25. « Le maire ne se représente pas », Le Courrier picard,‎ (www.courrier-picard.fr/region/le-maire-ne-se-represente-pas-ia168b0n111995, consulté le ).
  26. « Liste des maires de la Somme », sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  27. « Liste des maires de la Somme » [PDF], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  28. « Une dizaine de maires ne se représentent pas », Le Réveil, édition Bresle Oise Somme, no 3646,‎ , p. 33.
  29. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  30. « Arrêté préfectoral du 22 septemlbre 2022 portant convocation des électeurs de Bergicourt à une élection municipale partielle complémentaire les 27 novembre et 4 décembre 2022 et fixant les dates de dépôt des déclarations de candidature pour l'élection d'un conseiller municipal », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2022-091,‎ , p. 18-20 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  31. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. M. Roux, Le Canton de Poix, in La Picardie historique et monumentale, tome 1, Amiens & Paris, Yvert & Picard, 1893-1899, 490 p. (lire en ligne), p. 227-228.
  36. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 153 (ASIN B000WR15W8).
  37. « Le Jardin des Evoissons », Parcs et jardins, sur somme-tourisme.com (consulté le ).
  38. Sylvie Payet, « Les Evoissons à Bergicourt, le jardin rêvé de Josette Bliquet : Dans le village de Bergicourt, à l’ouest d’Amiens, au bord de la rivière Les Evoissons, le jardin du même nom offre au regard du visiteur beauté, calme et fraîcheur », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  39. Le Daveluyvien ; par Pierre Daveluy de Pierregot -2009[réf. incomplète].