Saint-Maurice-de-Rémens

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Saint-Maurice-de-Rémens
Saint-Maurice-de-Rémens
Monument aux morts devant la mairie du village sur lequel est inscrit le nom de Saint-Exupéry.
Blason de Saint-Maurice-de-Rémens
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ain
Arrondissement Belley
Intercommunalité Communauté de communes de la Plaine de l'Ain
Maire
Mandat
Éric Gaillard
2020-2026
Code postal 01500
Code commune 01379
Démographie
Gentilé Rémensois
Population
municipale
756 hab. (2021 en augmentation de 0,27 % par rapport à 2015)
Densité 73 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 57′ 28″ nord, 5° 16′ 38″ est
Altitude Min. 212 m
Max. 235 m
Superficie 10,4 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Lyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ambérieu-en-Bugey
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Liens
Site web saint-maurice-de-remens.fr

Saint-Maurice-de-Rémens est une commune française, située dans le département de l'Ain en région Auvergne-Rhône-Alpes à 50 km au nord-est de Lyon et 35 km au sud-est de Bourg-en-Bresse.

Depuis octobre 2015, à la suite d'une consultation populaire, les habitants de Saint-Maurice-de-Rémens sont les Rémensois[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat semi-continental et le climat de montagne et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 085 mm, avec 10,6 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ambérieu », sur la commune de Château-Gaillard à 3 km à vol d'oiseau[4], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 117,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Maurice-de-Rémens est une commune rurale[Note 1],[8]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (66,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48 %), forêts (17,4 %), prairies (12,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,7 %), zones agricoles hétérogènes (6,7 %), zones urbanisées (3,8 %), eaux continentales[Note 3] (3,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,7 %)[13].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

La commune est située sur le territoire des Ambarres (peuple gaulois). Il est probablement placé sous domination romaine à la suite de la guerre des gaules. En effet, le terme "remens" serait une déformation de "A romanis" qui signifie "aux romains". Le village aurait donc appartenu aux romains qui avaient d'ailleurs un camp militaire dans la plaine du village limitrophe Château-gaillard. Le village passe alors en territoire Burgonde en 407 puis en en territoire franc à la suite de la victoire de Clovis sur les burgondes en 534[14].

Moyen-âge[modifier | modifier le code]

Après avoir fait partie de la Lotharingie puis du royaume de Charles le Chauve, Saint-Maurice est intégrée au royaume d'Arles et de Provence crée par Boson en 879. Puis en 924, la commune passe à la Bourgogne cisjurane. En 1032, les archives mentionnent Saint-Maurice au sein du saint-empire romain germanique.

Le hameau de Martinaz, situé à 2700 m au sud-ouest du bourg, nait au XIIe siècle. Il doit son origine à la grange que les chartreux de Portes y firent édifier.

Au XIIIe siècle, Saint-Maurice est mentionné comme faisant partie de la seigneurie des comtes de La Palud. On y construit un château. En 1320, Guigonnet de la Palud donne à Henri, Dauphin du Viennois, évêque de Metz, la ville et le château de Saint-Maurice-de-Rémens. La châtellenie devient donc dauphinoise. En 1347, le châtelain de Saint-Maurice était Jean de Croso de Montmélian[15]. En 1349 la commune deviendra française mais avec le Traité de Paris le 5 janvier 1355, la commune passe en territoire savoyard.[14]

Renaissance[modifier | modifier le code]

En 1536, François Ier effectue une opération en Savoie et récupère de nombreux territoires dont Saint-Maurice de Rémens. Mais le traité du Cateau-Cambrésis en 1559 rend les territoires occupés à la Savoie.

En 1544, le comte Jean de la Palud meurt sans héritier masculin. Sa femme, Claude de Rye, fit alors unir le 9 mars 1576, la seigneurie de Saint-Maurice au marquisat de Varambon (qu'elle possédait)[14].

Époque moderne[modifier | modifier le code]

En 1595, Henri IV effectue une expédition militaire en Savoie et le château fort et le village de Saint-Maurice furent complètement ruinés par les troupes du Maréchal Biron. Il ne subsiste aucune traces du château-fort et il est donc impossible de le situer aujourd'hui. Aussi, après le traité de Lyon en 1601, Saint-Maurice devient définitivement française.

La seigneurie sera alors vendue par Philibert de Clereval mandaté par Ferdinand François de Rye de la Palud, le marquis de Varambon. Ce seront Ferdinand de la Baume, comte de Montréal et sa femme Marie Olier de Nointel qui achèteront Saint-Maurice et ils y établiront comme seigneur, Pierre Perrachon. Celui-ci l'achètera par la suite.

En 1756, Caude Colabeau fit bâtir le château de Saint-Maurice où il se fixa. En 1768, la commune est achetée par son frère Jacques de Colabeau, au nom de son fils unique (mineur) Jacques Marie Alexandre de Colabeau[14].

Révolution[modifier | modifier le code]

À la Révolution, Saint-Maurice prend le nom de "Rémens". Claude Colabeau ne sera pas inquiété durant la Révolution, cependant les armoiries présentes sur les tours du château furent supprimées à la suite d'une décision de la commune. Le clocher de l'église sera détruit.

Une loi du 17 février 1800 supprime les nombreux districts de l'Ain et crée les 4 arrondissements de Bourg-en-Bresse, Belley, Nantua et Trévoux. La commune de Saint-Maurice-de-Rémens ne dépend donc plus du district de Montferme (Saint-Rambert-en-Bugey). Elle est désormais rattachée à l’arrondissement de Belley. De plus, la commune de Saint-Maurice fait partie du canton de Lagnieu avec les communes de Vaux-en-Bugey, Ambutrix, Saint-Denis et Bettant. Puis en 1810, elle passe au canton d'Ambérieu[14].

XIXe siècle[modifier | modifier le code]

Le château construit par Claude Colabeau passe aux mains des De Tricaud sous la Restauration. Léopold et Gabrielle De Tricaud le remanieront dans le style du Second Empire, en ajoutant deux ailes couronnées de terrasses à l’italienne. En 1829, ils font construire une chapelle accessible depuis l’intérieur du château.

En 1836 est créée l'école communale masculine dont le premier instituteur sera Joseph Guigard. L'école communale féminine sera créée en 1882.

En 1848, sera construit un pont suspendu sur la rivière d’Ain au bac de Gévrieux au niveau de l'actuel pont de Gévrieux.

Le clocher de l'église fut refait en 1865, non pas au dessus du chœur comme le précédent, mais sur le porche, lequel fut supprimé, allongeant un peu l’église (comme pour l'église de Chatillon-la-Palud). La flèche a été refaite en 1927[14].

XXe siècle[modifier | modifier le code]

En 1902 est construit un bureau de poste.

Le 16 mai 1909 est inauguré le pont de Gévrieux qui relie les municipalités de Châtillon-la-Palud et de Saint-Maurice-de-Rémens.

En 1911, débute la construction de la gare du tramway sur la ligne Ambérieu / Ars.

En 1920, après le décès de Madame Gabrielle de Tricaud, le château devient par héritage la propriété de Madame de Saint-Exupéry. L'écrivain Antoine de Saint-Exupéry, né à Lyon en 1900 y passa une partie de son enfance. Cette même année verra l'érection d'un monument aux morts de la première guerre mondiale.

En 1930, on construit le château d’eau de la commune.

En 1932, le château est vendu à la caisse des écoles de Lyon. En 1994, le château sera mis en vente. La commune de Saint-Maurice souhaitera exercer son droit de préemption. Malgré tout, l'association ALATFA achètera le château. La vente sera contestée par la municipalité et annulée en 2008. La commune achètera le château en 2009 qui sera vendu à la région en 2020[14].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Mairie.

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune de Saint-Maurice-de-Rémens est membre de la communauté de communes de la Plaine de l'Ain, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Chazey-sur-Ain. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[16].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Belley, au département de l'Ain et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[17]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton d'Ambérieu-en-Bugey pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[17], et de la cinquième circonscription de l'Ain pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[18].

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1988 ? André Maitre PCF  
juin 1995 juillet 2001 Claude Buet    
juillet 2001 février 2005 Gérard Blanchet    
février 2005 mars 2005 Laurent Pellerin SE 1er adjoint, intérim
mars 2005 mars 2012 Élise Massieux   démissionnaire en mars 2012[19]
16 mars 2012 25 mai 2012 Laurent Pellerin SE 1er adjoint, intérim
25 mai 2012 avril 2014 Max Cleyet-Merle[20]    
avril 2014 en cours Éric Gaillard SE Fonctionnaire
Les données manquantes sont à compléter.

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

A Saint-Maurice-de-Rémens, l'agence de l'eau Rhône-Méditerranée-Corse finance un marathon de la biodiversité au camp militaire des Fromentaux : un ancien terrain militaire. La communauté de communes de la Plaine de l'Ain s'engage à planter 42 km de haies et à restaurer ou recréer 42 mares et points d'eau[21].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[23].

En 2021, la commune comptait 756 habitants[Note 4], en augmentation de 0,27 % par rapport à 2015 (Ain : +4,96 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
570518521559578620681713707
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
660648636597560541513509476
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
457477474438431506483486581
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
431441436428613604632664709
2015 2020 2021 - - - - - -
754762756------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La poste

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
Parti : au 1er de gueules au lion d'hermine, au 2e d'or à deux fasces ondées d'azur accompagnées de trois devises ondées du même ; le tout sommé d'un chef d'azur à la bande d'argent chargée de trois mouchetures d'hermine de sable[26].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Le mot du maire », sur Saint-Maurice-de-Rémens (consulté le ) : « Aussi, le Conseil Municipal a souhaité affirmer l’identité des habitants de notre village. À l’issue d’une consultation ouverte à tous, je suis fier de vous annoncer que désormais, les habitants de Saint-Maurice-de-Rémens s’appelleront Rémensois et Rémensoises. ».
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Saint-Maurice-de-Rémens et Château-Gaillard », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Ambérieu », sur la commune de Château-Gaillard - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Ambérieu », sur la commune de Château-Gaillard - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b c d e f et g (en) « Toute une histoire - Commune de Saint-Maurice-de-Rémens », sur www.saint-maurice-de-remens.fr (consulté le ).
  15. Comptes de la châtellenie de Rémens sur societe-d-emulation-de-l-ain.over-blog.com
  16. « communauté de communes de la Plaine de l'Ain - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  17. a et b « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Saint-Maurice-de-Rémens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  18. « Découpage électoral de l'Ain (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  19. Ghislain Gros, « St-Maurice-de-Rémens - Démission du maire et report de l’examen du projet St-Exupéry », sur voixdelain.fr, (consulté le ) .
  20. « Le village a son maire » bugey-cotiere.fr 1er juin 2012
  21. « Dans l'Ain, les projets se multiplient pour replanter des haies bocagères », sur France 3 Auvergne-Rhône-Alpes (consulté le ).
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. « Armes de Saint-Maurice-de-Rémens », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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