Hauterive (Allier)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Hauterive
Hauterive (Allier)
L'église Saint-Louis.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Allier
Arrondissement Vichy
Intercommunalité Communauté d'agglomération Vichy Communauté
Maire
Mandat
Didier Corre
2020-2026
Code postal 03270
Code commune 03126
Démographie
Gentilé Hauterivois[1]
Population
municipale
1 186 hab. (2021 en diminution de 0,67 % par rapport à 2015)
Densité 147 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 05′ 21″ nord, 3° 26′ 49″ est
Altitude Min. 252 m
Max. 305 m
Superficie 8,08 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Vichy
(banlieue)
Aire d'attraction Vichy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bellerive-sur-Allier
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Hauterive
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Hauterive
Géolocalisation sur la carte : Allier
Voir sur la carte topographique de l'Allier
Hauterive
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Voir sur la carte administrative d'Auvergne-Rhône-Alpes
Hauterive
Liens
Site web mairie-hauterive.fr

Hauterive est une commune française rurale, située au sud-est du département de l'Allier, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Membre de la communauté d'agglomération Vichy Communauté, de l'unité urbaine et de l'aire d'attraction de Vichy, elle est peuplée de 1 186 habitants en 2021, appelés les Hauterivois et les Hauterivoises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Hauterive se trouve au sud-est du département de l'Allier, sur la rive gauche de l'Allier. Elle est incluse dans l'unité urbaine, l'aire d'attraction, le bassin de vie et la zone d'emploi de Vichy[2], et est membre de la communauté d'agglomération Vichy Communauté dont elle constitue un pôle de proximité[3].

À vol d'oiseau, elle est située à 4,4 km au sud-sud-est de la sous-préfecture Vichy[4] ; à 4,3 km au sud-est de Bellerive-sur-Allier, bureau centralisateur du canton[5] ; à 53,8 km au sud de Moulins, chef-lieu du département[6] ; à 44,7 km au nord-est de Clermont-Ferrand[7] ; et à 113 km à l'ouest-nord-ouest de Lyon, chef-lieu de région[8].

Le territoire de la commune d'Hauterive est limitrophe de quatre autres communes : Abrest, Brugheas et Saint-Yorre dans l'Allier et Saint-Sylvestre-Pragoulin dans le Puy-de-Dôme.

Communes limitrophes d’Hauterive
Abrest
Brugheas Hauterive
Saint-Sylvestre-Pragoulin
(Puy-de-Dôme)
Saint-Yorre

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune s'étend sur 808 hectares ; son altitude varie entre 252 et 305 mètres[9].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La rivière Allier depuis le viaduc d'Abrest
Rivière Allier depuis le viaduc d'Abrest, vers l'amont, en .

La commune est traversée par l'Allier. Un affluent rive gauche, la Merlaude, prenant sa source dans le département voisin et la commune de Randan, long de 11,2 km, passe au sud de la commune, au nord du hameau éponyme[10],[11].

Plus au nord, le ruisseau du Ruel, dit également des Gouttes, long de 4,3 km passe près du hameau du Bois Chotin et sous le contournement de l'agglomération vichyssoise[10],[12].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[13]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l'année[14].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 783 mm, avec 10 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[13]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Vichy-Ville », sur la commune de Vichy à 4 km à vol d'oiseau[4], est de 12,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 799,6 mm[15],[16]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en [17].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Hauterive est une commune rurale[Note 1],[18]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[19],[20].

Elle appartient à l'unité urbaine de Vichy, une agglomération intra-départementale regroupant 13 communes[21] et 64 124 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[22],[23].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vichy, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[24],[25].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Sur les 808 hectares de superficie communale, 97,8 ha sont des espaces habités et 7,7 sont à vocation économique[3].

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Logement[modifier | modifier le code]

En 2013, la commune comptait 587 logements, contre 501 en 2008. Parmi ces logements, 90,8 % étaient des résidences principales, 2,6 % des résidences secondaires et 6,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 89,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 10,7 % des appartements[a 1].

La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 75,1 %, en baisse par rapport à 2006 (81,4 %). La part de logements HLM loués vides était de 9,2 % (contre 6,6 %)[a 2].

Projets d'aménagement[modifier | modifier le code]

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

La rue de la Mairie
La rue de la Mairie en avril 2011.
Contournement depuis le pont de la D 131e
Contournement depuis le pont de la D 131e.

La commune d'Hauterive est traversée par la route départementale 131 et contournée. Au sud, la RD 131e dessert le lieu-dit des Favards (elle devient la D 55 à l'entrée du département du Puy-de-Dôme, en direction des Caires, de la Poivrière — lieux-dits de Saint-Sylvestre-Pragoulin — et de Saint-Priest-Bramefant).

En dehors du contournement sud-ouest et de la RD 131, trois autres routes départementales assurent une desserte locale.

La RD 431 passe à l'ouest de la commune, par le lieu-dit des Sables. Elle croise la RD 221 en provenance de Brugheas et passe au-dessus du contournement. Plus au sud, la RD 275 relie La Merlaude à la commune voisine de Saint-Sylvestre-Pragoulin (RD 93 dans le département voisin ; le tracé a été modifié à la suite de la construction du contournement sud-ouest)[10].

La liaison entre Hauterive et Saint-Yorre nécessite de quitter temporairement le département de l'Allier en empruntant les départementales 434a et 434 sur la commune de Saint-Sylvestre-Pragoulin[10].

Dans la voirie communale, la rue de la Mairie relie la rue de la République à celle des Moussons ; elle dessert la mairie. Elle est à sens unique depuis sa rénovation en 2010[H 1].

Le contournement sud-ouest de Vichy passe par Hauterive et nécessite le franchissement de la voie ferrée par la création d'un pont-route ; les travaux ont démarré fin 2011[26] mais ont été suspendus pour des raisons environnementales. Après la révision des dossiers, un nouvel arrêté préfectoral et approbation du CNPN, les travaux ont repris[27] et cette route départementale, portant le numéro 906, inaugurée le [28], est ouverte depuis le 2 février[29].

Transports ferroviaires[modifier | modifier le code]

La ligne de Vichy à Riom (partie de la ligne Paris - Clermont-Ferrand) emprunte le viaduc d'Abrest, au nord de la commune, et passe à proximité d'une gare PLM, érigée en 1924[30], près du point kilométrique 369.

La gare la plus proche, ouverte au service voyageurs, est située à Vichy.

Transport en commun[modifier | modifier le code]

Hauterive est desservie par la ligne G du service de transports en commun MobiVie à raison de cinq passages par jour du lundi au vendredi (arrêts : Les Sables, Hauterive Plein Soleil et Bioparc). Un service de transport à la demande, MobiVie sur mesure, complète cette offre sur tout le territoire communal : il fonctionne du lundi au samedi et permet de rejoindre la mairie, le centre commercial de la Grange au Grain (zone d'activités de Navarre à Bellerive-sur-Allier), ou l'arrêt Source Intermittente (correspondance avec la ligne C)[31].

Aménagements cyclables[modifier | modifier le code]

En 2020, la communauté d'agglomération Vichy Communauté a réalisé la voie verte Via Allier, voie de 27 km de long reliant Billy à Saint-Yorre, et traversant le territoire communal, ainsi que les boucles des Sources (12 km, vers Saint-Yorre ou Abrest par la passerelle SNCF) et des Isles (12,7 km, vers Vichy et Bellerive-sur-Allier ou Abrest par la passerelle)[32].

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Hauterive est soumise aux risques naturels suivants :

  • inondation, du fait de la proximité de la rivière Allier[33]. La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation arrêté le . Un plan de prévention du risque inondation concernant la rivière Allier et concernant l'aléa « crue à débordement lent de cours d'eau » a été prescrit en 2016 et approuvé en 2018[34] ;
  • rupture de digue : la présence d'une digue de classe C, c'est-à-dire d'une hauteur supérieure ou égale à un mètre et affectant une population comprise entre dix et mille habitants, peut céder à tout moment[33] ;
  • risque sismique : la commune est en zone de sismicité faible (niveau 2)[34].

La commune est également exposée à un retrait-gonflement des sols argileux, avec un aléa moyen[34].

Un risque technologique est présent : la rupture du barrage de Naussac, en Lozère, constitue un risque majeur[33].

Le DICRIM existe depuis 1998[34].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Aire linguistique du Croissant selon l'Atlas sonore des langues régionales (CNRS, 2022). Vichy est la deuxième plus grande ville du Croissant[35].

Les habitants de la commune sont appelés les Hauterivois et les Hauterivoises[1]. Autarive en bourbonnais du Croissant.

Le nom : nommé Autherive sous l'an II (1793), puis en 1801 (Bulletin des lois) Autrive puis Hauterive[36].

Histoire[modifier | modifier le code]

Avant 1789, la commune faisait partie de l'ancienne province d'Auvergne[37].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Hauterive a réalisé la première étape de l'aménagement de bourg en 2010, avec la réfection de la rue et de la place de la Mairie ainsi que le déplacement du monument aux morts[H 1].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

Hauterive faisait partie de l'ancien district de Gannat (1793) puis de l'ancien arrondissement de Gannat (1801) puis, à sa suppression en 1926, de La Palisse (puis Lapalisse), et en 1941 de celui de Vichy ; de l'ancien canton de Brugheas (1793), puis du canton d'Escurolles de 1801[36] à 2015. À la suite du redécoupage des cantons du département, ayant pris effet depuis les élections départementales, la commune est rattachée au canton de Bellerive-sur-Allier[38].

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Les résultats des élections depuis 2000 ont donné (au second tour) :

Aux élections présidentielles de 2002, Jacques Chirac a recueilli 81,40 % des suffrages exprimés[39] ; en 2007, Nicolas Sarkozy 54,56 %[40] ; en 2012, François Hollande 57,10 %[41]. Tous ces trois candidats ont été élus au niveau national. Pour ces trois années, les taux de participation sont élevés, respectivement de 83,83 %[39], 86,70 %[40] et 86,50 %[41].

Aux élections législatives de 2002, de 2007 et de 2012, le député Gérard Charasse (PRG) a recueilli la majorité des voix dans la commune (respectivement 56,93 %[42], 64,97 %[43] et 65,96 %[44] ; il est élu dans la 4e circonscription en 2002 et 2007 et dans la 3e circonscription en 2012). Les taux de participation sont toutefois peu élevés : 61,05 % en 2002[42], 65,27 % en 2007[43] et 60,27 % en 2012[44]. Hauterive était concernée par le redécoupage des circonscriptions législatives en 2010.

Les électeurs de la commune ont voté à 29,78 % pour la liste FN emmenée par Bernard Monot aux dernières élections européennes de 2014[45]. La liste UMP menée par Brice Hortefeux est arrivée deuxième avec 21,91 %. Le taux de participation s'est élevé à 46 %[45], en hausse de sept points environ par rapport aux deux dernières élections européennes (39,10 % en 2009, en tête Jean-Pierre Audy (UMP) avec 28,62 %[46] ; 40,57 % en 2004, en tête Catherine Guy-Quint (PS) avec 30,60 %[47]).

Aux élections régionales de 2004, Pierre-Joël Bonté (PS) a recueilli 58,91 % des suffrages exprimés. 67,71 % des électeurs avaient voté[48]. En 2010, René Souchon a obtenu 65,56 % des voix, mais moins d'un électeur sur deux a voté (49,94 %)[49]. En 2015, Laurent Wauquiez (LR) est arrivé en tête à l'issue du second tour dans le cadre d'une triangulaire, en recueillant 39,15 % des suffrages exprimés. Le taux de participation, en hausse de presque dix points par rapport à 2010, s'est élevé à 59,60 %[50].

Les deux dernières élections cantonales du canton d'Escurolles ont été organisées en 2004 et 2011. En 2004, Jean-Jacques Rozier a été élu avec 53,43 % des voix dans le canton[51] et en 2011 avec 56,01 %[52]. Cette tendance n'est pas suivie par Hauterive en 2004 (46,81 %[53]), ni en 2011 (47,08 %[54]), dont le taux de participation a chuté de 20 points entre ces deux élections (de 67,71 %[53] à 47,31 %[54]).

Aux élections départementales de 2015, le binôme Isabelle Goninet - Jean-Jacques Rozier (DVD) a recueilli 62,70 % des suffrages exprimés ; il est élu dans le nouveau canton de Bellerive-sur-Allier[55]. Le binôme FN Marie-Françoise Cussinet - Erwan Eon Duval est battu. 52,72 % des électeurs ont voté[56] ; taux inférieur à celui du canton (54,60 %)[55].

Le maire sortant, Didier Corre, a été réélu au premier tour des élections municipales de 2014, avec 57,49 % des voix. 74,63 % des électeurs ont voté[57]. Il acquiert douze des quinze sièges au conseil municipal dont trois au conseil communautaire ; le candidat battu Jean-Luc Avignon acquiert les trois sièges restants[57]. Didier Corre est à nouveau élu en 2020[58].

Administration municipale[modifier | modifier le code]

La mairie
La mairie.

Le nombre d'habitants de la commune étant compris entre 500 et 1 499, quinze membres sont élus au conseil municipal. Réuni le pour réélire le maire à la suite des élections municipales, trois adjoints ont été désignés[58].

L'ancien château des Cours, construit en 1849, a été converti en mairie en 1950[59].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
septembre 1806   Claude Sébastien Trochereau de Bouillay   Général de brigade
26 février 1839   Jean Seguin[H 2]    
22 septembre 1843   Pierre Besse Bergier[H 2]    
26 mars 1848   Saint-Ange Menot[H 2]    
8 septembre 1848   Pierre Besse Bergier[H 2]    
6 octobre 1870   Jean-François de Sainsbut des Garennes[H 2]    
8 octobre 1876   Jean Gauliard[H 2]    
12 juillet 1891   Jean Barbier[H 2]    
15 mai 1904   Jacques Roches[H 2]    
30 avril 1905   François Bodon[H 2]    
29 juillet 1913   Jean Frobert[H 2]    
10 décembre 1919   Joseph Trintignac[H 2]    
1er février 1931   Georges Soulier[H 2]    
24 octobre 1944   Joseph Payant[H 2]    
31 octobre 1947   Gilbert Deschamps[H 2]    
20 mars 1977 mars 1983 Georges Pouzat[Note 3]    
20 mars 1983   Jean Bodon[H 2]    
29 décembre 1986 juin 1995 Robert Kuntzmann[H 2]    
18 juin 1995[H 2] En cours
(au )
Didier Corre[60] DVG Agriculteur
Réélu le [58]

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

La commune a adhéré en 1998 au syndicat intercommunal d'alimentation en eau potable de la Vallée du Sichon[61].

L'assainissement collectif est géré par la communauté d'agglomération. Au , la commune possède un réseau de 11,1 km d'eaux usées et de 7,6 km d'eaux pluviales, ainsi qu'un poste de refoulement non télé-surveillé[62].

Le traitement des eaux usées se fait à 95 % sur la station d'épuration de Vichy-Rhue (commune de Creuzier-le-Vieux) et à 5 % sur la commune voisine de Saint-Sylvestre-Pragoulin[62].

Budget municipal[modifier | modifier le code]

En 2014, le budget municipal s'élevait à 753 851  en fonctionnement et 408 226  en investissement[H 3].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[63]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[64].

En 2021, la commune comptait 1 186 habitants[Note 4], en diminution de 0,67 % par rapport à 2015 (Allier : −1,97 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
300276425340321340352368394
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
416426463427395446479444446
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
446425407403501635575631700
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
7747758829581 0771 0551 0791 0821 198
2017 2021 - - - - - - -
1 1691 186-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[65].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est âgée.

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,1 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (29,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 31,7 % la même année, alors qu'il est de 34,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 588 hommes pour 581 femmes, soit un taux de 50,3 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (47,95 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[66]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,2 
90 ou +
0,7 
8,2 
75-89 ans
10,6 
19,5 
60-74 ans
23,1 
22,1 
45-59 ans
22,0 
16,0 
30-44 ans
16,3 
16,4 
15-29 ans
14,6 
16,5 
0-14 ans
12,8 
Pyramide des âges du département de l'Allier en 2020 en pourcentage[67]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,1 
90 ou +
2,8 
9,8 
75-89 ans
13,5 
21 
60-74 ans
21,7 
20,9 
45-59 ans
19,8 
15,8 
30-44 ans
15,1 
15,5 
15-29 ans
12,9 
15,9 
0-14 ans
14,1 

Enseignement[modifier | modifier le code]

Hauterive fait partie de l'académie de Clermont-Ferrand. Elle gère l'école élémentaire publique des Sources[68].

Hors dérogations à la carte scolaire, les collégiens sont scolarisés à Saint-Yorre[69] et les lycéens à Cusset, au lycée de Presles[70] (renommé lycée Albert-Londres).

Économie[modifier | modifier le code]

La zone d'activités du Bioparc[71], gérée par la communauté d'agglomération Vichy Communauté et la chambre de commerce et d'industrie de Montluçon-Gannat Portes d'Auvergne, est située au sud de la commune d'Hauterive. Elle s'étend sur 35 hectares[3]. À vocation biomédicale et spécialisée dans le domaine de la santé, de la beauté et de la forme, la zone accueille depuis 1996 des entreprises comme Setubio, Limotech ou JCE Biotechnology[72].

Un parc photovoltaïque a été installé dans le quartier de Fontsalive, sur le site d'une ancienne carrière de grès. Il peut produire 5,6 GWh d'électricité verte, soit quatre fois la consommation de la commune, et permet d'alimenter l'équivalent de 4 000 foyers. La société Luxel, spécialisée dans le développement et l'exploitation de centrales photovoltaïques basée à Pérols (Hérault), a investi cinq millions d'euros dans la réalisation de ce projet ; fonctionnel depuis juillet 2017, il a été inauguré en avril 2018 en présence du président de Vichy Communauté et du maire d'Hauterive[73],[74].

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2011, le revenu fiscal médian par ménage s'élevait à 27 252 , ce qui plaçait Hauterive au 20 518e rang des communes de plus de 49 ménages en métropole[75].

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2013, la population âgée de quinze à soixante-quatre ans s'élevait à 746 personnes, parmi lesquelles on comptait 76,6 % d'actifs dont 67,8 % ayant un emploi et 8,8 % de chômeurs[a 3].

On comptait 385 emplois dans la zone d'emploi. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone étant de 510, l'indicateur de concentration d'emploi est de 75,5 %, ce qui signifie que la commune offre moins d'un emploi par habitant actif[a 4].

462 des 510 personnes âgées de quinze ans ou plus (soit 90,6 %) sont des salariés[a 5]. Près d'un actif sur huit travaille dans la commune de résidence[a 6].

Entreprises[modifier | modifier le code]

Au , Hauterive comptait 57 entreprises : 12 dans l'industrie, 7 dans la construction, 35 dans le commerce, les transports et les services divers et 3 dans le secteur administratif[a 7].

En outre, elle comptait 68 établissements[a 8].

Commerce[modifier | modifier le code]

La base permanente des équipements de 2015 recense une boulangerie et un magasin de meubles[76].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La commune d'Hauterive compte plusieurs châteaux :

  • château des Husseaux (1856)[77] ;
  • château, 1er et 3e quart du XIXe siècle[78].

Le monument aux morts a été inauguré le [79] ; cependant, il a été déplacé en 2010 pour les commémorations du 14-Juillet[H 4].

Architecture religieuse[modifier | modifier le code]

Architecture thermale[modifier | modifier le code]

Les sources minérales sur la commune d'Hauterive font partie du groupement de sources dites Royales, qui font partie de l'eau minérale Saint-Yorre. Un de ces groupements situé dans la commune comprend quatre sources. La source Royale est actuellement exploitée pour l'embouteillage[61]. La source Roger est exploitée pour un autre usage[61].

L'usine de mise en bouteilles des eaux minérales dite Source et Castel Médicis, datant du 1er quart du XXe siècle, a été détruite[82].

Celles dites des sources du Hamman et des Eaux Vives datent du 4e quart du XIXe siècle et 1er quart du XXe siècle[83]. Le pavillon comprenait trois bâtiments distincts : le chalet, qui a disparu avec la construction de la ligne de chemin de fer, le pavillon de la source du Hammam, détruit par la construction de la déviation de la RD 131, et le pavillon de la source des Eaux Vives, seul vestige existant[H 3].

Autre source :

  • Édicule des eaux (kiosque) dit source Saint-Ange

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Le commandant Gabriel Romon, officier des Transmissions, ancien élève de l'École Polytechnique (X1925), dirige de 1940 à 1944 le principal centre du Groupement des contrôles radioélectriques (GCR), installé au château des Cours à Hauterive, actuellement mairie d'Hauterive. Ce centre officiellement chargé des écoutes radio pour le gouvernement du régime de Vichy, est en fait utilisé sous l'impulsion du directeur du GCR, le colonel Paul Labat, et de Gabriel Romon, pour transmettre clandestinement des informations stratégiques sur les forces d'occupation au BCRA de la France libre et à l'Intelligence Service à Londres. Dans son bureau de directeur du centre d'Hauterive, Gabriel Romon avait affiché ce vers d'Edmond Rostand : « C'est la nuit qu'il est beau de croire en la lumière ». Gabriel Romon est arrêté par la Gestapo à son domicile de Saint-Yorre, commune voisine d'Hauterive, le , déporté et fusillé à Heilbronn en Allemagne le . Vingt quatre autres membres du GCR sont arrêtés et déportés, dont huit seulement sont rapatriés à la Libération ; deux autres qui ont réussi à échapper aux arrestations pour rejoindre le maquis sont tués. Quant à Paul Labat, il est assassiné par les nazis et son corps est jeté au feu au camp de concentration du Struthof le .
    L'une des principales rues de Saint-Yorre a été baptisée rue du Commandant-Romon le , et une plaque commémorative de l'action de résistance du GCR apposée sur le fronton de la mairie d'Hauterive le [84].
  • Sébastien Trochereau de Bouillay, général de la Révolution et du Premier Empire.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • François Romon, Récit à la mémoire de mon père Gabriel Romon, Paris, Centre historique des Archives nationales, .

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Décédé le 28 octobre 2010[H 1].
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

Références Insee[modifier | modifier le code]

Dossier relatif à la commune

  1. LOG T2 – Catégories et types de logements.
  2. LOG T7 – Résidences principales selon le statut d'occupation.
  3. EMP T1 – Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
  4. EMP T5 – Emploi et activité.
  5. ACT T1 – Population de 15 ans ou plus ayant un emploi selon le statut en 2013.
  6. ACT T4 – Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la zone.
  7. DEN T3 – Nombre d'entreprises par secteur d'activité au .
  8. DEN T5 – Nombre d'établissements par secteur d'activité au .

Site de la mairie[modifier | modifier le code]

  1. a b et c Bulletin municipal, (lire en ligne [PDF]).
  2. a b c d e f g h i j k l m n o p et q « Ils ont dirigé la Commune » (consulté le ).
  3. a et b Bulletin municipal, (lire en ligne [PDF]).
  4. Cérémonie du 14 juillet 2010.

Autres références[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Hauterive (03270) », sur Habitants.fr, SARL Patagos (consulté le ).
  2. « Commune d'Hauterive (03126) », sur insee.fr (consulté le ).
  3. a b et c « Schéma de Cohérence Territoriale Vichy Val d'Allier 2030 – Rapport de présentation (document provisoire) » [PDF], Communauté d'agglomération de Vichy Val d'Allier, (consulté le ).
  4. a et b Stephen Georg, Distance entre Hauterive et Vichy, sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. Stephen Georg, Distance entre Hauterive et Bellerive-sur-Allier, sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. Stephen Georg, Distance entre Hauterive et Moulins, sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. Stephen Georg, Distance entre Hauterive et Clermont-Ferrand, sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. Stephen Georg, Distance entre Hauterive et Lyon, sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. Répertoire géographique des communes édité par l'IGN.
  10. a b c et d Carte d'Hauterive sur Géoportail.
  11. Sandre, « Fiche cours d'eau - la Merlaude (K3037500) » (consulté le ).
  12. Sandre, « Fiche cours d'eau (K3045000) » (consulté le ).
  13. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  14. « Zonages climatiques en France métropolitaine », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Vichy-Ville », sur la commune de Vichy - fiche climatologique - période 1991-2020 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Station Météo-France « Vichy-Ville », sur la commune de Vichy - fiche de métadonnées » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  17. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  18. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  20. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Unité urbaine 2020 de Vichy », sur insee.fr (consulté le ).
  22. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  23. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  24. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  26. Jean-Pierre Ducros, « Le chantier du contournement de Vichy démarre à l'automne 2011 », La Montagne,‎ (lire en ligne).
  27. Philippe Cros, « Voir plus clair dans les contournements », La Montagne,‎ , p. 10 (édition de Vichy).
  28. « Quoi de neuf sur les routes en 2016 ? », sur La Montagne, (consulté le ).
  29. « La date d'ouverture du contournement sud-ouest connue », sur La Montagne, (consulté le ).
  30. « Gare », notice no IA00063573, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. Site de MobiVie (consulté le 4 septembre 2018).
  32. « Via Allier et Boucles », sur vichy-communaute.fr, Communauté d'agglomération Vichy Communauté, (consulté le ).
  33. a b et c « Dossier départemental sur les risques majeurs dans l'Allier » [PDF], Préfecture de l'Allier, (consulté le ).
  34. a b c et d « Rapport », sur georisques.gouv.fr, Ministère de la Transition écologique et solidaire (consulté le ).
  35. « Atlas sonore des langues régionales de France - Zone du Croissant », sur atlas.limsi.fr, Paris, CNRS, .
  36. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  37. Didier Robert de Vaugondy (cartographe) et Elisabeth Haussard (graveur), Gouvernemens généraux de la Marche, du Limousin, et de l'Auvergne (carte), Paris, Robert de Vaugondy fils, (lire en ligne).
  38. « Décret no 2014-265 du 27 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de l'Allier », sur Légifrance.
  39. a et b « Résultats de l'élection présidentielle de 2002 », Ministère de l'Intérieur.
  40. a et b « Résultats de l'élection présidentielle de 2007 », Ministère de l'Intérieur.
  41. a et b « Résultats de l'élection présidentielle de 2012 », Ministère de l'Intérieur.
  42. a et b « Résultats des élections législatives de 2002 », Ministère de l'Intérieur.
  43. a et b « Résultats des élections législatives de 2007 », Ministère de l'Intérieur.
  44. a et b « Résultats des élections législatives de 2012 », Ministère de l'Intérieur.
  45. a et b « Résultats des élections européennes de 2014 », Ministère de l'Intérieur.
  46. « Résultats des élections européennes de 2009 », Ministère de l'Intérieur.
  47. « Résultats des élections européennes de 2004 », Ministère de l'Intérieur.
  48. « Résultats des élections régionales de 2004 », Ministère de l'Intérieur.
  49. « Résultats des élections régionales de 2010 », Ministère de l'Intérieur.
  50. « Résultats des élections régionales de 2015 », Ministère de l'Intérieur.
  51. « Résultats des élections cantonales de 2004 - canton d'Escurolles », Ministère de l'Intérieur.
  52. « Résultats des élections cantonales de 2011 - canton d'Escurolles », Ministère de l'Intérieur.
  53. a et b « Résultats des élections cantonales de 2004 », Ministère de l'Intérieur.
  54. a et b « Résultats des élections cantonales de 2011 », Ministère de l'Intérieur.
  55. a et b « Résultats des élections départementales de 2015 - canton de Bellerive-sur-Allier », Ministère de l'Intérieur.
  56. « Résultats des élections départementales de 2015 », Ministère de l'Intérieur.
  57. a et b « Résultats des élections municipales de 2014 », Ministère de l'Intérieur.
  58. a b et c « Cinquième mandat de maire d'Hauterive (Allier) pour Didier Corre », La Montagne, (consulté le ).
  59. « Château des Cours », notice no IA00063565, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  60. « Hauterive »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur maires-allier.fr, Association des maires et présidents de communautés de l'Allier (consulté le ).
  61. a b et c C. Bertin et D. Rouzaire, Amélioration de la connaissance des ressources en eau souterraine des sites thermaux en Auvergne - Site du bassin de Vichy (03), BRGM, , 169 p. (lire en ligne [PDF]).
  62. a et b « Rapport annuel 2014 ASSAINISSEMENT COLLECTIF » [PDF], Communauté d'agglomération de Vichy Val d'Allier (consulté le ).
  63. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  64. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  65. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  66. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Hauterive (03126) », (consulté le ).
  67. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Allier (03) », (consulté le ).
  68. Annuaire des établissements scolaires d'Hauterive (03) sur le site du Ministère de l'Éducation nationale (consulté le 30 juin 2014).
  69. « Sectorisation des collèges du département de l'Allier » [PDF], Direction des services départementaux de l'Éducation nationale de l'Allier, (consulté le ).
  70. « Sectorisation des lycées - 2GT - Allier » [PDF], Direction des services départementaux de l'Éducation nationale de l'Allier, (consulté le ).
  71. Site officiel du Bioparc.
  72. Zone d'activités du Bioparc, site de Vichy Val d'Allier Développement.
  73. « 17.000 panneaux photovoltaïques ont été inaugurés : Un parc tourné vers l'avenir », La Montagne,‎ , p. 6 (éditions de l'Allier).
  74. « 17 000 panneaux photovoltaïques ont été inaugurés », sur vichy-economie.com, Vichy Communauté Développement, (consulté le ).
  75. Revenus fiscaux localisés des ménages [zip], Insee, données 2011.
  76. « Base permanente des équipements : commerce » [zip], Insee, .
  77. « Château des Husseaux », notice no IA00063570, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  78. « Château », notice no IA00063569, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  79. « Monument aux morts », notice no IA00063560, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  80. « Église paroissiale Saint-Pierre, Saint-Louis », notice no IA00063558, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  81. Liste des objets de l'église paroissiale Saint-Pierre, Saint-Louis dans la base Palissy.
  82. « Usine de mise en bouteilles des eaux minérales dite Source et Castel Médicis », notice no IA00063575, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  83. « Usine de mise en bouteilles des eaux minérales dite Sources du Hammam et Source des Eaux Vives », notice no IA00063574, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  84. François Romon, « Récit à la mémoire de mon père Gabriel ROMON (18 juin 1905 - 21 août 1944) », Bulletin de la Société des amis de la Bibliothèque et de l'Histoire de l'École polytechnique,‎ , p. 65 (lire en ligne Accès libre [PDF], consulté le ).