Alexandre Adler

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Alexandre Adler
Image illustrative de l’article Alexandre Adler

Naissance (73 ans)
Paris
Nationalité Français
Profession Journaliste
Spécialité Relations internationales
Autres activités Historien

Alexandre Adler, né le à Paris, est un historien et journaliste français, spécialiste des relations internationales.

Biographie

D'origine juive allemande et russe[1], sa famille maternelle, Bauer, réside en Turquie depuis le début du XXe siècle et échappe ainsi aux persécutions nazies. En revanche, tous les membres de sa famille paternelle, à l'exception de son père Emeric, sont morts en déportation. Sa filiation paternelle est une filiation de Cohen, et de rabbins. Son père Emeric Adler, est décédé en 2003 à l'âge de 95 ans ; il était ingénieur constructeur des voies ferrées dans l'Empire ottoman, a combattu avec les Brigades internationales pendant la guerre d'Espagne, puis il a servi à la Légion étrangère entre 1939 et 1945. Originaire de la Bohême, actuelle République tchèque, ingénieur parlant parfaitement sept langues étrangères, il s'était installé en France dans le courant des années trente.

La langue maternelle d'Alexandre Adler est l'allemand. De parents laïcs et socialistes, il ne reçoit aucune éducation religieuse, aucune transmission de judéité « sauf l'humour » dit-il, mais il étudie en profondeur le judaïsme à l'âge adulte. En 1969, Alexandre Adler est reçu à l'École normale supérieure[2]. Il est ensuite reçu à l'agrégation d'histoire.

Universitaire spécialiste de l'Union soviétique et de l'Europe de l'Est (il est cousin de l'ancien premier ministre roumain Petre Roman), Adler enseigne successivement à l'université Paris-VIII, à l'ESCP et est détaché par la suite auprès de l'enseignement militaire supérieur, notamment au Collège interarmées de défense jusqu'en 2000. Après cette date, il n'a plus qu'une activité journalistique.

Alexandre Adler est marié à Blandine Kriegel, philosophe et historienne, fille du résistant, puis dirigeant communiste, Maurice Kriegel-Valrimont[2].

Chevalier de la Légion d'honneur en mai 2002[3], il est fait officier de l'ordre national du Mérite[4] le , par le président de la République, Jacques Chirac. Franc-maçon, il a été initié à la Grande Loge nationale de France en 2000[5].

Carrière journalistique

Celle-ci commence en 1982, à Libération, où il suit les affaires soviétiques, avec un bref passage en 1983 - 1984 au quotidien, Le Matin de Paris.

En 1992, il quitte Libération pour participer à la direction de Courrier international, pendant 10 ans[2]. Il sera successivement rédacteur en chef, puis directeur éditorial.

Parallèlement, il collabore deux ans au magazine Le Point, deux ans à l'Express, où il tient une chronique de politique internationale, et enfin cinq ans au Monde comme conseiller proche de Jean-Marie Colombani.

De 1994 à 2003, il présente l'émission Les mercredis de l'Histoire sur Arte[2].

À partir du 11 septembre 2001, il prend un virage atlantiste et défend la politique de George Bush[2].

En désaccord avec la ligne éditoriale du Monde, il quitte le quotidien et Courrier international, devenu filiale à 100 % du Monde fin 2002.

Il a quitté le groupe Le Monde à la suite du scandale suscité par une chronique dans Courrier international intitulée Tournant en Allemagne ?[6],[7].

Il rejoint Le Figaro en novembre 2002 en tant que « conseiller rédactionnel et éditorial »[6].

Son livre J'ai vu finir les mondes anciens, s'est vendu à 140 000 exemplaires[2].

Il est aujourd'hui membre du comité éditorial du Figaro.

Figure bien connue des médias audiovisuels, Alexandre Adler est apparu souvent sur les écrans de la télévision et les antennes de la radio. En 1993-1995 il est chroniqueur à Europe 1. En 1995-1996 il chronique la politique étrangère sur RTL.

Enfin en 1998, il a réalisé une série de chroniques historiques de 13 minutes sur le XXe siècle, intitulée Histoire de comprendre, initialement réalisée pour La Cinquième. Alexandre Adler a aussi collaboré à TV5MONDE et à Direct 8, la chaîne de la TNT qui appartenait à Vincent Bolloré (Le Monde d'Adler, présenté avec Mikaël Guedj).

Depuis septembre 2002, il présente chaque matin une chronique dans Les Matins de France Culture.

Alexandre Adler est réputé pour sa connaissance des différents acteurs internationaux de la géopolitique et d'événements locaux rarement évoqués dans l'ensemble des médias français. Comme il le rappelle fréquemment, par exemple dans ses chroniques sur France Culture, il était proche du bloc soviétique pendant les années 1970, tout en ayant une vision devenue progressivement critique après l'invasion de la Tchécoslovaquie en 1968.

Inspiré par l'intérêt pour la longue durée de Fernand Braudel, Adler aime parfois se lancer dans des anticipations risquées, qualifiées ensuite d'audacieuses ou de douteuses selon qu'elles se révèlent exactes (chute de Mikhaïl Gorbatchev, trois mois avant le coup d'État de 1991[8], chute de Slobodan Milošević en Serbie deux mois avant qu'elle ne survienne, victoire du Parti des travailleurs brésilien, triomphe des idées de Deng Xiaoping en 1992-1993...) ou non (comme lorsqu'il misa sur la défaite de Barack Obama à l'élection présidentielle américaine de 2008). Il aime aussi émettre des interprétations très personnelles, comme lorsqu'il affirme, dans J'ai vu finir le monde ancien, que lors de la guerre contre l'Angleterre en 1812, les États-Unis auraient renoncé assez vite à conquérir le Canada car ils ne voulaient pas intégrer un bloc de population francophone aussi important. La chance lui sourit parfois : les accords d'Oslo interviennent six mois après qu'il a consacré une couverture du Courrier international au dialogue israélo-palestinien, et les démêlés de l'UBS et du Crédit suisse sont révélés par les média peu après qu'il a, sur Les Matins de France Culture, commenté les pressions américaines contre le secret bancaire suisse[9] : dans sa stratégie de communication, les anticipations réussies et les coups de chance font figure d'une exceptionnelle compétence en prospective, notamment dans sa chronique quotidienne sur l'actualité internationale dans Europe 1 Matin (qu'il anime jusqu'au 23 novembre 2012), ce qui lui vaut d'être régulièrement moqué dans La revue de presque de Nicolas Canteloup qui l'imite en commençant chacune de ses interventions par « Bonjour Bruce » [2]. À partir du 26 novembre 2012, sa chronique change d'émission et de format et a lieu à 18 h 30 dans Europe 1 soir[10].

En mars 2012 il publie avec Vladimir Fédorovski Le Roman du siècle rouge sur l'histoire secrète du XX-e siècle.

Recherche universitaire

Alexandre Adler est le directeur scientifique de la chaire de géopolitique de l'université Paris-Dauphine créée en novembre 2009. La chaire comprend un volet enseignement et un volet recherche portant notamment sur les points suivants : mondialisation et gouvernance, géopolitique, énergie et matières premières et politique européenne.

Action politique

Dès 1965, Alexandre Adler adhère à la SFIO pendant la campagne présidentielle de François Mitterrand.

Après 1968, il quitte le Parti socialiste pour le PCF dont il restera militant pendant onze ans. Il entretient également des rapports très étroits avec le Parti communiste italien à son apogée, ainsi qu'avec plusieurs de ses dirigeants dont Pietro Ingrao, Bruno Trentin, Giorgio Napolitano et, tout à la fin de sa vie, Enrico Berlinguer.

Il aura été dans ces années professeur à l'École centrale du Parti et rédacteur en chef adjoint de la revue La Pensée. Il est le coauteur d'un ouvrage (très modérément) critique[11] sur l'Union soviétique, L'URSS et nous, paru en 1978[12].

Après la rupture de l'Union de la gauche, il démissionne du Parti communiste en 1980 et participe à la contestation externe aux côtés de son beau-père Maurice Kriegel-Valrimont et de l'ancien secrétaire de la Fédération de Paris, Henri Fiszbin.

En 1984, il est recruté par le Parti socialiste pour travailler à sa commission de politique extérieure. Il rejoint presque au même moment le mouvement des Transcourants créé par François Hollande et Jean-Pierre Jouyet. Après 1988, il s'éloigne du Parti socialiste, tout en restant proche de Jean-Pierre Chevènement et de Philippe Séguin, dont il souhaite la conjonction. Membre du club Phares et Balises de Régis Debray et Max Gallo, il soutient aux côtés de Philippe Séguin, la candidature de Jacques Chirac en 1995 et à nouveau en 2002. Proche de Jacques Chirac sur un plan personnel, il n'en a pas moins pris nettement position en faveur de la politique générale de George W. Bush au Moyen-Orient.

Dénonçant régulièrement « le simplisme » dont les médias et certains intellectuels français font preuve à l'égard des États-Unis[13], il soutient la guerre en Afghanistan et la guerre en Irak en 2001 et 2003. Il regrette par la suite les erreurs commises dès les débuts de l'occupation américaine et en 2004 apporte un soutien réticent à John Kerry contre George W. Bush, saluant « le courage dont avait fait preuve ce dernier »[14]. Il affirme cependant « ne pas croire au choc des civilisations » entre le judéo-christianisme et le monde musulman[15].

Alexandre Adler a participé à une réunion du Bilderberg en mai 2003 à Versailles[16].

Il soutient le oui au référendum de 2005 sur la constitution européenne : « La bataille pour le “oui” sera dans ces conditions évidemment la grande bataille pour la liberté de notre continent, et je l'espère la grande défaite de tous ces altermondialistes qui ont tout à la fois la candeur et l'impudence de se déclarer “antilibéraux”, disons simplement ennemis de la liberté[17]. »

Il est critique envers les altermondialistes en qui il voit des « illuminés communautaristes[18] ».

En 2007, il appelle à voter Nicolas Sarkozy dans sa chronique éditoriale au Figaro[19] et en 2008, soutient, avec des réserves, la candidature de Barack Obama contre celle de John McCain lors des élections présidentielles américaines.

Soutien à la politique de l'État d'Israël

Administrateur de l'Union libérale israélite de France (ULIF) et conseiller du précédent président du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF), Roger Cukierman. Il figure aussi au comité éditorial de L'Arche et participe à de nombreuses activités de l'Appel unifié juif de France.

Il est l'un des rares intellectuels français à souhaiter la victoire de George W. Bush contre Al Gore lors de la première candidature de Bush fils à la présidence des États-Unis. En 2004, il souhaite la victoire de John Kerry face au même George W. Bush[20].

Il s'engage en 2002 au côté de l'avocat Gilles-William Goldnadel, ainsi que du philosophe Alain Finkielkraut, contre le journaliste de France Inter, Daniel Mermet, accusé de « provocation antisémite ». Celui-ci est cependant relaxé.

Interrogé sur ses positions à l'endroit de l'intellectuel musulman Tariq Ramadan, il l'exonère pour partie de l'accusation courante d'antisémitisme et affirme le préférer aux « traîtres juifs[21] ». Quelques mois plus tard, il affirmera sur France Culture que la préface de Rony Brauman au livre américain de Norman G. Finkelstein, dénonciateur du Shoah-business, et les positions convergentes d'Esther Benbassa[22], ont largement ouvert la voie aux « agressions verbales » d'un Dieudonné, qu'il qualifie d’« ignoble personnage ».

Polémiques

Alexandre Adler, qui s'honore de l'amitié personnelle d'Henry Kissinger et qui a toujours défendu une politique d'ouverture des États-Unis et de l'Occident tant vis-à-vis de la Russie que de la Chine actuelle, qui a exprimé les plus extrêmes réserves[réf. nécessaire] sur le projet de démocratisation du Moyen-Orient du président Bush, ne se situe pas sur l'essentiel dans la ligne du courant néoconservateur, bien qu'il soit l'ami personnel de Richard Perle et plus lointainement de Paul Wolfowitz[23]. Adler est par exemple opposé au bombardement de l'Iran, pays chiite, considérant que le principal problème est le jihadisme sunnite d'Al Qaïda, hostile au régime de Téhéran.

En avril 2011, Alexandre Adler s'est également prononcé pour le sauvetage du chef d'état syrien Bachar el-Assad, qui selon lui « ne mérite absolument pas d'être emporté par la vague de libération du printemps arabe »[24].

Critiques

Alexandre Adler est une cible récurrente de l'association française de critique des médias, proche de la gauche antilibérale, Acrimed[25]. Sont notamment critiqués sa participation à l'unanimité des médias en faveur du « oui » au référendum sur la constitution européenne de 2005[26],[27], ses mensonges, insultes et menaces vis-à-vis d'Hugo Chávez[28],[29] et Evo Morales[30], ses approximations[31],[32], ou encore sa complaisance vis-à-vis de Bernard-Henri Lévy[33].

En juin 2005, le mensuel Le Monde diplomatique publie un portrait à charge d'Alexandre Adler, insistant particulièrement sur ses erreurs les plus évidentes, notamment à propos de la guerre anglo-américaine de 1812, d'Hugo Chavez, de la guerre d'Irak de 2003 ou encore de l'élection présidentielle américaine de 2004[34].

Alexandre Adler est l'un des journalistes critiqués par le film documentaire français sorti en janvier 2012 : Les Nouveaux Chiens de garde, lui-même tiré de l'essai éponyme de Serge Halimi paru en 1997, qui explore les collusions entre les médias français et le pouvoir politique et économique français.

Publications

  • L’URSS et nous, Paris, Éditions Sociales, 1978.
  • L’Internationale et le genre humain, avec Jean Rony, Paris, Mazarine, 1980.
  • Pour l'amour du peuple : un officier de la Stasi parle, Paris, Albin Michel, 1999.
  • Le Communisme, Paris, PUF, coll. "Que sais-je ?", 2001.
  • J’ai vu finir le monde ancien, Paris, Grasset, 2002 (Prix du livre politique 2003).
  • Au fil des jours cruels : 1992-2002, Paris, Grasset, 2003, (chroniques).
  • L’Odyssée américaine, Paris, Grasset, 2004.
  • Comment sera le monde en 2020 ? (Rapport de la CIA), 2005.
  • Rendez-vous avec l'Islam, 2005.
  • Sociétés secrètes, Paris, Grasset, 2007.
  • Comment sera le monde en 2025 ? (Le nouveau rapport de la CIA), Paris, Robert Laffont, 2009.
  • Le monde est un enfant qui joue, Paris, Grasset, 2009.
  • Berlin, 9 novembre 1989 : la chute, Paris, XO Éditions, 2009.
  • Le Big bang et après ?, avec Marc Fumaroli, Blandine Kriegel et Trinh Xuan Thuan, Paris, Albin Michel, 2010.
  • Le Peuple-monde : destins d'Israël, Paris, Albin Michel, 2011.
  • Le Monde après Ben Laden, Paris, Grasset, 2011.
  • Où va l'Amérique d'Obama ?, avec Hervé de Carmoy, Paris, PUF, 2011.
  • Le Roman du siècle rouge, avec Vladimir Fédorovski, Paris, Le Rocher, 2012.
  • Le Jour où l'histoire a recommencé, Paris, Grasset, 2012.
  • Quand les Francais faisaient l'histoire, Paris, Grasset, 2014.
  • Le Califat du sang, Paris, Grasset, 2014.
  • L'Invisible et la science avec Patricia Darré, Paris, Lafon, 2014.

Notes et références

  1. Adler signifie aigle en allemand. Ce nom d'origine germanique, fut souvent le nom choisi par les juifs voulant marquer leur désir de s'identifier à l'aigle des Psaumes de David, ou comme nom de substitution à Josué, personnage biblique associé à l'aigle, ou en référence aux Pirké Avot
  2. a b c d e et f Emmanuel Poncet, « Surrégime », Libération,‎ (lire en ligne, consulté le )
  3. Décret du 29 mars 2002 portant promotion et nomination, JORF no 77 du 31 mars 2002, p. 5702, texte no 3, NOR PREX0200003D, sur Légifrance.
  4. Décret du 14 novembre 2006 portant promotion et nomination, JORF no 264 du 15 novembre 2006, p. 17122, texte no 7, NOR PREX0609679D, sur Légifrance.
  5. « Les nouveaux francs-maçons », Le Point, .
  6. a et b « Alexandre Adler rejoint «le Figaro» », Libération,‎ (lire en ligne, consulté le )
  7. Alexandre Adler, « Tournant en Allemagne ? », Courrier international, no 619,‎
  8. « La fin du moment Gorbatchev », in Libération.
  9. Swiss Federal Department of Finance. http://www.efd.admin.ch/00468/index.html?lang=en&msg-id=25863. Retrieved 2010-06-11.
  10. [1]
  11. Qui n'est pas le premier puisqu'il y a au moins La Chute finale d'Emmanuel Todd en 1976.
  12. Fonds Thorez, Ivry Foreign Affairs
  13. « L’antiaméricanisme français est une version politiquement correcte de l’antisémitisme », entretien d'Alexandre Adler au quotidien israélien Yediot Aharonot, repris par Courrier international, 11 octobre 2004.
  14. Chronique parue dans Le Figaro en octobre 2004.
  15. Arrêt sur images du 26 avril 2004.
  16. Selon Sourcewatch et le journaliste indépendant Bruno Fay.
  17. Le Figaro, 20 octobre 2004
  18. Dans Le Monde du 23 novembre 2000, Alexandre Adler écrit : « Ce que les violences agitatoires des illuminés communautaristes de Seattle et de Prague révèlent comme un symptôme grossissant c’est la mise en place à l’échelle planétaire d’un front anti-mondialiste qui rappelle trait pour trait le front anti-libéral de la Révolution conservatrice née de la crise européenne des années 1872-1896. »
  19. Samuel Rousseau, « Entretien avec Alexandre Adler », le 19 janvier 2008.
  20. « Les nouvelles cartes du monde », par Alexandre Adler et Alain Minc, Le Figaro, 2 novembre 2004
  21. Sur http://www.proche-orient.info, 14 octobre 2003, Alexandre Adler aurait affirmé : « Au fond, Tariq Ramadan, il n’est ni affreux, ni sympathique. Je suis beaucoup plus choqué par des traîtres juifs comme les Brauman et autres ». Cf. « Les “traîtres juifs” d'Alexandre Adler », communautarisme.net, .
  22. Selon le Nouvel Observateur (« Racisme, antisémitisme : Alerte ! », 11 décembre 2003]), Alexandre Adler a également qualifié Rony Brauman de « traître juif ».
  23. Ibid
  24. (fr) Alexandre Adler, « Le rôle clé du régime syrien », Le Figaro, 1er avril 2011. Alexandre Adler se justifie en affirmant que Bachar el-Assad « n'a cessé de pousser les feux d'une certaine libéralisation » et a « de bonne grâce évacué entièrement le Liban ».
  25. « Les facéties d’Alexandre Adler : Expert en variations et médiacrate tous terrains », sur Acrimed
  26. « Les matins du “oui” sur France Culture », sur Acrimed
  27. « Les matins du « oui » sur France Culture : après le choc... », sur Acrimed
  28. « Les facéties d’Alexandre Adler : Hugo Chavez « gorille populiste » et « antisémite » », sur Acrimed
  29. « Les facéties d’Alexandre Adler (suite) : Récidives sur le Venezuela », sur Acrimed
  30. « Un « complot » fomenté par Philippe Val et Alexandre Adler ? », sur Acrimed
  31. « Les facéties d’Alexandre Adler : victoire du Fatah et défaite de la futurologie », sur Acrimed
  32. « Les facéties d’Alexandre Adler : un historien « expérimental » des pays arabes », sur Acrimed
  33. « BHL, évidemment », sur Acrimed
  34. « Alexandre Adler, portrait d’un omniscient », sur Le Monde diplomatique

Annexes

Liens externes

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