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Gérard Houllier

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Gérard Houllier
Image illustrative de l’article Gérard Houllier
Gérard Houllier en 2008.
Biographie
Nom Gérard Paul Francis Houllier
Nationalité Française
Naissance
Thérouanne (France)
Décès (à 73 ans)
Boulogne-Billancourt (France)
Poste Attaquant puis entraîneur
Parcours junior
Années Club
1959-1968 SFFR Hucqueliers
Parcours amateur
Années Club
1968-1969 Liverpool Alsop
1969-1971 SFFR Hucqueliers
1971-1976 Le Touquet AC
Parcours entraîneur
AnnéesÉquipe Stats
1973-1978 Le Touquet AC
1978-1982 US Nœux-les-Mines
1982-1985 RC Lens 056v 32n 47d
1985-1988 Paris Saint-Germain 055v 33n 35d
1992-1993 France 007v 01n 04d
1994-1996 France -18 ans
1996-1997 France -20 ans 008v 01n 02d
1998-2004 Liverpool FC 158v 75n 74d
2005-2007 Olympique lyonnais 069v 25n 14d
2010-2011 Aston Villa 014v 11n 15d
1 Matchs de championnat uniquement.

Gérard Houllier, né le à Thérouanne (Pas-de-Calais) et mort le à Boulogne-Billancourt[1], est un entraîneur français de football des années 1970 au début des années 2010.

Joueur amateur et enseignant de formation, Gérard Houllier débute comme entraîneur de football dans son Nord-Pas-de-Calais natal. D'abord en régional, au Touquet AC puis à l'US Nœux-les-Mines qu'il fait monter en Division 2 et lutter pour l'accession dans l'élite deux saisons de suite. Il intègre l'élite en 1982, à la tête du RC Lens. Il qualifie l'équipe pour la Coupe de l'UEFA dès la première année. Après trois saisons, Houllier rejoint le jeune Paris SG à qui il offre son premier titre de champion de France dès la première saison. Par la suite, les résultats mitigés lui coûtent son poste en 1988 et il devient adjoint de Michel Platini à la tête de l'équipe de France.

À la suite de l'échec lors de l'Euro 1992, Houllier devient sélectionneur mais échoue à qualifier les Bleus pour la Coupe du monde 1994 et laisse sa place. Il reste directeur technique national et prend la tête des sélections jeunes, il encadre plusieurs futurs cadres français des années 2000 comme Thierry Henry, David Trezeguet et William Gallas. En 1998, Houllier commence ses six années à la tête du Liverpool FC. Après avoir repéré Steven Gerard, il réalise le quintuplé Coupe de l'UEFA, FA Cup, League Cup, Charity Shield et Supercoupe d'Europe en 2001. La même année, il est sauvé de peu avec une première opération de l'aorte.

En 2005, un an après avoir été écarté du club anglais, Gérard Houllier arrive à l'Olympique lyonnais, remporte deux nouveaux titres de champion, en 2006 et 2007. Il démissionne après ce dernier. Il met finalement un terme à sa carrière d'entraîneur avec un passage sur le banc d'Aston Villa en 2010-2011, rattrapé par son problème de santé. Il rejoint le New York Red Bulls en tant que directeur sportif jusqu’en 2016. Houllier s'implique dans le projet Red Bull et devient conseiller du président lyonnais Jean-Michel Aulas.

Les débuts dans le Pas-de-Calais

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Né à Thérouanne[2] (Pas-de-Calais), Gérard Houllier commence le football à Hucqueliers[3] et y reste durant neuf années[4]. À l'été 1969, il traverse la Manche dans le cadre de son CAPES d'anglais qu'il entame à l'université de Lille[2] et est aussi assistant dans une école de Liverpool pendant un an[4]. En plus de donner des cours et mener des recherches, le jeune Gérard joue aussi comme attaquant dans l’équipe des Alsop Old Boys et va voir les matchs du Liverpool FC[4].

Après ce poste d'enseignant chercheur en sciences de l'éducation, il revient de 1969 à 1971 à Hucqueliers. Il met quelque temps à terminer ses études à cause de la maladie de son père et devient un temps surveillant, instituteur puis directeur de l'école normale d'instituteurs d'Arras[3],[2]. Il devient ensuite professeur d'anglais[2] à l'ESC Lille avant d'embrasser la carrière d'entraîneur professionnel.

En 1973, Le Touquet AC lui fait confiance pour devenir entraîneur-joueur en Promotion d'honneur[2]. Son travail est remarqué par l'US Nœux-les-Mines, bastion du football nordiste à l'époque, qui l'accueille en 1978. Dès sa première saison, Gérard Houllier hisse le club en Division 2. Au bout de deux exercices, en 1980-1981, le club du Pas-de-Calais joue les barrages d'accession à l'élite française. L'année suivante, les Nœuxois éliminent le FC Nantes en Coupe de France, avant de chuter face au PSG, futur vainqueur de l'épreuve[2].

En 1982, il est nommé entraîneur du RC Lens à la place de Jean Sérafin[4]. Houllier parvient à qualifier les Sang et Or pour la Coupe UEFA lors de sa première saison parmi l’élite du foot français en terminant quatrième de D1[4]. Houllier peut compter sur une bonne génération de joueurs avec Daniel Xuereb, Didier Sénac ou encore Philippe Vercruysse, encadrée par des joueurs de poigne comme Daniel Leclercq[4].

En C3, l'équipe atteint les quarts de finale[4] et termine treizième de D1, puis à la septième place en 1984-1985.

Champion de France avec le PSG

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Il s'engage avec le Paris Saint-Germain pour la saison 1985-1986. Dans la capitale, avec Francis Borelli comme président, il décroche le premier titre de champion de France du club dès sa première saison, au terme de l'ultime journée[4]. Le PSG termine avec trois points d'avance sur le FC Nantes. Pour cela, Houllier fait confiance à des joueurs tels que Joël Bats, Luis Fernandez, Dominique Rocheteau ou encore Safet Sušić. L'équipe est aussi demi-finaliste de la Coupe, éliminé de peu par les Girondins de Bordeaux[2].

La saison suivante, il devient le premier entraîneur à coacher l'équipe en Coupe des clubs champions. Mais le PSG est sorti par les Tchécoslovaques de Vítkovice au premier tour de la C1, puis termine septième en fin de saison en D1. Quinzième à l'issue de la saison 1987-1988, Houllier est écarté[2].

Sélectionneur national puis DTN

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En 1988, Gérard Houllier rejoint alors la Fédération française de football et est nommé adjoint d'Henri Michel, puis de Michel Platini, intronisé sélectionneur national fin 1988[2]. Houllier gère le terrain et Platini la stratégie[2]. Les hommes font notamment débuter la carrière internationale de Didier Deschamps[5], capitaine des Bleus champions du monde 1998. Cette équipe de France avec Papin et Cantona en figures de proue, se qualifie sans encombre pour l'Euro suédois de 1992, mais chute lourdement lors de la phase finale[2]. Platini quitte alors les Bleus et Houllier est nommé pour lui succéder, en [2].

David Ginola (ici en 2014) est accusé par Houllier de la défaite contre la Bulgarie.

Mais deux défaites surprises à domicile durant l'automne 1993 (2-3 contre Israël puis 1-2 contre la Bulgarie) barrent à la France le chemin de la Coupe du monde de football 1994[2]. À la suite de cette défaite, il cible particulièrement David Ginola comme responsable[6]. Après cet échec retentissant, il démissionne de ses fonctions de sélectionneur national, tout en restant directeur technique national[4], poste qu'il occupe déjà depuis 1989[5].

En tant que DTN, Gérard Houllier est notamment sélectionneur de l'équipe de France des moins de 18 ans de 1994 à 1996. Avec la génération 1977 et notamment William Gallas, Mikaël Silvestre, Nicolas Anelka, Thierry Henry et David Trezeguet, il est champion d'Europe de la catégorie en 1996[4]. Il prend ensuite la tête de la sélection française des moins de 20 ans. Avec les mêmes hommes, mais aussi Mickaël Landreau, Willy Sagnol ou encore Jérémie Janot dans le groupe, il remporte le tournoi de Toulon, l’année suivante[4]. Mais échoue en quart de finale de la Coupe du monde U20 1997[2]. « Gérard aurait bien voulu continuer les Espoirs, mais Raymond Domenech voulait continuer, alors on est partis un peu contre toute attente », élude son fidèle adjoint Patrice Bergues[7].

Titré avec Liverpool

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En 1998, Gérard Houllier reçoit un coup de téléphone du directeur exécutif du Liverpool Football Club, Peter Robinson, une vieille connaissance[7]. Celui-ci lui propose le poste d'entraîneur du club avec un staff britannique déjà en place, avec lequel le duo Houllier-Bergues compose pendant deux mois[7].

Fin 1998, Houllier fait débuter la future légende de Liverpool, Steven Gerrard.

Au départ, Houllier est associé à Roy Evans, mais celui-ci est écarté dès novembre 1998[2]. À la même période, il repère Steven Gerrard en équipe de jeune et le fait débuter en professionnel[8]. À l’issue de sa première saison, Liverpool termine septième du championnat, puis quatrième et européen en 1999-2000[2].

Lors de la saison 2000-2001, Houllier et son équipe remportent tour à tour la Coupe d'Angleterre, la Coupe de la Ligue anglaise mais aussi la Coupe de l'UEFA puis, en fin d'année 2001, la Supercoupe d'Europe et le Charity Shield[4]. Il se repose notamment sur des joueurs locaux tels que Jamie Carragher, Steven Gerrard et Michael Owen, ballon d'or en fin d'année, et fait également venir Emile Heskey. Houllier devient le troisième entraîneur français à gagner une Coupe d'Europe après Helenio Herrera et son ancien joueur au PSG, Luis Fernandez[2].

Phil Thompson (ici en 2005) son adjoint à Liverpool, qui lui sauve notamment la vie en 2001.

Le , à la mi-temps d'un match contre Leeds United, Gérard Houllier est victime d'une dissection aortique. L'arrivée rapide des secours le sauve[2]. Houllier doit subir en urgence une lourde opération de chirurgie vasculaire et suspendre ses fonctions à Liverpool[4]. Durant son absence, son adjoint Phil Thompson le supplée. Cet épisode lui impose un traitement médical important à vie[9]. Cinq mois plus tard, il revient à Anfield pour un match européen contre la Roma, où il est acclamé par les supporters[2]. Les Reds achèvent leur championnat à la deuxième place[2].

Liverpool connaît une nouvelle victoire en Coupe de la Ligue en 2003. En octobre 2003, il ôte le brassard à Sami Hyypiä pour le donner à Steven Gerard, à seulement 22 ans[8]. Dirigeants et supporters lui reprochent de plus en plus les performances irrégulières de l'équipe et, à l'issue de la saison 2003-2004, son contrat n'est pas renouvelé[2]. Jamie Carragher, un des joueurs les plus capés du club anglais se souvient à son décès fin 2020 : « Le club avait eu des heures difficiles dans les années 90, et c’est avec lui que Liverpool a de nouveau remporté des trophées. (...) Quand on regarde l’équipe qui a gagné la C1 en 2005, la majorité était le noyau dur formé par Houllier »[7].

Succès avec l'Olympique lyonnais

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Après une année sans club en tant que consultant à TPS Star, Houllier effectue son retour en France à l'été 2005 en tant qu'entraîneur de l'Olympique lyonnais, quadruple champion de France sortant ; il succède à Paul Le Guen[10]. Peu de temps après son arrivée, il gagne le trophée des champions 2005 face à AJ Auxerre (4-1)[11]. Au cours de la saison, il remporte la Ligue 1 2005-2006 et atteint les quarts de finale de la Ligue des champions, éliminé par le AC Milan (0-0, 3-1)[12].

Durant l'entre-saison, il commente les matchs de la Coupe du monde de football 2006 aux côtés de Christian Jeanpierre, pour TF1[13].

L'année suivante, il remporte le trophée des champions 2006, ainsi que le championnat de France 2006-2007 avec l'OL. Par contre, son équipe est éliminée dès les huitièmes de finale de la Ligue des champions par l'AS Roma (0-0, 0-2)[14] et perd la finale de la Coupe de la Ligue française 2006-2007 face aux Girondins de Bordeaux (0-1)[15]. Il reçoit néanmoins le trophée UNFP de meilleur entraîneur français en 2007[4].

Le , Houllier annonce son départ de l'Olympique lyonnais pour « raisons personnelles »[16], alors qu'il lui reste un an de contrat avec l'OL[17] ; Alain Perrin lui succède[18]. En tant qu'entraîneur du club, Gérard Houllier aura eu dans son effectif les internationaux Grégory Coupet, Patrick Müller, Anthony Réveillère, Éric Abidal, Sébastien Squillaci, Florent Malouda, Sidney Govou, John Carew, Sylvain Wiltord pour ne citer qu'eux, ou encore Kim Källström qui avait notamment regretté son départ du club[19].

Retour à la DTN puis fin sur le banc à Aston Villa

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Houllier en août 2009.

En il est de nouveau nommé DTN, aux dépens notamment de Raymond Domenech, malgré les différends qui les opposent lorsque Houllier est entraîneur de l'OL. Critiqué au sein de la Fédération française de football après la Coupe du monde de football 2010 pour avoir influencé le conseil fédéral pour le maintien de Raymond Domenech comme sélectionneur malgré l'échec à l'Euro 2008, il démissionne le de son poste à la DTN[4].

Houllier s'engage en tant que manager du club anglais d'Aston Villa pour une durée de trois ans[20]. Un passage à l’hôpital le prive de la fin de saison[4]. Il démissionne de son poste d'entraîneur le pour raisons de santé[21]. Les médecins lui interdisent alors d'entraîner[9].

Le projet Red Bulls et retour à l'OL

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En , il s'éloigne quelque peu du banc de touche et devient officiellement directeur sportif du club américain des Red Bulls de New York[4]. À partir de , il est également membre du conseil de surveillance du FC Rouen.

Le , Houllier rejoint l'Olympique lyonnais, en tant que « conseiller extérieur »[22].

En 2019, il est nommé « directeur mondial de la branche football » du groupe Red Bull[4] par Dietrich Mateschitz, le PDG de la marque. Il a la responsabilité de tous les clubs que la marque possède, ainsi que des centres de formation au Brésil et au Ghana : Red Bull Salzbourg, Red Bull New York, RB Leipzig, Red Bull Brasil, Red Bull Ghana, FC Liefering.

Gérard Houllier décède le à son domicile de Boulogne-Billancourt à l'âge de 73 ans, quelques jours après avoir été hospitalisé pour une nouvelle opération à l'aorte[9],[23]. Il est inhumé au cimetière de Saint-Georges-d'Oléron (Charente-Maritime).

Style d'entraîneur

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Son ancien joueur au début des années 1980 à Nœux-les-Mines puis à Lens, Alain Tirloit, se souvient à son décès : « Il était extrêmement avant‑gardiste, toujours à la pointe de ce qui se faisait d’un point de vue tactique, technique et managérial. Sur le plan humain, il était à la fois très proche de ses joueurs, mais savait aussi garder ses distances »[24]. Son adjoint Patrice Bergues se souvient que lors de leur arrivée au Liverpool FC : « il a fallu convaincre les joueurs de beaucoup de choses. Sur le plan de l’entraînement, de la diététique, des soins, il a fallu une bonne année pour nettoyer le club »[7],[25]. La légende du club Ian Rush ajoute : « J’ai eu la chance qu’il me prenne comme coach des attaquants, et même si je n’étais pas un mauvais attaquant, je crois, il m’a appris un nombre incroyable de choses »[7].

L'attaquant lensois François Brisson se rappelle : « sa connaissance très pointue du football. (…) Il était toujours positif tout en étant un gros bosseur. Dans les causeries, tu avais toujours l’impression qu’il avait les mots justes au bon moment, notamment pour calmer les joueurs »[24]. Ouvert, Houllier ne refuse aucune discussion sur un choix tactique ou une composition d’équipe. Bergues ajoute sur Liverpool : « Les gens là-bas aiment leur club, ils veulent dire ce qu’ils ressentent pour essayer de comprendre, et ça Gérard le comprenait bien »[7].

À la fin de l'expérience anglaise, on reproche à Houllier sa politique de transfert (beaucoup de ventes et d'achats de joueurs) et le jeu de l'équipe jugé « trop unidimensionnel »[2].

Palmarès d'entraîneur

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Paris Saint-Germain

Liverpool FC

Olympique lyonnais

En sélection

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Équipe de France des moins de 18 ans

Équipe de France des moins de 20 ans

Distinctions individuelles

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Statistiques

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Mise à jour :

Équipe Pays Début Record
M V N D % Victoire
Liverpool FC Drapeau de l'Angleterre Angleterre 1998 304 160 70 74 52,6
Olympique lyonnais Drapeau de la France France été 2005 74 48 18 8 64,9

Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. État civil trouvé dans la base MatchId des fichiers de décès en ligne du Ministère de l'Intérieur avec les données INSEE (consultation 16 janvier 2021)
  2. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u et v « Les risques du métier », sur SOFOOT.com, (consulté le )
  3. a et b «Quand Gérard Houllier me ramenait à Hucqueliers en R8...», sur LA VDN, (consulté le )
  4. a b c d e f g h i j k l m n o p q et r « Gérard Houllier en dix dates », sur SOFOOT.com, (consulté le )
  5. a et b « Didier Deschamps : « Gérard Houllier s'est toujours placé en défenseur des éducateurs » », sur L'Équipe (consulté le )
  6. France-Bulgarie 93 : Gérard Houllier accuse Ginola et Jacquet
  7. a b c d e f et g « « C’était presque un Dieu ici »… Liverpool pleure Gérard Houllier », sur www.20minutes.fr, (consulté le )
  8. a et b « Gérard Houllier : « Si j'étais encore entraîneur, je l'aurais pris partout ! » », sur SOFOOT.com, (consulté le )
  9. a b et c « Gérard Houllier, ancien sélectionneur des Bleus et entraîneur de Liverpool, de l'OL et du PSG, est mort », sur L'Équipe (consulté le )
  10. Pierre Lepidi, « Gérard Houllier à Lyon, fin du feuilleton de la L1 », sur Le Monde,
  11. « Lyon remporte le trophée des champions », sur Le Nouvel Observateur,
  12. « Au bout du suspense, Milan élimine Lyon », sur La Croix,
  13. « Mondial 2006 : les commentateurs et consultants vedettes TV », sur Clicanoo,
  14. Le Monde avec Reuters, « Ligue des champions : Lyon s'incline face à Rome », sur Le Monde,
  15. « Bordeaux fait plier Lyon en Coupe de la Ligue », sur La Croix,
  16. AP, « Gérard Houllier quitte l'Olympique lyonnais », sur Le Nouvel Observateur,
  17. François Tixier, « Lyon déjà tourné vers l'intersaison », sur 20 Minutes,
  18. « Alain Perrin entraînera désormais l'OL », sur Libération,
  19. « OL - Anciens : Källström a regretté le départ de Gérard Houllier », sur Olympique & Lyonnais, (consulté le ).
  20. FFF : Gérard Houllier file à l'anglaise vers Aston Villa, leparsien.fr, 8 septembre 2010, mis à jour le 9 septembre 2010
  21. Houllier quitte Aston Villa
  22. « Ligue 1 : Gérard Houllier nommé "conseiller extérieur" de l'OL », sur eurosport.fr,
  23. « Gérard Houllier, ancien sélectionneur de l’équipe de France, est mort », (consulté le ).
  24. a et b « Houllier à Lens, c’était un peu du Bielsa », sur SOFOOT.com, (consulté le )
  25. Jean Bréhon, « Gérard Houllier et « les années Reds » (1998-2004) : une brèche pour les Frenchies à l’étranger ? », Football(s). Histoire, culture, économie, société, no 2,‎ , p. 83–91 (ISSN 2968-0115 et 2967-0837, DOI 10.58335/football-s.272, lire en ligne, consulté le )
  26. « Nouvelle récompense pour Gérard Houllier », Sport.fr,
  27. « Houllier et Wenger promus officier de l'Ordre de l'Empire Britannique », sur sport.fr (consulté le )