Dol-de-Bretagne
Dol-de-Bretagne | |||||
La Grand'Rue (en 2005). | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bretagne | ||||
Département | Ille-et-Vilaine | ||||
Arrondissement | Saint-Malo | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Dol-de-Bretagne et de la Baie du Mont Saint-Michel | ||||
Maire Mandat |
Denis Rapinel 2014-2020 |
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Code postal | 35120 | ||||
Code commune | 35095 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Dolois | ||||
Population municipale |
5 557 hab. (2014) | ||||
Densité | 358 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
5 376 hab. (2011[1]) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 32′ 59″ nord, 1° 45′ 03″ ouest | ||||
Altitude | Min. 1 m Max. 58 m |
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Superficie | 15,53 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Dol-de-Bretagne (chef-lieu) | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
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Liens | |||||
Site web | www.dol-de-bretagne.fr | ||||
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Dol-de-Bretagne est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine, en région Bretagne.
Ses habitants, qui étaient 5 557 habitants au recensement de 2014[Note 1], sont appelés les Dolois.
Géographie
Dol-de-Bretagne est situé à mi-distance entre Saint-Malo et Le Mont-Saint-Michel au sud de Cherrueix et du Vivier-sur-Mer, communes en bord de mer. Rennes se trouve au sud à 55 km.
Dol-de-Bretagne est située sur le bord de la falaise, haute d'une vingtaine de mètres, que le flot venait encore battre au Xe siècle avant l'accumulation des dépôts marins qui permirent la construction de la digue du littoral, aujourd'hui tronçon de la route touristique Pontorson-Saint-Malo.
Hydrographie
Hameaux, écarts, lieux-dits
- Faubourg de l'Abbaye-sous-Dol. La paroisse de L'Abbaye a été érigée en commune en 1790 avant d'être absorbée par la commune de Dol aux environs de l'an II.
- Carfantain (ou Carfantin) est une ancienne paroisse rattachée à Dol pendant la Révolution française.
Voies de communication et transports
Dol-de-Bretagne est desservie par la route nationale 176. La ville possède une gare rénovée desservie par un TER et par le TGV pour Saint-Malo (15 min), Rennes (30 min) et Paris (3 heures).
Histoire
Préhistoire et Antiquité
La région de Dol-de-Bretagne a été habitée depuis bien longtemps comme en témoigne le menhir de Champ-Dolent (mesurant 9,30 m, c'est un des plus hauts de Bretagne) qui date du Néolithique et se trouve à la sortie de ville en direction de Combourg.
Moyen Âge
Probablement fondée à l'époque celtique, Dol-de-Bretagne devient au VIe siècle l'un des premiers évêchés de Bretagne. Saint Samson de Dol, premier évêque de Dol, est l'un des sept saints fondateurs de Bretagne (mort à Dol vers 565). Il a fondé l’abbaye de Dol et il est le patron du diocèse dont celle-ci devint le chef-lieu à l’époque carolingienne. La ville de Dol-de-Bretagne est une étape du pèlerinage médiéval des sept saints de Bretagne continentale appelé Tro Breizh (tour de Bretagne). Le roi des Bretons, Nominoë, y est sacré en 848.
Pillée par les Vikings au IXe siècle, il semble que la ville de Dol soit un temps occupée par des bandes vikings. Cependant, ils sont délogés dans les années 930 lorsque Alain Barbetorte, un chef breton, débarque à Dol, bat, extermine ou chasse les Vikings avant d'être élu duc des Bretons en 937. La menace des Scandinaves continue néanmoins à peser sur la ville tandis que des Vikings de l'actuelle Normandie, les Normands, menacent également la ville et la prennent en 944. En 996, c'est un roi viking qui s'en empare, Olaf Lagman, un Norvégien qui règne sur les Hébrides et sur une partie de l'Irlande : Dol est une nouvelle fois pillée, saccagée et incendiée. En 1014 à la demande du jarl des Normands Richard l'Irascible, duc de Normandie, Olaf Haraldsson dit « le Gros », jeune roi de Norvège, c'est-à-dire venant directement de Scandinavie, débarque pour combattre d'autres bandes vikings retranchées dans Dol, nommé « Hollar » par les Scandinaves.
La saga de ce roi viking raconte ses exploits dans l'épisode de Dol :
« La troisième année, le roi Ethelred mourut et ses fils Edmund et Edward prirent le pouvoir. Alors le roi Olaf tira au sud par la mer, combattit dans le Hringsfjord [nom norrois de la baie du mont Saint-Michel] et prit à Hollar [Dol] un fjord que les Vikings occupaient. Il brûla le fjord. Ainsi dit Sigvat le scalde [le barde]. Dans le beau Hringsfjord le nombre de dix fut atteint par les batailles, l'armée s'y rendit à la voile comme le héros l'ordonna. La haute citadelle de Hol, où se tenaient les Vikings, il la força ; ils ne souhaitèrent pas recommencer un pareil combat à l'arme de jet. »
En 1064, les Normands du duc Guillaume le Bâtard assiègent la ville. En 1076, le même duc Guillaume de Normandie, désormais nommé « le Conquérant » après sa conquête de l'Angleterre, lance une nouvelle campagne militaire en Bretagne et investit Dol, dont le siège est levé par l’ost royal conduit par Philippe Ier[2].
En 1167, Yseult de Dol héritière du vaste domaine des seigneurs de Dol et Combourg épouse le Normand Hasculf de Subligny, arrière-arrière-petit-fils de Hugues d'Avranches (célèbre vicomte d'Avranches devenu comte de Chester après la conquête de 1066). Hasculf fait ainsi tomber la ville de Dol entre les mains de l'une des plus anciennes familles de l'Avranchin. Ces seigneurs normands seront très actifs notamment dans la mise en valeur du marais de Dol et, surtout, ils seront les premiers artisans d'une poldérisation précoce de la baie du mont Saint-Michel à l'ouest du Couesnon, dès la fin du XIIe siècle[3].
La cathédrale de Dol reconstruite au début du XIIIe siècle est un bel exemple d'architecture anglo-normande et un témoignage relativement rare de l'architecture du XIIIe siècle en Bretagne. Avec son chevet plat, notamment, la cathédrale de Dol présente un plan qui se rapproche de plusieurs édifices anglais contemporains[4][réf. incomplète].
Au Moyen Âge, en l'absence d’égouts, des rues étaient destinées à l'évacuation des déchets et eaux usées à l'air libre, les natais. Leurs flux se mêlaient à ceux des ruisseaux et rivières aussi appelés « merderons »[5].
À la fin de la guerre de Cent Ans, la bourgade est très appauvrie : en 1437, un tiers de la population se retrouve sans logis, à la suite d'un incendie provoqué par les Anglais[6].
Temps modernes
L'abbaye Notre-Dame du Tronchet possédait des biens dans la paroisse Notre-Dame de Dol[7]. Dol participe à la révolte du papier timbré survenue en 1675.
La paroisse de Dol faisait partie du doyenné de Dol relevant de l'évêché de Dol et était sous le vocable de Saint-Samson puis de Notre-Dame. En 1772, la paroisse de Dol absorbe la paroisse du Crucifix.
Révolution française
Dol est chef-lieu du district de Dol de 1790 à 1795.
L’organisation des fêtes révolutionnaires témoigne de l’accueil favorable de la population de Dol aux changements apportés par la Révolution française, surtout après la fin de la Terreur :
- l’anniversaire de l’exécution de Louis XVI, accompagnée d’un serment de haine à la royauté et à l’anarchie, est fêté (à partir de 1795)[8] ;
- l’anniversaire de la fondation de la Première République, le 21 septembre[9] ;
- la fête du 26 messidor (14 juillet) à partir de 1794[10] ;
- les autres fêtes républicaines sont peu suivies, notamment à cause du manque de succès du calendrier républicain, qui fait que les fêtes d’Ancien Régime et les nouvelles ne coïncident pas[11]. On peut néanmoins citer les fêtes de la Jeunesse[12], de la Reconnaissance[13], de l’Agriculture.
Le dernier siège (militaire) de Dol a lieu durant la Révolution[précision nécessaire].
La cathédrale de l’évêché de Dol, supprimé en 1790, est vendue comme bien national à un bourgeois qui la transforme en écuries.
La commune de Dol est fondée en 1790. Elle absorbe rapidement la commune éphémère de L'Abbaye, puis le 8 floréal an II (7 mai 1794), celle de Carfantain.
Le XIXe siècle
- : mise en service de la gare ferroviaire.
Le XXe siècle
La Première Guerre mondiale
Le monument aux morts de Dol-de-Bretagne porte les noms de 153 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale[14].
L'entre-deux-guerres
Dol prit en 1924 le nom de Dol-de-Bretagne.
La Seconde Guerre mondiale
Le monument aux morts de Dol-de-Bretagne porte les noms de dix-huit personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale[14].Un autre monument, situé square des Déportés, porte les noms de dix résistants morts en déportation, dont Francis Charpentier (mort le à Bergen-Belsen), Louis Guelet (mort en janvier 1945 à Ellrich), Alphonse Leparoux (mort le à Mauthausen)[15].
Fernand Derrien, né le à Dol-de-Bretagne, lieutenant FTPF dans le maquis de Vieux-Vy-sur-Couesnon fut tué lors d'un combat le à La Selle-en-Coglès[16].
Le vendredi , Dol-de-Bretagne est libérée par le 330e régiment d’infanterie US, de la 83e division d’infanterie.
L'après-guerre =
Six soldats originaires de Dol-de-Bretagne sont morts pendant la guerre d'Indochine et deux pendant la guerre d'Algérie[14].
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Liste non exhaustive des sénéchaux
- 1145 ca - Jourdain ou Jordan
Liste des maires
Jumelages
Reichelsheim (Allemagne), voir Reichelsheim. Stirling (Royaume-Uni).
Démographie
En 2014, la commune comptait 5 557 habitants. Depuis 2004, les enquêtes de recensement dans les communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (en 2005, 2010, 2015, etc. pour Dol-de-Bretagne[18]) et les chiffres de population municipale légale des autres années sont des estimations[Note 2].
Économie
Dol de Bretagne vit de l'agriculture, du commerce et du tourisme. L'arrivée du TGV depuis quelques années a contribué à l'essor de la commune, qui se traduit par une hausse de la population[réf. nécessaire].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La commune compte sept monuments historiques et 426 bâtiments inventoriés[21] :
- le menhir de Champ-Dolent (9,30 m). Il a été classé par liste de 1889[22] ;
- la cathédrale Saint-Samson, bâtiment principal de granite des XIIe et XIIIe siècles, grand porche du XIVe siècle, très beau petit porche du XIIIe siècle, vitrail restauré avec médaillons du XIIIe siècle situé dans le chœur. Tombe de Thomas James du XVIe siècle. Reliques de saint Samson et de saint Magloire. Elle fait partie des 1034 monuments historiques classés dès 1840[23] ;
- une maison du XIIe siècle, avec des colombages du XVIe siècle, dont la cave voutée du XIIe siècle est appelée cave de l’Enfer, inscrite par arrêté du 27 avril 1972[24] ;
- la maison de la Guillotière, construite au XVe siècle, inscrite par arrêté du 5 août 1930[25] ;
- la maison des Petits Palais, ou des Plaids, édifiée au XIIe siècle et remaniée au XVIIe siècle, inscrite par arrêté du 18 mars 1980[26] ;
- le manoir des Beauvais, manoir rural des XIVe et XVe siècles, inscrit par arrêté du 4 février 1963[27] ;
- le manoir de la Belle-Noë, construit au début du XVIIIe siècle, inscrit par arrêté du janvier 2006[28].
À noter également :
- la promenade des Douves, parc public aussi appelé promenade Jules-Revert duquel on a un panorama exceptionnel sur le Mont-Dol et sur les marais ;
- le musée de la Trésorerie, bâtiment du XVIe siècle ;
- des vieilles maisons autour de la cathédrale : dix sont grand'rue des Stuart, douze rue Le Jamptel, six rue Ceinte, dont un manoir.
Personnalités liées à la commune
- Saint Samson de Dol, mort à Dol vers 565. Il fonde l'abbaye de la ville et il est enterré dans la cathédrale Saint-Samson de Dol-de-Bretagne. Il est nommé saint patron du diocèse quand la ville devint son chef-lieu à l’époque carolingienne.
- Thomas James, évêque de Dol-de-Bretagne(1482-1504), tombeau dans la cathédrale de Dol-de-Bretagne, chef-d'œuvre de la Renaissance des frères florentins Betti.
- Baudri de Bourgueil, évêque de Dol-de-Bretagne (1107-1130), né à Meung-sur-Loire en 1046, abbé de Bourgueil en 1089.Il est l'auteur en latin d'une Histoire des Croisades, en prose, la Conquête de l'Angleterre, en vers.
- Vénérable Jean de Saint-Samson (1571-1636), carme, grand mystique, participe à la réforme du Carmel. Il est enterré dans la cathédrale Saint-Samson de Dol-de-Bretagne[29]
- François-René de Chateaubriand (1768-1848), auteur, a été pensionnaire à Dol-de-Bretagne lors de ses études dans ce qui était l'ancienne école Notre-Dame.
- Victor Hugo (1802-1885): y a séjourné à plusieurs reprises avec sa maîtresse de l'époque Juliette Drouet. Une statue représentant Victor Hugo est d'ailleurs visible dans la rue principale de Dol-de-Bretagne.
- Renée Prévert (1912-1988), première députée du département, y est née.
- François Duine, né à Dol en 1870, passa son enfance à Dol-de-Bretagne[30].
- Michel Esneu (né en 1943), ancien maire de Dol-de-Bretagne, sénateur de 1998 à 2008[31].
- Daniel Hamelin (1943 -2001 mort noyé à Saint-Malo) journaliste (d'origine alsacienne) et producteur radio, fils d'un maire de Dol-de-Bretagne y est né.
- François Deminiac, maire de Dol-de-Bretagne de 1848 à 1852, au moment de la Seconde République, puis de 1860 à 1875, sous le Second Empire, à l'époque où Napoléon III régnait sur la France.
Héraldique
Blasonnement :
D'or à trois losanges d'azur chargés chacun d'une billette d'argent surchargée d'une moucheture d'hermine de sable, au chef d'azur à trois fleurs de lys d'or. L'ancien blason de la ville ne présentait que des mouchetures d'hermine[32].
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Voir aussi
Bibliographie
- Patrick Amiot, Dol de Bretagne d'hier à aujourd'hui Tome I : « Regard sur son histoire à travers ses rues ». Dinan P. Amiot, 1984,29-Bannalec, Impr. régionale, 319 p.
- Patrick Amiot, Dol de Bretagne d'hier à aujourd'hui Tome II : « Regard sur son histoire à travers sa cathédrale », Dinan, P. Amiot, 1986, 22-Dinan, Impr. Du Guesclin, 342 p.
- Patrick Amiot, Dol de Bretagne d'hier à aujourd'hui Tome III : « Regard sur son histoire à travers son évêché » (importante iconographie, portraits, armoiries, blasons des évêques de Dol). Dinan, 4, rue de la Larderie, 22100, P. Amiot 1990, 22-Saint-Brieuc, Presses bretonnes, 311 p.
- Patrick Amiot, Dol-de-Bretagne guide touristique et historique, P. Amiot 1988, Dinan Impr. Du Guesclin, 120 p.
- François Duine, Histoire Civile et Politique de Dol jusqu'en 1789, Paris 1911; réédition, Laffitte Reprint, Marseille, 1975.
- J.-P. Letort-Trégaro, Dol de Bretagne, Ed. Ouest-France, Rennes, 1977, 32 p.
- J.-C. Loyant, P. Marion, Dol de Bretagne et le marais dolois, A. Sutton, Rennes, 1994, 128 p.
- Le Rouget (Association François Duine). Revue d'histoire et de folklore du pays de Dol
Articles connexes
- Gare de Dol-de-Bretagne
- Carfantain
- Liste des communes d'Ille-et-Vilaine
- Liste des évêques et archevêques de Dol
- Parler Dolois
Liens externes
- Site de la mairie
- Inventaire préliminaire du conseil régional
- Résumé statistique de Dol-de-Bretagne sur le site de l'Insee
Notes et références
Notes
- Population municipale légale en 2017.
- Dans le tableau des recensements et le graphique, par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique que les populations correspondant à l'année 2006, première population légale publiée calculée conformément aux concepts définis dans le décret no 2003-485 du 5 juin 2003, et les années correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2013 (site de l'IGN, téléchargement du 19 mars 2014)
- INSEE : évolution de la population de l'aire urbaine de Dol-de-Bretagne.
- Robert Favreau, in Jean Combes (dir.), Histoire du Poitou et des Pays charentais : Deux-Sèvres, Vienne, Charente, Charente-Maritime, Clermont-Ferrand, éditions Gérard Tisserand, , 334 p. (ISBN 2-84494-084-6, lire en ligne), p. 138
- Marie Casset, « Les hommes contre la mer : la poldérisation de la baie du Mont-Saint-Michel au Moyen Âge », Revue de l'Avranchin et du Pays de Granville, 2009, t.86, p. 197-202.
- Anne-Claude Le Boulch, La cathédrale de Dol, Rennes, 1999, 35-Rennes, Impr. de l'Université de Rennes, 2 245 p.
- Jean-Pierre Leguay, Les catastrophes au Moyen Age, Paris, J.-P. Gisserot, coll. « Les classiques Gisserot de l'histoire », , 224 p. (ISBN 978-2-877-47792-5 et 2-877-47792-4, OCLC 420152637)., p. 13.
- Leguay (2005), op. cit., p. 154.
- Déclaration de l'évêque de Dol en 1575;
- Dubreuil, Fêtes..., p. 398-399
- Dubreuil, Fêtes..., p. 401
- , p. 397
- Dubreuil, Fêtes..., p. 397
- Dubreuil, Fêtes..., p. 402
- Dubreuil, Fêtes..., p. 405
- http://www.memorial-genweb.org/~memorial2/html/fr/resultcommune.php?insee=35095&dpt=35&idsource=67970&table=bp09
- http://www.memorial-genweb.org/~memorial2/html/fr/resultcommune.php?insee=35095&dpt=35&idsource=11809&table=bp02
- http://memoiredeguerre.pagesperso-orange.fr/fusilles/tues-combat.htm
- « Les maires élu du 1er tour », Dimanche Ouest-France, no 534, , p. 10-11 (ISSN 1285-7688)
- Date du prochain recensement à Dol-de-Bretagne, sur le-recensement-et-moi.fr, site spécifique de l'Insee.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
- « Liste des notices pour la commune de Dol-de-Bretagne », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no PA00090549, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no PA00090544, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no PA00090546, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no PA00090548, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no PA00090547, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no PA00090545, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no PA35000028, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Hacherez GF, « Vénérable Frère Jean de Saint Samson : Carme, réformateur et écrivain aveugle » [PDF], sur nominis.cef.fr, Nominis (consulté le ).
- (fr) « François-Marie DUINE », sur Contes et merveilles (consulté le )
- (fr) « Anciens sénateurs Ve République », sur Sénat (consulté le )
- Nouveau Larousse Illustré de Claude Augé aux éditions Larousse, 1900 sur Carto-mondo.fr