Birac (Charente)

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Birac
Birac (Charente)
Mairie de Birac.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Cognac
Maire
Mandat
Ludovic Pasierb
2020-2026
Code postal 16120
Code commune 16045
Démographie
Gentilé Biracois
Population
municipale
369 hab. (2021 en augmentation de 0,82 % par rapport à 2015)
Densité 31 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 33′ 40″ nord, 0° 03′ 43″ ouest
Altitude Min. 49 m
Max. 131 m
Superficie 11,84 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Angoulême
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Charente-Champagne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Birac
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Birac
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Birac
Liens
Site web www.mairiebirac16.fr

Birac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont appelés les Biracois et les Biracoises[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Birac est une commune située à 4 km au sud de Châteauneuf-sur-Charente et 20 km au sud-ouest d'Angoulême.

Birac est située sur la D 14, la route de Châteauneuf à Barbezieux; Barbezieux est à 12 km au sud[2].

La N 10 entre Angoulême et Bordeaux passe à 2,6 km au sud-est du bourg. La D 10, de Jarnac à Aubeterre par Châteauneuf, Blanzac et Montmoreau traverse l'est de la commune, et permet de rejoindre la N.10 à Jurignac[3].

D'autres routes départementales de moindre importance traversent la commune.

La gare la plus proche est celle de Châteauneuf, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Cognac, Saintes et Royan.

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Hormis le bourg, la commune compte quelques hameaux, comme la Galacherie et la Croix Nouveau au nord le long du chemin Boisné, la Pouyade, Bussac et les Bouries à l'est. Il y a aussi de nombreuses fermes[3].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Les vignobles.

La commune occupe un plateau calcaire datant du Crétacé, qui s'étage entre l'Angoumien (ou Turonien) au nord et le Campanien au sud, en passant par le Coniacien et le Santonien qui occupent le centre de la commune.

Le territoire communal occupe un palier entre deux cuestas qui regardent vers le nord-est. La première, en limite nord-est de la commune et peu marquée dans la commune, sépare le Turonien inférieur du Turonien supérieur (calcaire plus dur), et forme le bord sud de la vallée de la Charente. On retrouve cet escarpement plus nettement vers l'est en direction de Claix, La Couronne et le plateau d'Angoulême, et vers l'ouest en direction de Saint-Même-les-Carrières. La deuxième cuesta, sur la limite sud de la commune, plus haute, est dans le Campanien et va vers l'ouest en direction de Bouteville et Segonzac, et vers l'est en direction de Jurignac, Plassac-Rouffiac et Villebois-Lavalette[4],[5],[6].

Le relief de la commune est celui d'un bas plateau d'une altitude moyenne de 80 m, entouré au sud-est et au sud-ouest par des hauteurs de plus de 100 m formées par la cuesta du Campanien. Le point culminant de la commune est à une altitude de 131 m, situé près de la limite sud à Puycaillon. Le point le plus bas est à 49 m, situé en limite nord-ouest le long du ruisseau du Biau. Le bourg est à 75 m d'altitude[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Birac.

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Aucun cours d'eau permanent n'est répertorié sur la commune[8],[Carte 1].

On peut cependant signaler le ruisseau du Biau, en limite nord-ouest, à sec la plupart du temps dans la partie communale, qui se dirige vers le nord vers Châteauneuf où il se jette dans la Charente[3].

Climat[modifier | modifier le code]

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Birac est une commune rurale[Note 1],[9]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (44 %), terres arables (28,6 %), zones agricoles hétérogènes (17 %), forêts (7,3 %), mines, décharges et chantiers (3,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Birac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Birac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 29,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 162 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 42 sont en aléa moyen ou fort, soit 26 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[18].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[15].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[19].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de Birac n'a pas tellement évolué, puisqu'une forme ancienne est de Biraco en 1291[20].

L'origine du nom de Birac remonterait à un nom de personne gallo-roman ou gaulois Birus auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait au « domaine de Birus »[21],[22].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le chemin de la Faye.

La commune est traversée par le chemin Boisné, ancienne voie romaine de Saintes à Périgueux passant par Villebois-Lavalette, et le chemin de la Faye, chemin antique parallèle passant sur les hauteurs et faisant la limite communale avec Malaville[3].

Au Moyen Âge, la paroisse de Birac comptait de nombreux fiefs. Un des plus importants était les Beauries (actuellement les Bouries), dont le logis possède une porte Renaissance qui existe encore, et qui appartenait aux XVe et XVIe siècles à la famille Dussault. Il y avait aussi le Maine Charles près du bourg et le Rosier au nord[23]. Le logis des Gilberts date du XVIIe siècle[24].

Administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1982 2014 Jean-Marie Parenteau PS Viticulteur retraité
2014 2020 Claude Guiard[25]   Ancien ouvrier
2020 En cours Ludovic Pasierb Horizons Professeur de menuiserie
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[27].

En 2021, la commune comptait 369 habitants[Note 3], en augmentation de 0,82 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
230223275318311362332332378
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
396380352312306246244246252
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
260278246268282267277291256
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
246237221234214245248333366
2020 2021 - - - - - - -
369369-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,1 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 18,5 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 190 hommes pour 174 femmes, soit un taux de 52,2 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
0,0 
7,3 
75-89 ans
5,7 
11,4 
60-74 ans
11,9 
22,8 
45-59 ans
21,6 
23,3 
30-44 ans
29,5 
11,4 
15-29 ans
10,8 
23,3 
0-14 ans
20,5 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

Vignobles vus du chemin de la Faye.

La viticulture occupe une grande partie de l'économie. Birac est située en Petite Champagne, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[32].

Certains producteurs vendent cognac, pineau des Charentes et vin de pays à la propriété.

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église Notre-Dame.

L'église paroissiale Notre-Dame date probablement du XIIIe siècle. Dévastée par les protestants durant les guerres de religion[Note 4], sa toiture n'a été refaite qu'en 1630. Son chevet a été renové au XVe ou XVIe siècle, en croisée d'ogives à huit nervures. La façade a aussi été remontée à cette époque. Le clocher écroulé n'a pas été remonté. Plus récemment, sa nef a été revoûtée en 1900[33],[34].

La cloche date de 1879 et a été fondue à Saint-Émilion. Le mobilier de l'église comporte aussi de nombreux objets, dont des tableaux, un vitrail de 1883, un autel en marbre, une statue de la Vierge à l'Enfant du XVe siècle[35].

Une fontaine de guérison se trouvait toute proche, réputé pour la cicatrisation des plaies, et on suppose que la niche creusée dans un des contreforts du chevet abritait une statuette[34].

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

La commune compte de nombreux logis datant du XVIIe siècle, et remaniés au XIXe siècle : les logis de la Cure[36], des Gilberts[24], le Maine Charles[37] et le Rosier[38],[39].

Le logis des Bouries comporte encore quelques parties du XVe siècle, mais a été agrandi les siècles suivants, dernièrement au XIXe siècle[40].

De nombreuses fermes charentaises avec cour et portail datent du XVIIe au XIXe siècle, comme à la Gallacherie[41].

Un lavoir communal complète le patrimoine[42].

Maisons et pigeonnier.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. En 1568 en Charente.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Birac » sur Géoportail (consulté le 20 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b c d et e Carte IGN sous Géoportail
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Cognac », sur Infoterre (consulté le ).
  7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Birac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  9. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Birac », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Birac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  20. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 216,238,239,283
  21. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  22. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 85.
  23. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 82
  24. a et b « Logis des Gilberts », notice no IA00041580, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  25. « Charente Libre : l'actualité de la Charente en direct », sur CharenteLibre.fr (consulté le ).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Birac (16045) », (consulté le ).
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  32. [PDF] Union générale des viticulteurs pour l'AOC Cognac, « Liste des communes par circonscriptions », (consulté le ).
  33. « Église Notre-Dame », notice no IA00041583, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  34. a et b Christian Gillet, Églises et chapelles de la Charente, imprimé à Rioux-Martin, Le vent se lève, , 387 p. (ISBN 978-2-7466-7404-2), p. 73-74
  35. « Église Notre-Dame », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  36. « Logis de la Cure », notice no IA00041577, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  37. « Le Maine Charles », notice no IA00041581, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  38. « Le Rosier », notice no IA00041582, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  39. Jean-Paul Gaillard, Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente, Paris, librairie Bruno Sepulchre, (réimpr. 2005), 893 p. (OCLC 908251975, présentation en ligne), p. 125-127
  40. « Logis des Bouries », notice no IA00041576, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  41. « Fermes de Birac », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  42. « Lavoir », notice no IA00041575, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]