Clans (Alpes-Maritimes)

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Clans
Clans (Alpes-Maritimes)
Vue du village dominé par la collégiale Sainte-Marie.
Blason de Clans
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-Maritimes
Arrondissement Nice
Intercommunalité Métropole Nice Côte d'Azur
Maire
Mandat
Roger Maria
2020-2026
Code postal 06420
Code commune 06042
Démographie
Gentilé Clansois
Population
municipale
673 hab. (2021 en augmentation de 14,26 % par rapport à 2015)
Densité 18 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 59′ 44″ nord, 7° 08′ 54″ est
Altitude Min. 264 m
Max. 2 082 m
Superficie 37,79 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Nice
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Tourrette-Levens
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Clans
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Clans
Géolocalisation sur la carte : Alpes-Maritimes
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Clans
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Clans

Clans (prononcer le "s" final, [klɑ̃s]) est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Ses habitants sont appelés les Clansois.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Clans est une commune de moyenne altitude (690 m), située au-dessus de la vallée de la Tinée, à 60 km de Nice.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune est vaste, et comporte une grande partie de forêt ; elle s'étend du lit de la Tinée, les hameaux de Pont-de-Clans et du Bancairon faisant partie de la commune, aux sommets du mont Tournairet.

Catastrophes naturelles - Sismicité[modifier | modifier le code]

Le 2 octobre 2020, de nombreux villages des diverses vallées des Alpes-Maritimes (Breil-sur-Roya, Fontan, Roquebillière, St-Martin-Vésubie, Tende...) sont fortement impactés par un "épisode méditerranéen" de grande ampleur[1]. Certains hameaux de la commune restent inaccessibles jusqu'à plus d'une semaine après la catastrophe et l'électricité n'a été rétablie que vers le 20 octobre. L'Arrêté du 7 octobre 2020 portant reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle a identifié 55 communes, dont Clans, au titre des "Inondations et coulées de boue du 2 au 3 octobre 2020"[2].

Commune située dans une zone de sismicité moyenne[3].

Hydrographie et les eaux souterraines[modifier | modifier le code]

Cours d'eau sur la commune ou à son aval[4] :

  • rivière la Tinée,
  • vallons d'ullion, de la serre, du monar, de lambertisse, de la nouguière, de l'adoucet, de la chaudane, des bouis, de bassacros, de cavier, du cougné, de bairols, de figgiette, de la chalanche, de pèlegrin,
  • la vallière obscure,
  • ravin de la médecine,

Clans dispose de deux stations d'épuration :

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (°C) et peu de brouillards[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 058 mm, avec 5,7 jours de précipitations en janvier et 5,2 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rimplas_sapc », sur la commune de Rimplas à 8 km à vol d'oiseau[9], est de 12,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 908,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 35,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −10,7 °C, atteinte le [Note 1],[10],[11].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[12]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Commune membre de la Métropole Nice Côte d'Azur.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

La commune est intégrée dans le plan local d'urbanisme métropolitain approuvé le 25 octobre 2019[14].

Typologie[modifier | modifier le code]

Clans est une commune rurale[Note 2],[15]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[18],[19].

Clans dispose d'une carte communale[20].

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

Village desservi par la départementale 55 depuis la D 2205.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Clans
Marie Marie Venanson
Bairols Clans Venanson
Tournefort La Tour Utelle

Toponymie[modifier | modifier le code]

« Le chef-lieu (des Vellauni) » s’appela Clan c'est-à-dire centre des réunions[21]. (?)

Histoire[modifier | modifier le code]

Le peuplement de la région est très ancien ; en attestent le « pont dit romain » en dessous de Clans, situé sur une ancienne voie romaine[22], ainsi que les vestiges de l'âge du bronze trouvés dans la commune. Sans doute la situation de Clans, sur un promontoire offrant à la fois terres cultivables, eau et facilité de défense, sont-ils des facteurs expliquant ce choix.

Jusqu'au XIVe siècle, le village était situé plus bas, au lieu-dit le Poet, près de la chapelle Saint-Sébastien. Des vestiges de cet ancien village subsistent, et son abandon semble être dû à l'épidémie de peste de 1348, au profit du site actuel, qui devait être un hameau d'alpage à l'époque.

Clans, faisant partie du comté de Nice dépendant du royaume de Sardaigne ou de Piémont-Sardaigne, a voté son rattachement à la France en 1860.

Le 23 février 1887 à h 43, le village a subi un tremblement de terre, dont l'épicentre se trouvait au large d'Impéria (Italie), de magnitude comprise entre 6,5 et 6,8 et qui s'est ressenti sur un rayon de 300 km. À Clans, plusieurs dizaines de maisons furent endommagées, certaines furent démolies, toutes ne furent pas reconstruites[23].

Plaque commémorative.

Dans une époque plus récente, de nombreuses familles et enfants juifs ont trouvé refuge à Clans pendant le deuxième guerre mondiale. Les villageois tentent de les protéger contre les rafles en mettant en place un service d’alerte :

Plusieurs personnes s’étaient organisées pour prévenir les « juifs » afin qu’ils aient le temps de se cacher avant l’arrivée des Allemands. Paul Isoart, affilié à la Résistance surveille la route qui passe devant l’usine EDF de Bancairon. En cas de danger, il prévient le cafetier du Pont de Clans qui avertit à son tour Edwige Isoart, receveuse des PTT. Le message transmis par téléphone, très simple « le lait monte », signifie qu’il y a une visite de la Gestapo. Ce stratagème permettait aux juifs de se mettre à l’abri avec la complicité active des habitants. Malheureusement, il y eut quelques fausses alertes, ce qui les rendit moins vigilants. Le lundi 25 octobre 1943, les Allemands arrivent brusquement à Clans, sans que personne ait pu être averti. Lors de cette rafle organisée par Aloïs Brünner, 27 réfugiés juifs sont arrêtés, mais une trentaine d’autres ont pu être sauvés. La police allemande, rendue furieuse par son échec partiel, traîne Edwige Isoart sur la place du village, sous la menace d’un revolver, mais elle parvient à se disculper et n’est pas arrêtée.
Paul Isoart, maire de Clans pendant de nombreuses années et son épouse Edwige, ont obtenu la médaille des Justes. En 1993, une plaque commémorant le cinquantième anniversaire de la rafle a été apposée sur le mur de la mairie[24].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1966 mars 2001 Raymond Santucci DVD Conseiller général du canton de Saint-Sauveur-sur-Tinée
mars 2001 16 décembre 2005[Note 4] James Dauphiné SE  
16 décembre 2005 mars 2008 Jean-Pierre Stève SE  
mars 2008 En cours Roger Maria[25] DVD Retraité

Budget et fiscalité 2019[modifier | modifier le code]

Mairie.

En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[26] :

  • total des produits de fonctionnement : 696 000 , soit 1 109  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 642 000 , soit 1 022  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 1 390 000 , soit 2 213  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 1 016 000 , soit 1 617  par habitant ;
  • endettement : 1 370 000 , soit 2 182  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 4,79 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 12,87 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 29,98 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017 : médiane en 2017 du revenu disponible, par unité de consommation : 21 220 [27].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].

En 2021, la commune comptait 673 habitants[Note 5], en augmentation de 14,26 % par rapport à 2015 (Alpes-Maritimes : +1,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
681634648666766760858814855
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
814749771702736706692605528
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
505793641623471530446472400
1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018 2021 -
367496532551557582662673-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Établissements d'enseignements[32] :

  • Écoles maternelles et primaires,
  • Collèges à Saint-Sauveur-sur-Tinée, Roquebillière, Saint-Martin-du-Var,
  • Lycée à Valdeblore.

Santé[modifier | modifier le code]

Professionnels et établissements de santé[33] :

  • Médecins à Villars-sur-Var, Saint-Sauveur-sur-Tinée,
  • Pharmacies à Saint-Martin-Vésubie, Roquebillière, Lantosque, Levens,
  • Hôpitaux à Villars-sur-Var, Saint-Martin-Vésubie.

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

Les principales sources de « richesse » étaient l'agriculture : légumes, oliviers (dont 800 m constitue la limite d'altitude supérieure), élevage et produits en découlant (fromage, salaisons, viande), l'exploitation des bois de la forêt, et les ressources hydrauliques, avec captage de sources pour alimenter l'usine hydro-électrique du Bancairon, en complément du cours de la Tinée.

Tourisme[modifier | modifier le code]

Le village accueillait, et accueille toujours, nombre de familles niçoises l'été, le climat estival de Clans étant agréable, et l'altitude ne constituant pas un problème pour les personnes souffrant d'insuffisance cardiaque; nombre de « villas » attestent de cette présence estivale.

Commerces[modifier | modifier le code]

L'économie de Clans a profondément changé au fil de l'histoire.

De nos jours, l'économie strictement locale est plus réduite, et passablement de personnes habitent à Clans et travaillent dans la vallée, jusqu'à Nice.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La commune compte trois monuments[35] et 34 objets[36] répertoriés à l'inventaire des monuments historiques :

Lieux présentés dans la base de données "http://patrimages.culture.gouv.fr/" de l'l'inventaire général du patrimoine culturel : Photothèque Monuments Historiques.

Voir aussi :

Chapelle Saint-Michel[modifier | modifier le code]

La chapelle Saint-Michel est située sur la route de la forêt.

Chapelle Saint-Antoine-Ermite[modifier | modifier le code]

La chapelle Saint-Antoine-Ermite[40] est située près de la mairie. Elle a été construite pour protéger le village de la peste de 1467. Des fresques représentant l'ermite ont été peintes en trente tableaux, dont douze disparus à la fin du XVe siècle[41], [42].

Collégiale Sainte-Marie[modifier | modifier le code]

La collégiale Sainte-Marie actuelle, a été reconstruite à partir de 1680, jusqu'à la Révolution. Elle a été reconstruite sur des églises plus anciennes, les églises Saint-Pierre et Sainte-Marie qui étaient placées l'une contre l'autre. L'église Saint-Pierre a été construite avant l'an mille. Il reste de cette église le chœur et des fragments de fresque. L'église Sainte Marie est citée en 1066 dont il reste l'abside et une partie du clocher. La grande porte de la collégiale porte la date de 1684. La collégiale est consacrée le 26 décembre 1784. L'orgue Grinda, de 1791, a été restauré en 1982 par Yves Cabourdin en conservant le plus possible les pièces d'origine[43].

Autres lieux et monuments[modifier | modifier le code]

On peut également citer :

La chapelle des Pénitents Noirs ou Saint-Roch ou de la Miséricorde, est située derrière la collégiale. Elle est antérieure au XVIIe siècle[44],[45].

La chapelle Saint-Jean, située sur le chemin du village de Marie, a été reconstruite en 1728, avec un très beau cadran solaire sur la façade. Cette chapelle a été mise à la disposition de l'artiste Patrick Moya qui a entrepris de retracer sur les murs intérieurs la vie de saint Jean Baptiste[46].

La chapelle Sainte-Anne a été édifiée à partir de 1655, elle est consacrée à saint Antoine de Padoue. On y accède après une randonnée d’une heure et demie par la piste du Raous, en allant vers la forêt. Elle est l'objet d'un pèlerinage fervent le dernier dimanche de juillet.

La chapelle Saint-Sébastien date du Ve siècle et fut reconstruite en 1575. Elle est située sur la route qui mène de Pont-de-Clans à Clans[47].

La chapelle Saint-Roch est située à l'entrée du vieux cimetière ; l’ancienne chapelle fut démolie en 1875, et la nouvelle reconstruite au même emplacement et dédiée à saint Roch comme la précédente.

La Maison claustrale, située près de la collégiale : sa grande porte est sculptée d'un blason, encadré du nom de l'archiprêtre Louis Serre qui l'a fait construire en 1515[48].

La maison dite de la Reine-Jeanne est une maison de style Renaissance avec fenêtres à meneaux. Son nom rappelle celui de la reine Jeanne qui a installé à Clans un juge et un bailli ainsi que le droit d'approvisionnement en sel[49].

Le Monument aux morts pacifiste où il est inscrit « Maudits soient les responsables de la guerre et honneur à ceux qui ont travaillé pour la paix »[50],[51].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Clans Blason
D'argent à l'ours passant d'azur, lampassé de gueules, chapé d'azur.
Détails
L’ours qu’on retrouve sur le blason bleu et blanc de la commune (donné, par la famille Orsier, maîtresse du fief) est l’emblème officiel de Clans et sa devise inscrite en latin sous le blason signifie : Toujours courageux dans l’adversité.

Toutefois l’emblème revendiqué est celui du loup. D’ailleurs, beaucoup de familles clansoises avaient des patronymes dérivés du latin lupus (loup), lubonis, lobo, lubo.

Ce blason figure aujourd'hui sur le fronton de la salle des fêtes[52].
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. James Dauphiné, maire, démissionne pour raisons de santé.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Alex : Épisode méditerranéen en Provence en octobre 2020
  2. Communes reconnues en état de catastrophe naturelle - Alpes-Maritimes et Côtes-d'Armor
  3. Didacticiel de la règlementation parasismique
  4. L'eau dans la commune
  5. Description de la station Le Périer/Village
  6. Description de la station CLANS St Jean
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Clans et Rimplas », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Rimplas_sapc », sur la commune de Rimplas - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Station Météo-France « Rimplas_sapc », sur la commune de Rimplas - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  14. Plan local d'urbanisme métropolitain (PLUm)
  15. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. Clans - Carte Communale
  21. le chef-lieu (des Vellauni)
  22. Pont Royal
  23. André Laurenti, « Effets sur le village de Clans », sur www.azurseisme.com (consulté le ).
  24. Témoignages et histoire – La rafle de 1943 à Clans
  25. Site de la préfecture des Alpes-Maritimes, consulté le 20 juin 2008
  26. Les comptes de la commune
  27. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Établissements d'enseignements
  33. Professionnels et établissements de santé
  34. Paroisse Notre-Dame de la Tinée
  35. « Liste des monuments historiques de la commune de Clans », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. « Liste des objets historiques de la commune de Clans », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  37. « Chapelle Saint-Michel », notice no PA00080706, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. « Chapelle Saint-Antoine », notice no PA00080031, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. « Église paroissiale, ancienne église collégiale Sainte-Marie », notice no IA95000009, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  40. Ville de Clans : Diaporamas
  41. Chapelle Saint-Antoine-l'Ermite
  42. « Diaporama et fonds d'écran », sur le site de la mairie de Clans (consulté le ).
  43. L'orgue Grinda
  44. Chapelle des Pénitents Noirs ou de la Miséricorde Clans
  45. chapelle des Pénitents Noirs
  46. « La chapelle St Jean Baptiste à CLANS », sur le site de Patrick Moya, (consulté le ).
  47. Chapelle Saint Sébastien Pont de Clans
  48. Maison claustrale Clans
  49. Maison de la Reine Jeanne Clans
  50. Les monuments de Clans et de Peille
  51. Monument aux morts. Conflits commémorés : 1914-1918
  52. Dominique Cureau, « La Tinée : Clans », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).
  53. Justes parmi les nations de Clans

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Vincent Bassee, Clans, évolution des paysages humains, mémoire de maîtrise, Nice, 1990
  • Hélène Ciampossin, Clans dans l'évolution des paysages naturels, mémoire de maîtrise, Nice, 1990
  • James Dauphiné, Le Parler de Clans, Éditions Universitaires, 1998
  • Jean Filipot, Clans au fil des saisons, Éditions Serre, Nice, 1986, (ISBN 978-2-86410-080-5), p. 160
  • Mgr Denis Ghiraldi
    • L'orgue Grinda de la Collégiale de Clans - Éditions Serre 1987
    • La chapelle Sainte-Anne du Mounar - 1996
    • Les chapelles champêtres de Clans - 1996
    • Histoire de Clans (Tomes 1 et 2) - Chroniques historiques clansoises - 2002
  • Orgue Grinda de la Collégiale Sainte-Marie
  • Delphine Pred'homme, Clans entre les deux guerres, mémoire de maîtrise, Nice, 1999
  • Luc F. Thevenon, L'Art du Moyen Âge dans les Alpes méridionales, p. 47–48, Éditions Serre, Nice, 1983 (ISBN 2-86410-047-9)
  • Collectif (dir.), Le patrimoine des communes des Alpes-Maritimes en deux volumes, vol. II : Cantons de Roquebillière à Canton de Villefranche-sur-Mer, Paris, Flohic Éditions, coll. « Le Patrimoine des Communes de France », , 1077 p. (ISBN 2-84234-071-X)
    Canton de Saint-Sauveur-sur-Tinée : pp. 851 à 855 : Clans
  • Un lieu dénommé Clans est mentionné en 1066
  • Clans : jhs avec entrelacement; le Comté de Nice en 1850; mythe des têtes de bélier; Linteaux et murs
  • Coordination générale : René Dinkel, Élisabeth Decugnière, Hortensia Gauthier, Marie-Christine Oculi. Rédaction des notices : CRMH : Martine Audibert-Bringer, Odile de Pierrefeu, Sylvie Réol. Direction régionale des antiquités préhistoriques (DRAP) : Gérard Sauzade. Direction régionale des antiquités historiques (DRAH) : Jean-Paul Jacob directeur, Armelle Guilcher, Mireille Pagni, Anne Roth-Congés Institut de recherche sur l'architecture antique (Maison de l'Orient et de la Méditerranée - IRAA)-Centre national de la recherche scientifique (CNRS), Suivez le guide - Monuments Historiques Provence Alpes Côte d’Azur, Marseille, Direction régionale des affaires culturelles et Conseil régional de Provence – Alpes - Côte d’Azur (Office Régional de la Culture), 1er trimestre 1986, 198 p. (ISBN 2-906035-00-9)
    Guide présentant l'histoire des monuments historiques ouverts au public en Provence – Alpes – Côte - d'Azur, avec cartes thématiques (traduit en allemand et anglais en septembre 1988). Valdeblore, p. 80
  • Association Saint Jean le Vieux, Peintures murales décors peints, Vallée de la Tinée, Alpes-Maritimes, Association Saint Jean le Vieux, 18 p.
    *La Tour-sur-Tiné; *Clans; *Valdeblore Saint-Dalmas; *Roure; *Roubion; *Saint-Étienne-de-Tinée; *Quelques saints représentés dans les vallées de la Tinée; *Les chapelles peintes de la Vallée de la Tinée
  • Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
  • Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
  • Cavités souterraines naturelles

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]