Luxé

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Luxé
Luxé
Mairie de Luxé.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Charente
Maire
Mandat
Véronique Lamazière
2020-2026
Code postal 16230
Code commune 16196
Démographie
Gentilé Luxéens
Population
municipale
717 hab. (2021 en diminution de 0,42 % par rapport à 2015)
Densité 59 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 53′ 37″ nord, 0° 07′ 01″ est
Altitude Min. 52 m
Max. 98 m
Superficie 12,17 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Boixe-et-Manslois
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Luxé
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Luxé

Luxé est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont les Luxéens et les Luxéennes[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Luxé est une commune située à 5 km à l'ouest de Mansle et 27 km au nord d'Angoulême. Luxé est aussi à 8 km à l'est d'Aigre, 11 km au nord de Saint-Amant-de-Boixe et 16 km au sud de Ruffec[2].

La route principale est la D 739 entre Mansle et Aigre, qui franchit la Charente et passe à Luxé Gare. La N 10 entre Angoulême et Poitiers passe à l'est de la commune, à 6 km du bourg[3].

La ligne Paris-Bordeaux traverse la commune et franchit aussi la Charente. La gare de Luxé, située sur la rive gauche et la route de Mansle est desservie par des TER à destination d'Angoulême, Poitiers et Bordeaux.

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

La commune comporte quelques hameaux : la Folatière est située à l'est et domine la Charente. Sur l'autre rive, faisant face au bourg, se situent Luxé Gare, Séhu et les Loges. Enfin, à l'ouest et s'étageant sur la rive droite du fleuve, on trouve la Terne[3].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune est située sur des terrains calcaires qui datent du Jurassique supérieur (Oxfordien au nord, Kimméridgien au sud). Sur quelques zones des plateaux (bois du Breuil et bois de Monbourg), on trouve des colluvions sous forme de grèzes argileuses et graviers datant du quaternaire, ainsi que sur les bords de la vallée de la Charente (Luxé-Gare et le bois de la Garenne). La vallée elle-même est couverte d'alluvions (argile sableuse et tourbe)[4],[5],[6].

Le relief de la commune est celui d'un bas plateau traversé par la vallée de la Charente. Le point culminant est à une altitude de 98 m, situé sur la limite sud-est. Le point le plus bas est à 52 m, situé le long de la Charente sur la limite aval. Le bourg, construit au bord de la vallée sur la rive droite du fleuve, est à 65 m d'altitude[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Charente, le ruisseau du Bief, le ruisseau du Valandeau, l'Etouyer et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 14 km de longueur totale[8],[Carte 1].

La Charente, section entre Mansle et Angoulême, traverse la commune et sépare Luxé-Gare du bourg, situé sur la rive droite. Sur la rive gauche, on trouve deux étangs.

Le ruisseau du Bief[9], ruisseau descendant de Courcôme, limite la commune à l'ouest et se jette dans la Charente près du bourg.

Un ruisseau intermittent, les Acourants, descend de Fontenille et traverse aussi la commune avant de se jeter dans la Charente près du bourg, mais à l'est[3].

Gestion des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[10]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [11].

Climat[modifier | modifier le code]

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Luxé est une commune rurale[Note 1],[12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13],[14]. La commune est en outre hors attraction des villes[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (81,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (62,5 %), prairies (11,4 %), zones urbanisées (10,8 %), zones agricoles hétérogènes (6,3 %), forêts (6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,6 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Luxé est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Charente et le ruisseau du Bief. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1999 et 2021[20],[18].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Luxé.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des éboulements, chutes de pierres et de blocs[21].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 47,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 482 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 382 sont en aléa moyen ou fort, soit 79 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[18].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[24].

La commune est en outre située en aval du barrage de Mas Chaban, un ouvrage de classe A[Note 2]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[26].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Les formes anciennes sont Luxiaco au XIIIe siècle[27],[Note 3], Lussiaco, Lussec, Luissec[28].

L'origine du nom de Luxé remonterait à un nom de personne gallo-romain Luxus ou prénom romain Lucius auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Luxiacum, « domaine de Lucius »[29],[30].

Luxé est à peine au nord de la limite des noms en -ac (dans le Sud de la France) et des noms en , -ay ou -y (dans le Nord), qui traverse la France d'ouest en est et le nord-ouest du département de la Charente entre Rouillac/Montigné et Bernac/Londigny[3].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Au nord de la commune, on trouve de nombreux dolmens et tumuli qui sont des nécropoles préhistoriques : dolmen et tumulus de la Folatière, dolmen de la Maison de la Vieille, de la Motte de la Garde, non loin des dolmens des Pérottes.

Antiquité[modifier | modifier le code]

Luxé possède de nombreux vestiges antiques. Notamment sur le plateau de La Terne.

La Terne était une agglomération secondaire gallo-romaine, située sur un embranchement de la voie romaine reliant Chassenon à Aulnay. Au XIXe siècle, l'archéologue Jean-Hippolyte Michon a observé la destruction des ruines d'un petit théâtre, recouvertes par la suite par la route de Mansle, dans la prairie[31]. Sur le plateau et alentours se trouvent les restes d'au moins trois temples à plan centré, dont deux à plan carré et un à plan hexagonal. Par ailleurs, le territoire de la commune livre régulièrement de nombreux objets antiques, tels des tessons de céramique sigillée et des fragments de tegula[32],[33].

Lors des travaux de la LGV SEA (ligne à grande vitesse Sud-Europe-Atlantique), les vestiges d'une villa gallo-romaine ont été fouillés au nord de la commune, révélant un plan classique en "U" et les restes de limites parcellaires[33].

Moyen Âge et Ancien Régime[modifier | modifier le code]

Luxé était dans la terre de Montignac et faisait partie du domaine des comtes d'Angoulême.

Dans le premier quart du XIe siècle, le comte Guillaume d'Angoulême en aliéna une partie en faveur de l'abbaye de Saint-Amant-de-Boixe, qui prit de l'extension au siècle suivant. Mais après les guerres du Moyen Âge, l'abbaye ne possédait plus rien à Luxé au milieu du XVIe siècle.

Pendant que le fief ecclésiastique déclinait, il s'en était formé un autre. Dès l'année 1248, en récompense de services rendus, Guillaume de Valence, seigneur de Montignac, avait accordé divers privilèges à Jean de Luxé et à son frère Pierre. Cette charte de 1248 a été remise en question en 1299, et le seigneur de Montignac, Aymar de Valence, a laissé à celui de Luxé le droit de haute, moyenne et basse justice en lui retirant son droit de châtelain. Ce n'est qu'en 1467 que le seigneur de Montignac, Jean de La Rochefoucauld, « donna plein pouvoir à Giraud de Barro d'édifier et fortifier ainsi que bon lui semblerait sa maison de Luxé, en la châtellenie de Montignac ». C'est donc à Giraud de Barro qu'est due la construction du château dont il ne subsiste que deux tours en ruines et un reste de courtine.

La Haute Terne était un emplacement idéal pour construire un château, mais la Terne fut choisi comme limite entre les deux châtellenies de Montignac et de Marcillac[Note 4].

Dix ans plus tard, en 1477, Luxé fut partagé entre Jean de Barro et Jacques de la Madeleine. Une des parties fut vendue à Merlin de Saint-Gelais, chevalier, seigneur de Saint-Séverin. La famille Saint-Gelais conserva Luxé pendant la plus grande partie du XVIe siècle. Au XVIIe siècle, Philippe de Lesmerie, sieur de la Grave, était le seigneur de Luxé.

La Terne était, au Moyen Âge, le siège d'un prieuré fondé par l'abbaye de Saint-Amant-de-Boixe au XIIe siècle. L'église, située sur le bord oriental du plateau, a été démolie à la Révolution.

Les plus anciens registres paroissiaux de la commune remontent à 1687[34].

Temps modernes[modifier | modifier le code]

Au début du XXe siècle, l'industrie était représentée par une fabrique de pneus et plusieurs fours à chaux. Les moulins de Pours, la Grave et la Terne n'étaient plus en fonctionnement depuis le XVIIIe ou XIXe siècle.

Pendant la première moitié du XXe siècle, la commune était aussi desservie par la petite ligne ferroviaire d'intérêt local à voie métrique des Chemins de fer économiques des Charentes, transversale, allant de Saint-Angeau à Segonzac, et qui passait par Mansle[34].

Administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1981   Paul Pelletier DVG  
1989 2008 Patrick Favreau    
2008 2014 Michel Mamy SE Retraité Fonction publique
2014 2016 Armand Beaufort SE Retraité
2016 2020 Annette Viaud DIV Salariée agricole
2020 avril 2022
(démission)
Dominique Dugois SE Retraité
2022 En cours Véronique Lamazière   Professeure des écoles, directrice d'école maternelle

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[36].

En 2021, la commune comptait 717 habitants[Note 5], en diminution de 0,42 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
983586694957913893909852824
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
884898924972981907867749759
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
705844775811753746752806795
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
777710751733756783790732725
2021 - - - - - - - -
717--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 24,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 42,9 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 352 hommes pour 373 femmes, soit un taux de 51,45 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,4 
90 ou +
6,7 
13,9 
75-89 ans
20,9 
24,4 
60-74 ans
18,2 
21,6 
45-59 ans
20,1 
12,2 
30-44 ans
11,5 
10,5 
15-29 ans
9,9 
15,9 
0-14 ans
12,6 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

L'agriculture est principalement céréalière. La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[41].

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

Le centre culturel et sportif.

Enseignement[modifier | modifier le code]

Luxé possède une école primaire publique comprenant trois classes (une maternelle et deux élémentaires). Le secteur du collège est Aigre[42].

Vie locale et associations[modifier | modifier le code]

La commune possède un centre culturel et sportif (judo et musique).

Transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les navettes TER qui circulent entre Poitiers et Angoulême.

La LVG (ligne à grande vitesse) Sud-Europe-Atlantique traverse la commune (construite à partir de 2011). En 2008, les élus de Luxé se sont rassemblés à l'initiative des élus du Pays Ruffécois avec 17 communes du Nord Charente et 5 des Deux-Sèvres en une fédération qui demande des compensations aux nuisances que va leur apporter la LGV Sud Europe Atlantique[43].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

  • L'église paroissiale Saint-Aignan.

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[25].
  3. La forme Luciaco est celle de Lussac, près de Chasseneuil.
  4. Le nom Terne dérive peut-être du mot bas latin féminin terminis : borne, limite.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Luxé » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b c d et e Carte IGN sous Géoportail
  4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  5. Carte du BRGM sous Géoportail
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Mansle », sur Infoterre, (consulté le ).
  7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Luxé », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  9. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau du Bief (R2010500) » (consulté le )
  10. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  11. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Luxé », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Luxé », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  25. Article R214-112 du code de l’environnement
  26. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  27. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 81,121,284
  28. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. II, Angoulême, imprimerie Roux et Despujols, , 588 p., p. 94
  29. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 401.
  30. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  31. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 194-196
  32. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 143-146
  33. a et b Paul Peignot, Le site de La Terne (communes de Luxé et Fouqueure, Charente), une agglomération antique du territoire santon, Mémoire de master en archéologie des périodes historiques, Paris 1 Panthéon-Sorbonne, 2020.
  34. a et b Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 223-224
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Luxé (16196) », (consulté le ).
  40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  41. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le ).
  42. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
  43. journal Sud-Ouest du 26 juillet 2008
  44. « Tumulus de la Folatière », notice no PA00104403, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  45. « Dolmen de la Folatière », notice no PA00104400, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  46. « Dolmen dans le tumulus dit La Motte-de-la-Garde », notice no PA00104402, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  47. « Dolmen de la Maison de la Vieille », notice no PA00104401, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • Catillus Carol, « Luxé », (consulté le )