L'Abergement-Clémenciat
L'Abergement-Clémenciat | |||||
Mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Ain | ||||
Arrondissement | Bourg-en-Bresse | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de la Dombes | ||||
Maire Mandat |
Daniel Boulon 2020-2026 |
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Code postal | 01400 | ||||
Code commune | 01001 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
832 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 52 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 09′ 07″ nord, 4° 55′ 18″ est | ||||
Altitude | Min. 206 m Max. 272 m |
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Superficie | 15,95 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Châtillon-sur-Chalaronne (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Châtillon-sur-Chalaronne | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Ain
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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L'Abergement-Clémenciat (prononcé [l‿ a.bɛʁ.ʒə.mɑ̃.kle.mɑ̃.sja]) est une commune française, située dans le département de l'Ain en région Auvergne-Rhône-Alpes.
La commune résulte de la fusion des deux anciennes paroisses de L'Abergement et de Clémenciat en 1857, anciennes communes rattachées à Châtillon-sur-Chalaronne durant la Révolution française.
Géographie
[modifier | modifier le code]Située entre Bresse et Dombes, à une altitude variant entre 206 et 272 mètres, la commune de l'Abergement-Clémenciat, d'une superficie de 1 596 ha, est située à 5,5 km de Châtillon-sur-Chalaronne et à 11 km de Thoissey. Elle est située à proximité de villes moyennes telles que Belleville (20,5 km), Mâcon (24 km), Bourg-en-Bresse (26,5 km) et Villefranche-sur-Saône. Les grandes villes les plus proches sont Lyon et Genève.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Illiat | Sulignat | |||
Saint-Étienne-sur-Chalaronne | N | Châtillon-sur-Chalaronne | ||
O L'Abergement-Clémenciat E | ||||
S | ||||
Dompierre-sur-Chalaronne | Baneins |
Points extrêmes
[modifier | modifier le code]- Nord : Les Calles, 46° 11′ 02″ N, 4° 55′ 39″ E
- Est : La Moussière, 46° 09′ 12″ N, 4° 57′ 30″ E
- Sud : La Fraize, 46° 07′ 10″ N, 4° 55′ 49″ E
- Ouest : Bois des Plats, 46° 09′ 29″ N, 4° 54′ 10″ E
Hydrographie
[modifier | modifier le code]- La Chalaronne traverse le sud de la commune vers le hameau de Clémencia.
- La Glenne prend sa source au nord du village et forme une frontière avec Illiat. Il se jette dans la Chalaronne à Saint-Étienne-sur-Chalaronne.
- Le Bief de Vernisson traverse l'est et sépare la commune de Châtillon-sur-Chalaronne, il se jette dans la Chalaronne à Pontpeillon.
- Le Bief de Payon naît à Romans puis traverse les étangs Charbonnière et Putet situés à Châtillon. Il se jette dans la commune vers le Grand Treizé.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat semi-continental et le climat de montagne et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 890 mm, avec 10 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Baneins à 5 km à vol d'oiseau[3], est de 12,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 880,2 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Routes
[modifier | modifier le code]- La route départementale D 7 traverse au nord du hameau de Clémenciat et relie Thoissey à Chalamont. En prenant l'ouest, les habitants peuvent rejoindre Dompierre-sur-Chalaronne et en prenant l'ouest, ils rejoignent Châtillon-sur-Chalaronne.
- La route départementale D 64 traverse au nord du Vieux-Bourg, elle relie Saint-Didier-sur-Chalaronne à l'ouest à Neuville-les-Dames à l'est. Elle permet de rejoindre les villages de Sulignat et d'Illiat.
- La route départementale D 64c relie les routes D 7 et D 64, c'est-à-dire que c'est la route qui reliait L'Abergement et Clémenciat. Elle traverse aujourd'hui le nouveau bourg.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , L'Abergement-Clémenciat est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Châtillon-sur-Chalaronne, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[8]. Cette aire, qui regroupe 5 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9],[10].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (72 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (56,5 %), forêts (24,1 %), prairies (9,9 %), zones agricoles hétérogènes (5,9 %), zones urbanisées (3,7 %)[11].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de L'Abergement-Clémenciat née de la fusion en 1857 des deux anciennes paroisses de l'Abergement et de Clémenciat, formant la commune.
On trouve aussi trois différentes orthographes de la commune : L'Abergement-Clémencia[12], Abergement-Clémenciat[13], Abergement-Clémencia[14].
Étant la première commune du premier département dans l'ordre alphabétique, elle porte le code commune insolite 01001, signifiant commune 001 du département 01.
L'Abergement
[modifier | modifier le code]En 1304, Albergamentum in Dombis est la première mention du village. En 1427, le nom utilisé pour se référer à la paroisse est Abbergamenti super Dombis alors qu'on utilise L'Abbergement vers 1536. D'après l'enquête Bouchu, L'Abergement est évoqué en 1670 et L'Abergement près la Dombe est cité en 1734 par la Description de Bourgogne. Le nom actuel de L'Abergement est inscrit en 1790 dans le Dénombrement de Bourgogne.
Le nom vient de l'ancien français herbergement, albergement, endroit où l'on logeait et nourrissait les voyageurs. En arpitan ancien, un Abergement était un territoire donné moyennant redevance annuelle par son suzerain à son vassal, paysan ou non. Ce mode de location à très long terme avait pour but de favoriser le défrichement des terres.
On trouve 4 communes dans l'Ain avec ce nom typique du Jura débordant également sur la Saône-et-Loire, la Côte-d'Or et le Doubs. Les trois autres noms sont Le Petit-Abergement, Le Grand-Abergement et L'Abergement-de-Varey. Il semble désigner des concessions agricoles à des colons du XIe au XVe siècle.
Clémenciat
[modifier | modifier le code]L'origine latine de Clémenciat suggère la présence d'une implantation gallo-romaine[15]. On trouve aussi l'orthographe Clémencia.
La première mention de l'ancien village se trouve dans le recueil de chartes de Cluny et date de 957, le nom utilisé est Clemenciacense[16]. En 1250, le pouillé du diocèse de Lyon évoque Clemencie alors qu'on retrouve Clemenciacus en 1272. D'après le terrier de Peyzieux, Clemencia est le nom du village vers 1324.
Guichenon mentionne dans l'Histoire de Dombes le nom de Clemencia en Bresse en 1662. Après son intégration dans la commune de Châtillon-sur-Chalaronne, le nom du nouveau hameau devient Clémentia. En 1841, les cartes de l'État-Major évoquent Clémentiat.
Histoire
[modifier | modifier le code]Centre d'une très ancienne paroisse, Clémenciat est au milieu du Xe siècle[17] le chef-lieu d'un ager. En 957[17], on relève : in agro Clemensiacense, in ipsa villa[18].
Au XIIe siècle[17], il est fait mention de l'église dédiée à saint Clair et saint Didier[Note 2], et de la famille de Clémenciat[Note 3]. En 1146[17], il est fait mention d'un Ogier de Clémenciat[19].
En 1279[17], on trouve un certain Dominus Pontius de Clemencia miles, dans un acte d'hommage.
À l'extinction de la famille de Clémenciat, leur succèdent dans la zone les Chabeu qui établissent un nouveau site fortifié près de l'ancien centre paroissiale, celui de l'Abergement. La population aurait alors progressivement déserté Clémenciat au profit du nouvel établissement castral. Les premiers documents connus à ce jour qui font mention du site fortifié de l'Abergement datent quant à eux du début du XIVe siècle[17]. Le fief est à cette époque la propriété de la famille de Chabeu. En 1372[17], le sire de Beaujeu (châtellenie de Thoissey) et le comte de Savoie (châtellenie de Châtillon) se disputent alors l'hommage de la seigneurie de l'Abergement.
C'est au XVIe siècle[17], qu'une nouvelle église sera construite à l'Abergement, placée sous le vocable de l'Assomption.
À la veille de la Révolution, Florent-Alexandre-Melchior de La Baume (né à Mâcon en 1736 et guillotiné à Paris en 1794), marquis de Saint-Martin, comte de Montrevel et baron de Lugny, est baron de L'Abergement.
Durant la Révolution française, les deux paroisses ainsi que la commune voisine de Sulignat intègrent Châtillon-les-Dombes. Le [20], la totalité du territoire de L'Abergement, la partie ouest de l'ancienne paroisse de Clémenciat et une partie de l'ancienne commune de Fleurieux rattachée à Châtillon-sur-Chalaronne forme la nouvelle commune à l'initiative d'Antoine-Élisée Munet, premier maire du village[21].
En 1862[17], plusieurs hectares de bois sont abattus pour construire le nouveau village au centre des deux anciennes paroisses. Ce site sera nommé Munetville en l'honneur du maire et inauguré en 1868.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Tendances et résultats politiques
[modifier | modifier le code]- Élection présidentielle de 2002 : 77,21 % pour Jacques Chirac (RPR), 22,79 % pour Jean-Marie Le Pen (FN), 82,95 % de participation[24].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].
En 2021, la commune comptait 832 habitants[Note 4], en évolution de +8,47 % par rapport à 2015 (Ain : +4,96 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2021, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (35,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,8 % la même année, alors qu'il est de 24,3 % au niveau départemental.
En 2021, la commune comptait 423 hommes pour 409 femmes, soit un taux de 50,84 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (49,35 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :
Enseignement
[modifier | modifier le code]L'école regroupe les élèves de la commune de la petite section jusqu'au CM2. Ils sont répartis dans trois classes. Les élèves de cette école passant en 6e sont dirigés au collège Eugène Dubois de Châtillon-sur-Chalaronne.
Sports
[modifier | modifier le code]Près du cimetière, on trouve un boulodrome.
Médias locaux
[modifier | modifier le code]- Le journal Le Progrès propose une édition locale aux communes de l'Ain. Il paraît du lundi au dimanche et traite des faits divers, des évènements sportifs et culturels au niveau local, national, et international.
- Le journal Voix de l'Ain est un hebdomadaire publié les vendredis qui propose des informations locales pour les différentes régions du département de l'Ain.
- La chaîne France 3 Rhône Alpes Auvergne est disponible dans la région.
Économie
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Site médiéval du Vieux Bourg, motte avec basse-cour surélevée au lieu-dit Abergement. Il ne subsiste, au XXIe siècle, du château de l'Abergement que des ruines. On y voit les restes des murs d’enceinte du XIVe siècle bâtis par les sires de Chabeu. Il fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques par arrêté du [31]. En 1576 et 1612 elle est citée la « Tour Chabeu »[32].
- Mottes castrales. À la fin du XIXe siècle on signalait quatre mottes dans la commune[32] :
- Château moderne du Vieux Bourg, construit en 1700 et remanié au XIXe siècle.
- Église Notre-Dame-de-l'Assomption de style néogothique, construite au XIXe siècle, sous la direction de Louis-Auguste Boileau, architecte à Paris, auteur de Saint-Eugéne et de plusieurs autres églises construites[33] avec une ossature en fonte.
- Chapelle de la Servette édifiée dans le bois de Saint-Lazare, était un lieu de pèlerinage pour les maladies des jeunes enfants.
- Monument aux morts, en face de l'église, en l'honneur des soldats du village morts au combat.
-
Vieux bourg.
-
Château Munet.
-
Église du XIXe siècle.
-
Monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- André Gastier (1791-1868), député de l'Ain, est mort dans la commune.
Gastronomie
[modifier | modifier le code]Sa localisation entre Bresse et Dombes confère au village une grande diversité gastronomique.
Les spécialités culinaires sont celles de la région bressane, c'est-à-dire la volaille de Bresse, les gaudes, la galette bressane, les gaufres bressanes, la fondue bressane[34]. Les autres spécialités, celles de la Dombes, sont les cuisses de grenouille, le canard ou certains poissons comme la carpe.
La commune se situe dans l'aire géographique de l'AOC Crème et beurre de Bresse[35]. Une partie du territoire fait partie de l'aire géographique de l'AOC Volailles de Bresse[36].
Elle a aussi l'autorisation de produire le vin IGP Coteaux de l'Ain (sous les trois couleurs, rouge, blanc et rosé)[37].
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- [André Bazzana - Guillemine David - Agnès Gonnet - Jean-Michel Poisson 1986] André Bazzana, Guillemine David, Agnès Gonnet et Jean-Michel Poisson, Mottes castrales de Dombes (Ain) : Éléments pour un atlas, Lyon, Direction des Antiquités Historiques Rhône-Alpes, , p. 23-24.
- Richesses touristiques et archéologiques du canton de Châtillon-sur-Chalaronne, pré-inventaire de l'Ain, 1991.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- C'est en 1174, qu'il est fait mention pour la première fois de l'ecclesia de Clémenciat — Dunod, 1735-1737.
- La famille de Clémenciat, chevaliers, s'éteint au XIVe siècle — Bazzana et al. 1986, p. 23-24.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Une famille de chevaliers qui porte le nom de La Féole, vassaux des sires de Bagé, est citée en 1272 : dominus Jacobus de Fayola, miles, Guichenon, 1650, p. 17 et 112.
- La seigneurie, en 1307, comme celle de Sure (Saint-André-de-Corcy), est la possession de Jean de Genost, noble bressan, vassal du comte de Savoie. Il fait hommage de la seigneurie de la Féole aux sires de Thoire-Villars — Biblioteca Dumbensis, I, p. 514.
- En 1612 il est fait mention du Mas du Péage, Biblioteca Dumbensis, I, p. 518.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre L'Abergement-Clémenciat et Baneins », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Baneins », sur la commune de Baneins - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Baneins », sur la commune de Baneins - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Châtillon-sur-Chalaronne », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Nom affiché sur le monument aux morts
- Nom affiché sur les panneaux de signalisation
- Cadastre de la commune, sur cadastre.gouv.fr.
- Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs », sur henrysuter.ch (consulté le ).
- Dictionnaire topographique de l'Ain p.117, sur archives.ain.fr.
- Bazzana et al. 1986, p. 23-24.
- Chartes de Cluny, II, no 1026.
- Marie-Claude Guigue, Topographie historique du département de l'Ain, Bourg, Gromier Ainé, , 518 p. (BNF 30556006, lire en ligne), p. 105.
- Histoire de L'Abergement-Clémenciat, sur ain-genealogie.fr.
- « Présentation de l'Abergement-Clémenciat », sur cc-chalaronne-centre.org, .
- Source : Dictionnaire des hommes et des femmes politiques de l'Ain de 1789 à 2003, Dominique Saint-Pierre, Musnier-Gilbert Editions, 2003.
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- Résultats de l’élection présidentielle 2002 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 26 août 2012.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Commune de l'Abergement-Clémenciat (01001) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Ain (01) », (consulté le ).
- « Site médiéval du Vieux Bourg », notice no PA00132969, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 16 (cf. Abergement-Clémenciat).
- Louis-Auguste Boileau, Histoire critique de l'invention en architecture, Paris, Ve Ch. Dunod, .
- Bourg-en-Bresse, ville départ, sur letour.fr.
- « Aire géographique de l'AOC Crème de Bresse »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- « Aire géographique de l'AOC Volaille de Bresse »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- « L'Abergement-Clémenciat, commune viticole », sur Vin Vigne (consulté le ).