Évron
Évron | |||||
La basilique Notre-Dame. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Mayenne | ||||
Arrondissement | Mayenne | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Coëvrons (siège) |
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Maire Mandat |
Joël Balandraud 2020-2026 |
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Code postal | 53600 et 53150 | ||||
Code commune | 53097 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Évronnais | ||||
Population municipale |
8 508 hab. (2021) | ||||
Densité | 125 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
14 123 hab. (2016) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 09′ 20″ nord, 0° 24′ 09″ ouest | ||||
Altitude | Min. 74 m Max. 200 m |
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Superficie | 68,24 km2 | ||||
Type | Petite ville | ||||
Unité urbaine | Évron (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Évron (commune-centre) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Évron (bureau centralisateur) |
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Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Mayenne
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Liens | |||||
Site web | www.evron.fr | ||||
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Évron est une commune française, située dans le département de la Mayenne en région Pays de la Loire, peuplée de 8 508 habitants[Note 1].
La commune fait partie de la province historique du Maine[1], et se situe dans le Bas-Maine.
Géographie
[modifier | modifier le code]Quatrième ville de la Mayenne, Évron se situe à 33 km à l'est de Laval et à 54 km à l'ouest du Mans.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Climat
[modifier | modifier le code]Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1945 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[9]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,8 | 1,5 | 3,4 | 5 | 8,6 | 11,2 | 13 | 12,6 | 10,1 | 8 | 4,3 | 2,2 | 6,8 |
Température moyenne (°C) | 4,8 | 5,2 | 7,9 | 10,1 | 13,9 | 16,9 | 18,9 | 18,7 | 15,8 | 12,3 | 7,7 | 5,1 | 11,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 7,7 | 8,8 | 12,3 | 15,3 | 19,2 | 22,6 | 24,8 | 24,8 | 21,5 | 16,6 | 11,2 | 8 | 16,1 |
Record de froid (°C) date du record |
−15,9 08.01.1985 |
−14 09.02.12 |
−10,8 01.03.05 |
−5 06.04.21 |
−3,5 01.05.1945 |
0,7 01.06.06 |
4 30.07.15 |
2,9 31.08.1986 |
−0,5 30.09.18 |
−4,5 30.10.1997 |
−8,4 17.11.07 |
−16 29.12.1964 |
−16 1964 |
Record de chaleur (°C) date du record |
16 13.01.1993 |
20,5 27.02.19 |
23,8 23.03.1953 |
29 17.04.1945 |
33,9 25.05.1953 |
37,2 30.06.1952 |
41 25.07.19 |
39,5 10.08.03 |
35,4 01.09.1961 |
29,5 03.10.11 |
22 07.11.15 |
16,9 07.12.00 |
41 2019 |
Précipitations (mm) | 83,6 | 61,5 | 59,9 | 55,6 | 66,8 | 49,4 | 57 | 40,9 | 67,4 | 80,7 | 74,6 | 86,8 | 784,2 |
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Évron est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Évron[Note 5], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Évron, dont elle est la commune-centre[Note 6],[12]. Cette aire, qui regroupe 18 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Toponyme celtique (gaulois) composé des éléments eburo « if », suivi du suffixe -o de localisation ou de -duno « village fortifié » ou plutôt (-ó)-magos « plaine, marché »[15]. D'après Dauzat et Rostaing (Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France), ce toponyme proviendrait plutôt du nom d'homme gaulois Eburos. Le nom ancien est Aurion.
Histoire
[modifier | modifier le code]Au VIIe siècle un premier monastère est construit près du bourg d'Aurion, autour duquel va se structurer un bourg monastique. Cette fondation de l'abbaye Notre-Dame d'Évron est documentée par le testament de saint Hadouin évêque du Mans en . La légende de l'épine est attachée aux origines de sa fondation[Note 7]. Ce premier monastère est détruit avec le bourg d'Aurion au IXe siècle par les Normands. Ce n'est qu'en 980 que l'abbaye est restaurée et reconstruite. Elle attire alors de nombreux pèlerins[16].
L'abbatiale romane construite au XIe – XIIe siècle comporte une tour clocher porche à structure défensive, le chœur et les transepts sont reconstruits aux XIIIe et XIVe siècles en style gothique supprimant la crypte. Les affres de la guerre de Cent Ans et la situation financière difficile des moines mettent un coup d'arrêt à la reconstruction de l'abbatiale. La construction d'un arc provisoire de renfort, parfaitement visible de l'extérieur, entre les restes de la partie romane et la partie gothique plus haute, montre bien que les moines pensaient un jour reprendre les travaux.
La ville est envahie par les Anglais en 1418, pillée par les huguenots durant les guerres de religion en 1577. Des fortifications sont construites au XVIe siècle avec pont-levis et fossés pour la protection du bourg monastique mais restent inutilisées car les temps s'apaisent et l'abbaye ne fait plus l'objet d'attaques militaires[17].
L'abbatiale a été classée monument historique en 1840[18]. elle devient église paroissiale en et l'église paroissiale Saint-Martin qui jouxtait l'abbatiale au sud depuis l'origine est démolie en [17]. Elle est érigée en basilique en
Les halles qui dataient du XVe siècle, situées entre l'église et l'abbatiale sont supprimées au milieu du XIXe, une halle aux grains surmontée de la mairie est alors construite en style néoclassique, elle est transformée après suppression de l'étage en médiathèque en , place Mendes-France.
Alfred Chanzy général de l'armée de la Loire, après la défaite du Mans installe son quartier général à Évron en , il y discutera les conditions de l'armistice[17].
Le , la commune absorbe Châtres-la-Forêt et Saint-Christophe-du-Luat et forme une commune nouvelle composée de trois communes déléguées[19].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Communes déléguées
[modifier | modifier le code]Les anciennes communes, aujourd'hui communes déléguées, qui ont fusionné avec Évron sont les suivantes :
Nom | Code Insee |
Intercommunalité | Superficie (km2) |
Population (dernière pop. légale) |
Densité (hab./km2) |
---|---|---|---|---|---|
Châtres-la-Forêt | 53065 | CC des Coëvrons | 13,6 | 784 (2016) | 58 |
Saint-Christophe-du-Luat | 53207 | CC des Coëvrons | 19,12 | 773 (2016) | 40 |
Jumelages
[modifier | modifier le code]- Lakota (Côte d'Ivoire).
- Wildeshausen (Allemagne).
- Hertford (Royaume-Uni).
- Alwernia (Pologne).
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.
En 2021, la commune comptait 8 508 habitants[Note 8].
Enseignement
[modifier | modifier le code]Il y a deux écoles maternelles dans la commune d'Evron :
- Ecole maternelle des Grands prés
- Ecole maternelle Saint Joseph
Il y a deux écoles primaires dans la commune d'Evron :
- Ecole Saint Joseph
- Ecole Jean Monnet
Il y a et deux collèges et deux lycées dans la commune d'Évron :
- Collège Sacré-Cœur.
- Collège Paul-Langevin.
- Lycée Raoul-Vadepied (général et professionnel).
- Lycée d'Orion (professionnel secondaire et supérieur).
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]- Festival d'Arts sacrés, première semaine de juillet à la basilique d'Évron. Concerts, danses, expositions, visites guidées.
- Festival de la viande tous les ans le premier week-end de septembre (sur trois jours), au moment de la fête commerciale et braderie.
Sports
[modifier | modifier le code]- Le CA Évron Handball est un des plus importants clubs de handball en Mayenne (231 licenciés en 2012-2013)[réf. nécessaire]. Les seniors A masculin évoluent en 2013/2014 en honneur région, manquant de peu en 2013 (2e) l'accès à la catégorie supérieure. Ils ont remporté plusieurs fois la coupe de la Mayenne. Quant aux seniors féminines, elles ont accédé à l'honneur région en 2013, et pour la première fois dans le club, en finissant première de leur poule départementale et en remportant la coupe de la Mayenne contre une équipe régionale la saison précédente. Le club comporte également de nombreux jeunes qui assurent chaque année l'évolution des équipes au sein de celui-ci ainsi que de nombreux bénévoles et supporters.
- L'Alerte Évron basket pour la saison[pertinence contestée] :
- 2012-2013 compte 187 licenciés dont 79 enfants à l'École de basket (école labellisée). Le club devient le 3e club de la Mayenne[réf. nécessaire]. L'équipe des cadettes remporte la coupe de la Mayenne face à Bonchamp. L'équipe senior féminine se hisse en finale du challenge de la Mayenne mais perd la finale face à l'équipe de Bonchamp.
- 2013-2014, le club compte déjà 187 licenciés et se développe en créant une école décentralisé sur Bais et participe à des opérations Basket École dans l'ensemble de la communauté de communes. Les benjamins deviennent champion de la Mayenne en battant l'équipe de l'Usl
- 2014-2015, le club compte 203 licenciés avec une école de mini basket labellisée de 87 enfants. Première école de mini basket de la Mayenne. Une école décentralisée est créée à Voutré. En 2015-2016, l'équipe seniors garçon évoluant en région 3 et l'équipe seniors féminine CTC Nord Mayenne perdent en finale de la coupe de la Mayenne face à L'Union sportive de Saint-Berthevin. Les seniors féminines gagnent le challenge de la Mayenne avec l'équipe de la CTC Nord Mayenne basket et les cadets sont vice-champions de la Mayenne. Le club se voit remettre le label Club Formateur Espoir par la FFBB. Ce label met en avant la réussite et la qualité de la formation des jeunes. Le club de l'Alerte intègre la CTC Nord Mayenne Basket avec le CA mayennais et Martigné basket.
Économie
[modifier | modifier le code]- Fromagerie Bel : 800 employés. Cette fromagerie fabrique les fameux mini Babybel.
- Abattoir de porcs SOCOPA : 1 000 employés. Cet abattoir, l'un des plus grands de l'ouest, tue entre 25 000 et 30 000 porcs par semaine.
- Howmet CIRAL : 325 employés. Fonderie de métaux légers.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Évron est une cité du Pays d'art et d'histoire Coëvrons-Mayenne
- Abbaye Notre-Dame d'Évron : son église abbatiale pour partie romane et pour partie gothique, classée monument historique en 1840, église paroissiale depuis la révolution (érigée en basilique Notre-Dame de l'Épine en ) et dont une partie des vitraux sont au musée des « Cloîtres » de New York.
- L'abbaye bénédictine du XVIIIe siècle devenue depuis le siège et le centre de formation de la Communauté Saint-Martin.
- le grand jardin à la française de l'abbaye.
- Statue de la Vierge en argent repoussé sur bois[28].
- Gare ferroviaire, ouverture de la ligne Paris-Laval en .
- Médiathèque, ancienne mairie et halle aux grains construite entre et , transformée en [29].
- Deux stèles gauloises sont implantées sur la commune : place de la Mairie et place de la Basilique contre le transept sud.
- Chapelle Saint-Crépin d'Évron.
- Cadran solaire, place Ste Anne.
- Four à chaux, place Ste Anne.
- Lavoir rue Basse de Saulgé à Evron.
- Lavoir ruelle des Douets à Evron[30].
- Chapelle du Torticolis au lieu dit "les Hermandière" à Chatres la Foret.
- Chateau de Montecler (château privé) visible depuis la route (commune de Châtres la Foret).
Équipement culturel et sportif
[modifier | modifier le code]Le jardin aquatique construit en sur un concept alors novateur avec des bassins ludiques, équipés de mur d'escalade et de jeux.
Un conservatoire de musique et de danse avec salle de spectacle constitue avec le cinéma Yves-Robert le pôle culturel des Coevrons[31].
Patrimoine naturel
[modifier | modifier le code]Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Blaise d'Évron, né à Évron, écrivain du XVIe siècle ;
- Michel Bauldry (XVIe-XVIIe siècle, né à Évron), religieux ;
- Jean Louail (1668 à Évron - 1724), théologien ;
- Nicolas Asseline (né en 1711), religieux, fut curé d'Évron ;
- René Jean Baptiste Serveau (1740 à Évron - 1799), juge ;
- Guillaume Le Métayer dit Rochambeau (1763-1798) reçut l'hospitalité chez Mlle Le Plante à Évron, et sur les conseils de cette dernière qui était une ardente royaliste ;
- Charles-Philippe Mesnage (1773-1851), juge de paix à Évron, généalogiste ;
- Raoul Vadepied (1908-1995), homme politique mayennais, maire d'Évron de 1953 à 1977 ;
- Le groupe Bussinger, résistants évronnais ;
- Maurice Rocher (1918 à Évron - 1995), peintre ;
- Laurent Fombertasse (° 1968), haltérophile.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes de la commune d'Évron se blasonnent ainsi : |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Abbé Geraut, Notice historique sur Evron, son abbaye et ses monuments, Laval, Sauvage-Hardy, (lire en ligne)
- Eugène Lefèvre-Pontalis, « L'Église abbatiale d'Évron (Mayenne) », Revue historique et archéologique du Maine, Mamers / Le Mans, G. Fleury & A. Dangin / A. de Saint-Denis, , p. 5-63 (lire en ligne)
- Abbé Angot et Ferdinand Gaugain, Dictionnaire historique, topographique et biographique de la Mayenne : Evron, t. 2, Laval, Goupil, (lire en ligne)
- Évron et ses environs par Maurice Passe. 1912
- L'église et l'abbaye bénédictines de Notre-Dame d'Evron (Mayenne). Evron, E. Letellier, 1931. par l'abbé Augustin Ceuneau.
- Évron sous la botte - Un point d'histoire locale - Suivi du récit de l'évasion du ' Vert Galant ' par Daniel Bussinger imprimerie de la Mayenne. 1946. par René Bussinger.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site officiel
- « Dossier complet : Commune d'Évron (53097) », Chiffres détaillés, INSEE (consulté en )
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Population municipale 2021 incluant celle de Châtres-la-Forêt et Saint-Christophe-du-Luat.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Un pèlerin de retour de terre sainte avec une relique du lait de la Vierge s'endort à l'ombre d'une aubépine après y avoir accroché sa besace contenant l'objet précieux. À son réveil l'arbre a grandi et son bagage est inaccessible. Les prières de saint Hadouin à Notre Dame font ployer l'aubépine qui dépose la relique dans les mains de l’évêque, il y voit une injonction à une fondation dédiée à Notre-Dame.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
[modifier | modifier le code]- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2013 (site de l'IGN, téléchargement du 19 mars 2014)
- Claude-Marin Saugrain, Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France, vol. 1, , p. 1165
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
- « Fiche du Poste 53097001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Évron », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Évron », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, , 708 p. (ISBN 978-2-600-02883-7, lire en ligne), p. 192.
- Abbé Gerault, p. 2-3.
- Abbé Angot.
- Notice no PA00109505, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture,Notice no IA00034267, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Frédéric Veaux, « Arrêté préfectoral portant création de la commune nouvelle d'Évron », Recueil des actes administratifs n°53-2018-105, , p. 11-14 (lire en ligne [PDF]).
- « Hubert Gueniffey, maire d'Évron (Mayenne) de 1983 à 1995, est décédé », Ouest-France, (lire en ligne).
- « Joël Bedouet, le nouveau maire, souhaite apaisement et ouverture », Ouest-France, (lire en ligne, consulté le ).
- « Joël Balandraud a été élu maire et Marie-Odile Angot 1re adjointe », Ouest-France, (lire en ligne, consulté le ).
- « Évron. Joël Balandraud est élu maire de la commune nouvelle : Pas de surprise, lundi 7 janvier 2019, pour l’installation du conseil municipal de la commune nouvelle d’Évron (en Mayenne), qui regroupe désormais les communes historiques d’Évron, Châtres-la-Forêt et Saint-Christophe-du-Luat. Joël Balandraud a été élu maire, à une large majorité. », Ouest-France, (lire en ligne).
- « Municipales à Évron. Joël Balandraud installé pour un deuxième mandat : Mardi 26 mai 2020, Joël Balandraud a été confirmé au poste de maire de la commune nouvelle d’Évron (en Mayenne). À ses côtés, huit adjoints pour l’aider à diriger la commune. », Ouest-France, (lire en ligne).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 20112012201320142015 2016 2017 2018 .
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Notice no IM53001141, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le patrimoine évronnais », sur Ville d'Évron (consulté le ).
- « Lavoirs d'Évron », sur Lavoirs de la Mayenne (consulté le ).
- « Ville d'Évron » (consulté le ).
- « Évron Mayenne », sur GASO, la banque du blason (consulté le ).