Saint-Clément-Rancoudray

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Saint-Clément-Rancoudray
Saint-Clément-Rancoudray
L'église Saint-Clément.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Avranches
Intercommunalité Communauté d'agglomération Mont-Saint-Michel-Normandie
Maire
Mandat
Jean-Paul Brionne
2020-2026
Code postal 50140
Code commune 50456
Démographie
Population
municipale
547 hab. (2021 en augmentation de 0,37 % par rapport à 2015)
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 40′ 28″ nord, 0° 53′ 12″ ouest
Altitude Min. 225 m
Max. 321 m
Superficie 32,10 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Mortainais
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-Clément-Rancoudray est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 547 habitants[1]. Les deux villages n'ont cessé de fusionner et de se séparer au fil des siècles.

Géographie

Couvrant 3 210 hectares, le territoire de Saint-Clément-Rancoudray était le plus étendu du canton de Mortain. Elle se situe à une altitude importante avec nombre de lieux au-dessus de 300 m. Les hivers jusque dans les années 1980 voyaient souvent la neige : les coupures électriques, les routes coupées pour les bus et le laitier étaient récurrentes. La commune est traversée par la Cance mais bordée au nord par les vallées de la Sée et au sud par celle de la Sélune qui ne se rejoignent que dans la baie du Mont-Saint-Michel. Elle est aussi brièvement traversée dans sa partie sud en bordure de la forêt de Bourberouge par le GR 22 Paris - Mont-Saint-Michel, dans sa partie ouest par le GRP des Granitiers, ainsi que par l'ancienne voie de chemin de fer entre Sourdeval et Le Neufbourg, reconvertie en voie verte.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

  • Moyenne annuelle de température : 10,1 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,8 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,2 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,3 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 072 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 14,7 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,8 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Cornier-des-Landes », sur la commune de Tinchebray-Bocage, mise en service en 1951[9] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10 °C et la hauteur de précipitations de 1 113,2 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Granville – pointe du Roc », sur la commune de Granville, mise en service en 1973 et à 54 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[13] à 11,9 °C pour 1981-2010[14], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[15].

Urbanisme

Typologie

Saint-Clément-Rancoudray est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[16],[17],[18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19],[20].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (97,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (78,8 %), zones agricoles hétérogènes (16,3 %), terres arables (2,6 %), forêts (2,3 %)[21].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous la forme ecclesia de Sancto Clemente en 1412[23], Saint-Clément en 1801[24], Saint-Clément-Rancoudray en 1972.

L'église est dédiée à Saint Clément de Metz.

Rancoudray : de l'ancien français coudre « coudrier » précédé de l'adjectif rond, signifiant « le lieu rond planté de coudriers »[25].
Voir les précisions sur la section toponymie de la page Rancoudray.

Histoire

Moyen Âge

En 1130 est fondé le prieuré de Moutons, par Henri Ier d'Angleterre, dans la lande marécageuse qui fait alors partie de la forêt de la Lande Pourrie[26].

D'après la légende et les différentes notices que l'on trouvait dans l'église dont certaines datent des années 1950, puis 1970, puis 1980 (réimpression à l'époque du père Pascal), le nom de Rancoudray serait rattaché à son histoire. L'étymologie alors proposée, ran : « bélier », et coudray : « noisetier », contredite par les experts actuels. On notera qu'en allemand Rammbock désigne un bélier (outil), et ram en anglais le bélier animal, ce qui a pu conduire à l'étymologie présentée par les notices et placards à disposition dans l'église. Elle traduisait la légende des origines illustrées par un des vitraux : Rancoudray est à l'origine un sanctuaire marial dédié à Notre-Dame de Pitié. En effet, un berger à la recherche d'un bélier égaré l'aurait retrouvé dans un massif de noisetiers, au pied d'une statue. À la suite de cette découverte, le prieuré de Moutons (sur la commune de Saint-Clément) aurait voulu l'accaparer mais la statue serait revenue sur ce lieu ou l'on édifia donc une chapelle 1160/1170[27]. Un pèlerinage s'est alors perpétué au long des siècles, vivace jusque dans les années 1980 où l'on chantait encore les vêpres l’après-midi. La statue est toujours visible à gauche du chœur, pietà qui fait ressentir la douleur d'une mère tenant son enfant mort sur ses genoux. C'est le plus ancien pèlerinage connu de la Manche[28] et peut-être de Basse-Normandie après le mont Saint-Michel (709).

La pietà actuelle est datée du XVe siècle, ce ne serait donc pas celle de la légende[29].

La chapelle fut rattachée à Moutons en 1649 lors de la création de cette paroisse de Rancoudray qui ne vécut que quelques dizaines d'années pour être fusionnée à Moutons en 1686. Le culte cesse à la chapelle en 1777. Elle fut rattachée à Saint-Clément en 1792[réf. incomplète][30].

Le pèlerinage aurait été connu de Saint Louis. Selon le sacristain en place vers 1980, il aurait fait don d'une chasuble ou d'une étole lors d'un déplacement[31]. Saint Louis connaissait Mortain puisqu'il en fit don à son oncle remuant pour s'attirer en vain sa reconnaissance. Une étole du XVIIe siècle est classée à titre d'objet aux Monuments historiques[32]

XIXe et XXe siècles

En 1861, Saint-Clément (1 844 habitants en 1856) cède la partie sud de son territoire pour la création de la commune de Rancoudray (soit 403 habitants)[24],[33].

Plus récemment, lors de la bataille de Mortain, plusieurs familles sont parties en exode vers l'Orne. Ainsi, la famille Heuzé (Bel-Air) s'est déplacée jusqu'à la Sauvagère, emmenant une charrette chargée du principal, les deux enfants de 3 ans et 6 ans, la mère et la grand-mère. À leur retour, le pignon ouest de la maison avait été touché par les bombes. Dans les années 70, d'après les occupants, on trouvait encore des balles et même un reste de baïonnette.

Quant à la forêt de la Lande Pourrie qui borde la commune, entre la Fosse-Arthour et l'abbaye Blanche, elle a été identifiée par des universitaires de Caen comme pouvant avoir servi de modèle à celle des légendes arthuriennes par Chrétien de Troyes, mais aussi à Robert Wace (Gilles Susong)[34], recoupant ainsi les thèses de René Bansard. Mais elle recèle surtout de trous et puits de mine datant de l'exploitation des mines de fer (forêt du domaine de Bourberouge, Barenton et Saint-Jean-du-Corail, voir surtout cette page). La soute à explosif en limite sud-est de la commune, non loin de la route a été rasée dans les années 2000. En limite sud-ouest, sur la même forêt, c'est le chêne à la vierge qui a été abattu lors de l'exploitation de la parcelle adjacente. La Brousse à l'ouest puis les Renardieres (Bel-air), mais aussi les fieffes sur des communes adjacentes, sont autant de nom de champs ou de lieudits trahissant dans cette partie des défrichements plus ou moins récents, visibles parfois par les écarts des champs ou de la forêt qui faisait la limite en des temps anciens : la forêt de la Lande Pourrie s'étalait alors jusqu'à Tinchebray sur la quasi-totalité de la commune.

Le carrefour des Gigannières était dans les années 1950 un lieu fréquenté où se tenait un bar, mais aussi un charron, avec forge, atelier de menuiserie et banc de scie pour débiter des grumes. L'ensemble était tenu par la famille Marie (Rémy et Thérèse, derniers exploitants)

L'est de Saint-Clément était très proche des fours des potiers du Placitre (actuel musée de la poterie) auxquels elle fournissait de la main d'œuvre. Le nom du Placitre pourrait être rapproché du prieuré de Moutons, à 1,5 km. Le placitre est un terrain vague où se tiennent des assemblées. En Bretagne, c'est le terrain enclos autour d'une chapelle, d'une eglise.

Quant au hameau de Bel air, il suffit de s'y trouver, dans la perspective de la vallée de la Meude, pour comprendre son nom, face à la vallée de la Sélune qui se déroule et permet de voir au-delà des crêtes du Teilleul, ce qui explique aussi les tirs d'artillerie lors de la bataille de Mortain.

En 1973, les deux communes fusionnent à nouveau, Rancoudray gardant le statut de commune associée. La fusion devient totale le 1er janvier 2015[35].

Politique et administration

Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1989[36] En cours Jean-Paul Brionne[37] SE Entrepreneur travaux publics
Les données manquantes sont à compléter.

Le conseil municipal est composé de quinze membres, dont le maire et deux adjoints[37].

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[39].

En 2021, la commune comptait 547 habitants[Note 7], en augmentation de 0,37 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Saint-Clément a compté jusqu'à 1 444 habitants en 1856, mais les deux communes, séparées en 1861, totalisaient 1 503 habitants en 1876 (1 080 pour Saint-Clément, 423 pour Rancoudray).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1901 2241 2741 3321 4231 3531 3951 4171 434
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 4441 0261 0611 0491 080987947967883
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
840821826753743761719740750
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
647640736763667581541535536
2015 2020 2021 - - - - - -
545547547------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution démographique de Rancoudray entre 1861 et 1973
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
403428443423418400404
1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931
383331340337286287256
1936 1946 1954 1962 1968 - -
269234247235192--
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes.
(Sources : EHESS[33])

Économie

Lieux et monuments

Vue aérienne de Rancoudray et son église.
  • Église paroissiale de l'Assomption à Rancoudray, reconstruite au début du XXe siècle. Elle abrite un tableau du XVIIe siècle (saint Stanislas Kostka communié par un ange) classé à titre d'objet aux Monuments historiques[41], mais aussi une pieta en pierre polychrome du XVe siècle, à l'inventaire du CAOA de la Manche[29], accompagnée des fonts baptismaux et d'une bannière. Ces fonts proviennent de l'ancien prieuré royal de Moutons[29], curieux retour des choses au regard de la piéta de la légende que le prieuré avait tenté de s'attacher en vain.
  • le monument aux morts, en contrebas de cette église, construit avec les pierres de la chapelle précédente, sur le lieu de celle-ci, et où se tiennent les pèlerinages.
  • Église néogothique de Saint-Clément (XIXe siècle).
  • De nombreux calvaires attestent du passé de Saint-Clément-Rancoudray, datant pour certains du XVIIe siècle.
  • Il y a aussi à Saint-Clément-Rancoudray l'abbaye bénédictine de Moutons, qui fut fondée au XIIe siècle. Les bâtiments que l'on peut actuellement observer sur place datent du XVIIe siècle. Cette abbaye fut plus tard transférée à Avranches en 1693.
  • Dans la forêt de la Lande Pourrie à Rancoudray se trouvent, perdus et souvent inaccessibles, des vestiges préhistoriques et antiques, tel que le dolmen de la Roche-Grise.

Durant la Révolution, de nombreux hommes d'Église de Mortain et des alentours y trouvèrent refuge[42].

Activité et manifestations

Fêtes patronales le (le jour de la Saint Clément), et le 15 août.

Personnalités liées à la commune

Voir aussi

Notes et références

Notes

  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

  1. Population municipale 2021.
  2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
  9. « Station Météo-France Saint-Cornier-des-Landes - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Orthodromie entre Saint-Clément-Rancoudray et Tinchebray-Bocage », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France Saint-Cornier-des-Landes - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Orthodromie entre Saint-Clément-Rancoudray et Granville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  14. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  15. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  23. Ernest Nègre - 1998 - Toponymie générale de la France: Tome 3, page 1536, (ISBN 2600028846).
  24. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
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  28. http://le-petit-manchot.fr, « CC 28.08 Rancoudray Sanctuaire | CC | Le Petit Manchot | histoire patrimoine personnage », sur www.le-petit-manchot.fr (consulté le ).
  29. a b et c « Objets d'Art, Patrimoine, Musée, Musées de la Manche », sur objet.art.manche.fr (consulté le ).
  30. Le site internet de la CAOA 50 (conservation des antiquités et objets d'arts) en utilisant la recherche "d'objets par édifice" puis en cliquant sur l'échelle des communes pour aller sur Saint-Clément-Rancoudray".
  31. http://www.saint-georges-de-rouelley.a3w.fr/Donnees/Structures/80318/Upload/192424.pdf
  32. « Chasuble, étole, manipule », notice no PM50001508, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  33. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Rancoudray », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
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  36. « Jean-Paul Brionne réélu maire pour un 5e mandat », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
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  38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  41. « Tableau : Saint Stanislas Kotska communié par un ange », notice no PM50001512, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  42. Gilles Buisson et Léon Blouet, La Petite Église dans le sud de la Manche ; le culte clandestin à Rancoudray et Saint-Clément pendant la Révolution, 28 p., Imprimerie Lechaplais, Saint-Hilaire, 1964 (extrait de la Revue de l'Avranchais, t. 41, p. 183-210, 1964)

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