Les Sorinières

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Les Sorinières
Les Sorinières
Le menhir de la Haute-Lande.
Blason de Les Sorinières
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Nantes
Intercommunalité Nantes Métropole
Maire
Mandat
Christelle Scuotto
2020-2026
Code postal 44840
Code commune 44198
Démographie
Gentilé Sorinièrois
Population
municipale
9 031 hab. (2021 en augmentation de 12,01 % par rapport à 2015)
Densité 694 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 08′ 50″ nord, 1° 31′ 43″ ouest
Altitude Min. 3 m
Max. 44 m
Superficie 13,02 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Nantes
(banlieue)
Aire d'attraction Nantes
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Vertou
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Liens
Site web http://www.ville-sorinieres.fr/

Les Sorinières est une commune de l'Ouest de la France, dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire. Elle fait également partie des 24 communes de Nantes Métropole, et du Pays nantais, un des neuf pays de la Bretagne historique.

Géographie

Situation des Sorinières dans le département de la Loire-Atlantique.

Situation

La commune fait partie de la Bretagne historique et du Vignoble nantais.

Le centre-ville des Sorinières est situé à 6 km au sud de Nantes, dans une zone de nœud routier (embranchement des routes de La Rochelle et de La Roche-sur-Yon, auquel s'ajoutent leurs raccords récents avec l'autoroute A83 qui passe à proximité).

Communes limitrophes des Sorinières
Rezé Vertou
Sorinières
Pont-Saint-Martin Le Bignon

Selon le classement établi par l'Insee, la commune des Sorinières est une commune urbaine, une des 24 communes de banlieue de l'unité urbaine de Nantes ; elle fait donc partie de l'aire urbaine de Nantes (cf. Communes de la Loire-Atlantique).

Voies de communication et transports

Aéroportuaires

L'aéroport de Nantes-Atlantique se situe à 10 minutes du centre des Sorinières.

Réseau routier

L'accès au nord de la commune s'effectue par la sortie 49 (Porte de Rezé) du périphérique nantais, et au sud par l'A83 via le péage du Bignon en venant de Bordeaux.

La commune est également traversée par la D137.

Transports en commun

La ligne C4 du réseau TAN dessert la commune et la relie à Rezé et aux pôles d'échanges Pirmil et Greneraie, tout en offrant un service proche de celui du tramway avec une fréquence élevée, une large amplitude horaire et une accessibilité pour tous notamment.

La commune est également desservie par les lignes 80 et 362 du réseau régional Aléop[1].

Des lignes de car scolaires permettent aux élèves de se rendre dans les écoles sorinièroises, mais également dans les collèges de la ville de Vertou.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

  • Moyenne annuelle de température : 12,1 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,4 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,6 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,6 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 817 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,7 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, mise en service en 1945[8] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[10], à 12,5 °C pour 1981-2010[11], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[12].

Urbanisme

Typologie

Les Sorinières est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[13],[14],[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nantes, une agglomération intra-départementale regroupant 22 communes[16] et 645 324 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Nantes est la huitième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse, Bordeaux et Nice[17],[18].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes, dont elle est une commune du pôle principal[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[19],[20].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (79,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (28,4 %), zones urbanisées (21,8 %), zones agricoles hétérogènes (21,1 %), prairies (16,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (11,4 %), forêts (1 %)[21].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

Histoire

Préhistoire

Le territoire de la commune est habité au moins depuis le Néolithique, comme l'attestent les deux menhirs de la commune, le menhir de Haute-Lande et le menhir des Faux.

Antiquité et Haut Moyen Âge

Le territoire est habité à l'origine par le peuple gaulois des Ambilatres, qui faisait partie de la confédération des peuples pictons.

Au IXe siècle, il fait partie du comté d'Herbauges, constitué pour la défense militaire du Bas-Poitou contre les razzias vikings, avec Rezé comme capitale.

En 851, le traité d'Angers rattache le Pays de Retz aux Marches communes Bretagne-Poitou.

XVIIIe siècle

La commune est le théâtre de la bataille de La Roullière pendant la guerre de Vendée.

XIXe siècle

La commune est créée le par démembrement des communes du Bignon, de Pont-Saint-Martin et de Vertou.

Héraldique, logotype

Héraldique

Blason Blasonnement :
D'argent au chevron de gueules, accompagné en chef de deux trèfles de sinople et en pointe d'un château d'azur pavillonné et girouetté du même, maçonné d'or et flanqué de deux tours du même, et accompagné de trois mouchetures d'hermine de sable ; au chef de sable chargé d'une coquille accostée de deux croix hautes tréflées au pied fiché, le tout d'argent.
Commentaires : Le champ d'argent, le chevron de gueules et les deux trèfles de sinople rappellent les armes du seigneur d'Arquistade, René Darquistade, deux fois maire de Nantes, qui possédait en seigneurie la terre de La Maillardière où fut planté l'un des tout premiers laurier tulipier ou Magnolia grandiflora' introduit en Europe au XVIIIe siècle ; le château d'azur, maçonné d'or, accompagné de trois mouchetures d'hermine de sable, sont tirées des armes de l'ancienne Abbaye de Villeneuve ; le chef de sable, la coquille et les deux croix hautes renvoient aux armes de la famille de Becdelièvre, qui possédait de nombreuses terres et fermes sur le territoire de la commune. Les mouchetures d'hermine évoquent le blasonnement d'hermine plain de la Bretagne, rappelant l'appartenance passée de la ville au duché de Bretagne. Blason conçu par M. Durivault, dessiné par Robert Louis (délibération municipale du ).

Logotype

logo sorinieres
Le logo de la ville des Sorinières

Le logo actuel de la mairie des Sorinières a été créé en 2005.

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1971[23] mars 1977 Joachim Marnier   Ancien exploitant agricole, ancien 1er adjoint
mars 1977 février 1993
(démission)
Louis Bartra DVD Agent général d'assurances
mars 1993 mars 2001 Chantal Couhault RPR Directrice de l'IFSI de Nantes
mars 2001 mars 2018
(démission)[24]
Christian Couturier[Note 6] PS Professeur de physique-chimie
Vice-président de Nantes Métropole
En cours Christelle Scuotto[25] PS[26] Assistante sociale
6e vice-présidente de Nantes Métropole
Les données manquantes sont à compléter.

Politique de développement durable

La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2004[27].

Population et société

Démographie

Évolution démographique

La commune est créée en 1865, à partir de territoires du Bignon, de Pont-Saint-Martin et de Vertou.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1866. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].

En 2021, la commune comptait 9 031 habitants[Note 7], en augmentation de 12,01 % par rapport à 2015 (Loire-Atlantique : +6,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
1 2901 1831 2601 2041 2301 2091 1541 1021 136
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
1 0931 0551 0711 1151 1401 3381 5331 8212 194
1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 -
3 1494 2995 1746 2297 2517 5758 2169 031-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,9 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 4 229 hommes pour 4 465 femmes, soit un taux de 51,36 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,42 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
1,0 
6,0 
75-89 ans
7,8 
15,2 
60-74 ans
15,5 
22,8 
45-59 ans
21,9 
18,5 
30-44 ans
19,0 
17,4 
15-29 ans
16,8 
19,8 
0-14 ans
18,0 
Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2020 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,7 
5,9 
75-89 ans
8,5 
15 
60-74 ans
16,3 
19,5 
45-59 ans
18,9 
20,1 
30-44 ans
19,3 
19,2 
15-29 ans
17,5 
19,8 
0-14 ans
17,8 

Enseignement

La commune possède trois écoles :

  • École maternelle et élémentaire Clos du Moulin
  • École maternelle et élémentaire Sainte-Marie
  • École maternelle et élémentaire La Tilleulière

Sport

Équipements sportifs

  • Aires Multisports : elles sont à disposition des jeunes quartier des Vignes et quartier de la Poste.
  • Complexe Louis Bartra/La Garennerie : un terrain avec une piste, un terrain synthétique et un terrain stabilisé.
  • Dojo et la salle de Karaté : construits respectivement en 1993 et 1981, ils regroupent les arts martiaux (judo, karaté, arts philippins).
  • Patinodrome : il accueille le roller.
  • Salle de danse : elle date des années 1970 et regroupe la danse, le yoga et la sophrologie.
  • Salle du Haut Vigneau : elle accueille le tennis de table.
  • Salle Alice Milliat: construite en , elle accueille le badminton et de la danse.
  • Salle Joachim-Marnier : construite en 1981, elle accueille les activités de basket et le roller.
  • Salle Jules-Léauté : construite en 1993, elle accueille le tennis, la gymnastique et le roller.
  • Stand de tir : il a été créé en 1972.
  • Terrain de pétanque
  • Terrains de tennis de plein air
  • Terrain de Drone : créé en 2016, il accueille l'association de drone.

Salles municipales

  • Salle Auguste-Rodin
  • Espace Camille-Claudel
  • Salle Hippolyte-Derouet
  • Pôle Jeanne d'Arc
  • Salle des Vignes

Économie

Parc Océane Sud

Le Parc Océane Sud est la principale zone économique de la commune avec une centaine d'entreprises et plus de 1 000 emplois. Sa localisation au niveau Sud Loire est un réel atout pour les entrepreneurs. La zone est divisée en quatre parties : le Taillis Nord, le Taillis 3, la Roulière et le Champ Fleuri.

ZAC des Vignes

La ZAC des Vignes a été créée dans le but de fournir un habitat à tous dans un cadre de vie agréable, proche des équipements communaux. Plus de 700 logements sont construits pour accueillir à terme 1 500 nouveaux habitants.

Lieux et monuments

Personnalités liées à la commune

Voir aussi

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Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
  3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Réélu en 2008 et 2014.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

  1. Carte interactive du réseau Aléop
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
  5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
  8. « Station météofrance Nantes-Bouguenais - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Orthodromie entre Les Sorinières et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  11. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  12. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Unité urbaine 2020 de Nantes », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  17. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  18. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  23. « Les Sorinières : M. Joachim Marnier élu maire », Ouest-France,‎
    « Au premier tour et par 14 voix sur 17 votants, M. Joachim Marnier a été élu maire, samedi soir. »
  24. http://www.politiquemania.com/forum/modification-f14/demission-christian-couturier-maire-des-sorinieres-t7049.html
  25. Christelle Scuotto est maire des Sorinières, sur ouest-france.fr [1]
  26. http://ps44.fr/les-elus/
  27. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Les Sorinières, consultée le 30 octobre 2017
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune des Sorinières (44198) », (consulté le ).
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
  34. Joëlle Quaghebeur, La Cornouaille du IXe au XIIe siècle : mémoire, pouvoirs, noblesse, Rennes Quimper, Presses universitaires de Rennes Société archéologique du Finistère, , 517 p. (ISBN 2-86847-743-7), p. 367.
  35. « Menhir des Faux », notice no PA00108831, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. « Menhir dit de Haute-Lande », notice no PA00108832, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.