Barenton

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Barenton
Barenton
L'église paroissiale Notre-Dame-de-l'Assomption.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Avranches
Intercommunalité Communauté d'agglomération Mont-Saint-Michel-Normandie
Maire
Mandat
Stéphane Lelièvre
2020-2026
Code postal 50720
Code commune 50029
Démographie
Gentilé Barentonnais
Population
municipale
1 171 hab. (2021 en diminution de 1,6 % par rapport à 2015)
Densité 34 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 35′ 57″ nord, 0° 49′ 55″ ouest
Altitude Min. 88 m
Max. 297 m
Superficie 34,88 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Mortainais
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.barenton.fr

Barenton (prononcé [baʁɑ̃tɔ̃]) est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 1 171 habitants[Note 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune de Barenton est située au sud-est du département de la Manche, non loin des limites ornaise et mayennaise. Située aux confins du Mortainais et du Domfrontais, elle est au cœur du bocage normand.

L'axe routier principal de Barenton est la route départementale 907. Auparavant classée route nationale 807, celle-ci a été déclassée en RD 907 entre Domfront et Mortain, à la suite de la réforme de 1972. Barenton avait, en commun avec Le Teilleul, une station ferroviaire, dénommée Barenton-Le Teilleul, située sur la ligne Domfront - Avranches. La circulation ferroviaire n'ayant plus cours aujourd'hui sur cette ligne, la voie ferrée a été réaménagée en voie verte, et l'ancienne gare existe toujours, dans le canton de Barenton, sur la commune de Saint-Cyr-du-Bailleul. Elle a été réhabilitée en gite depuis l'année 2012.

Barenton est majoritairement dans le bassin de la Sélune, fleuve côtier, qui délimite le territoire au sud. Plusieurs de ses premiers affluents de rive droite parcourent le territoire communal dont le ruisseau de Chenilly qui marque la limite à l'ouest et le ruisseau du Moulin Richard qui contourne le bourg par le nord. Une frange nord, paradoxalement, correspondant à la zone couverte par la forêt de la Lande Pourrie, est dans le bassin de la Loire par son sous-affluent la Sonce qui rejoint l'Égrenne à Rouellé.

Le point culminant (297 m) se situe au nord, en forêt de la Lande Pourrie. Le point le plus bas (88 m) correspond à la sortie de la Sélune du territoire, à l'ouest. La commune est bocagère.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Bocage normand, bien arrosé, voire très arrosé sur les reliefs les plus exposés au flux d’ouest, et frais en raison de l’altitude[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 944 mm, avec 14,1 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Fraimbault à 16 km à vol d'oiseau[5], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 850,1 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Barenton est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11].

La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (88,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (50,3 %), zones agricoles hétérogènes (26,1 %), terres arables (10,5 %), forêts (10 %), zones urbanisées (2,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,7 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous la forme Barenton en 1180[15], Barentonium (sans date).

L'origine du toponyme n'est pas élucidée. Albert Dauzat et Charles Rostaing conjecturent sur l'anthroponyme latin Barus[16].

René Lepelley émet l'hypothèse que ce toponyme, reposant sur un radical prélatin barant, évoquerait l'eau[17], comme pour Barentin, d'une origine gauloise qui évoque l'eau[18].

Le gentilé est Barentonnais[19].

Histoire[modifier | modifier le code]

Jean de Tréhal, écuyer, seigneur de Laventure, et ses frères, vendirent Barenton aux trois frères Juhé, par contrat passé à Rennes, le , moyennant le prix de 1 460 livres tournois. Jean semble avoir hérité de ses deux frères qui étaient chanoines, et tenu seul la Filolaye, pour laquelle il fut, en 1500, puis 1501, dans la nécessité de contraindre Florentin Girard, seigneur de la deuxième moitié de Barenton, à remettre ses titres pour les soumissions de son fief. L'année suivante, en 1502, il eut un procès avec le même seigneur pour le paiement de huit livres de rente, dues au premier fief de Barenton comme récompense du patronage de l'église, abandonné par lui. Les armoiries de Juhé figuraient encore à la vitre du principal autel de cette même église. Elles étaient d'argent au chevron de gueules, accompagné de trois étoiles de même posées 2 et 1[20].

Vers la fin du XIXe siècle, la famille Parey possédait une bonne partie du bourg et notamment beaucoup de fermes.

Un groupe de soldats américains réunis autour d'un piano en 1944.

Entre le et le , l'un des quarante camps français d'internement pour Tziganes est implantée sur le territoire de la commune[21]. Fait oublié, il est remis en lumière par le MRAP qui milite à partir de 1997, pour l'installation d'une stèle commémorative sur une partie du terrain, achetée par l'association en décembre 2002. Soutenu financièrement par le conseil régional de Basse-Normandie et le conseil général de la Manche, le projet s'est heurté au refus de la municipalité. La stèle sera finalement inaugurée le [22], à proximité de la limite avec Saint-Clément-Rancoudray.

En 1953, Barenton est le cadre des débuts de l'autocross[23]. Par la suite, en 1969, un groupe de cascadeurs amateurs s'est formé : les Fermax, à l'initiative de deux pilotes d'auto-cross (Fernand et Maxime).

Légende[modifier | modifier le code]

Le Centre d'études normand d'anthropologie (CENA), à la suite du professeur Jean-Charles Payen, voit plusieurs éléments de la région qui ont pu contribuer aux légendes arthuriennes, à la suite notamment du passage de Chrétien de Troyes à la cour qu'Aliénor d'Aquitaine tenait à Domfront.

Barenton aurait pu ainsi servir de prototype, entre autres à la fontaine de Barenton. Jean-Charles Payen[24] le rapproche du site du Clos Jean et de la Cour, sur la D 134, à Saint-Cyr-du-Bailleul.

La forêt de la Lande Pourrie et ses cluses dont celle de la fosse Arthour aurait inspiré à Chrétien de Troyes la Gaste Forêt proche de l'abbaye des Blancs Nonnains qui pourrait être inspirée de l'abbaye Blanche.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1794 1798 Pierre François Sérard    
1798 1800 Jean-Baptiste Herbert    
1800 1804 Charles Passays    
1804 1815 Marie Léonor Anne Combray    
1815 1815 Pierre François Sérard   Pendant les Cent Jours
1815 1815[25] Marie Léonor Anne Combray    
1816 1820 J. Passays de Montbenoît    
1820 1823 J.-B. Herbert des Aunais    
1824 1824 Guillaume Bechet    
1824 1832 Théodore Postel    
1833 1849 Louis-Pierre Leroux[26] Conservateur Ancien militaire
1850 1851 Jean-François Laumondaye    
1851 1855 Théodore Postel    
1855 1860 Armand Coquard   1er conseiller municipal, faisant fonction
1860 1865 Sylvain Postel    
1865 1884 Paul Béchet   Notaire
1884 1888 Jean-Jacques Chemin    
1888 mars 1941[27],[28] Louis Béchet Rad.-RG Conseiller général
1941 1945 Alexandre Bonenfant    
1945 1952 Louis Launay    
1952 1983 Émile Bizet UDR puis RPR Vétérinaire, député, conseiller général
Décédé en fonction
1983 mai 2020 Hubert Guesdon[29],[30] UMP-LR Médecin, conseiller général de la Manche
mai 2020[31] En cours Stéphane Lelièvre   Enseignant en architecture
Une partie des données est issue d'une liste établie par Jean Pouëssel et la mairie[19].

Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et trois adjoints[29].

Barenton a été jusqu'en 2015 le chef-lieu d'un canton de quatre communes, constitué de Ger, Saint-Cyr-du-Bailleul et Saint-Georges-de-Rouelley. De 1989 à 2012, Barenton a été rattachée à la communauté de communes de la Sélune, qui a été intégrée dans la communauté de communes du Mortainais au . À plus grande échelle, la commune est incluse dans le Pays de la Baie du Mont-Saint-Michel.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].

En 2021, la commune comptait 1 171 habitants[Note 3], en diminution de 1,6 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Barenton a compté jusqu'à 3 309 habitants en 1806.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
3 1003 1173 3092 9653 1063 0473 0862 9923 009
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 9452 8182 7682 5842 4452 3772 4162 5162 208
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 1002 0912 1311 8211 7381 7851 8261 8421 774
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 6721 5981 4521 5471 4371 3481 2931 2821 214
2017 2021 - - - - - - -
1 1721 171-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Marché le dimanche.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Grâce à la forêt de la Lande Pourrie, où passe le sentier de grande randonnée GR 22, et à un patrimoine bocager typique (pommiers, poiriers), Barenton fait partie du parc naturel régional Normandie-Maine. C'est dans ce cadre qu'on peut trouver à Barenton le musée du poiré, consacré à la tradition cidricole de la région et verger conservatoire.

  • Dolmen de la Roche[19].
  • Château de Bonnefontaine, ancienne propriété de la famille Béchet, qui a abrité un temps la gendarmerie avant de devenir « Point Public »[19].
  • Logis de Passais.
  • Anciens moulins dont celui du Bois.
  • Maison aux linteaux datés dont une de 1769 à Montéglise.
  • Monument de Guillaume Postel devant la mairie.

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

Le portail du cimetière de Notre-Dame de Montéglise.
Détail de la chaire de l'église Notre-Dame-de-l'Assomption.
  • Chapelle Notre-Dame-de-Bonté à Montéglise (XVIe – XVIIe siècles), chapelle (1669), calvaire (XVIIe) et portail (1599) du cimetière, inscrits aux monuments historiques[36]. Elle abrite deux statues classées au titre objet aux monuments historiques, une Vierge à l'Enfant (XIVe)[37] et une Vierge à l'Enfant dite Notre-Dame-la-Sereine ou Notre-Dame-de-Bonté (XVe)[19],[38]. Une troisième statuette classée aux monuments historiques représentant un priant a été volée en 2006[39].
  • Chapelle Sainte-Anne-de-la-Siourie (XVIIe siècle).
  • Chapelle Notre-Dame-de-Pitié (XVIIe siècle) dans l'ancien couvent des Augustines[19].
  • Chapelle du lycée Bizet (1694).
  • Chapelle près du logis de Passais.
  • Église paroissiale néogothique Notre-Dame-de-l'Assomption de la fin du XIXe siècle.
  • Nombreuses croix de chemin en granit.
Pour mémoire
  • Couvent des Augustines[19].

Activité et manifestations[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

L'Union sportive de la Sélune fait évoluer une équipe de football en départemental 4 de division de district[40].

Barenton dispose également d'un club de tennis, le Tennis Club Barenton-Ger créé dans les années 1995.

Culture[modifier | modifier le code]

Depuis 2004, une médiathèque permet la consultation d'ouvrages et CD parmi 4 000 références.

Depuis 2009, un espace public numérique permet d'avoir accès à du matériel informatique et des ateliers spécifiques.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

La famille anglaise de lord Barington prétendait tirer son nom de cette ville[41].

  • Guillaume Postel (1510 au village de la Dolerie à Barenton - 1581)[19] est un orientaliste, philologue et théosophe français de confession catholique. Esprit universel et cosmopolite, Postel est le représentant français le plus caractéristique de la kabbale chrétienne.
  • Catherine Théot (1716 à Barenton - 1794) est une prophétesse auto-proclamée de l'époque de la Révolution française.
  • Siméon Bonnesoeur-Bourginière (1754-1844 à Barenton)[19]. Conventionnel, député, commissaire du département de la Manche, avocat, président du tribunal de Mortain. inhumé dans l'église de Montéglise, il était l'oncle du peintre Géricault.
  • Arthur Legrand (1833-1916), homme politique, conseiller général du canton de Barenton en 1866.
  • Hilaire de Barenton (1864 à Barenton - 1942), de son vrai nom Étienne-Marie Boulé, est un père capucin, historien des langues du Moyen-Orient.
  • Georges Lemare (1917 à Barenton - 1948) est un aviateur français qui s'est distingué au cours de la Seconde Guerre mondiale. Avec 13 victoires aériennes homologuées, il est l'un des premiers as français de la Seconde Guerre mondiale.
  • Émile Bizet (1920-1983), député de la Manche et maire de Barenton de 1962 à 1983.
  • Vladimir Volkoff (1932-2005), écrivain, a vécu à Barenton pendant la Seconde Guerre mondiale.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  5. « Orthodromie entre Barenton et Lieuvillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saint-Fraimbault » (commune de Saint-Fraimbault) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Saint-Fraimbault » (commune de Saint-Fraimbault) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  15. Ernest Nègre - 1990 - Toponymie générale de la France - Page 222 - (ISBN 2600028838).
  16. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
  17. Cahier des Annales de Normandie - René Lepelley - Les noms de communes de l'arrondissement d'Avranches (Manche) - page 561.
  18. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, (ISBN 2-95480-455-4 (édité erroné), BNF 36174448), p. 58.
  19. a b c d e f g h et i Gautier 2014, p. 70.
  20. Jean de Tréhal : Hippolyte Sauvage, Revue historique, archéologique et monumentale de l'arrondissement de Mortain, .
  21. Travail de mémoire mené par le MRAP pour la communauté rom et conflits avec la municipalité de Barenton.
  22. « Une stèle à la mémoire des Tziganes du camp de Barenton », Ouest-France, 19 septembre 2008
  23. Les débuts de l'autocross, www.autocross-france.net.
  24. Jean-Charles Payen, « Les romans arthuriens et la Basse-Normandie (Benoîc et Gaunes en pays domfrontais) », Annales de Normandie, vol. 1, no 2,‎ , p. 488 (lire en ligne, consulté le ).
  25. Décédé en cours de mandat le .
  26. Annuaire du département de la Manche, 12e année, 1840, p 225.
  27. Révoqué en 1941 pour avoir quitté sa commune depuis plusieurs mois.
  28. Camp de Barenton.
  29. a et b Réélection 2014 : « Barenton (50720) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  30. Hubert Guesdon, maire de Barenton, ne se représente pas.
  31. « Stéphane Lelièvre installé maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. « Chapelle Notre-Dame-de-Montéglise », notice no PA00110646, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. « Statue : Vierge à l'Enfant », notice no PM50000053.
  38. « Statue : Vierge à l'Enfant dite Notre-Dame de Bonté ou Notre-Dame la Sereine », notice no PM50000054.
  39. « Statuette : Priant (donateur ?) », notice no PM50000052.
  40. « Site officiel de la Ligue Normandie – US de la Selune » (consulté le ).
  41. Delattre, 2002, p. 19.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 19.
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 70.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]