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Famille Van Dievoet

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Famille Van Dievoet[1]
Image illustrative de l’article Famille Van Dievoet
Armes

Blasonnement Parti d'argent et de sable, à la tour ouverte du champ, crénelée de quatre pièces de l'un en l'autre, chargée en cœur d'un écusson parti d’or et de gueules, à la plante d'un pied dextre humain, aussi de l'un en l'autre, la tour étant accompagnée en chef de deux étoiles à six rais, à dextre de gueules, à sénestre d'or et en pointe d'un croissant de l'un en l'autre.
Devise « Pes meus in directo ».
Lignées Lignages de Bruxelles
Branches Vandive (éteinte)
Période XVIIe siècle - XXIe siècle
Pays ou province d’origine Drapeau du Duché de Brabant Duché de Brabant
alt Bruxelles
Allégeance  Pays-Bas espagnols

Pays-Bas autrichiens Pays-Bas autrichiens
alt États belgiques unis
alt Royaume de France
alt Première République
alt Premier Empire
alt Royaume uni des Pays-Bas
Royaume de Belgique

Fiefs tenus Roetaert[a]
Demeures château du Moisnil[b]
den Eijseren Draeck
Charges
Fonctions militaires
Fonctions ecclésiastiques
Récompenses civiles
Récompenses militaires
Statue de Jacques II, Trafalgar Square, Londres, par Pierre van Dievoet pour l'atelier de Grinling Gibbons, 1686[2].

La famille Van Dievoet est une famille belge inscrite aux registres de la bourgeoisie de Bruxelles dès le XVIIe siècle[3] et issue des sept Lignages de Bruxelles[4]. Sa filiation suivie est établie depuis 1650[5]. Elle forma à la fin du XVIIe siècle un rameau parisien connu sous le nom de Van Dievoet dit Vandive[6], éteint en 1802[7].

Origine

Cette famille descend de Gilles van Dievoet (décédé avant 1672)[8], bourgeois de Bruxelles, qui avait épousé :

  • en premières noces à Bruxelles, en l'église Notre-Dame-de-la-Chapelle, le 13 novembre 1650[9], Catherine Slachmeulder[10], enterrée à Bruxelles dans le cimetière du couvent des frères mineurs Récollets[11] le 24 juin 1660, et
  • en secondes noces à Bruxelles en la collégiale de Sainte-Gudule, le 31 juillet 1660[12], damoiselle Gertrude Zeevaert, décédée à Bruxelles le 22 juillet 1705[13], enterrée le 24 suivant dans l'église de la Madeleine à Bruxelles[14].

Généalogie

I. Sieur Gilles van Dievoet[15], décédé avant 1672, bourgeois de la ville de Bruxelles, épousa en premières noces à Bruxelles, en l’église Notre-Dame de la Chapelle, le 13 novembre 1650, (tt. D. Jean Kelegom, Pierre Rossum, et plusieurs autres[c]), Damoiselle Catherine Slachmeulder, fille de Marc Slachmolder[16] et de Catherine Sarter, décédée à Bruxelles (Ste Gudule) le 24 juin 1660, rue de la Madeleine, près l'église de la Madeleine[d], enterrée dans le cimetière du couvent des Fransicains Récollets[17], et en secondes noces à Bruxelles à Sainte-Gudule, le 31 juillet 1660, (tt. Augustin Neetens, Jean Zeevart, frère de la future, François Jacobs, Nicolas van der Borcht, Joachim Zeevart, frère de la future, Marie de Smet, Carole La Croix[e], et Elisabeth Hannart), Damoiselle Gertrude Zeevaert, décédée à Bruxelles le 22 juillet 1705, rue de la Madeleine au « Roi d'Espagne[18] », elle fut enterrée le 24 dito dans l’église de la Madeleine (service à seize prêtres)[19], après s’être remariée le 28 août 1672 en l’église Saint-Géry (tt. Joachim Zeevaert et Pierre van Assche) avec Charles de Lens[20], bourgeois de Bruxelles et « mr cuyper » (maître tonnelier), décédé le 16 avril 1701 avec funérailles à Saint-Géry, enterré dans l’église[21].

Gilles van Dievoet eut de son premier mariage avec Catherine Slachmeulder trois enfants nés à Bruxelles :

1) Anne-Marie van Dievoet, qui épousa à Bruxelles, St-Géry, le 22 avril 1673 (tt. Gerard Stevens, Charles Delens, et d’autres), le Sieur Pierre Godo, né à Bruxelles (St-Géry), le 26 mai 1648, décédé à Bruxelles (St-Géry), le 13 juin 1695, fils de Pierre Godo et de Catherine Stevens, (conjoints mariés à N. D. de la Chapelle le 11 février 1638.), dont : Catherine Godo et Jeanne Godo.
2) Philippe van Dievoet, dit Vandive, né à Bruxelles et baptisé à Sainte-Gudule le 9 janvier 1654 (ss. Philippe Slachmeulder et Catherine Verhasselt)[22], enterré à Paris à Saint-Barthélemy, le 2 février 1738, bourgeois de Paris, marchand orfèvre et joaillier, Conseiller du Roi, Officier de la Garde-Robe du roi, syndic général des rentes de l’Hôtel de Ville de Paris, consul de Paris, grand garde du Corps des Orfèvres de Paris. Il épousa en premières noces Anne Martinot décédée en 1707, fille du fameux horloger Balthazar Martinot (1636-1716), écuyer, valet de chambre-horloger ordinaire de la reine Anne d’Autriche puis horloger ordinaire du roi, et d’Anne Belon. Philippe van Dievoet épousa en secondes noces en 1717, Catherine Lopinot, décédée quai des Orfèvres le 6 décembre 1735, dont il n’eut point d’enfants. La descendance de Philippe van Dievoet et Anne Martinot se continua à Paris sous le nom Vandivout puis Vandive.
3) Jean van Dievoet, né à Bruxelles et baptisé à Sainte-Gudule 19 juin 1660 (ss. Jean Gilio et Lambertine van Nuwenhueven)[23]. Il coûta la vie à sa mère qui mourut le 24 juin suivant.

Gilles van Dievoet eut de son second mariage avec Gertrude Zeevaert, trois enfants nés à Bruxelles :

4) Pierre van Dievoet, né à Bruxelles et baptisé à Sainte-Gudule le 29 juin 1661 (ss. le jurisconsulte Pierre Stockmans, conseiller de Brabant, et Damoiselle Marie de Smet[24]), bourgeois de la ville de Bruxelles, célèbre sculpteur bruxellois, après un séjour en Angleterre, où il fut disciple de Grinling Gibbons, revint à Bruxelles lors de la révolution de 1688. Doyen des Quatre-Couronnés à Bruxelles en 1703, marguillier de Sainte-Gudule, doyen puis octovir de la gilde drapière (1713 à 1723) et conseiller de la ville de Bruxelles (1723 à 1724)[25].
Pierre van Dievoet épousa à 36 ans, en l'église Saint-Jacques-sur-Coudenberg à Bruxelles, le 19 juin 1697 (tt. Pierre Grenus[26]et François Thibaut)[27], Dorothée de Witte, âgée de 48 ans, née le 22 juin 1649 et morte en 1718, veuve avec plusieurs enfants de Jacques van der Borcht, fabricant de fils d’or et d’argent. Elle était fille de Jean-Charles de Witte[28], et de Dorothée van Buyseghem dit Buys, issue des lignages Sweerts et Sleeus. Pierre van Dievoet mourut le 2 mars 1729, à Bruxelles en son domicile, la maison du Marché aux Herbes ("Gersemerkt") appelée « l'Aisguière d'Or » ou « de Gulde Lampet[29] » située à gauche de la maison "Wit Vosken" formant l'angle avec la rue de la Putterie, rue disparue. Il n'eut point d'enfants.
5) Jean-Baptiste van Dievoet, qui suit sous II.
6) Nicolas Charles van Dievoet, bourgeois de la ville de Bruxelles, cité en 1702 comme habitant place de la Vieille Halle aux Blés « Inden Pellicaen[30] » (« au Pélican »), il habita ensuite rue du Chêne « in den Engel[31] » (Maison de l'Ange), négociant en vins, doyen de la corporation des marchands de vin (« Wijntaverniers ambacht »), nation Saint-Jacques, en 1711, fut baptisé à Sainte-Gudule le 7 mai 1669 (ss. Nicolas van der Borcht et Godelieve Zeevaert)[32] et mourut le 6 janvier 1735 avec funérailles[33] le 14 en l’église de la Chapelle, enterré dans l’église, épousa à Ste-Gudule le 25 avril 1700 (tt. Pierre van Dievoet et Henri de Nayere), Anne de Smet, fille de Charles de Smet et de Catherine Aertssens, fille de Sr. Léonard Aertssens, distillateur de brandevin[34], né à Anvers, et de damoiselle Marie Mertens, et petite fille de feu Peeter Aertssens.

II. Jean-Baptiste van Dievoet, bourgeois de la ville de Bruxelles, négociant en vins, admis à la maîtrise 4 juillet 1696, après avoir fait son apprentissage dans le Métier des Vins (Wijntaverniers ambacht) auprès du Sr. Laurent De Hulster[35] , et maître de la corporation des tonneliers[36], doyen de la Corporation des Tonneliers[37] en 1703, maître d'église[38] (marguillier) de Sainte-Gudule en 1706 , baptisé à Sainte-Gudule le 6 mars 1663 et mort dans sa ville natale[39] le 4 avril 1751 au Marché aux Fromages, dans la grande et belle maison appelée « Den Eyseren Draeck » ("Le Dragon de fer") ou « Den Draeck[40] » qu'il y avait fait édifier en 1709. Il habitait auparavant rue de la Madeleine, la maison appelée « Den Coninck van Spanien[41] » "le Roi d'Espagne"). Les funérailles avec service à seize prêtres, eurent lieu en l'église des Récollets, où il fut enterré dans la tombe familiale située devant l'autel de Saint-François[42]. Il avait épousé à Bruxelles à Saint-Jacques-sur-Coudenberg, le 7 juin 1696, Anne van der Borcht[43], baptisée à Sainte-Gudule le 16 avril 1670, morte le 26 septembre 1707 et enterrée dans le caveau situé dans l'église des Récollets, fille de Jacques van der Borcht et de Dorothée de Witte (qui épousera en secondes noces le sculpteur Pierre van Dievoet, frère de Jean-Baptiste). Jean-Baptiste van Dievoet épousa en secondes noces à Sainte-Gudule le 16 novembre 1709, Suzanne van der Bierstraete, veuve de Jean-Baptiste Seghers, apothicaire, fille de Léonard van der Biestraeten et de Josine van Schoonendonck, décédée le 16 décembre 1732 dont il n'eut point d'enfants.
Par son codicille du 4 décembre 1742, Jean-Baptiste van Dievoet ordonna à ses descendant à perpétuité, en en donnant le soin et la direction chaque fois à l'aîné de ses descendants, et ainsi de suite sans interruption, de célébrer à son intention le jour de l'anniversaire de son décès, qui surviendra le 4 avril 1751, une messe avec distribution de pain et d'argent aux pauvres[44].

Jean-Baptiste van Dievoet et Anne van der Borcht eurent neuf enfants, tous nés à Bruxelles rue de la Madeleine, en la maison appelée « Den Coninck van Spanien[45] » :

Tombe dans la Collégiale Saints-Pierre-et-Guidon d'Anderlecht de Pierre Van Dievoet (1697-1740), vice-pléban et secrétaire du chapitre d'Anderlecht, et de son frère le chanoine Pierre-Jacques-Joseph Van Dievoet (1706-1764)[2].
1) R. D[46]. Pierre van Dievoet, né le 3 mars 1697 (ss. Pierre van Dievoet et Dorothée de Witte), inscrit à la Pédagogie du Château de l’Université de Louvain[47] en 1714-1715[48], il suivit les cours de la faculté de droit civil, fut prêtre, vice-pléban à Anderlecht, secrétaire du chapitre d'Anderlecht, décédé à Anderlecht le 26 janvier 1740 et enterré dans l'église d'Anderlecht[49].
2) Gertrude van Dievoet, née le 24 mars 1698 (ss. Jean-Charles van der Borcht et Gertrude Zeevaert) et décédée célibataire le 1er avril 1731 au Marché-au-Fromage. Funérailles le 3 dito aux Récollets [50].
3) Catherine van Dievoet, née le 12 avril 1699 (ss. Pierre van der Borcht et Catherine Baeyens), décédée célibataire et enterrée le 4 octobre 1745 dans la tombe familiale dans l'église des Récollets. Elle habitait rue du Long Chariot.
4) Sœur Dorothée-Philippine van Dievoet, née le 21 novembre 1700 (ss. Philippe de Becker et Dorothée de Witte), religieuse bénédictine à l'abbaye de Cortenberg, décédée le 1er mai 1722.
5) Anne-Marie van Dievoet, née le 23 mai 1702 (ss. Pierre van Dievoet et Anne-Marie de Smet), décédée à Bruxelles, demeurant Marché au Bois, le 7 avril 1792, avec enterrement avec seize prêtres le 10 avril 1792 à Sainte-Gudule[51]et funérailles à Sainte-Gudule avec seize prêtres le 16 avril 1792[52]. Elle épousa à Ste-Gudule le 13 mars 1746 (tt. Philippe van der Borcht et Denys Suys), Jean-Noël Bodesse, notaire à Bruxelles, admis par le Conseil de Brabant le 25 février 1734, procureur postulant par-devant ledit conseil et mayeur de Jauche[53], né à Jauche, baptisé le 25 décembre 1704 en l’église Saint-Martin (ss. Jean Scaltin et Marie Augustine Bodes au nom de Marie Françoise de Hemptines)[54] et décédé à Jauche (Brabant wallon) le 13 mars 1772, enterré dans l’église Saint-Martin[55], fils de Charles Bodes et Marie Catherine de Hemptinne. Ils n'eurent point de progéniture. Anne-Marie van Dievoet et Jean-Noël Bodesse testèrent mutuellement le 4 octobre 1760[56]demeurant alors en leur maison sur le Vieux Marché[57].
6) Marie-Anne-Thérèse van Dievoet, née le 12 juin 1703 (ss. Michel van der Borcht et Marie Anne van der Borcht), décédée à Bruxelles le 17 décembre 1738 aux Récollets le 20 dito (service à seize prêtres), épousa en l'église de Saint-Nicolas le 27 décembre 1727 (tt. Jean-Baptiste van Dievoet et Ignace van den Velde), Jean-François vanden Velde[58], reçu maître orfèvre le 25 avril 1725, doyen de la corporation des orfèvres de 1742 à 1745, Nation Notre-Dame. Jean-François van den Velde et Marie-Anne-Thérèse van Dievoet eurent huit enfants, tous religieux et religieuses, notamment aux Riches-Claires, à l'exception de Pierre-Jacques-Joseph van den Velde, apprenti chez son père le 20 juillet 1742, reçu maître le 21 avril 1762, doyen de la Corporation des Orfèvres en 1776 et 1782-1783 et octovir de la gilde drapière de 1788 à 1790 qui épousa Anne de Cachiopin et en eut plusieurs enfants, notamment François-Joseph van den Velde qui était platineur rue de la Révolution et qui épousa à Bruxelles l'an X Marie de Blaes.
7) Jean-Baptiste van Dievoet, suit sous III.
8) R. D. Pierre-Jacques-Joseph van Dievoet, né à Bruxelles le 12 février 1706 (ss. R.D. Pierre Petit, prêtre et Jeanne Antoni), inscrit à la Pédagogie du Château[59]de l’Université de Louvain en 1725-1726, suivit les cours de la Faculté des Arts, prêtre et chanoine au chapitre Saint-Pierre d'Anderlecht[2], dont il fut trésorier, mort à Anderlecht 29 décembre 1764 et inhumé dans la collégiale Saint-Pierre dans le même caveau que son frère Pierre van Dievoet, secrétaire du chapitre[60].
9) Nicolas van Dievoet, né 19 septembre 1707 (ss. Nicolas van Dievoet et Marguerite Caroline vanderBorcht), enterré le 25 septembre 1708 dans la chapelle de la Madeleine.

III. Jean-Baptiste van Dievoet, fils de Jean-Baptiste et d'Anne van der Borcht, négociant en vins[61], doyen de la corporation des marchands de vin, Nation Saint-Jacques, en 1742 et 1756, et maître (proviseur) des pauvres à la Suprême Charité de la paroisse Saint-Nicolas[62], baptisé à Ste-Gudule le 30 mai 1704 (ss. Jean Prévost et Catherine Bayens), décédé à Bruxelles «in den Draeck» le 9 janvier 1776 et enterré le 13 courant dans l'église des Récollets (Service à seize prêtres). Il épousa à Bruxelles à Saint-Géry, le 27 décembre 1739 (tt. R.D. Jacques van Dievoet et Lambert van der Meulen), Élisabeth van der Meulen[63], baptisée à Saint-Géry le 24 janvier 1720 (ss. Philippe, baron de Villegas, Marguerite Spoelbergh), fille de Lambert van der Meulen et d'Elisabeth Cosijns[64], petite-fille de Francis van der Meulen et de Pétronille de Bleser, arrière-petite-fille de Jean van der Meulen et d'Elisabeth Govaerts, arrière-arrière-petite-fille de Francis van der Meulen et d'Anne de Beckers, ce dernier, fils d'Ingelberts van der Meulen (fils de Vranck van der Molen[65] et de Gudule Comperis) et de Cathelyne Verluytgaerde dit Winnepenninckx[66]. Les van der Meulen étaient négociants en poissons d'eau douce au Visscher Zenne, la plupart étaient doyens de la corporation des poissonniers d'eau douce. Ils possédaient un grand nombre de viviers et d'étangs, notamment dans la forêt de Soignes. Elisabeth van der Meulen femme de Jean-Baptiste van Dievoet, possédait les célèbres étangs des Enfants noyés, c'est elle qui les vendit à l'État[67] en 1744. Elle acquit d'autre part par transmission successorale, le fief du Roetaert à Uccle-Stalle qui, après sa mort, passa à sa descendance[68].Sa nièce Catherine-Josine van der Meulen, épousa le docteur Martin van der Belen, primus de l'Université de Louvain[69]. Élisabeth van der Meulen, épouse de Jean-Baptiste van Dievoet, décéda «in den Draeck» le 16 juin 1769. Les funérailles avec seize prêtres, suivies de l'inhumation en l'église des Récollets, sous la dalle familiale, eurent lieu le lundi 19 à dix heures et demie[70].

IV. Jean-Baptiste van Dievoet, fils de Jean-Baptiste van Dievoet et d'Élisabeth van der Meulen, négociant en vins, reçu maître en la corporation des marchands de vin le 26 mai 1774 et maître en la corporation des tonneliers[71] le 28 février 1777, né à Bruxelles le 24 janvier 1747, baptisé à Saint-Nicolas (ss. Jean-Baptiste van Dievoet et Suzanne van der Meulen) et décédé à Bruxelles le 30 décembre 1821 demeurant rue des Sœurs-Noires[72], section 3, n° 946. Il fut franc-maçon[73], membre de la Loge de «La constance de L'Union», constituée en 1769. Il épousa en premières noces à Bruxelles à Sainte-Catherine le 12 septembre 1774 (tt. Jean-Louis Lambrechts père de la future et Jean-Baptiste van Dievoet, père du futur), Anne-Marie Françoise Lambrechts, fille de Jean-Louis Lambrechts, bourgeois de Bruxelles, négociant en épices et raffineur de sucre[74], et de Marie François, née à Bruxelles le 22 février 1753, baptisée à Sainte-Catherine (ss. Gérard-Joseph Galliau et Anne-Marie-Françoise Lambrechts), décédée à Bruxelles le 23 septembre 1781 «in den Draeck» et enterrée dans l'église de Saint-Nicolas (Service à seize prêtres). Jean-Baptiste van Dievoet épousa en secondes noces à Bruxelles en l'église de Saint-Géry le 9 août 1784 (tt. Jean-François (sic) van den Velden père de la future et Jean-Louis Lambrechts), Marie-Pétronille-Catherine Van den Velden, née à Bruxelles, baptisée le 23 février 1751 à Saint-Géry et décédée à Bruxelles le 2 juin 1836, fille de Jean-Baptiste-Dominique et de Marie-Catherine-Claire Huybrechts.

Tombe familiale dans l'église des Récollets

Cette tombe était située dans l'église des Récollets en face de l'autel de Saint-François[75].

D.O.M.
MONUMENTUM
JACOBI VAN DER BORCHT
ET
DOROTHEAE DE WITTE
SVAE VXORIS
NEC NON
JOANNIS BAPTISTAE
VAN DIEVOET
ET
ANNAE VAN DER BORCHT
CONJUGUM
AC POSTERORUM
R.I.P.

Anoblissements en France

1743: Greffiers au Grand Conseil. 26 avril 1743. Nicolas-Felix Vandive, Greffier de l'Audience. Le Roi a accordé la Noblesse pour toujours à l'ancien de ces deux Greffiers mourant dans sa charge, ou qui l'aura exercée durant vingt ans[76].
Exemple imprimé d'explicit dans un document du Parlement de Paris signé par Nicolas Félix van Dievoet dit Vandive, Écuyer, Conseiller-Secrétaire du Roi, Maison, Couronne de France, et l'un des deux servans près la Cour de Parlement[77].
Marque typographique de Guillaume van Dievoet dit Vandive, imprimeur libraire de Monseigneur le Dauphin, avec sa devise personnelle : « HOC DUCE TUTA SALUS », 1704.

La famille Van Dievoet forma un rameau établi à Paris à la fin du XVIIe siècle. Deux de ses membres bénéficièrent d'anoblissements personnels ou héréditaires, par fonction ou par charge. Ce rameau s'éteignit en 1802.

  • 1743 : noblesse héréditaire pour Nicolas Félix van Dievoet dit Vandive, greffier de l'Audience au Grand Conseil, entré en charge le 26 avril 1743, ce qui lui conféra la noblesse héréditaire dès 1763 après une ancienneté de vingt ans (principe de noblesse en 1743)[80]: "Le Roi a accordé la Noblesse pour toujours à l'ancien de ces deux Greffiers mourant dans sa charge, ou qui l'aura exercée durant vingt ans"[81].

Personnalités

France

Belgique

  • Pierre van Dievoet, (1661-1729), le célèbre sculpteur bruxellois[2], conseiller de la Ville de Bruxelles de 1723 à 1724[25].
Jean-Louis Van Dievoet (1777-1854), époux de Jeanne Wittouck, dans l' Almanach Royal du Royaume des Pays-Bas de 1826.
  • Pierre van Dievoet (1781-1825), artiste-musicien[84].
  • Auguste van Dievoet (Bruxelles, 3 mai 1803 - Bruxelles, 31 octobre 1865), docteur en droit de l'Université d'État de Louvain, historien du droit, jurisconsulte et avocat à la Cour de cassation, magistrat, juge suppléant au tribunal de première instance de Bruxelles, membre du conseil de l’ordre des avocats de 1838 à 1848, membre du Conseil de Discipline des avocats près la Cour de cassation, membre du conseil supérieur de l'École centrale du commerce et de l'industrie[85], de la "Société pour la propagation des bons livres"[86], créateur en 1842 de la bibliothèque du barreau de Bruxelles[87], membre de la Société des douze, époux d'Antoinette Coniart (1819-1885).
  • Eugène van Dievoet (1804-1858), juge au tribunal de Commerce de Bruxelles[88].
Annuaire du Commerce et de l'Industrie, Bruxelles, année 1870: Lambert Straatman CN (Commerçant Notable) et Léon Van Dievoet (expéditeurs par eau), Quai au Bois-à-Brûler, 37.
Annuaire du Commerce et de l'Industrie, Bruxelles, année 1880: Straatman (Lambert). Associé de Léon Van Dievoet, quai au Bois à Brûler, 37.
  • Camille van Dievoet (Bruxelles, 1842- Paris, 1931), agent de la Banque Nationale de Belgique[89], à Péruwelz (1883-1888), Saint-Nicolas (1888-1889), Courtrai (1889-1896) et Charleroi (1896-1910), chevalier de l’ordre de Léopold, Croix Civique de 1re Classe, Médaille Commémorative du règne de Léopold II.
  • Georges van Dievoet (1876-1932), ingénieur, administrateur de sociétés, délégué du Comité National de la province de Namur pendant la guerre de 14-18[92], chevalier de l'ordre de Léopold.
  • Paul van Dievoet (1896-1947), architecte, architecte de la commune de Schaerbeek[96],[97].
  • Pierre van Dievoet (1904-1982), ingénieur A.I.A., commandant (hre.) de réserve, capitaine de la Résistance, adjudant S. R. A., membre de l'Armée secrète (belge), Escadron Brumagne, chef d'État Major adjoint de la Zone III de l'Armée Secrète (Flandre)[98], officier de l’ordre de la Couronne, chevalier de l’ordre de Léopold, Médaille de la Résistance, Étoile de Service au Congo Belge.
  • Jean-Paul van Dievoet (1928-2005), ingénieur électricien mécanicien AIrBr et ingénieur en constructions navales AILv, directeur général[100],[101],[102] de la Belgonucléaire S.A., président de Transnubel, vice-président d'INB (Kalkar), président de la Belgian Nuclear Society (BNS), vice-président du Committee for Nuclear development and the Fuel Cycle (NDC) of OECD-NEA, président et honorary fellow de la société nucléaire européenne (ENS)[103],[104], vice président honoraire de Belgatom, Chairman de l'International Nuclear Societies Group (INSC)[103],[104], officier de l’Ordre de Léopold[105].
  • Ariane van Dievoet (1988-), designer, créatrice de meubles et d'objets de style minimaliste, fondatrice à Brooklyn en 2011 de l'atelier Avandi.

Portraits

Généalogie simplifiée

Cet arbre généalogique est incomplet et sert à situer les liens familiaux existant entre les personnes citées dans cet article et dans les articles connexes.

Héraldique

Armoiries de la famille Van Dievoet

Ces armes parlantes[g] furent reconnues dans l'attestation d'armoiries familiales que le 14 octobre 1698, Jean-Baptiste van Dievoet, époux d'Anne van der Borcht[108], se fit délivrer par Joseph van den Leene, premier roi d'armes des Pays-Bas et du duché de Bourgogne, dit Toison d'Or. Elles furent ensuite reconnues par le conseil d'héraldique et de vexillologie de la Communauté française de Belgique[109].

Blasonnement :

Parti d'argent et de sable, à la tour ouverte du champ, crénelée de quatre pièces de l'un en l'autre, chargée en cœur d'un écusson parti d’or et de gueules, à la plante d'un pied dextre humain[110], aussi de l'un en l'autre, la tour étant accompagnée en chef de deux étoiles à six rais, à dextre de gueules, à sénestre d'or et en pointe d'un croissant de l'un en l'autre[111],[112]; l'écu surmonté d'un heaume d'argent, grillé, colleté et liseré d'or, doublé et attaché de gueules, aux bourrelet et lambrequins de sable et d'argent[113]. Cimier : un dragon issant de sable armé et langué de gueules Devise : pes meus in directo, en lettres de sable sur un listel d'argent

Notes :

Selon l'armorial de la Gilde drapière, le sculpteur Pierre van Dievoet portait une variante de ces mêmes armoiries où l'écusson en cœur est un parti de gueules et d'or à la bordure de l'un en l'autre. Comme il n'eut n'eut pas de descendance aucun Van Dievoet ne les porte aujourd'hui.

Familles alliées

van der Borcht (1696) ; Godo (1673) ; Martinot ; Slachmeulder (1650) ; De Smet (1700) ; Zeevaert (1660) ; de Witte (1697)

André (1709) ; Annemans (1798) ; Beau de la Passutière (1718) ; van der Biestraete (1709) ; Bodesse (1746) ; van der Borcht (1766) ; Bougier ; Clément (1732) ; David (1718) ; de La Haye (1711) ; Lambrechts (1774) ; Lepape (1730) ; Le Prieur (1705) ; Leyniers (1780) ; Lopinot (1717) ; Meskens (1775); van der Meulen (1739) ; Musschebroeck (1776) ; Peyrard (1718) ; Pralard (1717) ; van den Velde (1727) ; van den Velden (1784)

Aerts (1820) ; Anspach (1874) ; Braeckmans (1851) ; Brice (1825) ; Buschbeck-Von Döring ; Chevalier ; Cochet (1802) ; Coniart (1839) ; Cuerens (1804) ; van Dyck (1861) ; van de Gejuchte (1872) ; Hendrickx (1838) ; Jaqué (1826) ; Jonskin ; Leyniers (1803) ; Leyniers (1813) ; Masson (1894) ; van Meeuwen (1822) ; Most (1861) ; De Pauw (1831) ; Pecher (1866) ; Peleman (1838) ; Poelaert (1834) ; Quarez (1896) ; Sancke (1874) ; Straatman (1867) ; Wittouck (1803)

Beauclercq (1941) ; Borèque ; Braem(t) (1954) ; van den Bulcke ( 1931) ; Demets (1905) ; Descampe ; Dessecker (1937) ; Dulait (1949) ; della Faille d'Huysse ; Farkas (1963) ; Froment (1936) ; Gachassin-Lafite d’Orthez (1905) ; François (1923) ; Goossens ; Guinotte (1924) ; Helbig de Balzac (1965) ; Herz (1902) ; van Innis ; Jaumoulle ; Lechat ; Leclercq (1903) ; Lolos ; Mathieu (1920) ; Morand (1939) ; Mund (1935) ; Muron ; Parot (1974) ; de Potter d’Indoye ; van Reysschoot ; Sépulchre ; Serruys (1938) ; Sgaramella ; Termote ; Tinchant ; Vande Weyer (1943)

Liens familiaux

Notes et références

Notes

  1. Ce fief était situé à Neerstalle entre le bois de Kersbeek et l'Ukkelbeek. Sa superficie s'élevait à onze bonniers et demi de terres et prés avec le manoir du Roetaert. Il appartint successivement à Demoiselle Elisabeth van der Meulen (1720-1769), épouse du Sieur Jean-Baptiste van Dievoet (1704-1776), neveu du sculpteur Pierre van Dievoet (1661-1729), le 24 octobre 1754 ; François-Joseph van Dievoet (1754-1795) à la suite du décès de sa mère le 11 décembre 1769 ; Demoiselle Marie Elisabeth van Dievoet (1752-1828), épouse du Sieur Charles Marie Joseph Leyniers (1756-1822) par achat à son frère François Joseph van Dievoet en date du 24 novembre 1784.
  2. Le château du Moisnil est situé dans le village de Maizeret (commune d'Andenne). L'aile toujours existante, en style Louis XV a été construite en 1902 par l'architecte Octave Flanneau (1860-1937), pour Jules van Dievoet, avocat à la Cour de cassation, et son épouse Marguerite Anspach.
  3. Le 13 novembre 1650, mariage église de la Chapelle, de Gilles van Dievoet et Catherine Slachmoelders : « Aegidius Van dievoet ° Catharina Slachmoelders. Coniuncti sunt die 13. nouembris 1650. testes fuerunt D. Joês kelegom Petrus rossum et alij plures »
  4. Peut-être s'agit-il déjà de la maison « den Coninck van Spanien ».
  5. Le 10 août 1658, mariage à Sainte-Gudule de Carole de la Croix et Jean Zevart, frère de Joachim. Le 21 février 1672 en l'église Saint-Géry mariage de Marie Zeevaert et Daniel Danoot : « eodem die 1672 mense februario coram me Carolo Ric(qua)ert pastore S. Gaugerici et testibus Joachimo Zeevaert, Marco De Vos et alijs, contraxere matrimonium Daniel Dannoot et Maria Zeevaert ».
  6. Les conseillers-notaires-secrétaires du Parlement de Paris exerçaient une charge anoblissante au premier degré, et ce depuis leur création ; en vertu d'un ancien usage confirmé par édit de juillet 1644. Ce privilège leur fut retiré en juillet 1669 et ils furent remis à la noblesse graduelle. Mais la noblesse au premier degré leur fut rendue en novembre 1690)
  7. Le symbolisme est considérable dans ces armes, et un certain nombre de facteurs, certains évidents, d'autres étymologiques, les rendent parlantes :1) voet signifie "pied" en néerlandais. 2) dividere signifie diviser en latin: écu parti. 3) die signifie "jour" en latin, l'écu est divisé entre jour et nuit (argent et sable). En haut à gauche se trouve l'étoile du matin (stella diei - Vénus) et en haut à droite, l'étoile du berger ou du soir (Vénus). Le croissant est également divisé entre jour et nuit. 4) un dividiculum désigne en latin un château, un fortin (tour), placé sur une division, une séparation entre deux territoires (voir l'étymologie du nom ci-dessous). 5) la ville de Metz s’appelle Divodurum en latin et porte : « parti d’argent et de sable ».

Références

  1. Confusion : l'État présent de la noblesse belge, de 2005, attribue erronément à la famille du baron Émile van Dievoet la généalogie de la présente famille van Dievoet, dite Vandive à Paris, publiée dans Le Parchemin, nr. 245, septembre-octobre 1986.
  2. a b c d e f g et h « Artistes, de père en fils », sur Site-LeVif-FR, (consulté le )
  3. Les admissions à la bourgeoisie mentionnent deux homonymes, l'un Gielis van Dievoet fut admis dans l'exercice 1617-1618, l'autre Gillis van Dievoot, originaire de Woluwe-Saint-Lambert, fut admis en 1653 (Jan Caluwaerts, Poorters van Brussel//Bourgeois de Bruxelles, tome II, 161-1695, Louvain, 2005, p. 89).
  4. (Sweerts, Sleeus, Serhuyghs, t'Serroelofs, Coudenbergh, Roodenbeke et Steenweeghs). Du lignage Sweerts, du chef de Goossen van Cotthem, du lignage Sleeus, du chef de Jan van Buyseghem dit Buys, du lignage Serhuyghs du chef de Wouter Pipenpoy, du lignage Serhuyghs du chef de Jean Pipenpoy, du lignage Sleeus du chef de Franco uter Crommercammen, du lignage t'Serroelofs du chef de Jan Mennen, du lignage Coudenbergh du chef de Jan van den Hane dit Vilain, du lignage Roodenbeke du chef de Gielis Mennen, du lignage Roodenbeke du chef de Ghysbrecht Pipenpoy, du lignage Steenweeghs du chef de Beatrix Conincx, fille d'Arnold Conincx inscrit au lignage Steenweeghs, et épouse de Henri t'Seraerts, fille d'Arnold échevin de Bruxelles en 1323-1327 : « Filiations lignagères bruxelloises contemporaines, Bruxelles », N/A,‎ , p. 105 (lire en ligne)
  5. Date du premier mariage de Gilles Van Dievoet, reprise par Jean-François Houtart, Anciennes familles de Belgique, Bruxelles, 2008, p. 393.
  6. Alfred Détrez classe cette branche parmi les grandes fortunes de Paris : Alfred Détrez, « Aristocrates et joailliers sous l'ancien régime », dans : La Revue (ancienne Revue des Revues), volume 78, Paris, 1908, p. 471: « aux grandes fortunes des Delahoquette, des Vandive, des Granchez ».
  7. François Gilles Vandive, rentier, rue des Lavandières n°82, décédera le 1er Thermidor an X (20 juillet 1802). A. N. Administration Fiscale, registre 29, 1er et 2e arrondissement. Voir aussi : Archives Nationales, notaire Claude Nicolas BALLET (étude LXV), MC/RE/LXV/10 : Inventaire après décès de François-Gilles Vandive, à la requête de Jean-François-Claude Beau, acte du 29 fructidor an X (16 septembre 1802).
  8. Lire : Alain van Dievoet, « Généalogie de la famille van Dievoet originaire de Bruxelles, dite van Dive à Paris », dans : Le Parchemin, éd. Office généalogique et héraldique de Belgique, Bruxelles, 1986, no 245, p. 273 à 293, ainsi que : « Quand le savoir-faire des orfèvres bruxellois brillait à Versailles », dans : Cahiers bruxellois, Bruxelles, 2004, pp. 19-66. Cet article contient une abondante bibliographie et de nombreuses références et retranscriptions de documents d'archives. Lire en ligne.
  9. Cahiers Bruxellois, op. cit., p. 35 : "Gilles van Dievoet (…) épousa en premières noces à Bruxelles, en l'église Notre-Dame de la Chapelle, le 13 novembre 1650, (…) Catherine Slachmeulder". Voir "Archives de l'État", registres paroissiaux en ligne. Le 13 novembre 1650, mariage, église de la Chapelle, de Gilles Van Dievoet et Catherine Slachmoelders : "Aegidius Van dievoet Catharina Slachmoelders Coniuncti sunt die 13. nouembris 1650. testes fuerunt D. Joês kelegom Petrus rossum et alij plures".
  10. La graphie "Slachmeulder" est celle qui figure dans l'acte de baptême de son fils l'orfèvre Philippe Van Dievoet à Sainte Gudule le 9 janvier 1654 : "9a [januarius 1654] Philippus filius legitimus Ægidij Van Dievoet, et Catharine Slachmeulder. Suscept : Philippus Slachmulder, et Catharina Verhasselt".
  11. Bruxelles, registres paroissiaux de Sainte-Gudule, 24 juin 1660 sépulture de Catherine Slachmuylder épse de Gilles van Dievoet, acte 3246 : "S+ Den 24 Junij (1660) een lyck met 8 priesters op den minneb: kerckhoff, Catharina Slachmuylder van vuyt den Steenwech, bij de Magd: kercke, 30 st 8 -8-14".
  12. Bruxelles, collégiale de Sainte Gudule, 31 juillet 1660, mariage de Gilles Van Dievoet et Gertrude Zeevaert : "Die 31a Julij 1660 in baptisterio huius ecclesiae coram infrascripto contraxerunt inter se matrimonium Ægidius Van Dievoet, et Gertrudis Zeevaert D. Gudilae parochiani, dispensante Illmo ac Rmo D. Archie(pisco)po Mechl(iniensi) in bannorum solemnijs, praestito juramento libertatis requisito, praesentibus tamquam testibus Augustino Neetens, Joanne Zeevart fratre sponsae, Francisco Jacobs, Nicolao Vander Borcht, Joachimo Zeevart fratre sponsae, Maria de Smet, Carola la Croix, et Elisabetha Hannart, quod attestor Servatius Middegaels viceplebanus D(ivae) Gudilae".
  13. Funérailles avec seize prêtre à l’église de la Madeleine à Bruxelles le 22 juillet 1705 de Damoiselle ("Joeffrouwe") Gertrude Zeevaert. Registres paroissiaux de Sainte Gudule, acte 5689 : "(22 julius 1705) 16 Een sinck met 16 pbrs ad S magd. Joe. Gertrudis Zeevaert teghen over de selve kercke pal 6 - 13".
  14. Enterrement et seconde messe avec seize prêtres, église de la Madeleine à Bruxelles, le 24 juillet 1705, de Gertrude Zeevaert. Registres paroissiaux de Sainte-Gudule, acte 5693 : "24 Julius 1705. 16 Een vuytvaert met 16 pbrs ad S Mariam Magd. Voor Joe Gertrudis Zeevaert den 22 desen ges. off. 3-7 # pro past. 1 St cum 2.da missa".
  15. Archives Générales du Royaume,Notariat général du Brabant, notaire Michel Parys, acte du 15 décembre 1731, n° I5, protocole n° 476. « -15 Procure pour rendre une rente cap. I5 Xbre 1731 Ce jourdhuy 15me de décembre 1731 comparurent pardevant moy Michel Parys, comme notaire, et tabellion publicq admis par le Souverain Conseil de Sa Maté, Imp. et Cath. ordonné en Brabant, resident dans la ville de Bruxelles, et en presence des tesmoins embas ci denommés, personellement les Srs. Nicolas, et Jean Baptiste van Dievoet freres, habitans bourgeois et marchands en cette ditte ville, seuls et uniques heritiers du Sr. Pierre van Dievoet aussy leur frere en son vivant marchand &a + tous trois enfans du second lit de feu Sr Gille van Dievoet et de Damoiselle Gertrude Zeevaert lesquels ont fait, et constitué leur procureur general et special ---------------------------------------------auquel ils donnent pouvoir de pour eux et en leurs noms donner acquit et decharge a Monsieur Philippe van Dievoet marchand orfevre joaillier a Paris pareillement leur frere du premier lit de tous les arrerages qu'il peut avoir receu de tout le passé iusques a ce jour, de cinquante six livres de rente qui appartenoient sur l’hostel de ville a Paris audit Sr.Pierre van Dievoet, comme aussy de luy donner pleine, et entiere decharge de la remise de la grosse dudit contract de constitution et de tous autres effets que ledit Sr. PHILIPPE VAN DIEVOET pouroit avoir, appartenant audit Sr. Pierre van Dievoet, et de vendre, ceder quitter, et transporter avec toutte garantie a telle personne moyennant tel prix, charges, clauses, et conditions que ledit procureur advisera bon estre lesditts cinquante livres de rente, et du receu dudit prix en donner touttes quittances, et decharges vallables, remettre la grosse dudit contract de constitution et generalement y faire comme si les comparants y seroient presents pourroient faire et agir, promettant, obligeants et renonceants en forme, ainsy fait et passé dans la ville de Brux. le jour, mois, et an predit, en presence des Pierre Ceustermans, et Michel Hannoset comme tesmoins a ce appelez. Petrus Ceustermans N:van Dievoet 1731 Michel Hannosset JBta:vandievoet quod attestor M:Parys ».
  16. Mariage le 19 juin 1622 à Bruxelles, Saint Géry, de Marc Slachmolder et Catherine Sartier. Marc Slachmolder fut reçu bourgeois de Bruxelles dans l’exercice 1622-1623 (Jan Caluwaerts, Poorters van Brussel, Louvain, 2005, II, p. 276) .
  17. 24 juin 1660 sépulture à Sainte-Gudule de Catherine Slachmeulder épse de Gilles van Dievoet, acte 3246 : « S+ Den 24 Junij (1660) een lyck met 8 priesters op den minneb : kerckhoff, Catharina Slachmuylder van vuyt den Steenwech, bij de Magd: kercke, 3 orst 8 -8-14 ».
  18. Gertrude Zeevaert habitait au « Coninck van Spanien » avec le ménage de son fils Jean-Baptiste et ses petits enfants : De volkstelling van 1702 in Brussel en omgeving, Bruxelles, 2018, p. 96 : « de moeder van dito van Divoot ».
  19. Enterrement à l’église de la Madeleine à Bruxelles le 22 juillet 1705 de Gertrude Zeevaert. Registres paroissiaux de Sainte Gudule, acte 5689 : « (22 julius 1705) 16 Een sinck met 16 pbrs ad S magd. Joe. Gertrudis Zeevaert teghen over de selve kercke pal 6 – 13 ». Funérailles église de la Madeleine à Bruxelles e 24 juillet 1705 de Gertrude Zeevaert. Registres paroissiaux de Sainte-Gudule, acte 5693 : « 24 Julius 1705.16 Een vuytvaert met 16 pbrs ad S Mariam Magd. Voor Joe Gertrudis Zeevaert den 22 desen ges. off. 3-7 # pro past. 1 St cum 2.da missa. ».
  20. Le 28 août 1672, mariage en l’église Saint-Géry de Gertrude Zeevaert (veuve de Gilles van Dievoet) avec Charles De Lens : « Coram me Carolo Ricquaert Pastore Sti Gaug: et testibus Joachimo Zeevaert et Petro Van Assche contraxerunt matrimonium Carolus Delens, et Gertrudis Zeevaert. Hac 28 augusti 1672 ».
  21. Église Saint Géry, décès 16 avril 1701 de Charles de Lens époux de Gertrude Zeevaert : « 16. obyt Carolus de Lens maritus Gertrudis Zeevaert. S.I.(= Sepultus In) Ecclesia nostra ».
  22. Baptême à Sainte Gudule de Philippe van Dievoet le 9 janvier 1654 : « 9a (januarii 1654) Philippus filius legitimus Ægidij Van Dievoet, et Catharine Slachmeulder. Suscept : Philippus Slachmulder, et Catharina Verhasselt ».
  23. Ste Gudule baptême 19 juin 1660 : « Joannes filius legitimus Egidii Van Dievoet et Catharine Slachmaelder Suscep : Joannes Gilio et Lambertina van Nuwenhueven. Baptizatus est sub conditione eo q(uo)d ab obstetrice crederetur baptizatus ». et en même temps « Joanna filia legitima Joannis Vander Elst et Catharine Van Dievoet. Suscept. Georgius Vander Elst, et Joanna Scheltiens ».
  24. Bruxelles, registres des baptêmes de Sainte Gudule du 29 juin 1661 : « 29 Junius 1661. Petrus filius legitimus Ægidii Van Dievoet, et Gertrudis Zevart. Suscept : Amplissimus D. Petrus Stockmans Curiae Brab: Consiliarius, et Dlla Maria de Smet ».
  25. a et b Alexandre Henne et Alphonse Wauters, Histoire de la ville de Bruxelles, Bruxelles : Éditions culture et civilisation, 1975, tome 2, pp. 507-508.
  26. De volkstelling van 1702 in Brussel en omgeving, tome I, Bruxelles, 2018, p. 49 : « 58. Inde Keijsers Leerse. Peeter Grenus, m(eeste)r schoenmaker, sijne huijsvr(ouw)e, eenen soon onder de 14. 6-0 ». Section 1, n° 20, Montagne de la Cour.
  27. 19 juin 1697, mariage à Saint-Jacques-sur-Coudenberg, du sculpteur Pierre van Dievoet et de Dorothée de Witte : « 1697, 19mo Junij contraxerunt matrimonium in facie Ecclesiae Petrus Divoet et Dorothea de Witte coram Petro Grenus et Francisco Thibaut Testibus Dispensavit super proclamationibus Ill. us Rdu : D. D. Archiep : Mechlin : litteris datis 18 ditto ».
  28. Famille de Witte (Source : Edmond Roobaert, Lexicon van de Brusselse edelsmeden, Bruxelles : Safran Publishers, 2019, sub verbo "[461] DE WITTE Israël" et "[462] WIT[TE], Jan Karel de", pp. 284, 285, 286, 287 et Jan Caluwaerts, Poorters van Brussel / Bourgeois de Bruxelles, tome II, 1601-1695, Louvain, 2005, p. 326). :
    I. Jean de Witte, demeura longtemps à Paris avec ses enfants, épousa N.**** (qui veuve se remaria avec Hendrick de Backer, tireur d’or et d’argent, né bourgeois d’Anvers) :
    a ) Jean-Charles de Witte, le Vieux (den Oude), suit sub II.
    b) Israël de Witte, maître tireur d’or et d’argent, maître de la Monnaie à Bruxelles, mort le 28 janvier 1695, il avait poursuivi la manufacture de fils d’or et d’argent fondée par son beau père Hendrick de Backer dont il fut apprenti, il épousa en premières noces Christina de Winter et en secondes noces Helena Snellincx.
    II. Jean-Charles de Witte, le Vieux (den Oude), né à Anvers, marchand (coopman), reçu bourgeois de Bruxelles le 23 février 1649, épousa Dorothée van Buyseghem dit Buys. Dont :
    a) Jean-Charles de Witte (le Jeune), suit sous III.
    b) Dorothée de Witte, épousa en premières noces Jacques vander Borcht et en secondes noces Pierre van Dievoet, sculpteur. Dorothée de Witte eut de son premier mariage avec Jacques van der Borcht :
    aa) Anne van der Borcht (1670-1708), qui épousa le 7 juin 1696, Jean-Baptiste van Dievoet (1663-1751), frère du sculpteur Pierre van Dievoet, qui épousera un an plus tard le 19 juin 1697, Dorothée de Witte, belle-mère de son frère.
    c) Magdalena de Witte, béguine.
    III. Jean-Charles de Witte, le Jeune, orfèvre (zilversmid).
  29. De volkstelling van 1702 in Brussel en omgeving, deel II, Bruxelles, 2018, p. 926, maison n° 109, et p. 1335, section 37 ("Gersemerktwyk") maison n° 172, maison située Marché aux Herbes, à gauche de la maison "Wit Vosken" formant l'angle avec la rue de la Putterie, rue disparue.
  30. Parcelle, 40, 64. De volkstelling van 1702 in Brussel en omgeving, 2018, p. 960 : « 128. Inden Pellicaen. Nicolaes van Dievoet, cum uxore, een kint onder de 14 jaeren. Item een meijsen. Wijntavernier 9.0 ».
  31. Archives Générales du Royaume, Notariat Général du Brabant, Notaire Rasch, protocole n° 3399 (acte 8) 12 janvier 1737. Partage entre les enfants de Nicolas van Dievoet, sortie d’indivision : « Op heden den 12en januarij 1737 compareerden voor mij onderges: openbaer nots. etta. ende in de presentie van de getuygen naer genoemt Sieur Jean Francis Baptiste, Henricus, ende Joe Anna Maria Van Dievoet enige kinderen ende erffgenaemen van wijlen Sieur Nicolaes Van Dievoet in sijn leven coopman van wijnen binnen dese voorsch: stadt Brussele ende van Joe Anna de Smet gehuijsschen hunne ouders waeren ab intestato overleden, de voornoemde joe etc. //Op heden den 12en januarij 1737 compareerden voor mij ondergeschreven openbaeren nots. &a ende in de presentie van de getuygenen naergenoemt Srs Jan Baptista, Henricus, ende joe Anna Maria van Dievoet eenige kinderen ende erfgenaemen van wylen Sr. Nicolaes van Dievoet in syn leven coopman van vwynen binnen dese voorschreve stadt Brussele ende van joe Anna de Smet gehuysschen hunne ouders waeren ab intestato overleden, de voornoemde joe. getrouwt met Sr. Maximilliaen Clement haere man ende momboir die alhier present de selve is authoriserende, welcke voornoemde comparanten hebben verclaert met minnelijckheijden ende rypen raede ende moier voorgaenden advisen by hun te voorens daer over genomen gescheyden ende gedeijlt te hebben soo sij doen mits desen in dry gelijcke paerten ende deelen alle ende iegelijcke goederen, erven ende renten op hun verstorven ende gesuccedeert uijt den hoofde ende bij aflyvicheyde van wijlen hunne gemelde ouders ende dat by forme van onderdeylinge by gemeyne consenten ende estimatie van de respective ptyen. in permisso wisselgelden den schellinck tot ses stuyvers ende d’andere specien naer advenant gerekent in der maniere naer volghende Eerst wordt aen den voor noemden Sr. Jan Baptista van Dievoet toegevoeght ende naergeschreven sekere hoffstadt met het huys daer op staende geleghen binnen de voorschreven stadt inde Eyckstraete benede het//Corenhuys voor desen geheeten den Engel hebbende eenen keldertrap van dry voeten ende een half ter straete weerts ende synen afloop van water ende vuylichydt in de groote beecke onder de Cattestraet comende het selve huys met de seyde nederwaerts aen de goeden genoemt St. Jooris ende met d’andere seyde opwaerts aen de goeden geheeten de Swarte lelie met allle syne andere toebehoorten enboisseries, spiegele ende schilderyen in het houtwerck met ten grooten coperen doets staende gemels achter op het plaetsken comende tegens de Cattestraete»
  32. Baptême Sainte-Gudule, 7 mai 1669 : « Nicolaus Carolus filius legitimus Egidij van dievoet et Gertrudis Zeevaert conjugum suscep. Nicolaus Vander Borcht Godeliva Zeevaert ».
  33. 6. janvier 1735, décès de Nicolas van Dievoet église de la Chapelle avec funérailles le 14. « 6. Nicolaus van Dievoet : funus in templo. Miserere, 6. poosen groot geluijt ende uuijtvaert den 14. dito. 4 poosen groot geluijt. Ontfangen – 123-3 ½ Pastor -6- 10 ½ Dni. 16 - 10 Coraelen – 1 – 4 - Celliten – 1 – 8 – Bidtkeers – 10- 10 - Cleedt – 14 – 0 – 14 – 0 - Grafm: metser – 2 – 8 2 – 8 - Cruijs etc. – 2 – 14 2 - 14 Belle etc. – 0 – 16 0 - 16 10. poosen groot – 20- 0- 20-0- 1a missa Pastor - 2. missen – 1 – 4 2a ganchoet innust : etc. – 0-16 offer etc - 10 – 1 ornamenten – 6 - 0 behangen – 1 – 12 baere – 0 – 10 – 30. missen – 15 – 6 - miserere – 6 – 14 - vremdeheeren 2 – 10 - 123 - 3 ½ »
  34. Jan Caluwaerts, Poorters van Brussel/Bourgeois de Bruxelles, Louvain, 2005, p. 6 : « Aertssens, Leonaert, °Antwerpen, gebrandewijn brouwer, fs Peeter + [Chambre des Comptes, 12714/I f° 98; 25051646 ».
  35. A.G.R., Notariat Général de Brabant, Notaire Michel Parys, protocole n°466, acte du 21 mars 1721, n° 24, attestation de Jean-Baptiste van Dievoet : « ende geattesteert soo hij doet mits desen, seer wel gekent te hebben den voors. Nicolaes met toename Jacqmijns, alhier inde Wandelinghe Nicolaes Jacobs, alle gerende voor redenen van Wetenschap, met den selven gewoont ende den coophandel in wijnen geleert te heben bij wijlen Sr Laureijs De Hulster nu geleden den tijt van 40 jaeren ».
  36. Comme le fait remarquer Roger De Peuter, Brussel in de achttiende eeuw, Bruxelles : VUB Press, 1999, p. 158 : « certains marchands de vin étaient eux-mêmes membres de la gilde des tonneliers pour éviter des problèmes de la part des membres indépendants de cette corporation ». De Peuter cite comme exemple, p. 396 note 13, Jean-Baptiste Van Dievoet reçu le 28 février 1777 à la corporation des marchands de vin et le 26 mais 1774 à la corporation des tonneliers.
  37. Alphonse Wauters, Liste chronologique des doyens des corps de métiers de Bruxelles de 1696 à 1795, Bruxelles, 1888, p. 53.
  38. Voir J.A. Rombaut, Bruxelles illustrée, Bruxelles, 1777 et 1779, tome II, p. 235, liste des maîtres de l'église des St-Michel et Gudule. «Maître d'église», en néerlandais «kerckmeester» c'est-à-dire marguillier. Lire en ligne.
  39. Testament de Jean-Baptiste van Dievoet: N.G.B., notaire Henri Haberman, n° 1164, acte du 22 juin 1746, et deux codicilles, le 4 décembre 1747 (n° 3160, acte 74) et le 11 juin 1748. Inventaire de ses biens: notaire Jacques de Heuck, n° 6918, acte du 21 avril 1751 et acte 88 du 20 juillet 1751.
  40. DEN DRAECK. A.G.R.-N.G.B. notaire François van den Eede, acte du 4 mai 1709.«Heer ende Mr François Heymans advocaat van Souverainen raedt van Brabant cum suis vent terrain bombardé où J.B. van Dievoet va construire la grande et belle demeure nommée "Den Eyseren Draeck" ou "Den Draeck" sur le Marché-aux-Fromages. Cette maison sera la demeure familiale jusqu'à la fin du XVIIIe siècle. La construction de cette maison provoqua un procès avec son voisin Gérard Van Arckel à cause d’une fissure apparue dans son mur. (AVB. Procès 4882. Section Archives historiques. Collection des procès. Procès, 1701-1710. Jan Baptista Van Dievoet contre Gérard Van Arckel. – 1710). Ce fait est relaté dans : Remarques sur le commentaire de Me Louis Le Grand, sur la coutume de Troyes, à l'usage des Pays-Bas Autrichiens et principalement du Duché de Brabant, partie première, Bruxelles, 1777, p. « À quelles reparations est tenus celui, qui en bâtissant dans son propre fond, préjudicie à son voisin. N. Van Divoet faisant rebâtir sa Maison, et ayant fait des fondemens plus profonds que du passé, cela fut cause que le mur de N. Van Arckel, son Voisin, se fendit : Van Arckel le tira en justice, et il fut contraint à réparer la fente au dire des Experts ; mais Van Arckel ne s'étant pas contenté de cela ; le Magistrat de Bruxelles jugea que Van Divoet devoit passer parmi cette réparation, et cette Sentense fut confirmée au Conseil en Janvier 1711. au rapport de M. Farisseau, sous le Greffier Bodry.».
  41. De volkstelling van 1702 in Brussel en omgeving, Familiekunde Vlaanderen, 2018, p. 96, n°114. Cette maison, "Den Coninck van Spanien", démolie lors des travaux de la Jonction Nord-Midi, portait le numéro n° 56. Au XIXe siècle elle était le siège de la manufacture de porcelaines Vermeren-Coché (parcelle 2,101 en 1767).
  42. Cette tombe portait l'inscription suivante: D.O.M. / MONUMENTUM / JACOBI VAN DER BORCHT / ET / DOROTHEAE DE WITTE / SVAE VXORIS / NEC NON/ JOANNIS BAPTISTAE / VAN DIEVOET / ET / ANNAE VAN DER BORCHT / CONJUGUM / AC POSTERORUM / R.I.P. (Bibl. Roy. : ms. G. 1613).
  43. Van der Borcht : de gueules au lion d'argent armé et lampassé d'or, tenant entre ses pattes une tour d'argent crénelée et ouverte de sable. L'écu sommé d'un casque d'argent, grillé et liséré d'or. Lambrequins: de gueules et d'argent. Cimier : la tour de l'écu dans un vol à l'antique de sable. Tenants : à dextre un ange au naturel, à senestre un lion au naturel. Devise: Cœur qui sait se vaincre est fort comme mon château (castra qui se vincit). Voir : Julien Cuypers, « Généalogie de la famille van der Borcht », dans : Brabantica, IV, première partie, 1959, pp. 225-278, et Julien Cuypers et Baron van der Rest « Généalogie de la famille van der Borcht - Deuxième partie », dans L'Intermédiaire des Généalogistes, n° 228, 6/1983, pp. 425-442. On trouvera ci-après des données complètant celles mentionnées dans la deuxième partie : Anne van der Borcht, épouse de Jean-Baptiste van Dievoet, qui y figure sub IV, 2, p. 429, était sœur notamment de Petrus van der Borcht (1676-1739), religieux (ibidem sub IV, 6, p. 430) qui fut poeta laureatus, ainsi que de Jean-Charles van der Borcht (1668-1735), conseiller et maître général des Monnaies (ibidem sous V, p. 431), qui mourut d'un coup de canne d'un inconnu en revenant du salut aux Capucins. Un petit-fils de ce dernier, le chanoine Jean-Charles d'Abremes (1724-1809) (ibidem sous V, 8, A, p. 432) fut un historien érudit, confesseur et premier conseiller du cardinal Jean-Henri de Frankenberg et passa la plus grande partie de sa vie au milieu des archives de la paroisse N.D. de la Chapelle. Outre sa généalogie de la famille van der Borcht, il a rédigé un grand nombre de manuscrits, notamment les Annales ecclesiae parochialis B.M. V. de Capella (voir les études qui lui ont été consacrées par de Raadt et Clerbaux dans : Annales de la Société Royale d'Archéologie de Bruxelles, VII, p. 229 et VIII, p. 485). Un arrière petit-fils du susdit Jean-Charles van der Borcht, le comte (1836) Ferdinand de Meeûs (1799-1861), gouverneur de la Société Générale, etc. (ibidem, p. 434, note 38, 3), était docteur en droit et publia en latin, en 1819, sa Dissertatio inauguralis juridica de fideicommissariis hereditatibus et ad senatusconsultum trabellianum.
  44. Archives Générales du Royaume, Notariat Général du Brabant, Notaire Guillaume Henri Haberman, protocole n° 3160, acte du 4 décembre 1742, n° 74. Codicille de Jean-Baptiste van Dievoet pour égaliser ses enfants : « Item laet ende maeckt den codicillateur eene somme van drije hondert guldens wisselgeldt, om corts naer sijne doodt, door sijn oudtste kindt alsdan in’t leven zynde aen geleydt te worden op goede ende suffisante panden in cas hij codicillateur dit in sijn leven noch niet en soude hebben gedaen om uijt den interest dier te vinden de beeestingen van een inergeteijde van drije missen van requiem a rate van twelft stuyvers iedere met den miserere ende deprofundis ende de meerreste tot uijtrijckinge van broodt ende geldt aen arme menschen die inde selve missen tot laeffenisse van syne ziele ende die van sijne ouders ende afgettrockenen descendenten sullen comen te bidden, willende ende begerende dat dit jaergeteyde alle jaeren ten eeuwigen daegen sal moeten geschieden op sijnen sterffdaeghe ende in cas van beletsel daegers daer naer, laetende daer van de volle directie aen sijne voors. Oudste kindt, en in cas van aflijvigheijt, soo s al daer van de sorge ende directie moeten hebben sijn ander aldan oudste kindt ende soo voorts amtijdt d’oudtste van syne descendentie ende familie, recommenderende aen alle sijne kinderen, kintskinderen ende voordere descendenten van dit inergeteyde wel t’observeren ende achtervolgen dese sijne pieuse intentie ende selfs, ist mogelijck, in de diensten te assisteren ende bidden ».
  45. Cette maison « le Roi d'Espagne » (Den Coninck van Spagnien), cadastrée aux "Wijkboeken", section 2 n° 101, était située rue de la Madeleine du côté gauche en montant, elle était la huitième maison après la chapelle de la Madeleine, et était située à droite de la maison « Princesse van Condé » formant l'angle avec la rue des Armuriers ou de la Casquette. Au XIXe siècle elle portait le numéro 56 et était une succursale de la firme de porcelaines et cristaux Vermeren-Coché. Cette vénérable demeure fut détruite au milieu du XXe siècle lors des travaux de la jonction nord-midi.
  46. R. D. initiales pour "Reverendus Dominus"
  47. Schillings, Matricule Université de Louvain, vol. VII, p. 323 : (Castrenses) Petrus van Dievoet, Bruxellensis, e facultate juris civilis (1714-1715).
  48. La Matricule de l'Université de Louvain, mentionne uniquement la première année d'inscription et non la suite des études.
  49. Tombe située actuellement dans la collégiale Saint-Pierre à Anderlecht dans le bas-côté sud, à quelques pas de la crypte: D.O.M. / MONUMENTUM / R.D. PETRI VAN DIEVOET/VICE PLEBANI / CAPITULI SECRETARII / OBIIT 26.JAN.1740 / ET FRATRIS EJUS / R.D. PETRI JACOBI / JOSEPHI VAN DIEVOET / PESBYTERI / INSIGNIS HUJUS / ECCLESIAE CANONICI / OBIIT 29 Xbris 1764 / R.I.P. (AGR, Arch. Eccl., Anderlecht 2033 et 37). Cette tombe est mentionnée dans : J. de Borchgrave d'Altena, Notes pour servir à l'inventaire des œuvres d'art du Brabant, Bruxelles, 1947, p. 9 (Anderlecht).
  50. . Elle avait testé le 23 février 1730 par devant le notaire Michel Parijs. (Archives Générales du Royaume, Notariat Général du Brabant, Notaire Michel Parijs, protocole n° 475, acte du 23 février 1730 , n° 12).
  51. R.P. 175, p. 104 v° de Saint-Michel et Gudule du 10 avril 1792 : « 10. S. Nicol 16 sep(ulta) cum 16. ad S. Gud: Anna Maria Van Dievoet weduwe van Joannes Natalis Bodesse overlede den 7de savonts ten 8 1/2 uren. woonende op de hout merckt pro nuadte palla aent Capittel - 3.6 1/2 idem pro fabrica 3, 6 1/2 pro terra 6. 0 voor den lijckwaghen ».
  52. Régistre Paroissial 175, p. 105 v° du 16 avril 1792 : « 16 S:Gud.16. Exeq(uiae) ad S: Gud: cum 16. Dominis van Anna Maria Van Dievoet weduwe van Joannes Natalis Bodesse waer van de sinckinghe oock ad S: Gud: is geschiedt met 16. heeren den 10. dito. Pro oblatis 0..16 ».
  53. Notariat Général de Brabant, protocole 5734, acte du 26 mai 1771.
  54. Jauche, église Saint-Martin, baptême le 25 décembre 1704 : « December 1704. 25 Baptizatus est Joannes Natalis filius legitimus Caroli Bodes et Mariae Chatarinae de Hemptines conjugum susceptores Joannes Scaltin et Maria Augustina Bodes nomine Mariae Franciscae de Hemptines ».
  55. Jauche, église Saint-Martin, acte de décès du 13 mars 1772 : « 1772. 13a Martii obiit joannes natalis bodesse obiit exeuntium sacramentis munitus. Sepultus in templo » et aussi de sa soeur : « 1772. 23a Aprilis obiit maria josepha bodesse exeuntium sacramentis munita sepulta est in ecclesia ».
  56. Notariat Général de Brabant, notaire Den Abt, protocole n° 9189, acte 16.
  57. Notariat Général de Brabant, notaire Den Abt, protocole n° 9189, acte 16 du 4 octobre 1760 : « ils revoquent par le present codicille et qu’ils annullent et mettent au néant le legs de deux mille florins ou de la moitié de la maison qu’ils occupent actuellement sur le Vieux marché en cette ville, qu’ils ÿ ont fait a la Delle Marie Josephe Bodesse sœur cadette du premier comparant et testateur ».
  58. Armes des orfèvres bruxellois vanden Velde : d'or à l'arbre de sinople sur un tertre du même (B.R., G 123 et G 758, f° 88 v°). Voir sur les Van den Velde, l’article de Cl. Juvyns, « La Communauté des Riches-Claires de Bruxelles de 1585 à 1796 », dans, Cahiers Bruxellois, tome X, n° 39-40, Bruxelles, 1965.
  59. Schillings, Matricule Université de Louvain, vol. VII, note II, p. 441, (Castrenses) Petrus Jacobus Josephus van Dievoet, Bruxellensis, e facultate artium (1726).
  60. Il testa par devant le notaire De Heuck, protocole n° 6929, 23 décembre 1762, acte 112).
  61. Roger De Peuter, Brussel in de achttiende eeuw, Bruxelles : VUB Press, 1999, p. 159 le mentionne pour l'année 1771 au onzième rang dans la liste des plus importants négociants en vin, avec entre 200 et 300 pièces de vin par an(De belangrijkste Brusselse wijnhandelaren in volgorde van het aangevoerde aantal stukken).
  62. N.G.B., notaire de Heuck, n° 6929, acte du 24 septembre 1762 et passim.
  63. Van der Meulen : parti : au I d'or à l'aigle bicéphale de gueules ; au II, écartelé, au 1 et 4 de gueules au sautoir d'hermine accompagné en pointe d'une molette d'or (qui est van de Voorde), au 2 et 3 de sable au lion d'argent armé, lampassé et couronné à l'antique d'or (qui est Brabant-Gaesbeek) (B.R., ms G 123 et G 1625). Le ms. G 1625 a la variante suivante, blasonnée par Koller, Armorial bruxellois : parti: au 1 d'or à l'aigle bicéphale de sable; au II écartelé: au 1 et 4 de gueules au sautoir d'hermine, au 2 et 3 de sable au lion d'or (armes de Lambert van de Meulen, époux d'Elisabeth Cosyns), ce dernier blasonnement repris par : Damien Breuls de Tiecken, Armorial bruxellois, Bruxelles, 2009, p. 83 et pl. 26.
  64. Elle était fille de Jean Cosyns, décédé en 1723, et d'Antoinette Spoelbergh, décédée en 1726, cette dernière fille de N. Spoelbergh et de N. de Blieck (Alphonse de Vlaminck, Filiations de familles de la Flandre). Elle fut inhumée avec son mari dans leur tombe familiale en l'église de Saint-Géry, située près de l'autel du Saint-Nom de Jésus (B.R., ms. G 1625, G 854 et G 1349) et portant l'inscription suivante: D.O.M. / MONUMENTUM FAMILIAE LAMBERTI VANDER MEU=/ = LEN HUJUS ECCLESIAE AEDITUI ET ELI = / = SABETH COSYNS 2dae UXORIS CONJUGUM AC POSTERORUM / OBIIT ILLA I 8bris 1739 ILLE VERO 18 8bris 1736 / R.I.P.
  65. Dès les XVe et XVIe siècles les van der Meulen (dont le nom s'écrivait alors van der Molen) étaient pisciculteurs et exploitaient et possédaient de nombreux étangs : Chloé Deligne, Bruxelles et sa rivière. Genèse d'un territoire urbain (12e - 18e siècle), Turnhout : Brepols, 2003, p. 158 : « En 1475-1476, Ingel van der Molen, pisciculteur, achète 300 petites carpes, 950 voedingen (anteniaux) et 3600 gruwen et participe ainsi au quart de la recette des ventes de poisson par l'abbaye <de la Cambre> » et p. 173 : « un grand nombre de viviers des affluents de la Dyle en forêt de Soignes sont également détenus par les van der Molen et les Parijs depuis la fin du 16e siècle. À cette époque, c'est encore un certain Adolphe van der Molen qui obtient l'adjudication des pêcheries du canal de Willebroeck et s'efforce d'y maintenir son monopole contre les riverains ». Concernant les van der Molen/van der Meulen, voir aussi ibidem, pp. 158, 159, 173, 176, 159, 160, 182, 193, 205.
  66. Voir Généalogie der famille van der Meulen en Leyniers par Daniel Leyniers, A.V.BR., n° 2296, f° 230; Catalogue Pergameni, p. 25. Concernant Jean-Baptiste van Dievoet et Lambert-Benoît van der Meulen, on connaît un acte du 24 décembre 1757, notaire Bodesse (A.G.R., N.G.B., n° 5409), par lequel Jean-Baptiste van Dievoet et Lambert Benoît van der Meulen « onst constitué ... pour leur procureur spécial et général la personne de Monsieur l'avocat Dosser patrocinant au conseil provincial de Luxembourg pour poursuivre l'effet des condemnations volontaires qu'ils ont respectivement obtenus au Conseil Souverain de cette ville le 14 du présent mois de Xbre 1757 à la charge du Seigneur Baron de Borst marquis de Pontdoye et de la dame son épouse. »
  67. Sander Pierron, Histoire illustrée de la forêt de Soignes, vol. I, p. 62. Élisabeth vander Meulen, fille de Lambert et épouse de Jean-Baptiste van Dievoet, proposa quand elle en eut hérité de vendre à l'État pour 1000 florins les étangs suivants qui lui appartenaient : 1) l'Enneplas, 2) le Vuylbeke, 3 et 4) les deux étangs d'Erkendael, 5) le petit Kinderen Verdroncken, 6) le grand Kinderen Verdroncken, c’est à dire l'étang inférieur et l'étang supérieur des Enfants noyés (Les six étangs constituant deux bonniers).
  68. «Court historique du hameau de Stalle sous Uccle», dans le Folklore Brabançon, mars 1979, p. 89-90, par Henry de Pinchart. Le fief du Roetaert situé à Neerstalle entre le bois de Kersbeek et l'Ukkelbeek, consistait en onze et demi bonniers de terres et prés avec la censé dit du Roetaert. Possesseurs : Lambert van der Meulen, époux d'Elisabeth Cosyns, par achat des héritiers de François Opdenbosch, le 22 novembre 1718. - Lambert-Benoît-François van der Meulen, fils de Lambert susdit, suite au trépas de son père. - Demoiselle Elisabeth van der Meulen, épouse du Sieur Jean-Baptiste van Dievoet, le 24 octobre 1754. - François-Joseph van Dievoet par trépas de sa mère, le 11 décembre 1769. - Demoiselle Marie-Elisabeth van Dievoet, épouse du Sieur Charles-Marie-Joseph Leyniers, le 24 novembre 1784 par achat de son frère François-Joseph van Dievoet.
  69. Jacques van der Belen, « Généalogie de la famille van der Belen originaire de Bruxelles », Recueil XII de l'O.G.H.B., Bruxelles, 1963, p. 25.
  70. Copie de la lettre de faire-part de son décès (collection de billets de faire-part de décès de feu M. Maxime Tercelin - 1940): Jan-Baptist van Dievoet adverteert de Doodt van syne Huysvrouwe Elisabeth van der Meulen overleden den 16. juny 1769. Wiens Begraeffenisse ende Vytvaert sal geschieden Maendagh den 19. dito ten thien uren- en half in den Kercke der Eerweerdige Paters Minderbroeders Recollecten R.I.P.
  71. Roger De Peuter, Brussel in de achttiende eeuw, Bruxelles : VUB Press, 1999, p. 398 note 13.
  72. En 1802, il était toujours domicilié dans l'antique demeure familiale au Marché aux Fromages, section 8, n° 1276, avec son épouse Marie Pétronille Vandenvelde : Antoine Massin, Mairie de Bruxelles. Qui est qui en 1802, Bruxelles, 2018, tome 2, p. 1048. En 1812, ils sont domiciliés, Section 8, rue Neuve 853 : Antoine Massin, Bruxelles. Qui est qui en 1812, Bruxelles, 1997, tome II, p. 948.
  73. Dr. Adolphe Cordier, Histoire de l'Ordre Maçonnique en Belgique, Mons, 1854, p. 380.
  74. Jean-Louis Lambrechts et son épouse Marie-Josèphe François testèrent par-devant le notaire Jacques Stevens, le 9 avril 1760 (Archives Générales du Royaume, N.G.B., acte n° 17078). Concernant Jean-Louis Lambrechts, négociant et raffineur de sucre, lire : Roger De Peuter, Brussel in de achttiende eeuw, Bruxelles, 1999, pp. 418 et 419, ainsi que Almanach de Bruxelles de 1808, "Raffineurs de sucre", Lambrechts et Zanna, aux ci-devant Chartreux.
  75. Bibliothèque Royale, Bruxelles, cabinet des manuscrits : ms. G. 1613.
  76. L'État de la France, tome IV, Paris, 1749, p. 383.
  77. Source: Traité entre le roi : et le Prince-Évêque, l'église et l'état de Liége, concernant les limites, le commerce mutuel, et la liberté des communications de leurs états respectifs. Conclu à Versailles le 24 mai 1772.
  78. Alain van Dievoet, « Quand le savoir-faire des orfèvres bruxellois brillait à Versailles », dans : Cahiers bruxellois, tome XXXVII, 1999-2003, Bruxelles, 2004, p. 41 Lire en ligne: « Archives générales du Royaume, Notariat général de Brabant, notaire Jean Pilloy, protocole no 1242, acte du 20 août 1714 (no 132) : "Ce jourdhuy vingtième d'août 1714 par devant moy Jean Pilloy notaire royal resident a Bruxelles, et les témoins sousnommez, fut present Sr. Philippe Vandive Conseiller du Roy sindic general des Rentes de l'hôtel de ville de Paris demeurant ordinairement en ladite ville de Paris estant de present en cette ville de Bruxelles ».
  79. Michèle Bimbenet-Privat, Les orfèvres et l'orfèvrerie de Paris au XVIIe siècle, Paris, 2002, tome I, p. 121 : "Le département de la Garde-Robe compte aussi parmi ses officiers un orfèvre recruté pour le service du dauphin : Philippe Vandives ou Vandivout émarge à ce titre de 1680 à la mort de Monseigneur. C'est un Bruxellois, doté de lettres de naturalité en mars 1685, qui doit son intégration au groupe des orfèvres royaux à la protection de son beau-père, l'horloger Martinot, lui-même logé aux galeries du Louvre".
  80. L'Almanach Royal de 1789, le mentionne toujours comme "Greffier au Grand Conseil" avec entrée en charge en 1743,c'est-à-dire avec déjà 46 ans d'ancienneté (Almanach royal de 1789, Grand Conseil).
  81. L'État de la France, tome IV, Paris, chez Ganeau, rue Saint Severin, près l'Église, aux Armes de Dombes et à Saint-Louis, avec privilège du roi, 1749, p. 383: "Greffiers au Grand Conseil. 26 avril 1743. Nicolas-Felix Vandive, Greffier de l'Audience. 23 juillet 1720. Jean-Joseph Nau, Greffier de la Chambre. Nota. Le Roi a accordé la Noblesse pour toujours à l'ancien de ces deux Greffiers mourant dans sa charge, ou qui l'aura exercée durant vingt ans."
  82. Guillaume Denière, La juridiction consulaire de Paris, 1563-1792 : sa création, ses luttes, son administration intérieure, ses usages et ses mœurs, Paris : H. Plon, 1872, p. 448 : « 1721. Quatrième consul. Sire Philippe Vandive, marchand du corps de l'orfèvrerie-joaillerie ».
  83. Les Affiches de Paris, Paris, 23 juin 1749, no 48 : « Billets d'enterrements. 19 juin 1749. De Sire Baltazar-Philippes Vandive, ancien consul, décédé rue des Lavendieres, à S. Germain l'Auxerrois ».
  84. Pierre Van Dievoet, artiste musicien, né à Bruxelles le 29 septembre 1781, mort célibataire vers 1825, fils de Pierre-Jacques-Joseph Van Dievoet, négociant en lin et fabricant de cotonnettes, doyen de la Corporation des marchands de toile en gros en 1788 et franc-maçon membre de la Loge de "La constance de L'Union", demeurant Langeridderstraet, né le 17 mai 1748 et décédé en son domicile à Saint-Josse-ten-Noode le 21 novembre 1828 (acte de décès n°56 du 23 novembre) et d’Anne-Marie Meskens. Pierre Van Dievoet est cité notamment comme interprète de Mozart: Henri Vanhulst, Belgique, professeur à l'Université libre de Belgique, "La diffusion de la musique de Mozart à Bruxelles avant 1816", dans Mozart: les chemins de l'Europe : actes publiés par Brigitte Massin, p. 166: "Liste chronologique des œuvres de Mozart exécutées à Bruxelles lors de concerts (avant 1816) : 2 janvier 1804. Finale de la Flûte enchantée (Société des Amateurs de Musique), musique de Mozart; par Mlle Roelens, MM. Moris, Vandievoet (N. B. il s'agit de Pierre Van Dievoet), Dehoux et Drault.". Pierre Van Dievoet, "musicien, âgé de 30 ans, domicilié Section 8 -rue de la Madeleine 399- né à Bruxelles" est cité lors du recensement de 1812 (Antoine Massin, Bruxelles. Qui est qui en 1812, Bruxelles, 1997, tome II, p. 948. Voir aussi: Le Guide musical: revue internationale de la musique, volume 21: "Permets-moi, romance de Lamparelli, arrangée pour le violon avec variation et acc. d'un violon, alto et basse. À Anvers, au magasin de musique et d'instruments, chez Fridzeri. Gravé par P. Vandievoet…".
  85. Almanach Royal et du Commerce de Belgique pour l’an M DCCC XXX VIII, présenté à Sa Majesté, Bruxelles, Imprimerie Balleroy, 1838 : « ECOLE CENTRALE DE COMMERCE ET D'INDUSTRIE, Rue Royale Neuve, 53. Conseil supérieur, MM.Le baron de Stassart, président du sénat et gouverneur du Brabant. Engler, sénateur. Desmaisières, représentant. Le comte Ferd. Meeus, représentant, directeur de la société générale pour favoriser l'industrie et de la société de commerce. Coghen, représentant et directeur de la société Nationale. Zoude, représentant. Rouppe, Bourgmestre de Bruxelles. Wyns, membre du conseil provincial du Brabant. Dindal, membre du conseil provincial du Brabant. Van Dievoet, avocat à Bruxelles ».
  86. Almanach Royal et du Commerce de Belgique pour l’an M DCCC XXX VIII, présenté à Sa Majesté, Bruxelles, Imprimerie Balleroy, 1838, p. 452 : "Société pour la propagation des bons livres. Place du Grand Sablon. Commission administrative. MM. De Stassart, Coghen, O. Wyns. Rouppe. Desmaisières. Dindal. Comte Meeus, F. Jadot. Vandievoet. Engler, J. Indépendamment de la commission, un comité de dames recueille des dons et souscriptions. La bibliothèque de la société, place du Grand Sablon, No 11, est ouverte les lundis et jeudis de 9 heures a midi, et de 2 à 4".
  87. Anne Tistaert, « Le murmure des livres. Als boeken vertellen...Historiek van de bibliotheek van de balie van Brussel », dans : Histoire du barreau de Bruxelles 1811-2011, dir. Bart Coppein et Jérôme de Brouwer, Bruxelles : Bruylant, 2012, p. 200 : « Stilaan sluimerde binnen de Brusselse balie de idee om een eigen bibliotheek op te richten. Een kleine groep advocaten, onder leiding van meester Van Dievoet, nam in 1842 het initiatief. Van Dievoet, penningmeester van de Orde, stelde tijdens de zitting van 17 maart 1842 voor een bibliotheek op te richten in de raadzaal van de Orde ».
  88. Jean-Baptiste Vanderstraeten-Levieux, Membres de la juridiction consulaire de Bruxelles, Bruxelles, 1873.
  89. La Banque Nationale de Belgique. Notices biographiques, 1850-1960, Bruxelles, s.d., p. 296 : « Van Dievoet, Camille-Auguste-Eugène (1842-1930). Agent à Péruwelz, 1883-1888 ; à Saint-Nicolas, 1888-1889 ; à Courtrai, 1889-1896 ; à Charleroi, 1896-1910. Il entra à la banque en 1865. Après sa mise à la retraite, il quitta le pays pour s’installer à Paris. Chev. O. Léop – Cr. Civ. Ie cl.- Méd. Comm. Léop. II ».
  90. Édouard Van Dievoet, lors de ses études à l'Université de Gand, s'était lié d'amitié avec l'architecte Henry Van de Velde et lui avait demandé en 1895 d'illustrer l'almanach du cercle des étudiants libéraux de l'université de Gand (Robert L. Delevoy, Henry van de Velde, 1863-1957, Palais des beaux-arts, Bruxelles, 1963 : « En 1895, le secrétaire-fondateur d'un Comité local de l'extension universitaire, Édouard Van Dievoet, fit illustrer l'Almanach des étudiants libéraux de Gand par van de Velde. Le côté révolutionnaire de cette ornementation fit scandale »). Par la suite, en 1900, jeune docteur en droit, âgé alors de vingt-quatre ans, il demanda à Henry Van de Velde de lui créer divers meubles de bureau, qui sont maintenant exposés à la Bibliothèque royale de Belgique, dans le cabinet d'écrivain Max Elskamp. Claudine Lemaire, "Le mobilier du cabinet Henry van de Velde", dans: Henry van de Velde dans les collections de la Bibliothèque royale Albert Ier, Bruxelles, 1993, p. 87, 89, 96. Illustrations : XIV, XV. Voir p. 87: « Les meubles composant le cabinet, une chaise, un fauteuil de bureau, une table à écrire, un sofa furent commandés en 1900 à Henry van de Velde par Georges (sic pro: Édouard) Van Dievoet, à l'époque (sic) directeur du siège parisien de la Société (belge) des wagons-lits fondée en 1876 par Henri (sic pour : Georges) Nagelmackers (Lire en ligne). »
  91. Who's Who in France. Recueil de notices biographiques. 1955-1956, Paris, 1955, p. 1607.
  92. Commission for Relief in Belgium, Hoover, Herbert, 1874-1964, Executive Personnel; Balance Sheet and Accounts, New York, 192, p. 18. Lire en ligne
  93. (en) édité par: F. Koller, T.W. de Maeyer, Dr Stephen S. Taylor, WHO"S WHO IN BELGIUM including the Belgian Congo (1957-1958) : A Biographical Dictionary containing about 5.000 biographies of prominent people in and of Belgium and Belgian Congo, Intercontinental Book & Publishing Co., Ltd. (1957-1958). Editeur belge: G.H.B. Universal Editions Brussels (1959), , 922 p., p. 635
  94. Après un début comme chroniqueur au périodique économique L'expansion belge, revue mensuelle illustrée, où il se fit connaître par ses « Monographies industrielles », il entre le 15 octobre 1909 à la Compagnie Internationale des Wagons-Lits, à Paris, inspecteur, inspecteur principal puis inspecteur général, sous-chef du service commercial jusqu'au 1er janvier 1933. Directeur représentant la Direction Générale au siège social à Bruxelles, il prend sa retraite après 48 ans de carrière le 1er juin 1957. Le "Musée et Archives de la littérature", conserve sa correspondance avec le poète Robert Mélot du Dy. (Lettres à Robert Mélot du Dy).
  95. U.F.A.C.: Union des Fraternelles de l'Armée de Campagne (UFAC) 1914-1918 Médaille de l'U.F.A.C..
  96. Éric Hennaut, « Van Dievoet, Henri », dans : Dictionnaire de l'architecture en Belgique de 1830 à nos jours, dir. Anne Van Loo, Anvers: Fonds Mercator, 2003, pp. 561-562 : « son travail ne doit pas être confondu avec celui de son cousin Eugène Van Dievoet (1862-1937), capitaine du génie, de son fils Paul Van Dievoet (1896-1947), architecte de la commune de Schaerbbek, ou de son neveu Léon Van Dievoet (1907-193) ».
  97. a et b F. By, « Famille van Dievoet : Artistes, de père en fils », dans Le Vif/L'Express numéro spécial Bruxelles : la saga des grandes familles, 26° année n°47 (Le Vif) et n°2993 (L'Express), 21-27 novembre 2008, p. 121.
  98. Pierre Jacquet, Brabant Wallon 1940-1944. Occupation et Résistance, préface de Jean Vanwelkenhuyzen, Paris - Louvain-la-Neuve : Éditions Duculot, 1989, p. 236, note 32 : « Van Dievoet Pierre, né à Bruxelles le 1er janvier 1904. Ingénieur, entré dans la Résistance en mars 1942, il est membre de l' A.S. Escadron Brumagne et Zone III au sein de laquelle il exerce les fonctions de chef d'E.M. adjoint », et p. 239 : « Peu avant la mort de J. Brumagne le 20 juillet, son adjoint P. Van Dievoet avait été envoyé en mission dans la zone III, c'est-à-dire en Flandre. Il avait été remplacé par J[ean] del Marmol, éloigné du G.Q.G. sur ordre de Londres mais qui ne prendra le commandement effectif de l'unité qu'à partir du 4 septembre. Entretemps, J[ean] Terlinden et L[ouis] Van Vaerenbergh la dirigent ».
  99. Paul Piron, Dictionnaire des artistes plasticiens de Belgique des XIXe et XXe siècles, Ohain-Lasne, 2003, tome II, p. 619 : sub verbo "VAN DIEVOET, René (Ixelles, 1908-1978)" : « Sculpteur. Fils de Gabriel, frère de Léon Van Dievoet. Formation à l'Académie de Bruxelles chez E. Rombaux et à l'Académie de Saint-Gilles chez L. Grandmoulin. Auteur de sculptures en marbre et de petits objets en bois de style art-déco ».
  100. (en) R.M. Whiteside, Major Energy Companies of Europe 1989/90, Londres, Graham & Trotman, (lire en ligne), p. 16
  101. (en) R. M. Whiteside, J. Forsyth, A. Wilson, Major Chemical and Petrochemical Companies of Europe 1989/90, Londres, Graham & Trotman, (lire en ligne), p. 15
  102. (en) R.M. Whiteside, A. Wilson, S. Blackburn, S. E. Hörnig, C. P. Wilson, Medium Companies of Europe 1990/91: Volume 1 Medium Companies of the Continental European Economic Community, Londres, Graham & Trotman, (lire en ligne), p. 12
  103. a et b « INSC Information (1) », sur insc.ans.org (consulté le )
  104. a et b Histoire de l'INSC. (Lire en ligne)
  105. (en) Dictionary of international biography, t. 1, Cambridge, , 787 p. (lire en ligne), p. 721
  106. Juris utriusque licenciatus, "licencié en droit civil et canonique" dans l'ancienne université de Louvain. Schilling, Matricule.
  107. Catherine-Jeanne Cuerens, née à Bruxelles le 20 avril 1781, décédée à Kerkrade (Limbourg néerlandais) le 23 avril 1823, fille du jurisconsulte Pierre Cuerens, avocat au Conseil souverain de Brabant, avocat aviseur des échevins de Vilvorde en 1792, et de Dame Jeanne Marie d'Elderen, née à Liège, d'une famille illustrée par Jean-Louis d'Elderen, prince-évêque de Liège de 1688 à 1694. Pierre Cuerens a donné son nom à la rue Cuerens à Bruxelles.
  108. Cette famille van der Borcht porte : « de gueules au lion d'argent, armé et lampassé d'or, tenant entre ses pattes une tour d'argent, crénelée et ouverte de sable » (V. Rolland, Supplément à l'Armorial Général de J.B. Rietstap, fascicule III, p. 17 ; Georges Dansaert, Nouvel armorial belge, Bruxelles, 1949, p. 153.
  109. « Le Moniteur belge. », sur www.ejustice.just.fgov.be (consulté le )
  110. Quoique rare, la plante de pied humain se rencontre en héraldique dès le Moyen Âge. Ainsi il apparaît dans le sceau daté de 1426 de Frans Voet (ARA, Acquets de la chambre des comptes, Lille, boîte n° 124/A). Pieter Donche, Genealogie Voet te Brugge. De Brugse genealoog Marius Voet (1613-1685) en zijn familie, deuxième partie, dans : « Vlaamse Stam », n° 371, année 52, n° 4, octobre-novembre-décembre, 2016, photo du sceau p. 373 Lire en ligne, et première partie p. 133 et 136 Lire en ligne, représentations de plantes de pieds héraldiques, pp. 133 et 136. Ce meuble est repris dans le Dictionnaire des figures héraldiques du comte Théodore de Renesse : Jan van Helmont, Dictionnaire de Renesse. Lexique héraldique illustré, Louvain : Éditions Jan van Helmont, 1994, p. 274 : « Pied humain. On le figure aussi la plante visible (avec illustration d'une plante de pied humain dextre) ».
  111. Georges Dansaert, Nouvel armorial belge, Bruxelles, 1949, p. 200.
  112. Ces armes sont celles qui furent reconnues dans l'attestation d'armoiries familiales que le 14 octobre 1698, Jean-Baptiste van Dievoet, époux d'Anne van der Borcht, se fit délivrer par Joseph van den Leene (1654-1742) premier Roi d'armes des Pays-Bas et du duché de Bourgogne, dit Toison d'Or, et dont voici la copie : «Messire Joseph van den Leene Seigr : de Lodelinsart et de Castillon Conseillier de sa Majesté Cath: Le Roy Ntre Sire (que Dieu conserve) et son premier Roy d'arme es pays de pardeca costre de Namur et Tresorier de l'Eglise Collégiale et paroissiale de notre Dame a Walcort en la ditte province a atteste que les armes cÿ dessus depeintes et figures en ces meteaulx et couleurs (qui sont un escus d'argent partÿ de sable au chateau de lun en lautre charge en cœur d'un escusson d'or partÿ de guelles a la plante d'un pié dextre humain aussi de l'un en l'autre et accompagne en cheff de deux Etoiles a six rais l'un de guelles et l'autre d'or et en pointe dun croissant partÿ de l'escus) sont celles de famille de VANDIEVOET en temoin de ce jai signè cette et muni du cachet de mes armes. Fait ez Chambris Héraldique Palais en la ville de Fort bruxelles ce 14e jour du mois d'octobre 1698. dos D.J. Vandenleene. reg: i
    Nous bourgmaistres Echevins et Conseil de la Ville de bruxelles certifions et attestons par cette a tous ceux quil appartiendera que le Sr.Joseph Vandenleene aÿant signé l'acte dessus ecrite est premier roÿ d'armes de sa Majesté ez paÿs de pardeca en temoin de quoi nous avons fait sceller du cachet de cette ville et signer par unde nos greffiers ce 14 de janvier 1699. Grimberghs ». Au verso de ce document il est écrit : «Wapen van Jan Bapa Vandievoet onderteeckent Van den Leenen» ainsi que: «Die wapen van de Vandievoeten». La revue Le Parchemin, "Héraldique vivante", Bruxelles, mars-avril 1999, n° 320, donne une description héraldique et un dessin erronés en transformant la "plante d'un pied dextre humain ()" en une "empreinte de pied", de même la tour n'est pas comme y écrit "soutenue d'un croissant" (ce qui signifie que les pointes du croissant lui sont tangentes) mais est "accompagnée en pointe d'un croissant".
  113. voir: http://oghb.be/heraldique-en-belgique
  114. Bibliothèque Royale, Fonds Goethals, manuscrit G123, provenant de la bibliothèque de Luc de Roovere de Roosemersch.

Voir aussi

Bibliographie

  • Alain van Dievoet, « Un disciple belge de Grinling Gibbons, le sculpteur Pierre van Dievoet (1661-1729) et son œuvre à Londres et Bruxelles », dans Le Folklore brabançon, mars 1980, n° 225, p.65 à 91.
  • Alain van Dievoet, « Généalogie de la famille van Dievoet originaire de Bruxelles, dite van Dive à Paris », dans Le Parchemin, éd. Office généalogique et héraldique de Belgique, Bruxelles, 1986, n° 245, p. 273 à 293.
  • Alain van Dievoet, « Quand le savoir-faire des orfèvres bruxellois brillait à Versailles », dans Cahiers bruxellois, Bruxelles, 2004, pp. 19 à 66. (Lire en ligne)
  • Madame Dolez, « Les Anspach d'Est en Ouest », dans Le Parchemin, éd. Office généalogique et héraldique de Belgique, Bruxelles, n° 240, 1985, pp. 380–381, note 9. (Pour la descendance d'Auguste Van Dievoet)
  • F. By, « Famille van Dievoet : Artistes, de père en fils », dans Le Vif/L'Express numéro spécial Bruxelles : la saga des grandes familles, 26° année n°47 (Le Vif) et n°2993 (L'Express), 21-27 novembre 2008, p. 121. (Lire en ligne)
  • Jean-François Houtart, Anciennes familles de Belgique, Bruxelles, 2008, p. 393.
  • Walériane Dubois, « Ces dynasties qui ont bâti Bruxelles : Les Van Dievoet - Créateurs polyvalents », dans Le Vif Weekend, n°8, 5 novembre 2020, p. 65. (Lire en ligne)

Articles connexes

Liens externes

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