Paréac

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Paréac
Paréac
Vue du village.
Blason de Paréac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Argelès-Gazost
Intercommunalité Communauté d'agglomération Tarbes-Lourdes-Pyrénées
Maire
Mandat
Christelle Coatrine
2020-2026
Code postal 65100
Code commune 65355
Démographie
Gentilé Paréaquais
Population
municipale
76 hab. (2021 en augmentation de 26,67 % par rapport à 2015)
Densité 31 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 07′ 00″ nord, 0° 01′ 29″ est
Altitude Min. 387 m
Max. 600 m
Superficie 2,42 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Lourdes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lourdes-2
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Paréac
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Paréac
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Paréac
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Paréac

Paréac est une commune française située dans le centre du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.

Sur le plan historique et culturel, la commune est dans l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne. Exposée à un climat océanique altéré, aucun cours d'eau permanent n'est répertorié sur la communedivers petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Paréac est une commune rurale qui compte 76 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 193 habitants en 1851. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Lourdes. Ses habitants sont appelés les Paréaquais ou Paréaquaises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune de Paréac se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 13 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, à 16 km d'Argelès-Gazost[2], sous-préfecture, et à 6 km de Lourdes[3], bureau centralisateur du canton de Lourdes-2 dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lourdes[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Escoubès-Pouts (1,3 km), Julos (1,6 km), Orincles (1,8 km), Bourréac (2,3 km), Arcizac-ez-Angles (2,7 km), Gez-ez-Angles (2,8 km), Averan (2,8 km), Layrisse (2,9 km).

Sur le plan historique et culturel, Paréac fait partie de l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne créé au IXe siècle puis rattaché au domaine royal en 1302, inclus ensuite au comté de Foix en 1425 puis une nouvelle fois rattaché au royaume de France en 1607. La commune est dans le pays de Tarbes et de la Haute Bigorre[5].

Carte de la commune de Paréac et des proches communes.
Communes limitrophes de Paréac[6]
Julos
Paréac Orincles
Bourréac Escoubès-Pouts

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Il n'y a pas de ruisseau ou cours d'eau d’importance qui traverse le village.

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat est tempéré de type océanique dû à l'influence proche de l'Océan Atlantique situé à peu près 150 km plus à l'ouest. La proximité des Pyrénées fait que la commune profite d'un effet de foehn, il peut aussi y neiger en hiver, même si cela reste inhabituel.

Données climatiques à Paréac.
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,6 1,3 2,7 5,2 8,3 11,6 14,1 13,9 11,7 8 3,6 1,3 6,9
Température moyenne (°C) 5,3 6,1 7,8 10 13,3 16,7 19,3 19 17,2 13,3 8,5 5,8 11,9
Température maximale moyenne (°C) 9,9 11 12,9 14,8 18,3 21,7 24,5 24 22,6 18,6 13,4 10,4 16,8
Ensoleillement (h) 108,8 118,8 155,6 157,2 181,3 191,5 215,5 196,4 194,5 164,4 124,4 104,4 1 912,8
Précipitations (mm) 112,8 97,5 100,2 105,7 113,6 80,7 57,3 70,3 71 85,2 93 112,1 1 099,4
Source : Climatologie mensuelle à la station départementale d'Ossun de 1961-1990[7].


Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 2] est recensée sur la commune[8] : le « réseau hydrographique des Angles et du Bénaquès » (260 ha), couvrant 35 communes du département[9] et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[8] : les « coteaux et vallons des Angles et du Bénaquès » (12 879 ha), couvrant 45 communes du département[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Paréac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[11],[I 2],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lourdes, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (58,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (46,7 %), forêts (30,4 %), prairies (12 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10,9 %)[13].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Logement[modifier | modifier le code]

En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 41[I 5].
Parmi ces logements, 75.6  % sont des résidences principales, 4.9  % des résidences secondaires et 19.5  % des logements vacants.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Cette commune est desservie par la route départementale D 7.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Paréac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité moyenne)[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Paréac est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2020-2029. Le précédent couvrait la période 2007-2017. L’emploi du feu est régi par deux types de réglementations. D’abord le code forestier et l’arrêté préfectoral du , qui réglementent l’emploi du feu à moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du département. Ensuite celle établie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brûlage des déchets verts des particuliers. L’écobuage est quant à lui réglementé dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[16]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Paréac.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[17].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 35,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (44,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 36 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 34 sont en aléa moyen ou fort, soit 94 %, à comparer aux 75 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[19].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2009 et 2018. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[14].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Paréac à l'est de Lourdes

On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[20] qui rapporte les dénominations historiques du village :

Dénominations historiques :

Étymologie : nom de domaine antique formé sur le nom de personnage latin Parius avec le suffixe -acum (> -ac en gascon) : domaine de Parius.

Nom occitan : Pariac.

Cette étymologie se retrouve dans le nom du ruisseau qui traverse Paréac, le Paréaguet ou Pariaguet, après avoir pris sa source à Bourréac.

Histoire[modifier | modifier le code]

Ainsi que l'écrit l'historien de la Bigorre, d’Avezac-Macaya, l'histoire ancienne de Paréac, comme celle des villages voisins d'Escoubès et de Julos est associée à l’ascension d'une famille, les Castelnau, du val d'Azun, qui par un mariage, en 1339, devinrent seigneurs de Julos, Paréac, Escoubès, entre autres, et aussi de Laloubère pour former une famille influente, les Castelnau-Julos puis Castelnau-Laloubère[21]. Ces informations sont reprises dans la monographie communale d'Escoubès-Pouts rédigée par l'instituteur d'Escoubès-Pouts, Vaqué, en 1887[22]. Donc contrairement à ce qu'a écrit l'instituteur de Paréac, Latapie, dans la monographie communale de 1887, Paréac n'a pas appartenu à la seigneurie de la baronnie des Angles avant la Révolution française.

Ces détails ont de l'importance pour rendre compte du mode de gestion communautaire et intercommunal des landes situées sur ces communes qui perdura jusque dans les années 1970. Jusqu'à 1789 ces landes étaient des réserves seigneuriales de la seigneurie de Laloubère, elles devinrent par la suite des biens communaux.

Une mine d'ocre a été exploitée sur le territoire de la commune de 1913 et 1935.

Un moulin à eau sur le Paréaguet a été exploité jusque dans les années 1950.

Cadastre napoléonien de Paréac[modifier | modifier le code]

Le plan cadastral napoléonien de Paréac est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[23].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie en 2014.
Le foyer rural en 2014.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
avant 1981 ? Louis Monlaur    
mars 2001 mars 2014 Marcel De la Conception    
mars 2014 en cours Christelle Coatrine-Zentar    

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Historique administratif[modifier | modifier le code]

Pays et sénéchaussée de Bigorre, quarteron de Lourdes, canton de Lourdes (depuis 1790), Lourdes-Est (1973)[24].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Paréac appartient à la Communauté d'agglomération Tarbes-Lourdes-Pyrénées créée en et qui réunit 86 communes.

Services publics[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].

En 2021, la commune comptait 76 habitants[Note 6], en augmentation de 26,67 % par rapport à 2015 (Hautes-Pyrénées : +1,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
126118156146174177192168193
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
175164153164167158150141132
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
13513612011010497998693
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
867468857569677065
2014 2019 2021 - - - - - -
617176------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2016[30].

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 11,1 % 8,6 % 15 %
Département[I 7] 7,7 % 9,4 % 9,8 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 38 personnes, parmi lesquelles on compte 77,5 % d'actifs (62,5 % ayant un emploi et 15 % de chômeurs) et 22,5 % d'inactifs[Note 7],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Lourdes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 7 emplois en 2018, contre 4 en 2013 et 4 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 25, soit un indicateur de concentration d'emploi de 27,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 52,5 %[I 10].

Sur ces 25 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 4 travaillent dans la commune, soit 15 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 92,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues et 7,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied[I 12].

Activités[modifier | modifier le code]

Troupeau de blondes d'Aquitaine.

Paréac compte de nombreuses exploitations agricoles tournées vers l'élevage allaitant bovin et ovin et la culture du maïs.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

L'église Notre-Dame-de-l’Assomption en 2014.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Notre-Dame-de-l’Assomption se caractérise de par son clocher-mur.
Selon les usages d'antan, des croix monumentales sont disposées le long des routes et face à l'église.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
D'Azur au mont alésé cousu de sinople sommé d'un château de sable, accompagné de six rais d'or.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Métadonnées de la commune de Paréac » (consulté le ).
  2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  3. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lourdes » (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  5. Insee : Rapport statistique communal pour la commune de Paréac
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Paréac » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Paréac » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Stephan Georg, « Distance entre Paréac et Tarbes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Paréac et Argelès-Gazost », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Paréac et Lourdes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Paréac », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 287-289.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. « Climatologie mensuelle à Tarbes », sur le site de l'association InfoClimat (consulté le ).
  8. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Paréac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  9. « ZNIEFF le « réseau hydrographique des Angles et du Bénaquès » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « ZNIEFF les « coteaux et vallons des Angles et du Bénaquès » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Paréac », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  16. « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie (PDPFCI) 2020 – 2029 », sur hautes-pyrenees.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Paréac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  20. Michel Grosclaude et Jean-Francois Le Nail, intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées, Tarbes, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, , 348 p. (ISBN 2-9514810-1-2, BNF 37213307)..
  21. M.A. d’Avezac-Macaya : Essais historiques sur le Bigorre, accompagnés de remarques critiques, de pièces justificatives, de notices chronologiques et généalogiques. Tome second, 312 pp. Imprimerie de J.M. Dossun éditeur, Bagnères ; 1823. [lire en ligne].
  22. Monographie communale par Vaqué, instituteur d'Escoubès-Pouts, 1887, Archives en ligne des Hautes-Pyrénées
  23. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Paréac en 1809
  24. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
  25. « Liste des juridictions compétentes pour Paréac », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. « Annuaire : Résultats de recherche »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).