Utilisateur:Roland45/Brouillon33

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Moret-sur-Loing
Roland45/Brouillon33
La porte de Paris (ou de Samois) à Moret-sur-Loing.
Blason de Moret-sur-Loing
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Fontainebleau
Commune Moret-Loing-et-Orvanne
Intercommunalité Communauté de communes Moret Seine et Loing
Statut Ancienne commune
Commune déléguée
Maire délégué
Mandat
Marianne Saval-Bonet (DVG)
2020-2026
Code postal 77250
Code commune 77316
Démographie
Gentilé Morétains, Morétaines
Population Modèle:Données/Brouillon33/évolution population hab. (Modèle:Données/Brouillon33/évolution population)
Géographie
Coordonnées 48° 22′ 28″ nord, 2° 48′ 54″ est
Altitude Min. 45 m
Max. 98 m
Superficie 4,94 km2
Élections
Départementales Montereau-Fault-Yonne
Historique
Commune(s) d'intégration Orvanne
Localisation
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Moret-sur-Loing
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Moret-sur-Loing
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Moret-sur-Loing
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Moret-sur-Loing
Liens
Site web ville-moret-sur-loing.fr

Moret-sur-Loing est une ancienne commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France. Elle a fusionné le avec Écuelles, pour former la commune nouvelle d'Orvanne, puis par une série de nouvelles fusions en 2016 et 2017 (avec Épisy, Montarlot puis Veneux-les-Sablons) pour former la commune actuelle de Moret-Loing-et-Orvanne.

Les éléments caractérisant la géographie (hydrographie, climat, zones naturelles, etc), l'histoire et l'économie de cette ancienne commune sont décrits dans l'article relatif à Moret-Loing-et-Orvanne, dont elle constitue une partie. Seuls figurent dans le présent article un aperçu sur l'évolution du territoire, l'évolution de sa population, les maires qui l'ont administrée, les principaux lieux et monuments et les personnalités qui l'ont marquée.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Moret-sur-Loing est dans la partie sud du département de Seine-et-Marne, en lisière de la forêt de Fontainebleau à 12 km au sud-est de Fontainebleau, en rive gauche (côté ouest) du Loing et à 1,5 km au sud de son confluent avec la Seine.

À vol d'oiseau, le département de l'Yonne est à 17 km à l'est (commune de Villeneuve-la-Guyard), le Loiret à 25 km au sud (Dordives) et l'Essonne à 20 km à l'ouest (Milly-la-Forêt)[1]. Paris est à 80 km au nord-ouest par la A6, entrée-sortie no 13 à Cély (au nord-ouest) ; vers le sud, l'accès le plus proche pour la A6 est l'entrée-sortie la no 15 à Nemours (18 km, au sud-ouest). L'A5, qui passe au nord-est, est accessible par l'entrée-sortie no 17 à Forges (16 km)[2].

Évolution du territoire[modifier | modifier le code]

De 1793 au , les cinq communes de Moret-sur-Loing, Écuelles, Montarlot, Épisy et Veneux-les-Sablons sont autonomes. Le , Moret-sur-Loing et Écuelles fusionnent au sein de la commune nouvelle d'Orvanne. Le , la commune nouvelle de Moret Loing et Orvanne est créée en lieu et place des communes d'Épisy (77170), de Montarlot (77299) et d'Orvanne (77316). Le , la commune nouvelle de Moret-Loing-et-Orvanne est créée en lieu et place des communes de Moret Loing et Orvanne (77316) et de Veneux-les-Sablons (77491)[3].

Avant 2015
En 2015
Depuis le

Autres caractéristiques[modifier | modifier le code]

Les autres caractéristiques géographiques du territoire de cette ancienne commune sont décrits dans l'article consacré à la commune de Moret-Loing-et-Orvanne.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Du celtique mora, de l'ancien français morée (–marécage, marais)[4].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs depuis la Libération de la France jusqu'à la création de la commune déléguée
Période Identité Étiquette Qualité
août 1944 1945 Robert Faule    
janvier 1945 mars 1946 Émile Rondreux   Agent immobilier
mars 1946 mai 1953 Louis Cantais    
mai 1953 septembre 1965 Léon Breuillard   Médecin
septembre 1965 mars 1989 Roland Dagnaud DVD Chef d'entreprise
mars 1989[6] décembre 2014 Patrick Septiers UDF
puis MoDem
puis UDI
Enseignant en économie et gestion des entreprises
Conseiller général de Moret-sur-Loing (1992 → 2004)
Président de la CC Moret Seine et Loing (2001 → )
Conseiller départemental de Montereau-Fault-Yonne (2015 → )
Vice-président (2015 → 2018) puis président (2018 → 2021) du conseil départemental de Seine-et-Marne
Maire d'Orvanne (2015), de Moret Loing et Orvanne (2016) puis de Moret-Loing-et-Orvanne (2017 → 2018)

Liste des maires délégués[modifier | modifier le code]

Liste des maires délégués successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1er janvier 2015 juillet 2020 Patrick Septiers UDI Enseignant en économie et gestion des entreprises
Maire de Moret-sur-Loing (1989 → 2014), d'Orvanne (2015), de Moret Loing et Orvanne (2016) puis de Moret-Loing-et-Orvanne (2017 → 2018)
Conseiller général de Moret-sur-Loing (1992 → 2004)
Président de la CC Moret Seine et Loing (2001 → )
Conseiller départemental de Montereau-Fault-Yonne (2015 → )
Vice-président (2015 → 2018) puis président (2018 → 2021) du conseil départemental de Seine-et-Marne
juillet 2020[7] En cours
(au 24 août 2022)
Marianne Saval-Bonet DVG[8] Enseignante en école élémentaire

Démographie[modifier | modifier le code]

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 5001 6051 6281 5831 6731 6551 6721 7651 816
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 8701 9321 9341 8681 8531 9761 9142 0682 108
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 0902 2392 4042 3842 3622 4642 4572 5682 815
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2012
3 0953 2503 1473 5034 1744 4024 4774 3304 305
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[9] puis Insee à partir de 2006[10].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Monuments médiévaux[modifier | modifier le code]

L'église Notre-Dame.
Intérieur de l'église Notre-Dame.
Chapelle Saint-Pierre de Pontloup.

Moret a conservé une grande partie de ses fortifications datant des XIIe et XVe siècles. À cette époque, la ville était articulée autour des éléments suivants[11],[12] :

  • une enceinte fortifiée en demi-lune, face au Loing, dont il reste de nombreux éléments (15 à 20 m de haut, plus de 2 m d'épaisseur) ;
  • trois portes[13] :

image:Moret Porte Samois.jpg|

Porte Samois et la borne royale à son coin à droite.
    • la porte de Grez/Orléans, vers la forteresse de Grez (contrairement aux deux autres, il n'en reste plus aucune trace aujourd'hui).
  • l'église Notre-Dame, de style gothique (XIIe – XVe siècle)[14] ;
    • Orgue buffet Renaissance, partie instrumentale du XVIIe siècle, deux claviers + pédalier, seize jeux, classé monument historique, restauration/reconstitution par l'atelier Giroud et inauguré en 2002. Sur l'écusson du tuyau central, est écrit : « Cette orgue a été faite par moy François Ducastel, facteur d'orgue, natif d'Abbeville, du temps de Messire François Chevrier, prêtre de cette église Notre Dame de Moret, et Mess. Voyer, Bourry et Bouquet, marguillers de la dite église en l'année 1664 et l'organiste Bourgoin maître des escoles de cette ville »
  • le donjon du château de Moret, XIIe siècle (partiellement détruit à la Révolution et transformé au cours de XIXe siècle)[15] ;
  • l'ancien prieuré de Pont-Loup (nom qui veut dire « pont sur le Loing ») dont il ne reste plus que sa chapelle. L'édifice sert maintenant de salle d'exposition ;
    c'est la plus ancienne construction encore existante de Moret[16].
  • le pont sur le Loing datant du XIIe siècle (mais le folklore local veut que Jules César en ait construit le premier avatar) et élargi au XIXe siècle[17] ;
  • l'ancienne forteresse sur la rive droite du Loing (vestiges), qui gardait l'autre extrémité du pont.

Le plan de la ville actuelle est encore fortement marqué par cette époque. De nombreuses caves médiévales (p.e. Rue Grande 35 et Logis Saint-Jacques).

Maison dite de François Ier, façade.
Fontaine, place des Halles.

Autres monuments[modifier | modifier le code]

Tableaux[modifier | modifier le code]

Moulin Moret sur Loing
Antony Damien,
Moulin Moret sur Loing.
D.H. Hotchcock,
Moret sur Loing (1893).

De nombreux peintres ont représenté Moret-sur-Loing ; la liste ci-après reste très incomplète :

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Buste d'Alfred Sisley à Moret-sur-Loing par Eugène Thivier inauguré le 15 juillet 1911[21].
  • Jacqueline de Bueil (1588-1651), comtesse de Moret, fondatrice en 1638 du Prieuré perpétuel de Notre-Dame-des-Anges, le couvent des bénédictines dont le sucre d'orge fit la réputation de Moret. Elle est inhumée dans la chapelle Notre-Dame de Pitié dans l'église de Moret.
  • D'Artagnan (~1611-1673), chargé de la garde de Fouquet en 1664.
  • Élisabeth Pidoux (~1613-), première prieure du Prieuré perpétuel de Notre-Dame-des-Anges, considérée comme la créatrice du sucre d'orge de Moret.
  • Nicolas Fouquet (1615-1680), enfermé au donjon de Moret à l'été 1664.
  • La négresse de Moret, aussi appelée mauresse de Moret (v. 1660 ou 1665-1732 ou 1745), peut-être née de Louis XIV et d'une servante noire.
  • Louis Jacques Desmarais (1797-1877), issu d'une famille de coiffeurs-médecins de Moret, il participa à la bataille de Montereau du . Il s'embarqua en 1822 pour le Brésil où il devint coiffeur de la cour, puis négociant et armateur, et obtint la confiance de don Pedro, empereur du Brésil. Rentré dans sa ville natale, il devint maire de Moret (1852-1862). C'est lui qui rétablit en 1853 la fabrication du sucre d'orge de Moret et la confia aux Filles de la charité de Saint-Vincent-de-Paul.
  • André Delaistre (1865-1931), peintre de la marine, qui a exposé jusqu'en 1923, a peint la ville à plusieurs reprises, notamment le Loing avec ses bateaux-lavoirs.
  • Eugène Lavieille (1820-1889), peintre de l'école de Barbizon, a peint à Moret-sur-Loing, et dans les environs : Les Sablons (où il a vécu dans les années 1870-1880), La Celle-sous-Moret (La nuit à La Celle-sous-Moret, tableau de 1878, est désormais au musée de Melun), Saint-Mammès. Son fils, Adrien Lavieille (1848-1920), peintre paysagiste comme lui, a réalisé une vue de Moret-sur-Loing.
  • Henri Lioret (1848-1938), pionnier de l'enregistrement phonographique est né à Moret.
  • Georges Lesage (1856-1937), orfèvre et ciseleur d'art à Paris, membre fondateur des Amis de Moret, gérant des sucres d'orges des religieuses de Moret après la loi de séparation des Églises et de l'État de 1905, créateur en 1887 de la boîte des sucres d'orge ornée d'une vue de Moret avec son église, sa tour, ses vieilles portes, le tout surmonté des armes de la ville avec la couronne comtale. Provinois, il est décédé à Moret. Il est le père de Joseph et Xavier Lesage.
  • Michel Clemenceau (1873-1964), homme d'affaires et homme politique français, propriétaire depuis la fin des années 1920 de la « Grange-Batelière », où il finit ses jours.
  • Alfred Sisley (1839-1899), peintre impressionniste y vécut et est enterré dans le cimetière de Moret.
  • Antony Damien (1858-1943) peintre impressionniste il vécut environ 2 ans à Moret.
  • Maurice Martin (1894-1978), peintre paysagiste néo-impressionniste y vécut et y travailla de 1930 à 1978. Il est enterré au cimetière de Moret.
  • René Pottier (1879-1907), vainqueur du Tour de France 1906 y est né.
  • Arthur Vernes (1879-1976), médecin, inventeur d'une méthode de mise en évidence de la syphilis, fondateur de l'institut qui porte son nom à Paris, maire de Moret de 1929 à 1935.
  • Henri Sauvard (1880-1973), artiste peintre, y vécut.
  • Joseph Lesage (1884-1918), artiste-peintre, dessinateur et graveur français, fondateur et illustrateur du « journal de tranchée » Le Mouchoir, né à Moret.
  • Xavier Lesage (1885-1968), cavalier de dressage français, champion olympique en individuel et par équipe aux Jeux de Los Angeles 1932, y est né.
  • Marcel Garnier (1890-1971), écrivain, poète, auteur de pièces de théâtre, propriétaire d'une entreprise de plomberie couverture dans la commune.
  • Paul Bonneau (1918-1995), chef d'orchestre et compositeur français y est né.
  • Pierre Brochard (1921-2001), dessinateur et scénariste français.
  • André Comte-Sponville (né en 1952), philosophe français, a vécu longtemps à Moret-sur-Loing.
  • Sarah Hallowell, amie des arts, vivant Place de Samois et enterrée au cimetière
  • Harriet Hallowell (en), (1873–1943) peintre américaine
  • Eliza Pratt Greatorex (1819-1897), artiste américaine vivait à Moret ("Les Remparts", Rue des Fossés) et est enterrée dans le cimetière de Moret
  • Karl Cartier, (1855-1925), peintre français y est décédé et enterré.
  • Marina Tsvetaïeva, (1892-1941) poétesse russe
  • Prudent Pohl dit Zanaroff, (1885-1966) peintre y vécut et est enterré dans le cimetière de Moret
  • George Grey Barnard, (1863-1938), sculpteur et collectionneur d'art médiéval avait son atelier à Moret-sur-Loing, 1903-1911
  • Georges-Frédéric Rötig (1873-1961), peintre animalier y vécut et est enterré dans le cimetière de Moret
  • Charles Dagnac-Rivière (1864-1945), peintre paysagiste mort à Moret[22]
  • Joseph Buat (1851-1909), sculpteur, est mort noyé dans le Loing au Faubourg de Moret
  • Edmée Brucy (1795-1826), artiste peintre, résidente de Moret-sur-Loing où elle est morte
  • Gaston Ouvrard (1890-1981) mentionne Moret sur Loing dans sa chanson Qui...qu'a perdu son p'tit tom-pouce.

Cinéma[modifier | modifier le code]

Moret-sur-Loing a servi de décors à plusieurs films :

Héraldique[modifier | modifier le code]

Moret-sur-Loing
Blason de Moret-sur-Loing Blason
D'azur à trois fleurs de lis d'or, au bâton péri en barre du même; au chef d'argent chargé d'une tête de Mauresse de sable les yeux bandés d'un tortil d'argent[23],[24].
Détails
Les fleurs de lys bâtonnées viennent du blason de Antoine de Bourbon-Bueil. La tête de maure symbolise la Mauresse de Moret voilée.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Alias
Alias du blason de Moret-sur-Loing
Alias du blason de Moret-sur-Loing
D'azur à deux chabots d'or enlacés par une cordelière d'argent.
Ancien blason historique.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Moret-sur-Loing, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques » et « Hydrographie » activées. Les distances à vol d'oiseau se mesurent avec l'outil « Mesurer une distance » dans l'onglet « Outils cartographiques » à droite (symbole de petite clé plate).
  2. « Moret-sur-Loing », sur google.fr/maps. Les distances par route entre deux points donnés sont calculées dans le panneau latéral (dans l'onglet à gauche de l'écran, cliquer sur "Directions").
  3. « Métadonnées de la commune de Moret-Loinget-Orvanne », sur insee.fr (consulté le ).
  4. [Mulon 1997] Marianne Mulon, Noms de lieux d'Île-de-France, Paris, Éditions Bonneton, (ISBN 2862532207).
  5. Marcel Garnier (1890-1971) dans : Mémoires Vivantes du canton de Quarré-les-Tombes , no 48 hiver 2013, pp. 5-8/12.
  6. « Patrick Septiers (UDI) brigue un 5e mandat à Moret », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne).
  7. Geoffrey Faucheux, « Faites connaissance avec la maire déléguée de Moret-sur-Loing. Au mois d'août, La Rep vous proposera chaque semaine le portrait d'un maires délégué de Moret-Loing-et-Orvanne. C'est la maire déléguée de Moret-sur-Loing qui ouvre le bal », La République de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consulté en ).
  8. « Extrait du site de la préfecture de Seine-et-Marne - Livret des candidatures T2 – Moret-Loing-et-Orvanne », sur imgur.com (consulté en ).
  9. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  10. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 20112012 .
  11. Moret - Flâneries dans les siècles, D. Bretonnet
  12. « Moret », sur fontainebleau-pays.com.
  13. « Portes de Paris et de Bourgogne », notice no PA00087146, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  14. « Église Notre-Dame, Moret-sur-Loing », notice no PA00087138, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  15. « Château de Moret (ancien) », notice no PA00087137, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  16. « Chapelle Saint-Pierre de Pontloup », notice no PA00087136, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  17. « Pont de Moret », notice no PA00087145, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  18. « Maison dite de François Ier ou Hôtel de Chabouillé », notice no PA00087141, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  19. « Borne milliaire de Moret-sur-Loing, vue en caméra de rue », sur google.fr/maps (consulté en ).
  20. « Visite patrimoine », sur lesamisdemoret.fr (consulté en ).
  21. Ségolène Le Men, Aline Magnien, La statuaire publique au XIXè siècle, 2004, p. 31 « Buste de Sisley par Eugène Thivier. inauguré à Moret-sur-Loing le 15 juillet 1911. »
  22. « Biographie Dagnac-Rivière », sur antiquite-lachaux.com
  23. http://www.ville-moret-sur-loing.com/la-ville/histoire/armoiries.html
  24. « Ecole XIXe française "Blason du comté de Moret sur Loing", Aquarelle », sur art-richelieu.fr (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Moret-sur-Loing », p. 1003–1012
  • [Pougeois 1875] Alexandre Pougeois, L'antique et royale cité de Moret-sur-Loing (Seine-et-Marne), Paris, J. Pougeois, (réimpr. 2e éd : 1889, sur archive.org ;

3e éd : 1928, sur gallica), sur books.google.fr (lire en ligne).

  • [Tondu 1974] Gérard Tondu, L'Ancien chasteau de Moret-en-Gastinois, Éditions du Centre, , 67 p..
  • [1983] Daniel Bretonnet (ill. Pierre Brochard), Moret, flâneries dans les siècles, Etrepilly, Presses du Village, , 284 p..
  • [1987] Daniel Bretonnet, Le Ménestrel et l'énigmatique Notre-Dame-de-Moret, éd. Prim'Dias, , 253 p..

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]