Beaufort-sur-Gervanne

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Beaufort-sur-Gervanne
Beaufort-sur-Gervanne
Vue de Beaufort-sur-Gervanne.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Die
Intercommunalité Communauté de communes du Val de Drôme
Maire
Mandat
Gérard Gagnier
2020-2026
Code postal 26400
Code commune 26035
Démographie
Gentilé Beaufortois, Beaufortoises
Population
municipale
476 hab. (2021 en augmentation de 2,15 % par rapport à 2015)
Densité 50 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 46′ 44″ nord, 5° 08′ 36″ est
Altitude Min. 280 m
Max. 836 m
Superficie 9,48 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Crest
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Crest
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Beaufort-sur-Gervanne
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Beaufort-sur-Gervanne

Beaufort-sur-Gervanne est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune est située au nord-est de Crest.

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

À l'ouest de Beaufort-sur-Gervanne, les marnes bleues affleurent largement en rive nord de la Gervanne et presque jusqu'au lit de la Sye. Elles remplissent le large synclinal de Gigors[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est arrosée par la Gervanne[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 937 mm, avec 8,1 jours de précipitations en janvier et 4,8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 12,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 936,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Statistiques 1991-2020 et records BEAUFORT-S-GERV (26) - alt : 379m, lat : 44°46'40"N, lon : 5°08'20"E
Records établis sur la période du 01-07-1989 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,2 0,3 3,3 5,9 9,5 13,2 15,2 15,2 11,7 8,5 4 1 7,3
Température moyenne (°C) 4,3 5,1 8,8 11,7 15,6 19,6 22,1 22 17,7 13,5 8,2 4,9 12,8
Température maximale moyenne (°C) 8,3 9,9 14,3 17,5 21,6 26 29 28,9 23,6 18,6 12,4 8,8 18,2
Record de froid (°C)
date du record
−12,2
04.01.1993
−15,3
05.02.12
−11,7
01.03.05
−4
04.04.22
−1,9
05.05.1991
4,6
14.06.1995
6,5
12.07.1993
5,6
30.08.1998
0,6
29.09.1993
−4,1
30.10.1997
−8,8
23.11.1998
−12,5
20.12.09
−15,3
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
19,1
10.01.15
22,4
24.02.20
25,1
21.03.1990
29,9
28.04.12
32,2
30.05.01
37,4
28.06.19
37,6
19.07.03
40,6
13.08.03
34,2
04.09.16
29,9
09.10.23
23,8
14.11.23
21,7
31.12.21
40,6
2003
Précipitations (mm) 69,2 54,8 61 82,2 84,6 66 59,2 69,2 108,2 104,2 111,4 66,4 936,4
Source : « Fiche 26035001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Beaufort-sur-Gervanne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Crest dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 17 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (55,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (55,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,4 %), prairies (17,5 %), terres arables (12,3 %), zones agricoles hétérogènes (7,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,8 %), cultures permanentes (3,8 %), zones urbanisées (3,4 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Logement[modifier | modifier le code]

Projets d'aménagement[modifier | modifier le code]

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations[modifier | modifier le code]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[14] :

  • 1332 : castrum Belli Fortis (inventaire des dauphins, 76).
  • 1347 : Bellum Forte (Valbonnais, II, 550).
  • 1462 : castrum Bellifortis et Bellum Forte (choix de docum., 268).
  • 1509 : mention de l'église Saint-Bartholomé ecclesia beati Bartholomei Bellifortis (visites épiscopales).
  • 1516 : mention de l'église cura Bellifortis (pouillé de Die).
  • 1529 : Belfort (archives hosp. de Crest, B 11).
  • 1574 : Beauffort (mémoire des frères Gay).
  • 1891 : Beaufort, commune du canton de Crest-Nord.

Non daté[réf. nécessaire] : Beaufort-sur-Gervanne.

Étymologie[modifier | modifier le code]

« Beau et fort », appellation avantageuse pour une fortification[15].

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité : les Gallo-romains[modifier | modifier le code]

Établissement gallo-romain[2].

Du Moyen Âge à la Révolution[modifier | modifier le code]

Les seigneuries : au point de vue féodal, le territoire de Beaufort était formé de deux terres (ou seigneuries), celle de Beaufort et celle du Monestier (ou de Saint-julien) (voir ce nom)[14] :

  • Celle de Beaufort relève des dauphins.
  • 1332 : possession des comtes de Valentinois.
  • 1419 : la terre passe à la couronne de France.
  • 1449 : elle est donnée aux Caqueran.
  • 1483 : elle est reprise.
  • 1521 : vendue (sous faculté de rachat) aux Clermont-Montoison et aux Eurre.
  • 1645 : vendue aux Arbalestier.
  • Ces derniers la vendent aux (du) Truchet.
  • 1732 : passe (par mariage) aux Vogüé.
  • 1739 : passe aux Clerc de la Devéze, derniers seigneurs.

Avant 1790, Beaufort était une commune de l'élection de Montélimar, subdélégation de Crest et de la sénéchaussée de Crest. Elle formait une paroisse du diocèse de Die. Son église, sous le vocable de Saint-Barthélemy et Saint-Sébastien avait remplacé au XVIe siècle celle de Saint-Julien. Les dîmes appartenaient à l'évêque diocésain qui était collateur de la cure[14].

Saint-Julien[modifier | modifier le code]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[16] :

  • 1244 : mention du prieuré : monasterium Sancti Juliani (cartulaire de Léoncel, 134).
  • 1248 : villa Sancti Juliani (cartulaire de Léoncel, 155).
  • 1254 : mention du prieuré : monasterium Sancti Juliani, siti in mandamento castri de Monteclaro (cartulaire de Léoncel, 187).
  • 1257 : villa monasterii Sancti Juliani (cartulaire de Léoncel, 182).
  • 1262 : mention du prieuré : prioratus Sancti Juliani (cartulaire de Léoncel, 207).
  • 1290 : mention du prieuré : monasterium Montisclari (cartulaire de Léoncel, 262).
  • 1334 : castrum monasterii (inventaire des dauphins, 75).
  • XIVe siècle : capella monasterii Montis Clari (pouillé de Die).
  • 1552 : Notre-Dame du Monestier (archives de la Drôme, E 40).
  • 1891 : Saint-Julien, quartier de la commune de Beaufort.

Ancien chef-lieu de la plus grande partie du territoire de la commune actuelle de Beaufort, formant au point de vue féodal une terre distincte de celle de Beaufort[16] :

  • La terre (ou seigneurie) est premièrement possédée par les dauphins.
  • 1201 : elle est hommagée aux évêques de Die.
  • 1263 : la seigneurie est cédée aux Artaud.
  • 1298 : elle est vendue aux Mévouillon.
  • Elle passe aux comtes de Valentinois qui l'unissent à leur terre de Beaufort (voir plus haut).

L'église fut pendant longtemps le chef-lieu d'une paroisse du diocèse de Valence, comprenant le territoire de Beaufort. Cette église, premièrement dédiée à saint Julien, puis à Notre-Dame, était celle d'un prieuré de cisterciens (dépendant de l'abbaye de Léoncel), supprimé au XIVe siècle. L'église était encore debout au XVIe siècle[16].

De la Révolution à nos jours[modifier | modifier le code]

En 1790, la commune de Beaufort est comprise dans le canton du Plan-de-Baix. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la fait entrer dans celui de Crest-Nord[14].

1944 : les combats du Vercors occasionnent des destructions. Le chef-lieu sera reconstruit. La commune a été citée avec croix de guerre[2].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendance politique et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1871   ?    
1874   ?    
1878   ?    
1884   ?    
1888   ?    
1892   ?    
1896   ?    
1900   ?    
1904   ?    
1908   ?    
1912   ?    
1919   ?    
1925   ?    
1929   ?    
1935   ?    
? ? Marcel Sayn (1910-1981)    
? ? Henri Morin   résistant
chef de compagnie FFI
1945   ?    
1947   ?    
1953   ?    
1959   ?    
1965   ?    
1971   ?    
1977 1980(juin) ?    
1980
(statut ?)
1983 André Colomb    
1983 1989 René Saussac    
1989 1995 René Saussac    
1995 2001 René Saussac   maire sortant
2001 2008 René Saussac   maire sortant
2008 2014 Jérôme Colomb    
2014 2020 Catherine Mathieu (sans étiquette) fonctionnaire
2020 En cours
(au 19 janvier 2021)
Gérard Gagnier[17][source insuffisante]    

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Finances locales[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[19].

En 2021, la commune comptait 476 habitants[Note 3], en augmentation de 2,15 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
312371341360407414449482448
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
496530560597557519481452446
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
465468437381385355349347321
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
320276267253253312371388454
2018 2021 - - - - - - -
473476-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école est installée en regroupement pédagogique depuis 1990 et accueille ainsi une centaine d'enfants pris en charge par quatre enseignantes. La cantine est installée à Suze, village voisin, et les temps d'activités périscolaires sont pris en charge par les communes[réf. nécessaire].

Santé[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'un médecin et d'un pôle médical (infirmières, orthophoniste, kinésithérapeute, kinésiologue)[réf. nécessaire].

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Loisirs[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

En 1992 : céréales, noix, vignes (vin AOC Clairette de Die), caprins, pisciculture[2].

  • Foires : les 15 février, 15 avril, 24 août, 21 octobre, 16 novembre[2].

Commerce[modifier | modifier le code]

Avril 2016 : création d'une épicerie associative dans le centre du village à la suite de la fermeture de l'ancienne épicerie en juillet 2014. Cette épicerie emploie aujourd'hui trois salariés à temps plein, et jouit d'une fréquentation soutenue[22]

Artisanat[modifier | modifier le code]

En 2008, Bernard Xueref, un enfant du pays, agrobiologiste de métier, reconvertit l'ancienne ferme de ses grands-parents au lieu-dit Les Bérangers en bâtiment bio-climatique et y installe une chocolaterie artisanale bio et équitable : La Frigoulette. Lauréate du concours ARTINOV des Entreprises Artisanales Innovantes en 2012, elle produit une large gamme de chocolats, sans gluten ni matière grasse animale, à partir d'une fève « 1er Grand Cru de Plantation » originaire de São-Tomé-et-Principe. Militant pour un modèle d'agriculture durable et solidaire, Bernard Xueref développe depuis plusieurs années des échanges scolaires et humanitaires avec cette île du Golfe de Guinée[23].

Tourisme[modifier | modifier le code]

  • Vieux village et ses abords (SI)[2].
  • Station climatique d'été[2].

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La porte du château.
  • Vestiges de fortifications[2].
  • Ancien château : portail[2].
  • Maisons anciennes, ruelles, fontaine[2].
  • Église catholique Saints-Barthélemy-et-Sébastien de Beaufort-sur-Gervanne du XIXe siècle : clocher-porche sur une vieille tour[2].
  • Temple protestant du XIXe siècle[2].

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

  • Musée de la Préhistoire[2].
  • Association des Amis de Gervanne[2].

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

  • Grottes[2].
  • Sources[2].
  • À quinze kilomètres du village, les chutes de la Druise et la Pissoire[24] sont des sites remarquables, à l'entrée des gorges d’Omblèze. Elles sont classées pour leur intérêt paysagé[réf. nécessaire].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Pierre Lombard-Lachaux, (1744-1807), homme politique et révolutionnaire français, député du Loiret à la Convention.
  • Paul-Louis Simond (1858-1947) : biologiste, médecin de marine, spécialiste des épidémies. Il est né à Beaufort-sur-Gervanne.
  • Georges Mouriquand (1880-1966) : pédiatre qui contribua notablement à la diffusion des idées pastoriennes. Il est né à Beaufort-sur-Gervanne.

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Beaufort-sur-Gervanne possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Annexes[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Site géol-Alp, page sur la vallée moyenne de la Gervanne.
  2. a b c d e f g h i j k l m n o p q et r Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Beaufort-sur-Gervanne.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Beaufort-S-Gervanne » - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Beaufort-S-Gervanne » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b c et d J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 28 (Beaufort).
  15. Ernest Nègre|Toponymie générale de la France: Formations dialectales (suite) et françaises, page 1479, (id).
  16. a b et c J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 344 (Saint-Julien).
  17. http://www.mairesdeladrome.fr/annuaire/
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. « Ces Drômois se mobilisent pour l'épicerie de leur village », sur France Bleu, (consulté le ).
  23. « dossier de presse chocolaterie la Frigoulette »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ).
  24. Robert Luft, Vocabulaire et Toponymie des pays de montagne / pis : haute cascade tombant en pluie fine (en queue de comète)