Salles-d'Angles
Salles-d’Angles | |||||
La mairie de Salles-d'Angles. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Cognac | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Grand Cognac | ||||
Maire Mandat |
Marcel Géron 2020-2026 |
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Code postal | 16130 | ||||
Code commune | 16359 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Salléens | ||||
Population municipale |
1 011 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 46 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 37′ 09″ nord, 0° 19′ 55″ ouest | ||||
Altitude | Min. 11 m Max. 87 m |
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Superficie | 21,8 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Cognac (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Charente-Champagne | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Salles-d'Angles est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Ses habitants sont les Salléens et les Salléennes[1].
Géographie
Localisation et accès
Salles-d'Angles est une commune située à l'ouest du département de la Charente limitrophe de la Charente-Maritime, à 9 km au sud de Cognac et 38 km à l'ouest d'Angoulême.
La commune est située en Grande Champagne, premier cru du cognac. Elle est formée de la fusion des communes de Salles et d'Angles en 1856.
Le bourg de Salles-d'Angles est aussi à 9 km à l'ouest de Segonzac, le chef-lieu de son canton, 11 km au nord d'Archiac, 14 km au sud-ouest de Jarnac, 17 km à l'est de Pons et 21 km au nord-ouest de Barbezieux[2].
Salles-d'Angles est située sur la D 731, route de Cognac à Bordeaux par Barbezieux, entre Cognac et Archiac, qui traverse la commune du nord au sud et passe au bourg[3].
La gare la plus proche est celle de Cognac, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Saintes, Royan et La Rochelle avec correspondance à Angoulême pour Paris, Bordeaux, Poitiers et Limoges, et à Saintes pour Niort.
Hameaux et lieux-dits
Le village d'Angles est situé au sud de la commune. La route longeant le Né comporte aussi d'autres hameaux : les Lambert, le Maine Neuf, Mauriac, etc. Les autres hameaux de la commune sont Pruneau à l'ouest, les Egaux, Treillis au nord, etc. Le bourg est aggloméré d'autres hameaux : les Gaboriauds, Chez Boureau, les Morfilles, les Vallades[3].
Communes limitrophes
Géologie et relief
Comme toute cette partie rive gauche de la Charente entre Angoulême et Cognac, c'est une zone crétacée avec cuestas, des calcaires du Santonien jusqu'à Segonzac puis vers le sud une zone de Campanien.
Le Santonien occupe l'extrémité septentrionale de la commune. Il correspond à la plaine de Châteaubernard. La grande partie méridionale est occupée par le Campanien, calcaire plus crayeux, qui donne les paysages de Champagne dans cette partie des Charentes.
À l'intérieur du Campanien, une cuesta faisant face au nord traverse la commune d'est en ouest, entre Treillis et Genté. Cet escarpement caractéristique traverse tout le département et va vers le sud-est en direction de Segonzac, Bouteville, Jurignac, Plassac-Rouffiac, et Gurat. Dans la commune, il sépare au nord la plaine de Cognac de la Champagne au sud, et marque le bord de la vallée du Né à l'ouest. Celle-ci est occupée par des alluvions du Quaternaire[4],[5],[6].
Hormis une petite partie nord occupée par la plaine, le relief de la commune est donc assez vallonné. La vallée du Né occupe la bordure occidentale. Le point culminant de la commune est à une altitude de 87 m, situé à l'est du bourg à un ancien moulin à vent ruiné. Le point le plus bas est à 11 m, situé le long du Né en aval de Mauriac. Le bourg est à environ 45 m d'altitude[3].
Hydrographie
La commune est bordée au sud-ouest par le Né, affluent de la Charente en rive gauche et qui fait aussi la limite de département[3].
Climat
Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain, et semblable à celui de la ville de Cognac où est située la station météorologique départementale.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 2 | 2,8 | 3,8 | 6,2 | 9,4 | 12,4 | 14,4 | 14 | 12,1 | 8,9 | 4,7 | 2,6 | 7,8 |
Température moyenne (°C) | 5,4 | 6,7 | 8,5 | 11,1 | 14,4 | 17,8 | 20,2 | 19,7 | 17,6 | 13,7 | 8,6 | 5,9 | 12,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 8,7 | 10,5 | 13,1 | 15,9 | 19,5 | 23,1 | 26,1 | 25,4 | 23,1 | 18,5 | 12,4 | 9,2 | 17,7 |
Ensoleillement (h) | 80 | 103,9 | 153,3 | 184,5 | 204,9 | 239,6 | 276,4 | 248,3 | 199,4 | 159 | 96,8 | 78,8 | 2 024,9 |
Précipitations (mm) | 80,4 | 67,3 | 65,9 | 68,3 | 71,6 | 46,6 | 45,1 | 50,2 | 59,2 | 68,6 | 79,8 | 80 | 783,6 |
Urbanisme
Typologie
Salles-d'Angles est une commune rurale[Note 1],[8]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cognac, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (92,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (51,1 %), terres arables (22,2 %), zones agricoles hétérogènes (15 %), zones urbanisées (5,1 %), forêts (2,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,1 %), prairies (0,1 %)[13].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Le nom de la commune est attestée par la forme ancienne latinisée de Salis in Campania (« Salles en Champagne », non datée, antérieure au XVe siècle)[14].
Le mot Salles qui a donné son nom à de nombreuses communes du sud de la France (La Salle, Les Salles, Lasalle, Lassalles, Salles, etc.) dériverait du germanique seli, en allemand saal, désignant « chambre, château »[15],[Note 3].
Le nom du village d’Angles existait au XIIe siècle, et n'est donc pas imputable aux Anglais[16].
La commune est créée Salles en 1793 à partir du nom de la paroisse. En 1856, Salles absorbe la petite commune d'Angles[17]. La carte d'état-major (XIXe siècle) affiche encore séparément Salles et Angles[18].
Histoire
Les fossés circulaires protohistoriques de Champ Commun et du Grand Peu de Sang, les divers vestiges de constructions gallo-romaines sur le plateau des Tubias et aux lieux-dits le Pont Neuf et la Guignère signent l'ancienneté de l'occupation[19]. Le chemin Boisné, ancienne voie romaine de Saintes à Périgueux, limite la commune au nord sur 700 mètres.
Trois camps romains ou médiévaux étaient encore visibles au début du XXe siècle : le Cot de Reigner, le Chiron de Miot et le Terrier de Cot[20].
La seigneurie de Salles était ancienne. Ce fut d'abord une descendance des châtellenies de Cognac et de Merpins, fiefs des comtes d'Angoulême. Elle en fut détachée après la mort de Guy de Lusignan en 1309, le comté d'Angoumois revenant au royaume de France. Jeanne de Lusignan, gérant cette succession avec le roi de France et héritière de son frère Guy des terres de Salles et Genté, légua par testament la baronnie de Salles à son petit-fils Geoffroy de Mortemer (orthographié Mortimer en Angleterre).
Après le traité de Brétigny où l'Angoumois et la Saintonge au nord de la Charente ont été rétrocédés aux Anglais (qui possédaient déjà la Saintonge au sud du fleuve), Geoffroy de Mortimer dut rendre hommage en 1363 à Saintes au représentant du roi d'Angleterre pour ses terres de Salles et de Genté[20],[21].
Le château de Salles a été détruit pendant la guerre de Cent Ans. En 1534, la dernière descendante des Mortimer épouse Louis de La Rochefoucauld, baron de Montendre, et c'est son fils, Gaston de La Rochefoucauld, qui aurait reconstruit le château entre 1586 et 1587[22].
Au XVIIe siècle, les terres de Salles et Genté passèrent ensuite par mariage au capitaine Alexandre de Galard de Béarn, comte de Brassac, lieutenant-colonel du régiment de Navarre[23]. Pendant les troubles de la Fronde, le comte de Brassac seconda brillamment le comte d'Harcourt dans sa campagne contre le prince de Condé.
À la fin du XVIIe siècle, la terre de Salles fut acquise par Marie-Françoise de Rochechouart de Mortemart[Note 4], dame de Tonnay-Charente, qui avait épousé Jean-Charles de Talleyrand-Périgord, prince de Chalais. La famille de Talleyrand conserva la possession des terres de Salles et de Genté jusqu'à la Révolution[20].
Le château comprenait, d'après un document de 1714, une maison de maître en mauvais état, un pavillon, un chai, une écurie et des toits, un jardin et deux pigeonniers[réf. nécessaire]. Le 22 ventôse an II il est réparti en six lots. Il n'en reste que le puits qui porte la date 1586 et ce que l'on appelle le « pavillon »[réf. nécessaire].
Les premiers registres de l'état civil de Salles ne remontent qu'à 1701[20].
Les nombreux moulins sur le Né existent depuis fort longtemps puisque six sont notés sur la carte de Cassini.
Au début du XXe siècle, l'industrie étaient encore représentée par les quelques moulins et la distillerie de cognac Lamoureux[20].
Les Templiers et les Hospitaliers
La commanderie d'Angles, d'abord aux Templiers avant d'être dévolue aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, date du XIIe siècle.
Héraldique
Les armoiries de Salles-d'Angles se blasonnent ainsi : |
Administration
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25].
En 2021, la commune comptait 1 011 habitants[Note 5], en évolution de −2,41 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
D’après le recensement Insee de 2007, Salles-d'Angles compte 1 092 habitants (soit une diminution de 3 % par rapport à 1999).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 25,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 34,9 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 501 hommes pour 517 femmes, soit un taux de 50,79 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Remarques
Salles a absorbé Angles en 1856[17].
Économie
Agriculture
La viticulture est une activité importante de Salles-d'Angles, qui est située dans la zone d'appellation d'origine contrôlée cognac, en Grande Champagne, premier cru classé du cognac[29].
De petits producteurs de cognac, de pineau des Charentes et de vin de pays sont installés dans la commune.
Équipements, services et vie locale
Enseignement
L'école est un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) entre Angeac-Champagne, Salles-d'Angles et Saint-Fort-sur-le-Né. Angeac-Champagne accueille l'école maternelle tandis que Salles-d'Angles et Saint-Fort-sur-le-Né se partagent les classes de l'école élémentaire. L'école de Salles d'Angles se nomme Jean-Monnet, elle est située rue de la Grande-Champagne. Le secteur du collège est Segonzac[30].
Culture
Le musée Gaston-Grégor aménagé dans les anciennes écuries et dépendances du presbytère qui ont été construites en 1789 : c'est le musée de la vie rurale au XIXe siècle avec les vieux outils de l'agriculture, la viticulture et l'artisanat, une collection de pierres taillées, des documents d'histoire locale et la reconstitution de la pièce unique où vivait un laboureur à bras en 1789.
Lieux et monuments
Patrimoine religieux
L'ancienne commanderie de Templiers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem date du XIIe siècle. Elle est située à Angles[31].
L'église paroissiale Saint-Maurice date initialement du XIIIe siècle. Détruite pendant les guerres de Religion, elle a été reconstruite en 1664 en style gothique, puis fortement restaurée au XIXe siècle[32]. Elle est inscrite monument historique depuis 1991[33].
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Vue latérale.
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La façade et le clocher.
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Le portail.
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Tourelle latérale.
Patrimoine civil
- Le pont du XVIe siècle, situé à Angles, possède deux arches plein cintre et porte un blason à croix de Malte renversée avec six molettes posées[34].
- Les moulins à eau et à vent[35], avec notamment le moulin de Villars[36] datant de la première moitié du XVIIIe siècle et propriété du groupe Boinaud, dominant la commune à l'est au bord du Bois d'Angeac.
- Le lavoir au lieu-dit Chez Bourreau[35].
- Le château du Coureau, domaine viticole, architecture du XIXe siècle.
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Pont médiéval à Angles.
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Puits au bourg.
Personnalités liées à la commune
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Voir aussi Salles-de-Barbezieux,Salles-Lavalette et Salles-de-Villefagnan dans le même département.
- Martin-Buchey orthographie Rochechouart de Mortimer, la confusion était facile ici, mais les origines respectives des deux familles sont Mortemer (Normandie) et Mortemart (Limousin).
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous Géoportail
- Carte du BRGM sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Cognac », sur Infoterre (consulté le )
- « Cognac, Charente(16), 30m - [1961-1990] », sur infoclimat.fr (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 369
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 580.
- Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Carte d'État-Major sous Géoportail
- Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 206
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 372
- Jean-Marie Ouvrard, « Mortemer - Blasons de Charente », (consulté le )
- Jean-Paul Gaillard, Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente, Paris, librairie Bruno Sepulchre, (réimpr. 2005), 893 p. (OCLC 908251975, présentation en ligne), p. 730-731
- Jean-Marie Ouvrard, « Galard de Béarn », (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Salles-d'Angles (16359) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
- [PDF] Union générale des viticulteurs pour l'AOC Cognac, « Liste des communes par circonscriptions », (consulté le )
- Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
- « Commanderie d'Angles », notice no IA00042314, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Église Saint-Maurice (notice) », notice no IA00042313, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Église Saint-Maurice », notice no PA00104572, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Pont d'Angles », notice no IA00042338, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Salles-d'Angles », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Thumbnail », sur www.culture.gouv.fr (consulté le )
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- « Salles-d'Angles », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
- Catillus Carol, « Salles-d'Angles », (consulté le )