Ambérac

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Ambérac
Ambérac
Pigeonnier.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Charente
Maire
Mandat
Alain Combaud
2020-2026
Code postal 16140
Code commune 16008
Démographie
Gentilé Ambéracois
Population
municipale
309 hab. (2021 en diminution de 7,76 % par rapport à 2015)
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 51′ 14″ nord, 0° 04′ 00″ est
Altitude Min. 46 m
Max. 101 m
Superficie 12,10 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Boixe-et-Manslois
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Ambérac
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Ambérac

Ambérac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Ambérac est une commune située au nord-ouest de la Charente, à 24 km au nord d'Angoulême et à 6 km au sud-est d'Aigre.

Le bourg est situé au bord de la Charente, sur sa rive droite, en aval de Mansle et en amont d'Angoulême.

Il est aussi à 8 km au nord-ouest de Saint-Amant-de-Boixe, chef-lieu de son canton dont il est la commune la plus au nord, et 9 km à l'ouest de Mansle[1].

À l'écart des routes importantes, la commune est traversée par la D 69 de Marcillac-Lanville à Mansle, route qui franchit la Charente par un pont au bourg. La D 88 relie le bourg à Aigre au nord-ouest et à Xambes au sud-est. La D 737, route d'Angoulême à Aigre et Chef-Boutonne, passe à 3 km au sud-ouest du bourg où elle franchit aussi la Charente au pont de Marcillac-Lanville[2].

La gare la plus proche est celle de Luxé à 5 km, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Poitiers et Bordeaux.

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Au nord-ouest du bourg, le long de l'Aume et de la route d'Aigre, on trouve quelques hameaux alignés comme les Picots, les Citres, les Marais et quelques fermes : le Cambouil, les Thibauds et le Goyaud. À l'est, sur la route de Mansle, on trouve les Granges[2].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes d’Ambérac
Fouqueure Villognon
Marcillac-Lanville Ambérac
La Chapelle Coulonges

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune est sur un socle calcaire datant du Jurassique supérieur (Kimméridgien). Des alluvions datant du Quaternaire couvrent les vallées alluviales de l'Aume et de la Charente, les plus récentes étant dans la partie inondable. On trouve aussi sur certains versants quelques zones de grèzes datant des glaciations du Quaternaire[3],[4],[5].

Le relief de la commune est celui d'un bas plateau et d'un confluent entre deux vallées. Le point culminant de la commune est à une altitude de 101 m, situé sur la limite ouest. Le point le plus bas est à 46 m, situé le long de la Charente sur la limite sud-ouest. Le bourg, construit au bord du fleuve, est à 62 m d'altitude[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par la Charente, l'Aume, un bras de la Charente, un bras de la Charente, un bras de l'Aume, un bras de l'Aume et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 21 km de longueur totale[7],[Carte 1].

La Charente, d'une longueur totale de 381,4 km, prend sa source dans la commune de Saint-Léger-les-Vignes et se jette dans le Golfe de Gascogne, après avoir traversé 117 communes[8]. Le bourg est construit sur sa rive droite, et en aval du confluent de l'Aume, qui arrose le nord de la commune.

L'Aume, d'une longueur totale de 3 km, prend sa source dans la commune de Saint-Léger-les-Vignes et se jette dans la Charente sur la commune, après avoir traversé 11 communes[9].

Gestion des cours d'eau[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[10]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne[6] qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [11].

Climat[modifier | modifier le code]

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Ambérac est une commune rurale[Note 1],[12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13],[14]. La commune est en outre hors attraction des villes[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (75,9 %), zones agricoles hétérogènes (10,9 %), prairies (7,7 %), zones urbanisées (4,5 %), forêts (1 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Ambérac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée)[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Charente et l'Aume. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1999, 2016 et 2021[20],[18].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Ambérac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 88,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 209 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 209 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[18].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le lieu est attesté sous les formes Ambairiaco en 1080[23], Amberaco en 1110[24], Ambariaco en 1274[23], Ambelaco, Amberaco, Ambeyrac, Anbeyrac, Emberaco, Embeyraco au XIIIe siècle[25],[26],[27].

Il s'agit d'une formation toponymique gauloise ou gallo-romane, basée sur le nom d'un homme gaulois Ambarrius, et du suffixe -acum indiquant la propriété[28],[29].

Histoire[modifier | modifier le code]

La commune a été très habitée à l'époque romaine. C'est attesté par plusieurs découvertes ; dans la plaine d'Ambérac, d'un Mercure en bronze, coiffé du pétase ailé[30] ; dans une rue du bourg, on a retrouvé des dalles en pierres avec oculus et un puits carré ainsi que diverses monnaies datant d'Auguste, d'Agrippa, de Marc-Aurèle, de Maximin[31]. Le bourg a aussi livré des lampes, des bêches, et d'autres objets de fer, ainsi qu'un vase en terre grise, une assiette en terre rouge et une petite amphore en verre. Des fragments de mosaïque ont aussi été découverts[32].

Le four circulaire de 1,50 m de diamètre situé près des Granges, les poteries, tuiles et briquettes trouvées dans le même terrain datent de la même époque[33].

Les débris d'une construction antique située au lieu-dit le Four des Fades[Note 2], dont il reste des fragments de murs en petit appareil avec des rangs de briques en cordons et une galerie à voûte cintrée sont cités dans la statistique monumentale de la Charente[34],[35].

Ambérac, qui aurait été construit près de l'ancienne cité d'Oliba[36], dépendait du fief des La Rochefoucauld et des Marcillac et a été un archiprêtré jusqu'à la Révolution.

Il est mentionné pour la première fois comme archiprêtré vers 1035 car la paroisse Saint-Étienne d'Ambérac, vicairie perpétuelle, fut donnée par les comtes d’Angoulême à l'abbaye de Saint-Amant-de-Boixe peu après la fondation de celle-ci, qui y eut une obédience en 1080. L'évêque Girard II confirma ce don en 1117, mais en s’attribuant une redevance annuelle de cinq sous, payable en la fête de Saint-Hilaire. En 1146, le prieur de Lanville, qui y possède déjà quelques droits, la réclame et l'obtient moyennant rente de dix sous d'Angoulême par an, au profit de l'abbaye[26],[37].

Depuis lors, elle est restée constamment dépendante du prieuré conventuel augustin de Lanville.

Entre le Xe et XVIIIe siècles, Ambérac était aussi le siège d'une viguerie, qui rendait la justice localement. Au nombre de six sous les Carolingiens, le comté d'Angoulême comptera une vingtaine de vigueries après son extension au XIe siècle[38].

Le hameau de Villebabou aurait été bâti par l'un des deux Babou qui furent évêques d'Angoulême au XVIe siècle[39], et était une ancienne maison noble appartenant aux évêques[37].

Au XVIIIe siècle, Ambérac, qui dépendait en partie de Marcillac et en partie de Montignac, fut acquis par les La Rochefoucauld[37].

Un souterrain-refuge a été découvert en 1925[40].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Mairie.

Créée Embérac dans le canton de Lanville Marcillac en 1793, elle devient Ambeirac dans le canton de Saint-Amand-de-Boixe en 1801 puis Ambérac.

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1988 ? Jean Joumier    
depuis 2001 En cours Alain Combaud
Réélu pour le mandat 2020-2026 [41]
SE Technicien travaux publics
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants sont appelés les Ambéracois[42].

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[44].

En 2021, la commune comptait 309 habitants[Note 3], en diminution de 7,76 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
585709705780832791759729618
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
613618619647576537522506510
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
490441404399398419386334313
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
317330361338337316314333319
2021 - - - - - - - -
309--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 31,3 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 156 hommes pour 159 femmes, soit un taux de 50,48 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[47]
HommesClasse d’âgeFemmes
2,0 
90 ou +
0,6 
10,6 
75-89 ans
12,3 
18,9 
60-74 ans
18,4 
23,8 
45-59 ans
21,9 
16,9 
30-44 ans
16,3 
13,9 
15-29 ans
10,4 
14,1 
0-14 ans
20,1 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[48]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole, près des Picots. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[49].

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

La poste.

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école est un regroupement pédagogique intercommunal entre Ambérac et Marcillac-Lanville. Marcillac-Lanville accueille l'école élémentaire et Ambérac l'école primaire[50].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Étienne.

L'église paroissiale Saint-Étienne est située au bourg. Elle était un des 13 archiprêtrés de l'Angoumois[51]. Ses parties les plus anciennes remontent au XIe siècle. Remaniée au cours de son histoire, elle a été restaurée aux XVIIIe et XIXe siècles, principalement à la suite de l'effondrement de son clocher en 1724[52].

Elle comporte quatre bas-reliefs remarquables du XIIe siècle, classés monument historique au titre objet depuis 1927, qui représentent l'Annonciation, la Visitation, la Nativité et les Rois mages[53]. Elle possède également un moule à hosties du XIVe siècle classé depuis 1911[54]. La cloche en bronze datant de 1773 est inscrite monument historique depuis 2004[55]

L'église possède aussi un harmonium rénové en .

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Les vestiges gallo-romains, les souterrains mais aussi tout un patrimoine rural de fontaines, maisons, certaines très anciennes.

Des nombreux moulins sur la commune reste le moulin de Brissac qui fonctionne et date du XVIIIe siècle.

Patrimoine environnemental[modifier | modifier le code]

Les berges de la Charente et de l'Aume sont en zone Natura 2000.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • André Savignon, né à Tarbes le , journaliste et un écrivain français, épouse Berthe Desgranges le à Ambérac.
  • Louis Vatrican, né à Monaco le , ingénieur agricole, directeur du Jardin Exotique de Monaco, épouse Suzanne Magnant le à Ambérac.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Four des fées en occitan. D'après la description de Michon, ce serait dans la combe des Versennes Torses, au nord du bourg.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique d'Ambérac » sur Géoportail (consulté le 19 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  2. a b et c Carte IGN sous Géoportail
  3. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Mansle », sur Infoterre, (consulté le ).
  6. a et b « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  7. « Fiche communale d'Ambérac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  8. Sandre, « la Charente »
  9. Sandre, « l'Aume »
  10. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  11. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur eau-grandsudouest.fr (consulté le ).
  12. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a b et c « Les risques près de chez moi - commune d'Ambérac », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur www.charente.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Ambérac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  23. a et b Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. II, Angoulême, imprimerie Roux et Despujols, , 588 p., p. 80
  24. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 125
  25. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 278, 284
  26. a et b René Fontroubade, « L'Archiprêtré d'Ambérac »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Histoires du Pays d'Aigre, (consulté le )
  27. Catillus Carol, « Ambérac », (consulté le ).
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  29. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 1 : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 193), , 1869 p. (ISBN 978-2-600-02884-4, lire en ligne), p. 481.
  30. BSAHC 1870, p. XXVIII
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  32. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 189-191
  33. Bulletin de la Société archéologique et historique de la Charente, 1886, p. XLVII
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  35. Joseph Piveteau, Inventaire Archéologique de la Charente Gallo-Romaine, MSAHC, 1958, p. 92.
  36. Société archéologique et historique de la Charente, Bulletins et mémoires, Constantin, (lire en ligne), p. 78
  37. a b et c Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 40
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  44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  45. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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  48. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
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  52. Christian Gillet, Églises et chapelles de la Charente, imprimé à Rioux-Martin, Le vent se lève, , 387 p. (ISBN 978-2-7466-7404-2), p. 16
  53. « Bas-reliefs de l'église », notice no PM16000005, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  54. « Fer à hosties », notice no PM16000004, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  55. « Cloche de l'église », notice no PM16000426, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture