Champhol

Champhol
Champhol
L'hôtel de ville en 2017
Blason de Champhol
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Chartres
Intercommunalité Communauté d'agglomération Chartres Métropole
Maire
Mandat
Étienne Rouault
2020-2026
Code postal 28300
Code commune 28070
Démographie
Gentilé Champholois, Champholoises
Population
municipale
3 706 hab. (2021 en augmentation de 3,29 % par rapport à 2015)
Densité 690 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 28′ 10″ nord, 1° 30′ 11″ est
Altitude Min. 117 m
Max. 156 m
Superficie 5,37 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Chartres
(banlieue)
Aire d'attraction Chartres
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chartres-1
Législatives Première circonscription
Localisation
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Champhol
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Champhol
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Champhol
Liens
Site web ville-champhol.fr

Champhol est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Géographie[edit | edit source]

Situation[edit | edit source]

Position de Champhol (en rose) dans l'arrondissement de Chartres (en vert) au sein du département d'Eure-et-Loir (grisé).
Position de Champhol (en rose) dans l'arrondissement de Chartres (en vert) du département d'Eure-et-Loir (grisé).
Carte de la commune de Champhol et des communes limitrophes
Carte

Communes limitrophes[edit | edit source]

Communes limitrophes de Champhol
Saint-Prest
Lèves Champhol Gasville-Oisème
Chartres

Hydrographie[edit | edit source]

La rivière Eure, affluent en rive gauche du fleuve la Seine, borde Champhol au nord-ouest.

Voies de communication et transports[edit | edit source]

Voies ferrées[edit | edit source]

Deux lignes traversent le territoire communal, sans haltes :

Les gares les plus proches sont Chartres et la Villette-Saint-Prest.

Climat[edit | edit source]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 642 mm, avec 10,6 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 606,1 mm[3],[4]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[5].

Statistiques 1991-2020 et records CHARTRES (28) - alt : 155m, lat : 48°27'37"N, lon : 1°30'04"E
Records établis sur la période du 01-07-1923 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,8 1,5 3,4 5,1 8,5 11,6 13,5 13,4 10,5 8 4,5 2,2 7
Température moyenne (°C) 4,3 4,8 7,8 10,3 13,8 17 19,4 19,4 15,9 12,1 7,6 4,8 11,4
Température maximale moyenne (°C) 6,9 8,2 12,2 15,6 19 22,5 25,2 25,3 21,4 16,2 10,6 7,3 15,9
Record de froid (°C)
date du record
−18,4
17.01.1985
−15
24.02.1963
−11
01.03.05
−4,9
04.04.1973
−1
01.05.1945
1,4
02.06.1962
0,9
30.07.1928
3
17.08.1927
0,5
22.09.1928
−5,4
28.10.1931
−11,3
30.11.10
−14,2
29.12.1964
−18,4
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
16,1
27.01.03
20,5
27.02.19
24,8
31.03.21
28,2
18.04.1949
31,4
16.05.1945
37,2
18.06.22
41,4
25.07.19
39,6
06.08.03
35,5
08.09.23
29,8
02.10.23
20,9
07.11.15
17
06.12.1979
41,4
2019
Ensoleillement (h) 635 876 1 403 1 836 2 087 2 215 2 303 220 1 811 1 184 724 601 17 874
Précipitations (mm) 49,9 41,5 43,5 44,6 55,3 51,5 51 47,7 46 58,4 56 60,7 606,1
Source : « Fiche 28070001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Urbanisme[edit | edit source]

Typologie[edit | edit source]

Champhol est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Chartres, une agglomération intra-départementale regroupant 9 communes[9] et 88 995 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chartres, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 117 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[edit | edit source]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (64,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (31 %), zones urbanisées (28,4 %), prairies (22,3 %), forêts (10,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,7 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[edit | edit source]

Le territoire de la commune de Champhol est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels[edit | edit source]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Eure. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999[17],[15].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Champhol.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile, des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des effondrements généralisés[18]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[19].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 65,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 352 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 925 sont en aléa moyen ou fort, soit 68 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et par des mouvements de terrain en 1999[15].

Risques technologiques[edit | edit source]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[21].

Toponymie[edit | edit source]

Bas latin Campus Follis, vers 986 (cartulaire Saint-Père-en-Vallée de Chartres) de campus = « champ », follis = « aux herbes folles » ; c’est-à-dire : champ où poussent des herbes folles.

Campus Fauni, 1127 (cartulaire Saint-Père-en-Vallée de Chartres), ce nom indiquerait plutôt un champ du Faune, divinité latine champêtre. Cette deuxième forme, plus tardive, semble être une traduction de la forme romane incomprise.

Histoire[edit | edit source]

Au Moyen Âge, alors que chaque commune produisait son propre vin, celui de Champhol, dit « Sèchecôte », était considéré comme le meilleur de la région. L'écusson de la ville représente d'ailleurs deux pieds de vigne entourant une serpe.

En 1620, y est créé un carmel[22] qui ferme en 2016[23],[24].

Le 15 août 1858, le hameau de La Mihoue fut détruit par un incendie. 71 maisons, toutes ayant un toit en chaume, furent détruites. Il y eut trois morts : Louis Brault, 83 ans, et les époux Jumentier, âgés de 66 et 62 ans.

Avant la Première Guerre mondiale s'installe à Champhol un terrain d'aviation, qui deviendra la base aérienne 122 Chartres-Champhol. L'école de pilotage militaire formera près d'un quart des pilotes de la Première Guerre mondiale, mémoire transmise dans la symbolique de l'insigne de tradition de cette base aérienne : un pélican se sacrifie et donne son sang pour sauver ses petits. La base aérienne entretiendra une activité navigante jusqu'en 1961, date du départ du Groupe de Transport 61 vers celle située à Orléans-Bricy. Elle a fermé définitivement en 1997.

Politique et administration[edit | edit source]

Tendances politiques et résultats[edit | edit source]

Élections municipales du 15 mars 2020[edit | edit source]

Aucun siège n'est pourvu lors de ce premier tour[25].

Liste des maires[edit | edit source]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
    Jacques Grandet    
    Jean Grandet    
Les données manquantes sont à compléter.
1963   Paul Doublet    
1977 1989 Pierre Chanteloup    
1989 1995 Robert Rousselet    
1995 3 juillet 2020 Christian Gigon PRG-MRSL Retraité Fonction publique
Conseiller général du canton de Chartres-Nord-Est (1998-2015)
3 juillet 2020 En cours Étienne Rouault MC Responsable service secteur biotechnologie[26]
Conseiller départemental du canton de Chartres-1 (depuis 2021)

Politique environnementale[edit | edit source]

Dans son palmarès 2017, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France a attribué trois fleurs à la commune au Concours des villes et villages fleuris[27].

Population et société[edit | edit source]

Démographie[edit | edit source]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].

En 2021, la commune comptait 3 706 habitants[Note 3], en augmentation de 3,29 % par rapport à 2015 (Eure-et-Loir : −0,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
455409412464441435410472446
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
425414408384370390397380415
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
412382392412503510518372473
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
6578181 0631 6942 2352 8983 3623 4233 591
2017 2021 - - - - - - -
3 6563 706-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[edit | edit source]

Culture locale et patrimoine[edit | edit source]

Lieux et monuments[edit | edit source]

Église Saint-Denis[edit | edit source]

Le 2 mars 1944, à partir de 16 h 50, la base aérienne de Chartres est attaquée pendant une vingtaine de minutes par 84 bombardiers B 17 en 4 vagues de 21 avions des 388th BG, 399th BG et 100th BG. De l'église il ne reste que le clocher, intact.

Château de Vauventriers[edit | edit source]

Logo monument historique Inscrit MH (1969, 2006)[32].

Personnalités liées à la commune[edit | edit source]

Héraldique[edit | edit source]

Armes de Champhol

Les armes de la commune de Champhol se blasonnent ainsi :

D'or à la serpette de vigneron d'argent emmanchée d'azur, posée en pal, accostée de deux ceps de vigne de sable fruités d'une pièce aussi d'azur et feuillés d'une pièce de sinople, à la champagne aussi d'or grillagée aussi de sable.

Voir aussi[edit | edit source]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[edit | edit source]

Liens externes[edit | edit source]

Notes et références[edit | edit source]

Notes et cartes[edit | edit source]

Notes[edit | edit source]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[edit | edit source]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[edit | edit source]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Station Météo-France « Chartres » - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Chartres » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  6. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  8. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Unité urbaine 2020 de Chartres », sur insee.fr (consulté le ).
  10. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Champhol », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  18. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  19. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Champhol », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  22. Pause au Carmel de Champhol
  23. Le diocèse tourne une page de son histoire
  24. CHAMPHOL - Les Carmélites quittent la ville
  25. Ministère de l'Intérieur, « Résultats du 1er tour - Champhol », sur elections.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  26. « Étienne Rouault présente ses colistiers aux élections municipales de Champhol », sur lechorepublicain.fr, .
  27. Site des villes et villages fleuris, consulté le 23 février 2018.
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. « Château de Vauventriers », notice no PA00096988, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. L'Écho républicain, « Législatives 2022 - Véronique de Montchalin, suppléante de Guillaume Kasbarian (Renaissance) sur la première circonscription d'Eure-et-Loir », sur lechorepublicain.fr, (consulté le ).
  34. Géraldine Sellès, « Miss France : retour sur le parcours de Laurie Derouard, Miss Centre-Val de Loire », sur lechorepublicain.fr, .